Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 20734Fiche technique19038 caractères19038
Temps de lecture estimé : 11 mn
26/01/22
Résumé:  À la poursuite de l’exhib au travail.
Critères:  fh collègues travail cérébral voir exhib photofilm jeu -humour -jeux Exhib
Auteur : CarpediemAdlib            Envoi mini-message

Série : Caro

Chapitre 02 / 03
Nouveau règlement

Résumé de l’épisode précédent :

Caroline et Raphaël, collègues de bureau, ont découvert les joies de l’exhib au travail lors d’une réunion en visio.






Caroline et moi n’avons jamais parlé ouvertement de ce qui s’était passé pendant la réunion de début d’année. Pourtant, nous poursuivons nos échanges par SMS et multiplions les jeux, séparément. Au travail, nos regards sont parfois très clairs sur ce qui nous anime, mais cela s’arrête là.


Le dernier jeu en date nous occupe bien et nous amuse particulièrement. À la demande de Caroline, un samedi soir sans intérêt, nous nous sommes respectivement créé un compte sur une célèbre appli de vente de vêtements entre particuliers.


Les règles ensuite sont devenues simples et faciles à réaliser : au milieu de nos ventes, nous devons créer de temps en temps des annonces un peu spéciales. La première photo qui est mise en avant est toujours très classique pour ne pas dire sans intérêt. Le vêtement est porté sobrement.


Sur les quatre photos suivantes, seul le vêtement est photographié sous toutes les coutures. Le jeu commence sur les dernières photos avec le vêtement à nouveau porté, mais de façon assez osée. L’idée de pouvoir être vu par tant de personnes est véritablement excitante.


Hier soir, elle m’envoie le SMS suivant :


Raphaël, nouvel article en vente ;-) À toi de jouer !


Je m’empresse d’aller regarder sur l’appli. Elle vend une jupe longue, blanche et très légère. Je passe à la sixième photo… ah la coquine, elle s’est prise de dos à contre-jour puis de face, la jupe en devient transparente et, évidemment, elle ne porte pas de sous-vêtement. Le dessin de ses fesses comme de sa fente est visible. J’adore !


Je vais lui rendre la pareille. J’enfile un de mes cuissards de triathlon. Je prends une photo qui servira de vitrine puis je reprends les photos de Caroline stockées dans mon portable pour… l’effet ne tarde pas à se voir, j’ai vite un début d’érection. Là, je reprends des photos sur lesquelles un détail n’échappe pas… Et hop ! Un SMS :


Caroline, j’ai aussi mis en vente un nouvel article, il m’est trop petit ;-)


Bref, à cinquante ans, Caroline découvre les plaisirs de l’exhibition et en fait profiter le petit jeune de vingt-sept ans que je suis. Au travail, nous sommes restés sobres depuis la visio de rentrée.




***




Ce dimanche matin est triste. Il fait gris et froid et le brouillard ne se lève pas, le genre de journée à rester sous la couette en bonne compagnie. D’ailleurs, j’y suis sous la couette, avec un bon bouquin.

Je suis dérangé par un premier bip de SMS, mais je reste concentré. Cinq minutes passent puis un deuxième bip retentit. Bon, à l’évidence, il va falloir y jeter un œil. Je m’extirpe du lit dans le plus simple appareil et y retourne sans traîner, le téléphone en main. C’est Caroline :


Bonjour Raphaël, je m’ennuie ce matin, rien à faire dehors donc je me suis camouflée sous un plaid, calée sur mon canapé.


Photo à l’appui, je constate son camouflage. Je suis joueur ce matin alors plutôt que de répondre par un SMS, je me prends en selfie, la couette est à mes pieds, seul mon livre ouvert dissimule mon sexe. Et hop, envoyé !

La réponse ne tarde pas :


Quand on dit que les hommes ont le cerveau mal placé !


Je rigole et attends la suite, car je sens que Caroline a une nouvelle idée. Je vois qu’elle est en train de rédiger un message, mais il se fait attendre… c’est bien long… elle m’écrit sa bio ou quoi ?!

Je reprends ma lecture quand, deux pages plus tard, son SMS si compliqué à écrire me parvient enfin :


Raphaël, je te propose de rejouer la journée de visio au travail pour pimenter nos journées. J’ai déjà réfléchi aux règles, voilà ce que je te propose si ça te tente : règle numéro 1, tout sous-vêtement devient interdit au travail, sauf s’il a un intérêt dans le jeu et bien entendu à l’exception d’une semaine par mois durant laquelle je m’autorise une culotte ; règle numéro 2, l’objectif est de réussir à déstabiliser l’autre une à deux fois par semaine sans se faire voir de quiconque et sans y passer des heures ; règle numéro 3, je te laisse la trouver… Tu en penses quoi ?


Je lis et relis son message. Wouah, elle réussit encore à me surprendre. En voilà une idée, je suis déjà excité sans même avoir commencé le jeu. Il faut que je trouve une règle aussi… hum… j’ai trouvé ! J’envoie ma réponse par SMS aussitôt :


Caro, j’accepte ton jeu et tes règles. Pour la troisième, voici ce que je te propose : celui qui aura fait preuve du plus d’imagination ou d’audace sur une semaine pourra attribuer un gage à l’autre pour la semaine suivante. Ça marche ?


La réponse est quasi instantanée :


Feu vert ! Bonne chance, mon petit…


Ouais, c’est ça… bonne chance ! Tu vas voir, je vais me préparer et trouver des idées inattendues. Non, mais, elle va voir la quinqua !


Autant vous dire que je n’ai pas réussi à reprendre ma lecture, la tête déjà à ma stratégie.




***




Lundi matin


Je m’habille pour partir au boulot, puis je fais demi-tour pour retirer mon caleçon que j’avais enfilé par habitude. Ça commence bien ! Mon pantalon de costume n’est pas trop moulant donc, au final, on ne peut rien deviner.


J’arrive le premier au travail, comme d’habitude, et je m’installe à mon bureau. Celui de Caroline est à trois mètres à gauche du mien en perpendiculaire. Il y a un troisième bureau placé à l’identique, mais à droite du mien. Personne ne l’occupe plus depuis la réorganisation.

Caroline arrive vers 9 h, un grand sourire aux lèvres. Sa tenue ne reflète rien de particulier : un tailleur que je connais, noir et strict. Elle porte en dessous un de ses pulls légers à col roulé, bleu turquoise.


Nous travaillons sagement toute la matinée, car il ne faut pas l’oublier, nous sommes ici pour ça, quand même.


La journée s’est finalement déroulée sans rien de particulier, la faute à notre boss qui ne nous a pas ratés pour un lundi.




***




Mardi


Le lendemain, je n’ai rien changé à ma tenue, mais j’ai mon idée en tête.


Nous nous retrouvons dans la salle de café avec toute l’équipe pour échanger sur un projet en collaboration avec l’Irlande. Je suis adossé au meuble de rangement de notre maigre vaisselle. Il y a du monde pour cette réunion informelle et plutôt décontractée, car nous devons être une douzaine dans la pièce où l’on se tient généralement à cinq ou six. Certains sont assis et d’autres debout, par manque de chaises.


Caroline vient sortir des tasses supplémentaires derrière moi pour fournir tout le monde puis elle reste debout devant moi à quelques centimètres.

La discussion prend forme et les échanges sont nombreux. Chacun à son avis sur la question, comme toujours.


Je me raidis d’un coup ! La main gauche de Caroline est passée discrètement dans son dos. De sa paume, elle s’est appuyée pile sur mon sexe. Je regarde chaque collègue pour vérifier que personne ne s’en soit aperçu. La main est immobile. Les secondes passent sans que rien ne change et j’en viens à reprendre la conversation quand soudain elle se met à frotter tout doucement la bosse de mon pantalon. Merde… je bafouille et ça fait rire l’assemblée.


Caroline ne relâche pas son étreinte et ses doigts jouent avec la forme de mon gland à travers le tissu. Pourvu qu’elle ne quitte pas sa place d’un coup, car je ne saurais expliquer mon état. Nos échanges s’éternisent et Caroline poursuit son supplice. Ses ongles montent et descendent le long de ma tige, en douceur, avec suffisamment de force pour accentuer mon excitation. Je reste spectateur de la conversation, trop concentré sur cette douce torture. Puis sa main se détend et vient englober mes bourses. Elle les serre, les secoue, continue de jouer avec ses ongles. Bientôt 9 h 30 à la pendule de la salle, je sais que chacun va vouloir retourner à son bureau.


Sa main me quitte et reprend vie sur ma queue : de son seul pouce et majeur, elle me branle très doucement, la pression de chaque côté de mon sexe est subtile, mais suffisante… c’est terrible, je dois rester concentré.



La main de Caroline a disparu… je me tourne vers l’évier, un peu hébété, pour cacher mon état. Chacun passe déposer sa tasse et, d’une voix sans assurance, je dis à l’assemblée que je vais nettoyer les tasses pour aller plus vite.


Quand Caroline passe à côté de moi pour déposer la sienne, elle joue le jeu de la proximité de la petite pièce pour frotter ses seins dans mon dos. C’est lorsque je me retrouve seul que je réalise ce que vient de faire Caroline, quelle audace !


Je reviens à mon poste de travail. Caroline me lance « un à zéro » avec un clin d’œil.




***




Mercredi


Caroline débarque à 9 h 20, elle est agacée, car elle a eu un problème de transport ce matin. La journée commence mal pour elle.

Je l’observe du coin de l’œil. Elle porte une robe beige, portée près du corps, compte tenu de ses rondeurs. Celle-ci est sagement fermée par une longue rangée de boutons, de la base de son cou jusqu’en dessous des genoux. Je constate que malgré son 90D, quand Caroline n’est pas en mouvement, il est difficile de percevoir l’absence de soutien-gorge.


À 14 h, Thierry débarque dans notre bureau.

Nous allons travailler en collectif sur le fameux dossier irlandais :



D’une seule voix, nous répondons à notre chef :



14 h 50 (eh oui, le timing est rarement respecté).


Nous y voilà : six personnes prêtes à faire tourner les méninges. Je me suis installé aux côtés de Caroline. Le travail se déroule consciencieusement, chacun est concentré sur sa tâche et nous échangeons collectivement régulièrement.


Je décide alors de passer à l’action. Ma main droite (la plus proche de Caroline) passe sous le bureau et vient attraper les boutons du bas de sa robe. Le premier est difficile à décrocher d’une seule main, j’y parviens enfin. Caroline proteste du regard, mais ne dit rien, car nous avons quatre témoins potentiels. Je poursuis mon activité et les deux boutons suivants ne résistent pas longtemps. Je m’attaque maintenant aux deux boutons qui retiennent la robe sur le haut de ses cuisses.


Les échanges reprennent entre nous tous ce qui me facilite le travail, car Caroline n’ose plus réagir.

Et voilà le travail ! J’écarte les pans de sa robe jusqu’en dessous du nombril. Le bureau et l’écran du PC jouent un rôle de paravent. J’ai sous les yeux sa fente aux mille promesses… je lui laisse le temps de s’habituer à cette nouvelle tenue, et moi aussi par la même occasion, car la vue ne me laisse pas indifférent.


Caroline poursuit son travail sans se départir de son calme légendaire. Ma main droite retourne sous le bureau. Je tiens mon téléphone portable pro, que j’ai pris soin de mettre en vibreur. Je le pose sur sa fente alors que Caroline suit du regard mon manège, l’air hébété… De l’autre main, j’attrape mon téléphone perso puis je compose… mon numéro pro !


L’effet est immédiat ! Caroline sursaute dans un frémissement sonore. Dans le même temps, tous les regards se tournent vers elle :



Puis elle se tourne vers moi et me lance un regard suppliant. Je lui souris. Je lance un nouvel appel. Je la vois se mordre les lèvres pour ne pas faire de bruit. Ses mamelons se sont frayé une place et poussent outrageusement sa robe.


Je suis content de mon effet. Son corps réagit sous les coups de vibreur de mon téléphone.

Je reproduis mes appels en laissant un petit temps de répit entre chaque. Quand, au septième, ses cuisses se serrent violemment sur le téléphone et ses lourds seins s’écrasent sur son clavier. L’orgasme a été rapide et brutal. Heureusement, personne n’a remarqué ce délestage de plaisir.


Je retire le téléphone pro comme je peux, puis, mes yeux dans les seins, euh dans les siens, je passe très lentement mon doigt entre ses lèvres trempées. Lorsque je frôle son clitoris, un dernier frémissement la parcourt. Un baiser sur mon propre doigt finit de l’achever.


J’attrape un post-it sur lequel j’écris à son attention « 1 partout, ma chère ! ». Caroline est restée la robe ouverte et le sexe à l’air pendant les 3 h de travail collectif, pour mon plus grand plaisir. Elle en a même profité pour me tenir en éveil permanent.




***




Jeudi


La journée passe vite, très vite. Le projet nous occupe beaucoup et je me vois dans l’obligation de rester tard pour avancer au maximum. Caroline a passé la journée au téléphone, également pour les mêmes raisons. Même le déjeuner s’est fait sur le pouce, à nos bureaux.

Les bureaux se vident et bientôt le Directeur commercial vient nous informer que nous sommes les derniers. Il vient surtout nous répéter de bien mettre l’alarme en partant.


20 h 30… mon cerveau sature… je vais péter un plomb…


Allez, un dernier coup de téléphone et ce sera bon pour aujourd’hui !

Caroline est encore au téléphone avec le bureau de New York, évidemment, la journée est loin d’être finie pour eux. J’adore l’écouter parler anglais, ça lui donne un côté sexy, genre working girl.


Mon interlocuteur décroche, nous échangeons sur la planification des prochaines étapes sans tomber d’accord. Ça me soule… il faut pourtant que je le fasse changer d’avis.

Caroline en a terminé. Elle s’est écroulée dans son fauteuil, elle aussi semble fatiguée. Elle retire sa veste puis me rejoint. Elle porte encore un de ses hauts moulants à col roulé. Je la regarde se déplacer, voir cette poitrine bouger au rythme de ses pas à un effet apaisant. Elle se met face à mon bureau et me sourit. Puis elle se saisit du bas de son col roulé et le remonte jusque sur la pointe de ses seins. « Boum ! », c’est l’effet que ça me fait, là, tout de suite. Je vois l’arrondi de ses magnifiques globes dressés devant moi. Ses doigts remontent jusque sur ses tétons, les saisissent, les pincent ; leur forme apparaît nettement sous le tissu. Je suis toujours au téléphone, mais plus vraiment à ma conversation. Caroline sourit toujours… un air coquin accroché à ses pommettes.


Mon interlocuteur m’agace, ça n’avance pas. Caroline a fait le tour du bureau. Elle ouvre ma braguette sans hésiter. Ma trique est bien visible et déjà en forme avec ce qu’elle vient de me montrer. Elle la sort du pantalon… « Non, pas maintenant ! » Elle s’agenouille, redresse ma queue et la glisse entre ses seins, « Wouah ! », je passe sous un tunnel : plus de réseau dans ma tête.


Elle ne bouge pas. Ses yeux sont plantés dans les miens. C’est une vraie torture. Malgré tout, sa respiration imprime un léger mouvement sur mon sexe, très léger, mais tellement bon… je suis emprisonné, par ma conversation d’un côté et par la pression mammaire de l’autre.


Caroline ne bouge toujours pas, ça devient un supplice. Plus elle est statique et plus je bande. Les minutes passent durant lesquelles je tente de conclure et obtenir gain de cause. Caroline, de son côté, s’emploie à limiter ses mouvements tout en prenant des inspirations de plus en plus fortes. La conversation est sur le point de se conclure sur un statu quo.


Caroline dans un geste théâtral me libère, pose un délicat baiser sur ma verge érigée et repart tranquillement à son bureau, son col roulé toujours relevé. Je raccroche encore plus dégoûté et agacé. Je suis frustré comme jamais, excité et délaissé. J’ai presque envie de me finir, là, sur mon bureau, devant Caroline. Mais non, je ne m’y résous pas… Pas sur mon bureau quand même !


Caroline s’est rhabillée et quitte la pièce :



Victoire par K.O.




***




Vendredi


Dernier jour de boulot, la semaine a déjà été riche en émotions comme en nombres de tâches à réaliser. Je me laisse déborder et quand je vois 18 h à l’écran de mon PC… je me dis que cette semaine offre la victoire à Caro. Par le biais de notre messagerie interne, je lui envoie un message en ce sens.

Elle quitte son bureau pour partir en week-end et s’approche de moi. Elle se penche à mon oreille et me murmure :





***




Merci Caroline !