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n° 20753Fiche technique15969 caractères15969
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03/02/22
Résumé:  Les soirées de Malika sont déjantées. Mais cette fois elle a fait très fort.
Critères:  fh grp inconnu bain forêt campagne revede trans intermast entreseins fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio hdanus hsodo partouze
Auteur : Olaf      Envoi mini-message

Concours : C'est la première et la dernière fois
Derrière chez elle y a un étang

Alors là, sur la tête de ma mère, c’est la première et la dernière fois que je vais me promener vers l’étang non loin de la maison de campagne de Malika.

Vu ce qui vient de m’arriver, je me demande s’il ne serait d’ailleurs pas préférable de renoncer une fois pour toutes aux invitations de Malika.


En même temps, même si je n’ai plus de souvenir très précis de ce qui s’est passé hier en fin de soirée, ni ce matin au réveil, je n’ai rien à lui reprocher. La soirée et la nuit étaient une nouvelle fois d’enfer, et je me suis lâché comme jamais.


Il faut dire que la seule chose de prévisible lors des soirées de Malika, c’est que les invité.e.s sont choisi.e.s selon des critères précis qu’elle seule connaît. Des critères censés favoriser d’intenses conjonctions érotiques.

Rares sont celles ou ceux qui résistent à ses jeux déjantés, voire franchement pervers.

Concrètement, il vaut mieux y venir en célibataire qu’en couple.


Hier soir, nous étions trois mecs et trois nanas avec Malika. Les néophytes étaient plutôt réservé.e.s. Elle dut faire preuve d’imagination et surtout de persuasion pour arriver à les faire basculer hors de leur zone de confort sexuel.

En d’autres termes, une fois n’est pas coutume, tout le monde attendit poliment la fin du dessert avant de commencer à copuler.


En habitué de ces soirées, j’ai misé sur Caro, qui me sembla réservée au premier abord, mais que j’imaginai prête à tenter quelques expériences une fois en confiance.


Je ne fus pas déçu. Elle commença certes par s’accrocher à moi comme du lierre autour d’un chêne. Mais elle me donna aussi explicitement carte blanche pour n’importe quelle fantaisie érotique.

Depuis cet instant, elle ne cessa de faire preuve d’une incroyable propension à anticiper mes désirs, tout en précisant clairement les siens lorsque je manquais trop d’imagination à son goût.


D’une minute à l’autre, la réservée se métamorphosa en délurée, s’offrant d’abord à corps perdu pour mieux se refuser ensuite, juste avant l’orgasme.


Je ne saurais dire combien de fois elle fit bouillir des trucs jouissifs dans mon bas-ventre, avant de faire retomber la pression par des tapes savamment appliquées aux endroits les plus sensibles de mon anatomie. Ou des pincements, voire des malaxages intimes à la limite du supportable.


En fervente adepte de l’égalité des sexes, elle exigea le même genre de traitement à son égard, tendant ses fesses à une vigoureuse fessée, pour mieux contrecarrer un orgasme en devenir. Ou tordant elle-même les bouts de ses seins au-delà de ce que j’aurais osé leur faire subir.


Tout commença néanmoins à basse flamme, par une inversion de l’ordre habituel de la découverte sexuelle. Alors que je tentai de dénuder ses seins pour lancer les réjouissances après un signal de Malika, elle joua la vierge effarouchée et m’empêcha de les atteindre.


Ce qu’elle s’empressa néanmoins de compenser en retirant son string avec un naturel désarmant, avant d’aller s’allonger jambes écartées sur une chaise-longue de la terrasse.


Après quelques caresses lascives, accompagnées de regards et de gémissements sans équivoque, elle guida ma bouche contre sa chatte.


Elle sembla apprécier ma voracité et confirma à haute voix à quel point ma langue et mes lèvres avaient tout juste.

Elle changea toutefois vivement de position dès qu’elle sentit naître les premiers frissons de plaisir.

À genoux, elle écarta alors ses fesses. Dévoilant la rosette sombre qui en ornait le centre, elle exigea que je continue à lui donner du plaisir à coups de langue contre son anus et de massage intense de son clitoris.


Sans doute toujours par souci d’égalité des plaisirs, elle passa sa main entre ses cuisses à la recherche de ma queue, qu’elle branla savamment, tout en veillant à ne pas me faire décoller trop vite.


Aux premiers signes de débordement, elle calma mes ardeurs d’une prise ferme sur mes boules. Dès qu’elle me sentit débander, elle me fit me lever. Mes couilles bien en main, elle me conduisit jusqu’au séjour, où Malika et les autres invité.e.s avaient commencé eux aussi à se mélanger.


Un mec était déjà allongé sur une des filles, qui feulait d’impatience de le sentir en elle, alors que l’autre gars tentait de résister à la fellation de Malika.


Caro daigna alors dénuder ses seins, sans doute pour m’exciter à nouveau. S’agenouillant devant moi, elle fit coulisser ma bite dans son profond sillon.


L’air ambiant était saturé de parfums de sexe, l’excitation des corps devenait contagieuse, tout ce que les couples partageaient augmentait l’impérieux besoin de jouir.


Malika alluma le feu d’artifice avec son partenaire en enfonçant sa langue dans le méat distendu. Il plongea son membre entre ses lèvres et lâcha la première giclée. Elle le garda en bouche aussi longtemps que dura son éjaculation.


Le sperme qui débordait de la bouche de Malika, tout comme les contractions du bas-ventre de l’heureux élu provoquèrent chez l’autre mec comme chez moi une soudaine décharge de testostérone.

Dans cet état, que Malika attendait impatiemment, plus rien ni personne n’aurait pu nous retenir de nous soulager.


Caro enferma mon sexe palpitant entre ses seins lourds, tout en malaxant mes boules comme pour s’assurer que je n’allais rien retenir. À ce stade d’excitation, je n’en aurais de toute façon plus eu la volonté.


Après un bref instant d’hésitation, retenu fermement par la fille qu’il venait de faire jouir, l’autre gars finit par se lâcher dans les profondeurs intimes de la belle.


En maîtresse de maison exemplaire, Malika attendit quelques instants pour laisser la tension érotique retomber de quelques degrés.

Puis, elle distribua le sperme qui tapissait sa bouche en embrassant profondément chacun.e d’entre nous.

Lorsque tout le monde fut servi, elle nous proposa de faire un petit tour dans son jardin des plantes. Les gens du village qui n’avaient pas encore réalisé ce qui se passait chez leur voisine, durent penser que des faunes lubriques y pratiquaient un sabbat impie.


Pour la suite, mes souvenirs sont assez flous. Je suis presque certain d’avoir cueilli quelques plantules, je suppose avoir participé à la réalisation de potions aussi magiques que terriblement aphrodisiaques, et il n’est pas exclu que j’aie participé à des jeux très sexuels avec Caro, notamment.


J’ai aussi un vague souvenir d’avoir longuement sucé un téton masculin pour faire jouir son propriétaire pratiquement à bout de forces, et finalement de m’être endormi la bouche sur le sexe de Malika, dégoulinant de divers jus séminaux, alors que Caro embrassait amoureusement mon membre vidé de ses dernières gouttes de semence.


C’est dans cette constellation que je me réveille ce matin, entre les bras de Caro et de Malika, toutes deux encore agitées par des rêves voluptueux, à en juger par la moiteur de leurs intimités pressées contre mes cuisses.


La troisième fille est déjà en train de revigorer les deux autres mecs, dont elle veut visiblement jouir encore quelques fois.

À la voir se démener, la double pénétration n’est déjà plus une hypothèse mais une voluptueuse certitude.


Je préfère ne pas imposer à mes deux partenaires endormies un désir que la vision d’une autre femme en chaleur a provoqué, et je quitte le champ de bataille pour un tour à l’air libre.


La marche me fait du bien et me remet progressivement les idées en place. Je décide alors d’aller faire quelques brasses dans un étang que j’ai repéré non loin de la maison de Malika.


Je suis un peu irrité de constater qu’une nana semble avoir eu la même idée que moi. Elle est déjà dans l’eau jusqu’au-dessus du ventre. Je peux juste distinguer de jolis seins en forme de petites pommes avant qu’elle s’enfonce complètement dans l’eau.


J’attends qu’elle ait fini de faire trempette avant de me déshabiller et d’aller nager à mon tour. Vu ce qui circule sûrement encore dans mes veines, je ne voudrais pas l’effrayer avec une réaction virile trop intempestive.


Finalement, les choses se déroulent tout autrement. La fille doit sentir ma présence et se retourne. Mais elle est loin de montrer la moindre crainte. Bien au contraire…



Elle commence alors à sortir de l’eau, en marchant dans ma direction. Au point où nous en sommes, je me déshabille à mon tour et la rejoins.


Ses seins et son ventre musclé sont en effet non seulement « normaux », mais très désirables. Les choses se compliquent au moment où son bas-ventre apparaît en plein jour. Une superbe bite, en complète érection orne le haut de ses cuisses.



Elle se tourne alors de manière très naturelle et me laisse découvrir entre ses fesses un plug orné d’un rubis. Jusqu’où se niche la modernité mythologique…


Le problème, c’est que la vouivre exerce une force d’attraction irrésistible sur tout humain qui s’en approche. Et que son appétit sexuel est légendaire. Son appétit et son endurance.


À partir de ce moment, tout va très vite. Je perds toute force de résistance. Bien au contraire, une odeur suave et envoûtante émane du corps de la créature, qui me pousse à la rejoindre.

Il suffit qu’elle redresse son torse et me tende ses seins pour que je me mette à bander. Je suis en même temps fasciné par son membre aussi raide, mais beaucoup plus long que le mien.


Ielle s’approche de moi, prend ma main et la pose sur sa tige. Sans me lâcher, elle appuie sa tête sur mon épaule et murmure des mots de sexe et de désir à mon oreille. Je ne suis plus en état de distinguer si c’est la femme ou l’homme qui me pousse à caresser son sexe, à fouiller entre ses cuisses, à téter ses mamelles et à abandonner mes lèvres à sa bouche.


Son haleine délicieusement parfumée et la chaleur de sa bouche (ou est-ce une gueule prête à cracher le feu de l’enfer ? ) me mettent en transe. Nous sommes dans l’eau jusqu’à mi-cuisses, tout proches l’un.e de l’autre.


Je suis entièrement à la merci de cette créature, qui pourrait m’entraîner avec elle au fond de l’eau. Je n’éprouve pourtant aucune crainte. Juste un intense désir de caresser son sexe, de le faire gonfler encore plus, puis d’en extirper ce qui doit servir de semence à ce genre de créature.


Avec des gestes toujours délicats, comme pour ne pas briser la magie qui s’opère entre nous et m’empêche de hurler de terreur, elle guide ma main entre ses fesses, pour que je joue avec son plug. J’enfonce l’engin, puis le retire de quelques centimètres avant de le remettre bien en place. La vouivre gémit doucement, sa verge tressaille contre mes doigts à chaque enfoncement.


Je sens de manière très précise le plaisir que je lui donne. Et que je reçois aussi d’elle, tant elle s’offre à moi comme le ferait n’importe quelle femme, ou quel homme que je désirerais. Elle me fait caresser ses seins, embrasser son ventre, accélérer mes attouchements sur son sexe.


Elle me dit à quel point ielle a envie de moi, que je ne dois pas avoir peur, même si notre union me paraît étrange, contre nature même.

Le souffle court, elle me supplie de lui faire confiance, qu’elle va m’amener à des plaisirs nouveaux, si je lui apprends les voluptés que partagent les humains.


Bien sûr que je veux. Alors je sens quelque chose de dur se glisser entre mes fesses, effleurer mon anus, forcer délicatement et patiemment ma résistance.


C’est chaud, très chaud, agréablement gluant, respectueusement intrusif, formidablement érotique.

Je confirme mon désir d’être pris de cette manière en manipulant plus fermement le plug entre les fesses de la vouivre. Ielle se joue progressivement de ma résistance et finit par pénétrer en moi.

De sa queue, puisque c’est bien de cet organe qu’il s’agit.


Alors, le souffle court, le corps de plus en plus chaud, ielle se penche, descend sa tête le long de mon ventre et prend ma bite entre ses lèvres. J’accélère mon va-et-vient sur son membre viril, tout en caressant ses tétons de femme.


Empalé sur la queue de la créature, enfoncé dans sa bouche, caressé par ses mains agiles, je m’abandonne au plaisir qu’ielle me procure. Non sans essayer de lui en offrir autant.


C’est ielle qui craque en premier. Se redressant vivement, le ventre parcouru d’intenses contractions, elle pousse ce long cri rauque qui a terrorisé des générations d’humains habitant près des étangs et des marais.

Entre les bras de la vouivre, je n’éprouve pas de tel sentiment. Son cri de plaisir augmente au contraire la puissance de mon désir pour ielle, mon envie d’être fouillé, branlé, baisé, caressé, orgasmé, peu importe quoi pourvu que tout se produise en même temps.


L’orgasme imminent de la vouivre plante en moi une folle envie de m’unir intégralement à ielle, quoi qu’il advienne de moi par la suite.


Les contractions du ventre de la créature se transforment maintenant en spasmes intenses. De profondes vagues nous entourent et vont inonder le rivage. Jusqu’à ce qu’enfin un liquide couleur rubis s’échappe du sexe démesurément érigé de la vouivre. Son éjaculation est si copieuse que nous sommes rapidement entouré.e.s par un large cercle d’un liquide séminal rouge, chaud et épicé.


Comme pour me remercier, ielle enfonce sa queue plus profondément dans mes entrailles. Déjà l’extrémité de son organe caudal masse ma prostate et provoque une éjaculation d’une intensité incomparable.

Après ce que j’ai donné de ma personne au cours de la nuit, je ne me serais jamais attendu à pourvoir déverser encore autant de sperme, ni surtout de manière aussi jouissive.


Fou de plaisir, je me précipite sur le sexe de la vouivre, dans l’espoir de lui donner un rab de plaisir. Et de pouvoir goûter à ses sucs intimes.


Hélas, comme par enchantement, le membre si fier et si volumineux se met à débander au moment où je veux le prendre en bouche. De fait, je n’ai qu’un petit pénis à peine encore rigide à glisser entre mes lèvres.


Qu’importe, je le suce, je le lape, je le lèche avidement. À nouveau, le ventre de la vouivre se crispe, ielle laisse échapper une plainte de plaisir, mais cette fois d’une voix différente.


Une voix indubitablement féminine. Tout comme le jus intime qui gicle du vagin de Caro, lorsque ma stimulation de son clitoris l’amène à jouir.


La crispation de ses cuisses sur ma tête finit de me réveiller. Contrairement à ce que j’étais en train de rêver, je n’ai pas quitté le lit où Malika, Caro et moi avons dormi.


Profitant lâchement de mon état comateux post orgasmique du petit matin, les deux filles se sont emparées de moi. L’une de ma virilité, qu’elle a sucée jusqu’à la moelle. Non sans pousser mes lèvres contre sa vulve et son clitoris pour mieux partager ma félicité. Pendant ce temps, l’autre s’est emparée de mes fesses, entre lesquelles elle a pénétré jusqu’à me faire cracher les dernières gouttes de sperme qui restaient dans ma prostate.


Sans plus s’occuper de moi, Malika exige de Caro qu’elle partage avec elle sa récolte séminale au bouche-à-bouche.


Je n’ai plus la force de les accompagner dans leurs jeux. Il m’en reste juste assez pour poser mes mains sur leurs corps, titillant un téton de ci, effleurant un clito de là, massant une fesse ou un sein entre deux, jusqu’à ce qu’elles s’offrent un foudroyant orgasme simultané.


Lorsque tout est consommé, Malika propose d’aller nous dégourdir les jambes du côté de l’étang, derrière sa maison.


Je refuse catégoriquement.


Sur la tête de ma mère, j’y suis allé tôt matin pour la première et la dernière fois. Je ne suis pas prêt à résister à une nouvelle rencontre avec la vouivre. Fut-ce en rêve !