n° 20753 Lire ce texte 15969 caractères   2731 mots   Temps de lecture estimé : 11 mn 03/02/22
Résumé:  Les soirées de Malika sont déjantées. Mais cette fois elle a fait très fort.
critères:  fh grp inconnu bain forêt campagne revede trans intermast entreseins fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio hdanus hsodo partouze
Auteur : Olaf

Concours : C'est la première et la dernière fois
Classement de ce texte 12 / 16
Appréciations du jury             Retours de l'auteur
Derrière chez elle y a un étang

 

Note générale = 14.99 / 20
(16 notations)
Note des inscrits = 15.16 / 20
(8 notations)
Note des non-inscrits = 9.75 / 20
(8 notations)

0 Originalité 0 Ecriture 0 Humour 0 Excitation 0 Atmosphère 0 Sentiments
Promotions : Concours

Période de recueil des lectures = du 30/09/22 au 23/05/251848 Lectures partielles468 Lectures entières25 %


Intervenant Lui écrire Date Note Appréciations
Evaluations des inscrits
Amarcord
(555 notations)
  03/02/22 Très bon - 16 Il faut déjà les moyens qu’offre le talent pour tenter la longue scène initiale, et à des détails comme ce « Tout commença néanmoins à basse flamme… », on sait aussitôt qu’on a affaire à un auteur qui n’en manque pas. Si l’écriture inclusive me heurte d’habitude, hors usage ironique, pour des raisons plus linguistiques qu’idéologiques, je n’avais aucune objection au « ielle », et ce texte forme même un parfait prétexte, pour me prouver qu’il (ou plutôt ielle) coule de source, est pertinent et même agréable. C’est sans doute ce qui me charme le plus dans ce texte aux choix culottés et déculottés.
Catherine
(520 notations)
03/02/22 Bon - 14 Si Olaf se met à la fumette, nous voilà bien avancés ! Je soupçonne que ce texte a été écrit dans l'unique bur d'utiliser à bon escient ce fameux iel qui n'est pour moi qu'une fumisterie de plus. Bref, un bon texte que là aussi j'aime bien.
L'artiste
(1856 notations)
  03/02/22 Bon - 14 Un récit qui ne devient vraiment original qu'en seconde partie, une fois arrivé à l'étang. Le monde onirique permet effectivement beaucoup de choses, et n'était-il pas la vocation de "Reve"bébé ? Autant l'écriture inclusive se justifie en seconde partie, autant lors de la partouze, je l'ai trouvée un peu lourde. Le "ielle" me rappelle les histoires d'un auteur récemment publié ici...
radagast
(735 notations)
  03/02/22 Excellent - 18 Je ne suis pas un grand fan de l'écriture inclusive, du "ielle" mais dans ce contexte, ça passe, l'idée est même originale. J'ai aussi bien aimé le choc de cette (soit disant) écriture actuelle et de cette antique légende de la "Vouivre". Le narrateur a quand même bien pris!
Roy Suffer
(134 notations)
03/02/22 Très bon - 16 Je n'avais plus entendu parler de la vouivre depuis le regretté bourguignon Henri Vincenot. C'est là toute l'originalité de ce texte par ailleurs assez banal. Mais agréable.
pericles
(361 notations)
04/02/22 Bon - 14 Je remets ici mes commentaires de juré du concours : "Relativement original. La partie onirique ne l'est point tant que ça, mais elle est épicée par le personnage de la vouivre. - C'est très bien écrit, avec cependant quelques invraisemblances: la vouivre doit être extrêmement souple pour pouvoir simultanément pénétrer et sucer son partenaire ;-) - Une gentille histoire, mais qui ne me laissera pas un souvenir impérissable. Mention bien.
ashley
(132 notations)
  04/03/22 Excellent - 18
ptilu
(1300 notations)
  05/03/22 Très bon - 16 Pas le meilleur Olaf, peut-être, mais un bon moment quand même. Euuhhh…s’il reste de la place à la prochaine soirée de Malika, j’veux bien…
Evaluations du public (celles avec un commentaire approuvé)
lecteur assidu de Revebebe   03/02/22 Médiocre - 06 L'écriture inclusive gache tout. Très désagréable à lire en raison de celle-ci.
Remarques
Charlie67 03/02/22 Les résultats du concours sont à l'adresse http://concoursrvbb.free.fr
Olaf   06/02/22 Amusant comme l'écriture inclusive peut être clivante. Pourtant, comment mieux désigner une ambiguïté de genre. Car ni la Vouivre ni le Baphomet ne sont trans, ils sont hermaphrodites, donc ielles... Et la Vouivre a une queue, enfin deux, ce qui lui épargne les contorsions.


Détail des notations du public  (moyenne 9.75 calculé avec 8 notes)
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