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n° 20779Fiche technique14402 caractères14402
Temps de lecture estimé : 8 mn
14/02/22
Résumé:  La mer... qu’on voit danser...
Critères:  fh 2couples couple couplus bateau voir nudisme massage fellation pénétratio -couple
Auteur : Ericcontact            Envoi mini-message

Série : Les nouveaux infidèles

Chapitre 04 / 04
Sur la mer


NDLA : Cette histoire est la suite de la série « Infidèle(s) », mais elle peut très bien se lire indépendamment.

Vous faites un peu ce que vous voulez.

Mais quand même… moi, si j’étais vous, j’irais jeter un œil aux débuts de leur(s) histoire(s) ;-)





Résumé de l’épisode précédent :

Une nouvelle vie pour nos deux amants.








OK. Respirer. Bander devant des invités c’est moyen-moyen quand même. Et un short de bain, même très élégant, ça ne pardonne pas en cas d’érection. Et là, c’est le cas. Audrey et Émilie sont à l’avant du bateau, et la vue depuis l’arrière est… J’ai pas les mots.


Ce week-end presque estival s’annonce décidément lumineux.


Depuis notre emménagement sur le bateau à l’automne dernier, Audrey et moi avions adopté ce style de vie assez facilement. Le bateau était grand et les intérieurs assez spacieux pour nous sans qu’on ne se marche dessus. Le carré, sorte de cuisine et de salle à manger en même temps que second poste de pilotage en cas d’avarie, avait abrité nos premiers repas de couple et aussi nos premiers ébats dans notre chez-nous.


La promiscuité, nouvelle sans qu’on n’en soit ignorant elle et moi, n’était pas gênante puisque chacun avait assez expérimenté la vie à deux pendant quinze ans pour savoir quand et comment ne pas envahir l’autre.

On se disputa peu quand les premiers froids arrivèrent, et sur des sujets absolument sans gravité.

Branchés à la terre par une ligne de vie électrique et hydrique qu’Audrey avait décorée début décembre d’une guirlande, un équilibre facile s’était installé dans une routine boulot-bateau qui n’en était pas une. Et quelques surprises de-ci de-là, qu’Audrey ou moi nous offrions, week-ends ailleurs et journées quelque part, nous avaient rapprochés en nous éloignant un court moment de notre chaleureux et bien chauffé cocon flottant.


L’hiver étonnamment enneigé sur le pont avait fait place au printemps bricoleur, la vue d’une ponceuse sans-fil dans la main de ma belle en short en jean m’ayant fait découvrir des érotismes vestimentaires dont je n’aurais pas soupçonné l’existence.


Les amis post-divorces avaient fait rapidement leur choix, et les premiers dîners à quatre et à six dans le bateau étaient devenus l’attraction de notre groupe recomposé. Et Audrey m’avait alors suggéré un soir d’inviter le jeune couple de trentenaires, aujourd’hui présent, à passer un week-end chez nous.


Et quelques heures après leurs retrouvailles, les deux amies sont nues sur le pont du bateau ?

OK. Ça promet.

Elles sont totalement différentes physiquement. Autant les courbes d’Audrey la blonde sont vertigineuses, avec ses fesses et ses cuisses rondes à la peau bronzée sans trop l’être, et ses magnifiques seins dont l’arrondi dépasse de sous son corps allongé sur le pont, autant celles d’Émilie sont fines et élancées, sa chevelure rousse contrastant avec sa peau si blanche, spécialement sur ses fesses très menues dont la petite taille révèle entre le haut de ses jambes frêles une fine toison de la même couleur que ses cheveux.


À l’appel des deux sirènes, Yann sourit et sort de leur sac un tube de crème solaire indice 8000.



Peine perdue.

Nous entamons quand même, mais difficilement notre devoir de crémeurs en chef, nous passant le tube de main en main et tartinant le dos de nos deux naturistes surprises.



Yann s’adapte à sa nouvelle position pour continuer l’application de la crème. Pas moi. Les petits seins en pommes d’Émilie sont maintenant juste sous mes yeux et sa toison rousse laisse apparaître une jolie vulve parfaitement dessinée… Je termine d’ériger mon mât, vaincu par une telle vision.



Émilie rit aussi et Yann embraye également, en louchant sur les deux magnifiques mamelles.



Enfin, le dos… il a fini les cuisses, et étale maintenant presque tout le tube sur les deux fesses blanches. J’en fais de même sur les rebondies d’Audrey.



Et dans ses yeux, cette petite lueur.



Yann sourit et me regarde, je le lui rends, et on se comprend immédiatement.

Merde, ils sont faits du même bois qu’Audrey et moi ces deux-là…

On se lève et on échange alors nos places, nous agenouillant juste à côté de la belle de l’autre.


Émilie est si menue sous mes doigts. Et Yann semble plonger dans les formes d’Audrey avec ses mains. Toujours sur le ventre, elles ondulent très légèrement au passage de nos paluches encrèmées dont le parfum vanillé rappellerait presque un dessert.



Elles rient et Yann et moi nous regardons à nouveau.



Elles se regardent, sourient en connivence et se retournent alors sur le dos en restant appuyées sur les coudes.



Yann lui aussi a les yeux rivés sur l’opulence de ma belle. Et je dois avouer que les deux mamelons roses de la sienne au-dessus des jolies pommes n’aident pas à calmer le chapiteau que fait mon short depuis un quart d’heure. Pour couronner le tout, deux petits plumeaux blonds et roux claironnent sous nos yeux juste en dessous.

Consciencieux, Yann et moi nous attelons à enduire leurs jambes, cuisses, ventres… Les deux belles nous regardent faire, les épaules et le cou ne sont pas laissés de côté.



Je lève les yeux et constate qu’elle caresse avec le dos de sa main l’aréole du sein de ma belle.



Yann et moi, nous nous levons alors, très synchrones, et nos shorts tombent en deux secondes trois dixièmes.



Disponible et attentionné sont, paraît-il, des qualités importantes chez un homme pour une femme. Et à certains moments de la vie, il faut reconnaître que ce n’est pas du tout difficile à faire.




***





Les gémissements d’Émilie nous parviennent depuis la cabine à l’autre bout du bateau.



Elle rit.



On rit. Les gémissements continuent. Audrey passe sa main sur mon sexe qui réagit aussitôt.



En traversant le carré, elle ouvre la porte du petit couloir qui mène à l’autre cabine et la cale arrière. On s’y glisse comme deux ados qui feraient le mur. Le plaisir vocal d’Émilie s’entend de plus en plus, et la porte de la cabine est ouverte à moitié. On se rapproche et penchant nos têtes ensemble dans l’entrebâillement, Audrey love son dos contre moi qui l’enlace.


Émilie chevauche Yann dos à lui, en appui sur ses pieds, ses jambes ouvertes face à la porte, elle fait aller et venir son bassin sur la tige de son mari. La tête penchée en arrière dans son extase, la pleine vue de la toison de feu et des lèvres roses autour du membre raide sur lequel elle s’empale sauvagement crispe la main d’Audrey sur ma cuisse.

Yann l’accompagne, ses mains à sa taille, et ses hanches pilonnent intensément l’intimité de sa belle.



Je m’allonge sur le lit en quittant mon boxer.



Debout au pied du grand lit, Audrey soulève alors sa nuisette au-dessus de sa tête et la balance par terre. Elle grimpe doucement sur moi, s’approchant de sa proie.



Elle lèche langoureusement ses doigts et les glisse sous son intimité, juste derrière un peu plus loin.

Et quand elle m’enfonce doucement en elle, toute sa volupté sous mes yeux, on s’abandonne une nouvelle fois, et j’espère pour toujours, à notre bonheur sur la mer.



– FIN –



Définitive, cette fois. Non, non, n’insistez pas, on ne va pas utiliser ad vitam les mêmes personnages quand même… ;-)