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Temps de lecture estimé : 11 mn
18/02/22
Résumé:  Une nouvelle collègue vient s’installer dans notre bureau.
Critères:  fh collègues hsoumis fdomine voir exhib caresses -exhib -travail Exhib
Auteur : CarpediemAdlib            Envoi mini-message

Série : Caro

Chapitre 03 / 03
Fanny

Résumé de l’épisode précédent :

Caroline et Raphaël ont instauré de drôles de jeux au bureau. Les exhibs y sont quotidiennes, mais l’arrivée de Fanny va bouleverser les règles.








Dimanche matin


SMS de Caroline :


J’ai trouvé ton gage… samedi prochain je t’accompagnerai chez IKEA. Ton gage sera de poser pour quelques photos, je me chargerai de les rendre épicées. Merci d’avance ! Je vais passer un excellent samedi ; -)


Super ! Je sens qu’on va passer un bon moment, en effet…



***



Lundi


Aujourd’hui, nous accueillons Fanny. Elle est responsable des différentes hôtesses que l’on emploie sur les salons et nos sites de showroom. Comme nous avons un bureau de libre dans la pièce, c’est celui-ci qui lui est attribué. Normalement, sa présence sera provisoire…

Caroline et moi-même sommes un peu chafouins car il va être difficile de poursuivre nos petits jeux en toute tranquillité.


La journée se passe agréablement car nous découvrons son métier et le feeling entre Caroline et Fanny est plutôt bon.

De mon côté, la journée est peu productive. Je passe mon temps à l’observer. Elle est aussi fine et grande que Caroline est ronde et petite ; sa poitrine menue se fait oublier quand Caroline présente la sienne à ses côtés. Je la trouve plutôt belle et classe dans sa robe légère. Seules ses lunettes lui redonnent un air autoritaire, et ça me plaît.


Après trois jours de colocation dans le bureau, Fanny a pris ses marques et se sent à l’aise. Je deviens vite – le petit jeune – quand elle parle de moi, alors qu’elle a à peine fêté ses quarante ans.



***



Vendredi


Nous sommes vendredi et Caroline trouve le moyen de me titiller un peu en prévision de notre samedi. Elle porte une petite jupe portefeuille et lorsqu’elle me sollicite pour des problèmes informatiques, elle se fait un malin plaisir d’en écarter les pans. Je retrouve le sourire et ce petit picotement si agréable dans le ventre à la vue de son bel abricot lisse.

De mon côté, je n’hésite pas à me pencher pour attraper sa souris et j’en profite pour prendre mon temps et me frotter sur son avant-bras, l’absence de caleçon se faisant bien sentir.


Fanny ne semble pas se préoccuper de nos faits et gestes. Pourtant, lors de ma troisième intervention auprès de Caroline, Fanny se tourne vers moi et me dit :



Caroline me fait un clin en bombant la poitrine, je ne vois pas trop pourquoi elle fait ça.



Je me tiens à côté d’elle et elle me fait la démonstration de tout ce qui ne fonctionne pas.



Et me voilà rendu à quatre pattes sous le bureau en train de débrancher un par un les appareils et leurs câbles. Fanny doit avoir une vue privilégiée sur mes fesses tel que je suis.

La tête dans le nœud des fils, je me retourne pour lui demander de tirer sur celui de la caméra pour l’identifier.

Non… non… non plus… et… euh… sa petite robe a bougé et ses jambes sont pas mal découvertes. Elle se lève pour attraper la caméra et tire dessus.



Fanny se rassied sur le bord de sa chaise. Un coup d’œil rapide sur ses cuisses, elles sont assez mimi, bien foutues même, je dirais.



Elle se penche fortement sur le côté pour faire de même. Se faisant, son pied droit se lève du sol… hum hum… mes yeux ne sont plus à la recherche des câbles.



Et la voilà de nouveau dans cette position si particulière qui m’offrirait un si beau spectacle si elle écartait un peu plus les jambes…

Je tarde un peu avant de lui annoncer que je l’ai enfin trouvé. J’essaie à nouveau de percevoir ce qui se cache sous sa robe.



Elle se penche pour me donner les ustensiles demandés, cette fois c’est l’absence de soutien-gorge que je constate sans difficulté. Ces seins sont assez petits mais je ne vais pas me plaindre de pouvoir les admirer.

J’entends Caroline approcher du bureau sous lequel je suis. Elle s’accroupit, jambes un peu écartées – évidemment –, et me dit :



Je regarde dans sa direction, elle écarte encore un peu plus les jambes. Je ne vois pas le regard de Fanny qui, cette fois, la surprend dans cette position.



Voilà comment je me retrouve avec vue sur Caroline qui a la jupe remontée en haut des cuisses et Fanny qui, assise sur sa chaise à roulettes, s’amuse du spectacle offert par Caroline.

Fanny fait durer le plaisir, me disant que son PC a lancé un redémarrage automatique… Elle-même s’est assise sur le bord de sa chaise, sa robe ne cache presque plus rien de ses cuisses, mais ses jambes restent serrées. Caroline est restée dans sa position et la vision ne me déplaît pas.

Caché comme je suis, je tente une nouvelle expérience et je sors mon sexe de mon pantalon pour me caresser doucement. Caroline se penche pour me dire de patienter encore un peu. Elle reste bouche bée en découvrant ma nouvelle activité. Elle n’en revient pas, quelle audace !

Puis elle redresse son buste, toujours accroupie, et s’adresse à Fanny tout en se saisissant de mon sexe. La conversation se poursuit alors qu’elle m’offre une douce et discrète masturbation.

Quelle excitation, Fanny se trouve juste là…



Caroline relâche mon pénis et je sors, passablement déconnecté de la réalité du bureau. Mon état ne peut échapper à Fanny.


La journée se termine et nous sommes sur le point de nous quitter.




***



Samedi, à IKEA


Fanny a décidé de venir traîner elle aussi dans cette grande surface du meuble. Elle erre sur les allées proches de l’entrée et guette notre venue car elle a bien compris que quelque chose se tramait entre nous. Elle nous voit arriver, l’air complice et enjoué.


Après quelques minutes à regarder du mobilier, nous nous mettons à l’écart dans une pseudo-chambre d’étudiant. Là, je retire prestement mes chaussures et retire pantalon et caleçon d’un seul geste. Caroline immortalise la scène le temps que je remette mon pantalon, laissant mon caleçon finir dans ma poche. Je suis hyper stressé et excité en même temps. Nous continuons notre balade pour nous arrêter cette fois dans une reconstitution de salle de bain. Je retire mon blouson et mon sweat et fais mine de me laver au lavabo, torse nu. Caro est passée derrière moi et de sa main libre me caresse le sexe à travers le pantalon.


Fanny nous a suivis jusque-là et, discrètement, a repéré notre petit jeu. Pourtant, c’est lorsque nous repartons que Fanny a une véritable surprise… Après avoir passé mon sweat et mon blouson, Caro a sorti mon sexe réveillé et, marchant devant moi, elle me tient par la queue comme elle tiendrait une laisse. Elle se colle à moi lorsque des personnes s’approchent et s’éloigne un peu dès que possible. Je la suis et chaque pas, chaque personne croisée, renforce mon excitation. Je suis en érection maintenant et Caro en joue de la pression de ses doigts.


Fanny reste à distance mais elle ne s’attendait pas à ça de nous. Elle nous admire, nous envie peut-être. Elle n’est pas indifférente à ce jeu de domination très conventionnelle.

Soudain, Caro me lâche et s’approche d’un bac de coussins, me laissant le sexe à l’air et en l’air, seul. Je le range aussitôt, je ne veux pas faire de scandale ici. Caroline revient vers moi et fait mine d’être fâchée, elle ouvre ma braguette en grand et me demande de la laisser ainsi jusqu’à notre retour au parking.


Fanny a pu me contempler cette fois. Elle repart dans l’autre sens, ne souhaitant pas être vue.


Nous sommes aux ustensiles de cuisine, rien de très excitant. Pourtant, une jeune femme, qui doit être étudiante, accroupie, est en train de farfouiller à la recherche d’articles à bas prix. Nous nous approchons, faisant semblant de chercher à notre tour, de telle sorte que la tête de la jeune fille ne puisse rater ma braguette ouverte. Et ça ne rate pas ! Mon érection repart de plus belle !! Étrangement, la jeune fille prend son temps. Caroline, sans me regarder, passe de temps en temps sa main sur ma bosse, devant le regard discret de notre complice improvisée.


Quel pur moment d’excitation, je rêve alors des prochains moments à inventer… !



***



Semaine suivante – Vendredi midi au travail


La semaine se déroule de façon très sobre quand Fanny m’interpelle pour me dire que sa caméra est à nouveau inactive et que son câble réseau est HS. Elle me demande si je veux bien l’aider à nouveau. Caroline est en réunion et nous sommes seuls dans le bureau.

Je m’approche de son bureau et elle me dit :



Elle se lève et c’est à ce moment-là que je constate la longueur de sa jupe de tailleur. Ou plutôt je devrais dire sa microjupe… Wouaf !!! Ces jambes sont sublimement mises en valeur… et que dire de ses fesses ?



Se faisant, elle s’accroupit, puis, à quatre pattes, avance sous son bureau. Je m’installe dans son fauteuil pour faire les tests.



Après cinq minutes, Fanny me demande de tester la caméra : rien. Elle râle et reprend son activité sous le bureau. Je me penche pour voir si elle s’en sort… Cette fois, c’est sûr, aucun morceau de tissu ne vient cacher sa toison brune. Sa microjupe est tellement remontée que sa position m’offre une vue complète sur sa fente. J’hallucine ! Fanny non plus ne semble pas porter de culotte. Décidément, je suis le plus veinard des salariés !

Elle a dû sentir mon regard car sa tête pivote au même instant, me prenant sur le fait.



Je constate que la jupe n’en cache pas plus et qu’au contraire ses jambes se sont légèrement écartées pour me permettre de mieux voir. Sans même se retourner, Fanny me dit :



Nous poursuivons nos investigations et Fanny ne manque pas de me provoquer en gardant une position très excitante et sans équivoque. À plusieurs reprises, je peux contempler ses fesses menues offertes à mon imagination.

Lorsqu’elle se retourne pour sortir de sous le bureau, elle en profite pour laisser traîner sa main sur la bosse qui déforme mon pantalon.



Ça n’est pas une question mais bien un ordre.


Je me retrouve cinq minutes après dans l’entrée des toilettes femmes. Toutes les portes sont closes. Le lieu est agréable, refait récemment. Une porte s’ouvre doucement sur… Christine… ! La secrétaire de Direction.



Puis elle réajuste son décolleté face au miroir : deux boutons ouverts, suffisants pour suivre le sillon de ses seins au plus profond du décolleté, mais pas trop ouvert pour garder de la classe et de la tenue.



Et je me dirige vers les toilettes qu’elle a libérées. Le sexe toujours bandé car, je l’avoue, j’ai profité des cinq minutes pour visionner le site VOISSA et plus particulièrement le profil de Fanny…



Son œil n’a pas raté mon entrejambe encore déformé, mais elle ne semble pas s’en offusquer. Pourtant, je ne me sens pas vraiment à ma place ici.

Je rentre dans les toilettes, Christine sort, et Fanny ne tarde pas à me rejoindre en fermant la porte derrière elle.



Puis lentement, avec un plaisir non dissimulé, elle remonte doucement sa mini-jupe. Je me retrouve petit à petit face à sa petite touffe brune.



Et elle me fixe, sa toison proche de mon visage. Il semble que cette simple situation lui procure beaucoup d’excitation. Elle passe un doigt provocateur pour me montrer que c’est elle qui a les commandes. Elle peut sentir mon souffle se perdre sur sa peau et faire bouger sa fine toison.


Après plusieurs minutes, elle me lâche :



Elle s’adosse au mur des toilettes, projette son pubis en avant et écarte les jambes. Je me saisis de ses fesses et l’embrasse avec tendresse sur les lèvres, déjà humides… Ma bouche est collée à son sexe, mon baiser est délicat, profond, je joue de nos lèvres tel un vrai baiser. Ma langue darde dans son intimité, sans retenue. Je sens ses mains prendre appui sur ma tête pour m’encourager à poursuivre. Les miennes caressent ses douces fesses. Je bois à sa source, lape son nectar ; mon nez repose sur son petit bouton et mes petits mouvements le stimulent de façon continue.

J’entends Fanny respirer, gémir dans un souffle si discret, mais ses mains toujours sur ma tête ne trompent pas. Le temps est suspendu pour mon plus grand plaisir ; j’aime tellement son goût, ses murmures. Je prends mon temps.

Je sors de cette douce absence et entame une danse rapide autour de son clitoris. Il est dur et hyper réactif. Je ne retiens plus mes coups et la sentence devient vite irrévocable : le feu qui l’animait a été inondé… Je vais jusqu’au bout de mon entreprise et décide de la nettoyer, j’aime décidément beaucoup son goût.

Fanny abaisse sa jupe, me signifiant que l’entracte est terminé. Je me relève, ma virilité toujours au garde-à-vous. Fanny le remarque :



Et elle quitte les toilettes sans se retourner. J’attends un peu avant de sortir à mon tour quand la porte s’ouvre sur… Christine qui revient de déjeuner !!



Elle me sourit et reste plantée devant moi, le regard vissé sur mon sexe qui tend fortement ma braguette.

Je me sens bête et désarmé, le membre au garde-à-vous avec un goût particulier en bouche.

Je sors pour retourner au bureau, la porte n’est pas totalement close que j’entends Christine dire :



Je reprends place à mon bureau, le déjeuner saute pour aujourd’hui.

Caroline est revenue également, sa réunion est terminée. Elle s’aperçoit immédiatement de mon état, ne dit rien mais sourit. Je pense qu’elle a compris en partie ce qui s’est joué ce midi. Comme pour me prouver qu’elle n’est pas jalouse et qu’elle a envie de jouer à son tour, elle m’envoie une série de photo via WhatSapp, elles datent toutes de ce matin pendant la réunion. Que des selfies pris en toute discrétion, j’imagine : certains sous la table, d’autres alors que sa robe est dangereusement remontée sous ses fesses, elle a même réussi à prendre son décolleté entrebâillé (mais comment s’y est-elle prise ?), Caroline est une grande malade, qui se soigne à grandes doses d’exhib.


J’aime décidément vraiment mon métier, et je ne suis pas fait pour le télétravail :-)



- FIN -



Merci Caroline, et une dédicace particulière à Fanny.