n° 20798 | Fiche technique | 16930 caractères | 16930Temps de lecture estimé : 10 mn | 24/02/22 |
Résumé: Je poursuis l’éducation sexuelle d’Alex en lui prodiguant des conseils pour qu’il devienne un bon amant. Il apprend vite et bien. | ||||
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Auteur : Rebecca38 |
Épisode précédent | Série : Les joies du confinement Chapitre 04 | Fin provisoire |
Résumé de l’épisode précédent :
Je m’appelle Rébecca, femme en couple libre qui se retrouve seule pendant le confinement. Après avoir aperçu mon jeune voisin se masturber, j’ai été prise d’un soudain fantasme de faire découvrir les plaisirs du sexe à ce jeune homme. Je ne voulais pas me contenter de le dépuceler mais de vraiment l’initier le mieux possible. Poussée par mon mari Joseph qui se retrouvait confiné en un lieu différent du mien, j’ai entrepris une formation progressive pour essayer de faire de lui le meilleur amant possible.
À la fin du premier épisode, Alex venait de goûter pour la première fois à mon sexe, sans malheureusement arriver à me faire jouir, mais je sentais bien le réel potentiel de mon élève.
Dans le deuxième épisode, à force de persévérance et d’application, Alex arrivait à me faire jouir avec sa bouche et ses doigts. Nous avons donc fait l’amour pour la première fois.
Dans le troisième épisode, après plusieurs tentatives, Alex m’a fait jouir avec son sexe. Pour le récompenser, je lui ai montré un panel de mes capacités, variant les positions au-dessus de lui.
Jour 11 :
Après cette journée « récompense », j’ai repris mes leçons et décidé de faire découvrir de nouvelles positions à Alex. Ce matin, nous avons commencé « classiquement » à faire l’amour, lui au-dessus de moi. Les préliminaires ont toujours été aussi agréables. Il a commencé à me prendre en missionnaire avec plus de fougue que d’habitude. J’ai dû vite calmer ses ardeurs, de peur de ne pouvoir aller au bout de la leçon. Je lui ai demandé de se retirer. Je sentis de la surprise et une pointe d’inquiétude dans son regard. Je le rassurai bien vite en l’embrassant et en lui murmurant à l’oreille de me faire confiance. Je me tournais sur le côté en cuiller, lui présentant mes fesses et l’incitant à se coller contre moi. Il s’exécuta et vint glisser son sexe entre mes fesses. Je saisis son membre que je plaçai entre mes lèvres humides. D’un coup de rein, il entra profondément en moi. Gardant mes jambes bien serrées, je lui demandai de bien se coller à moi et lui expliquai les « avantages » de cette position : le contact des deux corps, la facilité pour embrasser sa partenaire et lui murmurer les mots qu’elle avait envie d’entendre, la facilité pour caresser les seins, le ventre, le sexe et les jambes de sa compagne. Il mit efficacement en application mes conseils et suggestions, découvrant une nouvelle manière de me caresser. Je le laissais faire, le guidant par moment. Mais son inexpérience reprit le dessus.
Tout en parlant, j’avais replié ma jambe supérieure pour mieux ouvrir mon sexe et lui faciliter les mouvements en moi. Il décolla son torse de mon dos pour mieux me pénétrer. Naturellement, je roulais un peu pour me retrouver sur le ventre et Alex sur moi. Il pesait de tout son poids sur mon corps et me pénétrait bien profondément. Je lui expliquais comment il pouvait maintenir le côté sensuel de la position précédente en restant corps contre corps, bien planté en moi et en se contentant de lents mouvements, voire même en laissant faire sa partenaire faire. Il parut surpris mais quand il sentit les contractions de mon vagin autour de son sexe et l’effet des mouvements de mon bassin sur son excitation, il comprit !
Puis, je le fis se relever un peu, se plaçant les bras tendus de chaque côté de mon corps. Je lui expliquai l’effet de sa pénétration en usant tout le poids de son corps. Mais je le prévenais que cette position, aussi excitante qu’elle pût être, donnait quand même un rapport dominant/dominé qui, en fonction de sa partenaire, pouvait être mal perçu par elle, surtout au début. Il fallait « sentir » quand il pouvait le faire. J’avais du mal à lui prodiguer mes conseils car, en même temps que je parlais, il me pilonnait sans ménagement et mes paroles étaient entrecoupées de cris à chacun de ses mouvements. Je le stoppai quelques secondes le temps de glisser un coussin sous mon ventre pour rehausser mon bassin et lui faciliter encore plus la pénétration. Il reprit de plus belle mais, rapidement, il se pencha contre moi :
À ces mots, il se retira et vint placer sa bouche entre mes jambes que j’avais écartées pour lui faciliter l’accès à mon sexe. Avec toujours autant d’application et d’efficacité, il s’occupa de mon sexe trempé.
Il obéit et finit par glisser quatre doigts, laissant son pouce à l’extérieur, caressant parfois mon anus sans insister plus. En même temps qu’il s’occupait de moi, j’avais relevé mes fesses pour me retrouver sur les genoux et sur les avant-bras, la tête enfouie dans les draps.
Au bout de quelques minutes, il s’arrêta et attendit. Je me redressai à quatre pattes, la tête tournée vers lui :
Il vient donc à genoux derrière moi pour me prendre en levrette. Il glissa tout seul son sexe en moi et se remit à me pilonner. J’étais tellement excitée que je sentais que moi aussi, j’allais bientôt jouir.
Les mains tenant fermement mes hanches il allait et venait rapidement en moi, ses cuisses claquant sur mes fesses. Je n’arrivais plus à retenir les cris que je poussais à chacun de ses coups de reins. Il ne mit pas longtemps à arriver au point de non-retour. Je le sentis encore accélérer pour me prendre à toute vitesse. Ce dernier changement de rythme me conduisit aussi à mon propre plaisir que j’exprimai bruyamment alors qu’il éjaculait. Il continua à s’agiter quelques secondes puis stoppa et allait se retirer quand je le retins. J’attendis que les spasmes qui agitaient mon vagin se terminent avant de le laisser se retirer.
Nous nous allongeâmes côte à côte, reprenant chacun notre souffle.
Pendant qu’on discutait, je voyais que son sexe reprenait un peu de vigueur, sûrement excité en imaginant toutes les variantes dont je lui parlais. L’idée de le reprendre en bouche pour le rendre à nouveau bien raide me traversa l’esprit mais je me retins, déjà fatiguée par la séance d’aujourd’hui.
Et puis, il fallait bien en garder pour les jours à venir !
Jour 12 :
Aujourd’hui, il est temps pour mon élève de faire l’amour autre part que dans un lit !
Je lui avais dit de venir pour le café. Pour l’attendre, j’avais choisi un string et un soutien-gorge jaune pâle ainsi que d’un jean stretch bleu et un chemisier blanc (avec pas tous les boutons d’attachés bien sûr…). Quand je lui ai ouvert, il était vêtu d’un bermuda et d’un polo.
Nous étions installés sur le canapé à boire notre café et je faisais avec lui un résumé de nos ébats, de ce qu’il avait appris et ce qu’il pouvait faire pour encore s’améliorer. Il m’écoutait avec attention mais je sentais bien que tous les détails que je donnais l’excitaient au plus haut point. Je le voyais essayer de discrètement dégager son sexe tendu sous son bermuda. Comme nous étions un peu écartés, je tendis ma jambe pour caresser du bout du pied la bosse qui déformait son vêtement. Surpris, il me laissa faire. Amusée, je continuais pendant plusieurs minutes sans le quitter des yeux ni arrêter de parler. Puis j’eus pitié de lui et me rapprochai. Tout en l’embrassant, mes mains défirent sa ceinture et ouvrirent son bermuda pour dégager son sexe. Ma bouche descendit sur sa verge que je suçais toujours avec autant de plaisir, mais aussi avec retenue pour ne pas risquer de ne pas aller au bout de mon programme. Je me levai et, plantée devant lui, j’enlevai sensuellement mon jean et mon chemisier. J’ondulai sensuellement pour l’exciter encore plus, puis j’allai m’installer contre un mur, bras tendu.
Aussitôt dit, aussitôt fait.
Ses mains se mirent à courir sur mon corps avec agilité, me faisant frissonner. Il dégrafa avec aisance mon soutien-gorge et s’empara de mes seins. Alors qu’il allait enlever mon string, je le stoppai.
Il s’exécuta. Alors qu’il m’embrassait tout en me caressant, je sentais son sexe tendu collé contre mon sillon fessier. Il glissa sa main sous mon string et trouva mon sexe bien évidemment tout mouillé. Ses doigts glissèrent en moi sans soucis. Je le laissais faire quelques minutes puis me retournai. J’appuyai doucement sur ses épaules et il comprit immédiatement ce que j’attendais de lui. Il s’agenouilla et fit glisser mon string le long de mes jambes. Aussitôt, sa bouche s’empara de mon sexe et m’arracha mes premiers soupirs. Pour lui faciliter la tâche, je m’appuyai contre le mur et levai une jambe pour venir la passer par-dessus son épaule. Les yeux fermés, je savourais ce moment, fière de mon élève dont le visage commençait à être trempé !
Après un long moment passé à savourer, je le fis se relever et le positionnais sur le côté du canapé. Je m’installai dessus à quatre pattes, le visage à hauteur de son sexe que j’embouchais à nouveau. Après quelques hésitations, il osa mettre ses mains sur ma tête pour imprimer le rythme qu’il souhaitait à ma fellation. Puis je tournais pour être allongée sur le dos, le visage sous son sexe. Je léchai lentement ses testicules puis la tête bien en arrière, j’avalai à nouveau son sexe.
D’abord hésitant quand il vit que je restais immobile, il commença de petits va-et-vient de son sexe dans ma bouche. Puis il s’enhardit jusqu’à insérer son sexe entièrement en moi. Penché sur moi, il avait une vue de rêve sur mon corps dénudé. Je ne fis pas trop durer pour ne pas qu’il jouisse trop vite et me relevai. Je le fis s’asseoir au milieu du canapé et lui donna un préservatif qu’il enfila de suite. Je vins le chevaucher, glissant son sexe en moi. Aussitôt, il s’empara de mes seins, les caressant et les léchant avec énergie. Je le laissais faire, ondulant du bassin autour de son sexe, caressant parfois ses testicules. Puis je pris ses mains, les posai sur mes fesses et me mis à m’agiter, montant et descendant sur son sexe. Nos bouches se trouvaient souvent, nos langues jouant ensemble. Je finis par ralentir pour venir m’installer à quatre pattes à côté de lui, mes fesses à hauteur de son visage. Au lieu de venir derrière moi pour me pénétrer, il approcha sa bouche de mes fesses et lécha à nouveau mon sexe détrempé. Je devinai qu’il devait être près de la jouissance et profitai de ce changement de situation pour faire une « pause ». Je le laissais donc s’occuper de mon sexe avec sa bouche et ses doigts qui allaient et venaient en moi. Par moment, sa bouche s’approchait de mon anus qu’il léchait doucement. Mes soupirs s’étaient transformés en cris de plaisir.
Il se mit donc à genoux derrière moi, ma main guidant son sexe dans le mien. Me saisissant fermement par les hanches, il me pénétra d’un coup sec. Mais il bougeait trop lentement à mon goût ! J’agitais mes fesses d’avant en arrière pour sentir son sexe bouger en moi mais il restait impassible. Le petit saligaud apprenait vite : il sentait que sa nonchalance m’énervait mais m’excitait également. Alors que je m’agitais, il se contentait de me caresser les seins, le dos et les fesses. Puis, d’un coup, il me reprit aux hanches et se mit à me pilonner violemment. Surprise, je lâchai un grand cri, suivi de nombreux autres plus étouffés. Ses coups de reins étaient très rapides et je sentais le plaisir monter en nous deux. Un coup de reins plus fort qu’un autre me fit basculer en avant. Je me retrouvais le visage sur le canapé, les bras vers l’avant, le bassin encore surélevé. Les bras tendus de chaque côté de mon visage, il n’arrêtait pas de me pilonner. Je saisis rapidement un coussin que je glissai sous mon bassin pour lui faciliter l’angle de pénétration puis je me laissai complètement aller. Une vague de plaisir m’inonda alors que mon amant bougeait toujours aussi vite en moi. Signes de ma jouissance, les spasmes de mon vagin eurent raison de la lutte héroïque de mon Alex qui jouit à son tour. Il finit par s’écrouler sur moi haletant. Nous restâmes de longues minutes comme cela à reprendre nos esprits.