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Chez Sandra

Résumé de l’épisode précédent :

J’ai rencontré une jeune femme très demandeuse de sexe après un concert. Cette rencontre fut si chaude que nous sommes allés faire l’amour dans les toilettes de la salle. Après cet épisode délicieux, nous décidons de finir la nuit chez elle.

Sitôt dans la voiture, Sandra me prend la bouche et me dit :

• — Je compte sur toi pour passer une nuit de plaisir. J’en ai très envie ! Elle ajoute, comme pour se justifier : tu sais, je ne fais pas cela souvent, mais je n’ai pas eu beaucoup d’opportunités ces derniers temps et j’entends bien en profiter.
• — Ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre ! je réponds en lui embrassant le cou. Et tu n’as pas à donner de raisons.

Je la sens qui frissonne et elle me dit :

• — Comment tu fais pour trouver si rapidement mes zones sensibles ?
• — Je crois qu’elles m’appellent, en fait.

Et je continue à lui embrasser le visage, le cou, les lèvres. De son côté, elle ne reste pas inactive et cherche à passer sa main sous mon tee-shirt pour me caresser le torse.

Du coin de l’œil, je vois le chauffeur qui nous regarde dans son rétroviseur. Il espère sans doute que la situation dégénère à son avantage, mais je ne me sens pas l’envie de partager Sandra et ai l’impression qu’elle se fiche complètement de lui.

Nous arrivons enfin au pied de chez elle et sortons du véhicule. Joie des applis, le paiement ne nous arrête pas dans nos jeux de langues et de mains. Je continue à la caresser et à l’embrasser pendant qu’elle pianote son code d’immeuble et que nous nous dirigeons vers l’ascenseur. Celui-ci nous accueille, et je peux moi aussi aller à nouveau à la rencontre de sa poitrine en passant ma main sous ses vêtements.

• — Humm, tes caresses me font un effet d’enfer et j’ai jamais autant mouillé ma culotte !
• — Ce n’est pas vraiment un souci, je compte bien t’en débarrasser très vite…
• — Ah, tu ne prends pas un dernier verre avant de m’entreprendre ? répond-elle malicieusement.
• — Je t’avoue que je n’avais pas envisagé de partager autre chose que du plaisir avec toi dans l’immédiat, mais si tu en as envie, un drink sera apprécié.
• — Idiot, la seule chose que j’ai envie de boire maintenant, c’est toi !
• — Je valide ce choix, conclus-je en retournant à mes activités tactiles et buccales.

De son côté, je la sens malaxer mon sexe à travers mon pantalon, provoquant chez moi un émoi certain. Celui-ci se traduisant par une érection dantesque.

Sitôt entrés dans son appartement, elle prend ma main et m’entraîne dans sa chambre. Pas le temps de visiter, nous ne sommes pas là pour cela ! Nous prenons juste le temps de lancer nos chaussures dans l’entrée.

Dans la chambre, elle nous stoppe au pied du lit. Elle se retourne vers moi et me pose un doigt sur la bouche et me dit :

• — Mets-toi à l’aise, je prépare le lieu.

Elle me pousse en arrière et me bloque contre un fauteuil que je n’avais pas vu en entrant. Je m’y installe et je la regarde faire.

Elle commence par allumer les chevets situés à la tête d’un grand lit tout en commençant un effeuillage raffiné. À chaque vêtement quitté, elle me jette un regard de braise et suce vicieusement son doigt ou caresse une partie de son corps.

Une fois l’éclairage réglé et la couette jetée au pied du lit – Nous n’en aurons pas besoin dans l’immédiat, justifie-t-elle – elle termine son striptease en ne gardant que sa culotte. Je peux me rendre compte que celle-ci affiche fièrement une auréole de cyprine des plus excitante.

Elle s’avance vers moi et me dit :

• — Viens, mon bel amant !

Je me lève et m’approche d’elle. Elle commence à me déshabiller tout en dispersant des baisers sur mon corps.

• — Ta peau a très bon goût, j’ai envie de te lécher tout le corps…

De mon côté, je lui caresse les épaules, le cou, le ventre et les hanches. Et je l’aide dans son entreprise. Elle m’arrête cependant lorsque j’entreprends de lui retirer sa culotte.

• — Attends un peu, j’ai envie de jouer avant.

Je continue donc à la caresser pendant qu’elle s’attaque à mon dernier rempart : mon boxer. Elle libère mon sexe tendu vers elle, le regarde en souriant, puis le prend en main.

• — Elle est belle, elle me fait envie !
• — Elle est à ta disposition. Tu verras, elle est plutôt docile, surtout si tu es douce et humide.
• — Douce, tu me diras après, mais humide, ça, je peux te l’assurer !

Elle nous entraîne vers le lit, s’y assoit, et se retrouve le visage à la hauteur de ma verge.

• — Tu as envie que je te suce ?
• — Oh oui, suce-moi, je veux retrouver la sensation de ta bouche !

Elle prend mon sexe à la base puis le dirige vers sa bouche et l’englobe. Elle plante ses yeux dans les miens avec un air mêlant défi et vice. Je la regarde également et lui dis :

• — Tu vas nous faire la meilleure pipe de nos vies, ma belle !

Elle me lance un regard surpris, puis cligne des yeux en guise d’acquiescement. Elle lance sa langue autour de mon gland puis entame d’abord de lents va-et-vient sur la hampe.

• — Humm, oui, j’aime quand tu glisses doucement mon sexe dans ta bouche !

Elle accélère un peu sa fellation et entame une masturbation à la base de mon sexe. Je ne sais pas si c’est mon érection qui est plus longue qu’habituellement ou si sa main est petite, toujours est-il qu’elle peut prendre profondément mon sexe en bouche tout le masturbant avec sa main. Cette sensation est divine et je commence à ressentir les prémices du plaisir.

• — Oh oui, tu es très très douée, petite cochonne !

Malgré mon sexe qui déforme ses joues, je peux la voir sourire à cette phrase. Ses yeux rieurs se ferment et elle se concentre sur sa tâche et mes sensations.

• — Oh, tu fais ça vraiment très bien ! Humm, j’aime ta bouche !

Elle relâche mon sexe un instant, plonge les doigts de sa main libre dans sa bouche puis me reprend sans un mot et dans un sourire.

Les doigts de sa main libre se faufilent entre mes cuisses et partent à la recherche de mon anus dans lequel elle plante deux doigts. Je sursaute légèrement, la regarde en souriant et lui dis :

• — Je constate que les jeux ont commencé…

Elle me sourit à nouveau, puis reprend sa fellation tout en branlant mon sexe et mon anus. Rapidement, j’arrive à un niveau d’excitation rarement atteint et lui dis :

• — C’est très bon ce que tu me fais, mais j’ai envie de partager le plaisir.

Elle stoppe sa fellation, s’appuie en arrière sur ses coudes tout en ne lâchant pas mon regard, puis recule vers la tête de lit. Arrivée, elle écarte les jambes puis passe une main sur son sexe et me dit :

• — Et si tu venais me montrer si tu sais vraiment te servir de ta langue ?
• — Voilà quelque chose que tu ne me demanderas pas deux fois !

Je me dirige en rampant vers elle. En fixant son regard, je prends sa culotte sur ses hanches et commence à la faire glisser. Elle soulève ses fesses pour m’aider. Je découvre un sexe parfaitement entretenu et une toison brune aux reflets cuivrés. J’avais deviné cette toison en la caressant dans les toilettes du club, mais j’ai là l’opportunité d’en profiter plus avant.

Une fois débarrassée de sa culotte, elle me dit :

• — Viens lécher ma petite chatte, viens me donner du plaisir !

Tout en la fixant, je commence à embrasser le haut de ses cuisses tout en passant deux doigts sur ces lèvres intimes, puis je vais déposer des baisers sur le haut de son sexe. Pendant ce temps, mes doigts commencent à écarter ses lèvres et à caresser l’intérieur de sa chatte, juste pour l’exciter. Elle rejette sa tête en arrière et je l’entends gémir :

• — Humm, s’il te plaît, ne me fais pas attendre, j’ai envie !

Je plonge donc ma langue dans son sexe et commence à laper ses sucs de bas en haut.

Une fois son sexe bien ouvert par ma langue, je me concentre quelques instants sur son clitoris. Je commence par le lécher doucement puis le prends entre mes lèvres pour le sucer comme une bite.

• — Aaaah, bordel que c’est bon ! continue comme ça !

Je reprends le lapage de la zone en haut de son sexe où se trouve son bouton en insistant avec ma langue. Je prends le haut de ses cuisses en main pour les maintenir écartées. Après quelques instants, je sens qu’elle se tend et ses cuisses se referment sur moi. Elle part dans un gémissement plus fort, indicatif de son orgasme.

• — Aaaah, oui, encore, c’est bon !

Je continue un peu le temps qu’elle redescende, puis je place deux doigts à l’entrée de son sexe et la pénètre. Je les replie légèrement vers l’intérieur puis entame un coulissement de mes doigts dans son sexe. Je continue également de lécher son clitoris. Au bout de quelques instants, je synchronise ma pénétration avec ma langue. À partir de cet instant, elle part dans une série d’orgasmes. Son corps devient une vague qui ondule à chaque montée et descente de son plaisir. Ses gémissements sont continus et suivent son plaisir dans leur modulation et leur intensité.

Au bout d’un nombre non calculé d’orgasmes, elle m’arrête en posant sa main sur ma tête et me dit :

• — Stop, arrête-toi, j’en peux plus ! C’est trop, comment as-tu fait ça ?
• — Je n’y peux rien, c’est toi qui es réceptive…
• — Disons que nous avons une forte compatibilité alors…

Je la laisse cuver un peu en lui caressant la poitrine doucement.

• — Pff, c’est énorme ! J’espère que tu as de la réserve, parce que moi, avec un début comme ça, j’ai envie de recommencer.
• — En ce qui me concerne, je ne suis plus sûr de pouvoir continuer longtemps, mais soit !

Je la rallonge sur le dos et me place entre ces jambes qu’elle écarte avec ses mains. Elle attrape un préservatif sur un chevet et me le tend. Je m’empresse de le passer sur mon sexe. Je présente mon sexe à l’entrée du sien, la regarde dans les yeux puis, vicieusement, remonte pour faire glisser mon sexe sur son bouton.

Après quelques délicieux frottements pendant lesquels elle ferme ses beaux yeux en gémissant, elle me dit :

• — Je t’en prie, arrête de me faire attendre ! Crois-moi, je suis suffisamment excitée pour que tu me prennes !
• — Avec plaisir, ma belle.

Je présente à nouveau mon sexe devant ses lèvres intimes, puis je m’introduis en elle.

• — Hummm, oui ! fait-elle.

Je m’allonge sur elle et commence à faire coulisser mon sexe dans le sien. Je la sens qui s’accroche à mon dos et qui appuie sur mes reins.

• — Vas-y, va bien profond !

Nos pubis se touchent à chaque mouvement et je sens nos sexes parfaitement alignés et en phase.

• — Humm, humm, oui, encore !

Je ne connais pas de plus beaux encouragements, aussi, je continue mon pilonnage de sa chatte. J’en profite même pour prendre un solide appui sur mes coudes autour de ses épaules et accélère mes mouvements.

• — Oui ! vas-y encore ! fait-elle.

D’un coup, son corps se tend entre mes bras, elle lance ses jambes vers le haut et je la vois chercher de l’air en gémissant.

• — Aaaah, hummm, oui !

Elle retombe sur le lit pendant que je ralentis mes mouvements sans pour autant les stopper. Elle rouvre les yeux en me souriant, puis elle remonte à nouveau ces jambes, me permettant d’appuyer pleinement mon pubis sur son ventre.

• — Encore, donne-m’en encore ! me dit-elle.

Cette position me permet de caresser encore plus son bouton par frottement, et je peux constater l’effet que cela lui fait en voyant son visage s’éclairer et son cou s’empourprer.

Je recommence mes mouvements, mais cette fois-ci, je ne sors plus de son sexe et reste collé à son ventre. Grâce à l’excitation de ses précédents orgasmes, elle monte en flèche vers le nirvana.

• — Oh, oh, oui, encore une fois, ça vient !

Cette fois-ci, elle ne retient plus le volume de ces gémissements et je constate avec satisfaction que nous nous approchons des cris.

• — Aaaah, oui, ça y est, encore !

Je la laisse à nouveau revenir à nous. elle me dit :

• — Pfff, c’était énorme ! Merci !
• — Heureux de t’avoir donné cela. C’était un plaisir !
• — Je suis embêtée, tu n’as pas encore joui.
• — Je peux te dire que te voir jouir m’a donné beaucoup de plaisir !
• — Oui, mais moi, je veux te sentir gicler. Je veux voir ton sperme dans cette capote, sur mon ventre ou sur mes seins.
• — Ah, tu as déjà envie de terminer ?
• — Non, idiot ! Je veux te voir jouir aussi…

Et d’un mouvement de hanches, elle me bascule sur le lit. Elle prend mon sexe en main, le regarde puis l’embouche. Après l’avoir goûté, elle me dit :

• — Humm, j’ai beaucoup mouillé, ta queue est pleine de moi !

Ensuite, elle m’enjambe, elle place sa chatte au-dessus de ma bite et se recule sur mon sexe dans un gémissement.

• — Humm, c’est aussi très bon de cette façon…

Je la laisse profiter de ses sensations sans bouger. Juste, je lui caresse la poitrine et le ventre. Mes mains passent également sur ces fesses et en apprécient la rondeur et la texture.

• — Tu es belle, Sandra… très belle dans l’amour !
• — Tu verras qu’il y a plein d’endroits où je suis belle.
• — Tellement hâte de les découvrir !
• — Pas maintenant, là, je vais te baiser, mon chéri.
• — Alors, baise-moi fort !

Elle commence à remuer son bassin d’avant en arrière en prenant appui sur mon torse. Je sens la douce douleur de ses doigts qui s’enfoncent dans ma poitrine.

C’est à mon tour de faire monter le volume de mes gémissements en les calquant sur les siens.

• — Humm, humm, oui, continue, tu m’excites !
• — Tu aimes ce que je te fais ? Moi, j’aime me caresser sur ta bite.
• — Oui, j’adore ça ! j’adore ta chatte !

Je sens mon plaisir qui monte le long de ma tige et tente de le retarder au plus loin. Elle-même doit le sentir, car elle change de position. Elle s’appuie en arrière sur mes jambes et prend appui sur les siennes. J’ai droit à une vue directe sur ses lèvres ruisselantes écartées par ma bite.

Elle commence à monter et à descendre sur mon sexe avec des gémissements de plus en plus forts.

De mon côté, je plaque ma main sur son sexe et commence à caresser son clitoris avec mon pouce. Ce traitement a pour effet de la faire décoller à nouveau vers la jouissance.

• — Ah ah ah oui ! Oui ! C’est bon ! fait-elle en retombant sur ma poitrine.

Me sachant proche du plaisir, elle reprend immédiatement ces mouvements de bassins. Je les accompagne en posant mes mains sur ses fesses pour lui imprimer mon rythme.

Je sens à nouveau mon plaisir monter dans ma verge pour finalement le laisser exploser dans le préservatif. Je sens que je décharge plusieurs giclées de sperme dans la protection dans des grognements gutturaux.

Elle me laisse récupérer en déposant de multiples baisers dans mon cou et sur mon torse.

• — C’était divin, ma belle. Tu es une bête de sexe.
• — Bête de sexe, je ne sais pas, mais le cul c’est génial avec toi !
• — On recommence quand tu veux !
• — Avec plaisir, mais là, je suis sur les genoux. Je vais même zapper la douche, j’ai envie de dormir dans nos sucs. Va prendre une douche si tu veux, mais s’il te plaît, reste avec moi cette nuit !

Je ne réponds pas et la regarde en souriant. Elle se désemboîte de mon sexe en train de revenir à ses dimensions normales, puis elle pose sa tête sur l’oreiller, à côté de mon épaule. Je vais chercher la couette pour la remonter sur elle et m’allonge à ses côtés. La douche attendra aussi pour moi.

Elle pose sa tête sur mon épaule et nous nous endormons presque immédiatement.

À suivre…