n° 20867 | Fiche technique | 15363 caractères | 15363Temps de lecture estimé : 9 mn | 11/04/22 |
Résumé: Nous nous réveillons après cette chaude nuit et recommençons. | ||||
Critères: fh hplusag douche amour intermast facial préservati pénétratio -totalsexe | ||||
Auteur : petitjean (Histoires vraies, augmentées certaines fantasmées) Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
J’ai rencontré une jeune femme très demandeuse de sexe après un concert. Cette rencontre fut si chaude que nous sommes allés faire l’amour dans les toilettes de la salle. Nous sommes ensuite rentrés continuer notre aventure chez elle jusqu’à épuisement.
Purple rain, purple rain
I only wanted to see you
Bathing in the purple rain
Cette musique familière me parvient mais le geste qui habituellement me permet de trouver mon smartphone n’est pas concluant. Normal, la voix de Prince ne vient pas d’à côté de ma tête, mais du pied du lit, et il doit être 7 h. Le bonheur des concerts en semaine, c’est que ça ne change rien au fait de devoir travailler et je n’avais pas prévu d’être en télétravail en plus aujourd’hui.
Sur mon flanc, je sens également la chaleur d’une paire de fesses qui remue. C’est vrai que je n’avais pas non plus prévu de rencontrer cette paire de fesses.
Je récupère mon téléphone dans mon pantalon laissé en boule au pied du lit la nuit dernière. J’en profite pour anticiper la suite en passant rapidement un nouveau préservatif, puis je me colle au dos de la paire de fesses.
Obéissant et consentant, je commence alors de profonds mouvements dans sa chatte.
Je m’accroche à ses seins et j’accélère mes mouvements. Le nez collé dans son cou, j’y dépose une multitude de baisers humides. Elle mouille ses doigts avec sa salive puis elle va plonger l’une de ses mains entre ses cuisses.
Sa main s’active de plus en plus sur son bouton et je sens son excitation qui monte en flèche.
Je sens sa main qui caresse à la fois son bouton d’amour et ma bite qui coulisse dans son sexe brûlant. La sensation est divine. Son jus d’amour coule de son sexe et je décide de joindre les doigts de l’une de mes mains à la sienne sur son clitoris. Sa main se concentre alors sur ma hampe et mes bourses.
Je la pistonne ainsi pendant quelques divins instants et nous sentons le plaisir monter en nous.
Elle nous arrête cependant et se place à quatre pattes. Elle me regarde dans les yeux avec son air à la fois malicieux et vicieux et me dit :
Je me place donc derrière son magnifique cul et je présente mon sexe à l’orée de sa chatte. Elle tourne la tête en souriant et me dit :
N’ayant pas l’habitude de refuser de telles invitations, je la pénètre d’une poussée grandement facilitée par l’humidité abondante et la chaleur torride qui règnent dans sa chatte.
J’entame une nouvelle série de mouvements de pistonnage de son sexe tout en m’accrochant à ses hanches. Ces gémissements montent à nouveau en volume et commencent à ressembler à de forts grognements et cris.
Au comble de l’excitation, elle place à nouveau sa main sur son sexe et ses doigts sur son bouton d’amour. Je sens ses doigts qui viennent à la fois caresser son clitoris et passer sur ma hampe et mes bourses alternativement.
Je tente de caler la montée de mon plaisir sur le sien en écoutant la modulation de ses gémissements
Elle exprime bruyamment son plaisir dans un râle.
Son vagin se met à se contracter autour de mon sexe et accentue encore ma sensation de plaisir.
Je fais encore quelques mouvements et je parviens au paroxysme de mon plaisir en éjaculant ma semence dans son ventre protégé. Je ne peux réprimer moi non plus un fort râle de plaisir. La tête me tourne et j’ai des étoiles dans les yeux.
Elle s’écroule sur le lit avec moi à sa suite. Je fais tout de même attention de ne pas l’écraser de mon poids. Nous tentons de reprendre la maîtrise de notre souffle et de remettre nos esprits à l’endroit.
Je réponds en basculant sur le côté et en savourant le reflux de la vague. Je jette un coup d’œil à mon téléphone et avise l’heure : 7 h 30. Je ne suis pas en avance pour le taf.
Elle attache ses cheveux puis, nue, elle ouvre la porte de la chambre. J’ai l’impression de voir une déesse sortant de sa couche. Je ne peux m’empêcher d’admirer son cul et le galbe de ses fesses.
Elle tourne la tête, me fait un clin d’œil, et d’un signe m’enjoint à la suivre. Je pars à sa suite dans le même état.
Arrivés dans le salon, nous entendons une voix rieuse provenant de sa cuisine ouverte :
Je peux néanmoins la détailler et j’admire une jolie trentenaire auburn d’environ un mètre soixante, aux yeux d’un bleu profond avec une paire de seins mise en valeur par un pull col roulé noir. Les jambes que j’aperçois sous une jupe portefeuille en Skaï noir au-dessus du genou ont l’air tout à fait charmantes. Sandra a une coloc aussi sexy qu’elle.
Sandra prend ma main, m’entraîne vers la salle de bains, puis ajoute à l’attention de Christelle :
Sandra me pousse dans la douche étroite… appartement parisien oblige. Puis, elle fait couler une douche bienfaitrice sur nos corps. Sandra prend une noisette de gel douche dans sa paume puis entreprend de me savonner le corps et les cheveux. J’en fais de même et cela devient l’occasion de caresses sensuelles et excitantes.
Mon sexe ne tarde pas à revenir à une érection conséquente, surtout après le savonnage en règle imposé par Sandra. Soudain, Sandra se tourne contre le mur, se cambre et s’appuie de ses mains. Elle tourne la tête vers moi et me dit :
Et je la pénètre à nouveau. Les mouvements ne sont pas aisés dans l’espace réduit de la douche, mais le plaisir pointe à nouveau son nez et nous recommençons à monter en température.
Au bout de quelques instants, je sens le plaisir monter fort en moi et ma semence affluer dans mon sexe. Je sors du sexe de Sandra. Celle-ci, comprenant la situation, se retourne, se baisse puis me présente ses seins et dit :
Reprenant mon sexe en main, je commence à m’astiquer. Au vu de mon excitation, quelques allers-retours suffisent à me faire atteindre le point de non-retour. Je dirige mon sexe vers sa poitrine et tente de viser le creux de ses seins. La puissance de mon plaisir et de mon éjaculation me fait défaillir, et mes jambes me font partiellement défaut.
Sandra reçoit finalement mon sperme de manière quelque peu désordonnée sur sa poitrine et son cou. Elle ouvre la bouche et sort sa langue pour venir prélever les dernières gouttes de mon plaisir.
Sandra se relève et vient m’embrasser goulûment. Nos bouches se séparent et elle dit :
Nous nous nettoyons à nouveau sans oublier de laisser traîner nos mains sur le corps de l’autre. Mais après tout, l’étroitesse de la cabine de douche nous y oblige également. Je ne me lasse pas de ce corps si réactif aux caresses.
Une fois habillés, moi dans mes affaires d’hier et elle avec un jean mettant parfaitement en valeur son cul et un chemisier agrémenté d’une veste courte, un fin maquillage masquant les traces de la nuit dernière, le tout rehaussé d’un rouge aux lèvres profond, nous partageons le café laissé par Christelle dans la cafetière.
Nous finissons notre café et sortons de son appartement.
Dans la rue, nous nous quittons sur un dernier baiser. Je regarde s’éloigner Sandra en matant sans vergogne son cul et la démarche chaloupée de son corps. J’ai envie de la rattraper pour lui faire l’amour une nouvelle fois, mais la perspective d’apprécier sa compagnie plus tard et de la possible soirée qui suivra m’en dissuade.
À suivre…