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n° 20865Fiche technique47851 caractères47851
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Temps de lecture estimé : 35 mn
10/04/22
Résumé:  Le délire d’une chercheuse très imaginative et de ses copines.
Critères:  fh fhhh fplusag extracon inconnu collègues collection amour fmast fellation cunnilingu fgode préservati pénétratio fdanus fsodo jouet partouze gangbang humour -totalsexe
Auteur : Cormobin            Envoi mini-message
Les joies des objets connectés

Les personnages sont les mêmes que ceux ayant randonné à cheval (20765).

Ce récit peut cependant être lu indépendamment.

C’est Isa qui raconte.

.



Je dirige un laboratoire de recherche dans les objets connectés. J’ai choisi d’orienter les travaux de mon équipe vers les véhicules autonomes. Je me demande si je n’ai pas fait une erreur. Il y a cinq ans, ça paraissait très prometteur, les google cars commençaient à circuler, Musk avait le vent en poupe, et il y avait des projets qui commençaient à prendre de l’ampleur près de mon labo, à Toulouse. Une zone de test était même prévue à Francazal, un aéroport quasi désaffecté dont les infrastructures sont cependant en bon état. Je m’attendais à ce que des verrous technologiques soient levés, et que nos avancées sur les capteurs soient rapidement valorisées. Force est de constater que ça patine un peu. Et le contexte de ce premier semestre 2022 n’est pas très encourageant.


Mon équipe reste motivée, et c’est bien, mais je suis un peu d’humeur morose. Heureusement que ma vie privée va bien, avec Simon, mon mari, toujours amoureux et imaginatif.


L’idée qui m’a conduite à mener des travaux toute seule est venue d’une réflexion entendue lors d’un pot, un des rares qu’on ait pu tenir malgré le contexte COVID. Je ne sais plus qui, un verre à la main, se plaignant du manque de soutien de la recherche, s’est exclamé :



Dans le milieu de la recherche, peuplé de bobos quinquas comme moi, on a cru voir en Manu un mec comme nous, et après un premier quinquennat, avant d’entamer le second, on a surtout vu un mec de droite. À quelques semaines d’un premier tour marqué par le bruit des bottes en Ukraine, on s’interroge sur notre vote, et on rouspète.


Mais dans ma tête, cette phrase « Macron se met la recherche au cul » a commencé à tournoyer dans ma tête, et, je ne saurais l’expliquer, j’ai eu une idée, basique. Dans mes travaux, nous équipons des véhicules tests de toute une gamme de capteurs, de nature variée, et de caméras. On fait tourner tout ça, et on a développé des compétences de haut niveau. Moi, en tant que responsable de l’équipe, au-delà de mon rôle d’animation, j’essaie de me projeter sur ce qui pourrait donner lieu à une commercialisation, gage de financements pérennes. Pour cela, il faut s’appuyer sur des capteurs robustes et, si possible, pas chers.


Comme je n’ai pas froid aux yeux, car ce n’est pas là que ça se passe, j’ai profité des quelques heures où je suis toute seule dans les locaux, pour construire des prototypes d’un nouveau genre. Alors comme ça, Manu se mettrait la recherche au cul ? Et si on le prenait au mot ?


Après notre randonnée équestre réussie avec Simon, Léa et Manon, j’ai pris l’habitude de prendre un pot, de temps en temps, avec les filles. Sans revenir sur nos aventures, disons que les barrières entre nous sont tombées, et qu’on passe un bon moment, entre trois nanas, sans que la différence d’âge soit un obstacle. Ce serait même un avantage. Les filles prennent plaisir à me raconter leurs histoires, et de mon côté, je ne me gêne pas pour leur narrer mes faits et gestes. Histoire de leur montrer que même passé la cinquantaine, la libido et l’imagination, en couple ou presque, l’imagination est toujours au pouvoir, et que les actes savent rejoindre les intentions.


Nous voilà donc attablées en ville, un peu à l’écart pour pouvoir échanger librement. On est vendredi, c’est le seul jour où je peux quitter le boulot pas tard, et j’en profite pour partir en tout début d’après-midi. Même plus besoin de justifier quoi que ce soit, le télétravail a grandement facilité les allées et venues.


Une fois les banalités échangées, et m’être bien assurée qu’elles sont en forme toutes les deux, j’en viens au sujet qui me motive particulièrement ces temps-ci :



Elles ont toutes les deux un petit sourire qui leur vient, et c’est Léa qui réagit le plus vite, comme souvent :



J’ai l’impression que Manon commence à percevoir de quel domaine il pourrait s’agir :



Et à ce moment-là, en prenant bien garde à ce que personne ne puisse voir de quoi il s’agit, je leur montre deux plugs, un bleu, un blanc :



Je reprends la parole :



Les deux filles me regardent avec de grands yeux. Manon commence à rire. Léa, pour une fois, a l’air de ne pas savoir que dire. C’est Manon qui parle la première :



Et avant que j’aie pu commencer à répondre, elle poursuit :



Effectivement, je dois être plus précise :



Je lui donne le plug, elle le prend en main :



Elle le manipule, le frotte :



Et Manon se dirige vers le café, le plug bleu au creux de sa main.



Deux minutes après, Manon revient, un grand sourire aux lèvres. Elle s’assoit :



Léa reste coite, bouche bée. Elle finit par déglutir et reprend la parole :



Et je sors mon smartphone :



Léa commence à s’intéresser :



Et elle me passe son tél., j’y télécharge tout de suite le relais. Et je demande à Léa :



Et elle éclate de rire, tandis que je m’exclame :



Hop, deux installations faites. Léa rit et finit par nous expliquer :



Manon semble songeuse :



Et elle sourit. Alors Léa ne peut pas se retenir :



Je reprends la parole :



Je rouvre l’appli sur mon tél. Il y a les courbes, celles de Manon et les miennes. Tiens, c’est bizarre, sur mes courbes, il y a des variations. Léa les remarque :



Je lève la tête, et je balaie du regard la terrasse, comme je l’ai fait plusieurs fois. Hop, au moment où mon regard se pose sur un homme, à la terrasse, un peu plus loin, une inflexion sur mes courbes :



Une fois les deux filles parties, je regarde à nouveau le mec au bout de la terrasse du café. Un œil sur mon appli. Bingo, les courbes bougent. Mine de rien, j’essaie d’accrocher le regard, car il me semble bien que lui aussi me cherche. La connexion se fait. Une fois, deux fois. Maintenant j’attends. Je lui donne dix minutes max. Et s’il ne bouge pas, je me tire. Top chrono, c’est parti.


Je me replonge dans mes papiers. À 8 min, une silhouette à ma table :



Je lève les yeux. Je regarde l’appli. Je relève les yeux. Je prends ma respiration :



Mince, il fuit :



Il a l’air surpris, il revient. Je poursuis :



Il refait un pas en arrière. Je reprends :



Il finit par esquisser un sourire, et il s’assoit :



Il déglutit. Je continue :



Il opine.



J’appelle le serveur. Je lui fais mon plus beau sourire.



Et j’accentue mon sourire. Le garçon s’adresse à moi :



Il a mis un quart de seconde à comprendre que Marc, c’était lui. Il note le numéro :



Le serveur s’éloigne. « Marc » se jette à l’eau :



Je file aux toilettes, et je reviens aussi vite que possible. Je m’approche de lui, je lui tends la main comme pour la serrer, et hop, je lui glisse ma culotte dans la main. Je lui murmure :



Et je me replonge dans mes documents. Il faut vraiment que je fasse femme d’affaires.


À 14 min, j’aperçois le serveur qui vient vers moi. Il est rouge jusqu’aux oreilles. Il me tend son téléphone : une photo, une adresse, le nom de l’hôtel et le numéro de la chambre, puis une autre photo, un sexe, pour ne pas dire une bite. Je note l’adresse, j’efface le SMS, et je lui rends son téléphone :



Je le plante, bouche bée, je plie mes affaires, et je vais vers l’hôtel. J’allume l’appli. Effectivement, les courbes sont démentes. Alors que je ne sens rien, le capteur humidité est au top, plus haute valeur de la journée, mais on vient juste de démarrer les mesures. Le capteur de pression a des hauts et des bas. Soit c’est pas fiable, soit il se passe des choses dans mon cul. En y réfléchissant, c’est vrai que je me sens un peu toute chose.



Je ne marche pas longtemps, l’hôtel est Place du Capitole. Je traverse le hall, et je me dirige au deuxième étage, chambre 202. La porte est légèrement entrebâillée. J’entre, chambre de luxe, il ne m’a pas emmenée dans un bouge, petit couloir. Il y a toujours un risque dans ces situations, donc j’avance jusque dans la chambre, et « Marc » est sur le lit. Il s’est rhabillé. Pas de piège. Je lui souris, et je lui dis :



Je retourne, et je ferme la porte. J’ai déjà pratiqué ce genre de situation, et si souci, il faut partir vite. Une fois, le mec, un imbécile, avait eu le temps de convier deux potes. Non, mais… J’ai filé de suite. Je reviens dans la chambre. Il sourit.



Il hésite. J’enchaîne :



Il y a plus romantique, c’est clair, mais pour ce genre de petits coups, sans prétention, je préfère baliser à l’avance. J’aime bien aussi diriger.



Je me déshabille, et je m’allonge sur le dos. Marc vient entre mes cuisses, et il me caresse, m’embrasse et commence son œuvre. Pas de quoi se plaindre. Marc est bon amant. Il lèche très correctement. Ses mains, ses doigts se hasardent et viennent tout naturellement toucher le plug, toujours en place :



C’est vrai qu’il sait y faire. L’orgasme arrive, fort. À peine retombé, je me dis que les données seront intéressantes. J’attrape sa tête :



Il bande bien. Il baise bien. Je sens le plaisir remonter. Il faut dire qu’il n’était pas beaucoup descendu. J’écarte et je remonte bien haut les cuisses. J’attrape ses fesses avec mes mains. Il s’enfonce bien :



Nouvel orgasme. À la réflexion, j’ai sans doute été un peu sévère avec lui. Il mérite son orgasme.



Il y va. Je m’accroche aux draps. Il y va un peu fort. Il l’a mérité, après tout. Un peu d’encouragements, et hop, il jouit à son tour. Quelques râles. Je le laisse revenir parmi nous :



Petite toilette rapide. C’est vrai que je suis toute mouillée de la chatte. Le cul aussi, sans doute, j’y touche à peine, je ne veux pas perturber l’expérience scientifique. Je me rhabille. Il est toujours sur le lit, la capote toujours en place.



Il sourit, mais visiblement, il ne sait pas si c’est du lard ou du cochon. Je poursuis :



Alors que je me dirige vers la porte, il réagit :



Je ne sais pas si c’est le bon prix, mais je ne veux surtout pas passer pour une pute. J’y mets un point d’honneur. Et je m’en vais, sans attendre sa réponse ni voir sa réaction.


Sur le chemin du retour, je sors mon tél. et je regarde les courbes. C’est assez impressionnant. Visiblement, il y a un décalage temporaire entre la courbe d’humidité et celle de la pression. Celle de la pression est très significative. Je pense que les pointes et les creux successifs correspondent à mes orgasmes. Si c’est le cas, ce serait un grand progrès scientifique. On verra bien avec le résultat des filles. Je tiens peut-être le sujet d’une bonne publication. Encore que, pour les publications, l’important, c’est le nom des auteurs ou autrices. Le premier auteur est le plus visible, selon le niveau de la revue. Pour cette thématique, je me demande s’il faudra vraiment se faire voir. Peut-être rechercher la valorisation. Il me semble que par rapport à mes publications de recherche habituelles, j’ai un niveau de TRL beaucoup plus haut. Si cela se confirme, on ne serait pas très loin de la finalisation. À voir.


C’est avec toutes ces réflexions que je finis par rentrer chez moi. J’avoue que j’ai davantage la tête aux perspectives qu’aux exercices pratiques proprement dits. Heureusement, Simon, mon mari est déjà là. On est vendredi, soit il a télétravaillé, soit il est rentré plus tôt. Je lui ai fait un petit bisou rapide :



Mon mari s’intéresse souvent à mes travaux de recherche, et quand Léa et Manon sont dans les parages, il en est d’autant plus intéressé.



Je lui prépare un verre, je le lui donne et je m’assois à côté de Simon :



Son œil s’allume. Je commence à lui raconter le pot avec les filles, leurs réactions et je pose une main sur sa cuisse. Quand j’en arrive à leur programme de la soirée, ma main est passée entre ses cuisses, et je caresse son entrejambe en alternant entre sa queue, qui se dresse doucement, et ses couilles, que je devine :



Simon se redresse et ses mains se dirigent vers sa ceinture. Aussitôt, je les arrête avec ma main, stoppant ainsi net les caresses :



Il se rassoit, il aime bien en fait que je prenne les choses en main. C’est ce que je fais d’ailleurs en le câlinant de nouveau.


J’attrape un coussin, et je le pose au pied du canapé, aux pieds de mon mari. Toujours penser à son confort quand on se prépare à une tâche qui demande beaucoup de concentration, ne pas être interrompue par une douleur qu’on peut facilement éviter. Je me mets à genoux, sur le coussin, je pose le menton sur les cuisses de mon mari, et je relève doucement ma jupe. Jusqu’à la taille. Dans notre salon, face au canapé, il y a un grand miroir. Les invités, ou nos amis, trouvent que ça augmente encore les dimensions de la pièce. Mais ce n’est pas pour cela que nous l’avons mis là. Mon mari a une vue imprenable sur mon postérieur :



Simon adore que je lui raconte mes aventures, mes petits coups. J’avoue que j’apprécie sans doute un peu moins quand c’est lui qui me raconte, mais j’aurais tort de me plaindre, vu ma liberté, NOS libertés en la matière.



Je m’attaque à sa ceinture, je descends sa braguette, et je tire sur le tout. Le pantalon et le caleçon sur les chevilles, certes ce n’est pas très esthétique, mais au moins, je peux passer ma bouche et mes doigts partout. Simon apprécie particulièrement que je lui caresse les couilles pendant que je le suce, donc je dois pouvoir y accéder. Et je commence mon récit. Cela prend un certain temps, car je suis une fille bien élevée : je ne parle jamais la bouche pleine ! Et comme Simon est un mec curieux, il me pose des questions :



Tout au long du récit, j’ai senti la queue de Simon durcir dans ma bouche, j’adore. Je profitais de ses questions, et surtout de mes réponses, pour lui caresser les couilles avec la paume de ma main droite, et la pulpe de mes doigts. Je le branlais doucement avec la main gauche. Là, je veux son sperme. Avec ma position à genoux, à ses pieds, on pourrait penser que je suis soumise. Pas du tout, je dirige tout. J’adore. Je prends le gland entre mes lèvres, je suce, j’aspire, je le branle un peu plus fort en même temps, à peine plus vite que tout à l’heure.


Nous nous accordons bien. Au début de notre relation, j’accélérais, mais il m’a dit que pour lui, le meilleur, c’était un rythme régulier. Quand il devient plus raide, c’est que c’est bon, et l’orgasme arrivera. Je retiens bien les leçons, et je mets en application. Comme pour mes travaux de recherche.


Comme j’ai trouvé le bon rythme, ma tête s’évade un peu. Je me demande ce que va mesurer le plug, pendant que je suce. Sa queue se raidit encore. Il ne va pas tarder. Je me concentre sur ce que je fais. Je ne veux rien rater. Je mets ma main droite sur ses couilles, dessous, j’ai presque l’impression de sentir passer le sperme. Ça y est, sur mon palais, je déguste. On n’avait pas fait l’amour depuis quelques jours, enfin, surtout lui, donc l’éjaculation est abondante, comme j’aime. Je n’en rate pas une goutte. Ah si, quand je le lâche et que je lui souris, je sens une goutte perler sur ma lèvre inférieure. Je la rattrape du doigt, et je le suce :



Je regarde mon tél.



Mon chéri a toujours du mal à réfléchir après une bonne pipe.



Simon fait une drôle de tête. Je poursuis :



Un peu plus tard, en fin d’après-midi, alors qu’on chille sur le canapé, un léger ding sur mon téléphone. Simon, tout de suite, réagit, alors que je reste plutôt sur mon excellent polar :



Un coup d’œil :



Je me replonge dans la lecture, et heureusement, le match commence. Du coup, on ne voit pas le temps passer. Surtout que le tél. reste muet.


À 20 h, le téléphone sonne. C’est Léa :



Je rejoins Simon, je lui fais signe, et il vient avec moi, silencieux. Je mets le haut-parleur, et je lance l’appli :



Sur l’appli, c’est très clair. Les courbes de l’un sont très différentes de l’autre. Reste à confronter à la réalité.



Nous dînons puis nous devisons légèrement. Arrive 20 h 30, une notif, puis une seconde, sur mon téléphone. La première vient de l’appli, c’est le plug de Manon qui vient d’être placé à 37° environ, et la seconde, un message court de Manon : je suis « équipée » (avec un smiley), je pars à la soirée. Je préviens Simon. Son œil s’illumine :



C’est vrai que sur l’ordi, l’écran est plus grand, et on va pouvoir mieux suivre, s’il y a effectivement quelque chose à suivre. Je pourrais laisser ma pensée errer vers Archimède, Isaac Newton, et quelques autres grands inventeurs, dans leurs premières expériences, quand Simon me ramène à la stricte réalité d’un homme, mon homme :



Ce n’est pas Eureka, mais bon…. Il poursuit :



C’est vrai que c’est plus scientifique, mais ce n’est pas ce qui me vient immédiatement à l’esprit. Mais ça peut être marrant, donc je lui réponds :



J’aime bien quand il s’occupe de moi. Il est presque plus doux et plus précautionneux que moi, dans ces moments-là. Le voilà donc en train de porter le plug à sa bouche, pour le lubrifier. Je me lève, j’enlève le bas, et je me penche en avant, appuyée sur le bureau. J’écarte les jambes, donc les fesses et je sens la pointe du plug contre mon anus. À un moment, je lui disais « doucement », mais je sais que ce n’est plus la peine. Il appuie sans doute un peu, et je sens l’objet entrer :



J’aime bien être pluggée, un peu possédée, je me sens bien. J’ai un peu peur d’avoir froid, donc je mets un peignoir. Je m’assois devant l’ordi, le plug s’enfonce un peu, je le sens, mais je sais que je vais l’oublier bientôt. J’affiche les deux courbes à l’écran. Quatre paramètres, deux chacune, les courbes sont à peu près plates. Je commence à comprendre que les valeurs elles-mêmes ne sont pas très significatives, et que seules les évolutions sont intéressantes. Pour l’instant. Avec plus de données, il y a moyen d’affiner les profils.


J’envoie un message à Manon :


On te suit, tu nous appelleras plus tard, quand tu pourras, pour nous raconter.


Elle répond presque aussitôt avec un simple pouce.


Nous vaquons à nos occupations, en gardant un œil sur l’ordi. De temps en temps, Simon passe sa main sur moi, un sein, ou bien il se glisse dans le peignoir, pour appuyer sur le plug, caresser mes fesses ou ma chatte. Je le repousse en riant :



À son œil, je vois bien qu’il ne me croit pas, donc je le rassure :



Tout à coup, les courbes de Manon bougent sur l’écran, j’appelle Simon :



Nous nous asseyons tous les deux. Et c’est vrai qu’il se passe des choses, ça monte ou ça descend, plus ou moins vite. Au bout de quelques minutes, Simon pointe son doigt sur l’écran :



Insensiblement, j’ai avancé mes fesses sur la chaise, et j’ai étendu mes jambes. À l’écran, les courbes de Manon bougent. Sa courbe de pression descend, descend, puis tout d’un coup, monte très haut, puis redescend, puis remonte, et cette séquence se reproduit avec une intensité décroissante :



Je regarde ma courbe. Visiblement, « ma » pression a baissé et « mon » humidité a augmenté. Comme Manon avant son orgasme.



Alors que les courbes de Manon semblaient s’être « calmées », elles évoluent de nouveau :



Et je commence à me titiller le clito. Mes courbes. Comme celles de Manon.



J’explose sous mes doigts, humidité au top, les spasmes sur l’écran, presque synchrones avec ceux de Manon. Je ne perds pas le Nord :



Je redescends, comme Manon. Pour Manon, ça repart.



Et effectivement, très vite, les mêmes courbes à l’écran. Manon a joui. Moi aussi. Ma main est trempée. C’est confirmé par mes courbes. Humidité au top, pression au plus bas.



Simon ne répond pas. Un court instant se passe. Une idée me vient :



Simon est un peu long à la détente :



Visiblement, non !



Oui, ça a l’air clair. Je me lève. Je me mets à quatre pattes sur la moquette :



Il se lève à son tour, se déshabille. Je le regarde, il bande, c’est bien. Je l’encourage, il enlève le plug et se place derrière moi :



Je sens sa queue se présenter contre mon cul. Je la sens entrer doucement, doucement, mais fermement :



Simon est tout à son œuvre. Il ne faut pas que je le perturbe, avec mes réflexions intellectuelles. D’ailleurs, sa queue me fait du bien.



Hum, c’est bon. Je passe ma main entre mes cuisses pour me toucher un peu le clito, et aussi pour lui caresser les couilles. Je le sens bien. Je relève la tête. Tiens, les courbes de Manon ont repris. À la louche, même si je suis un peu plus loin de l’écran, j’ai l’impression que les valeurs sont très différentes de tout à l’heure. Simon continue à bien me limer le cul, j’adore. Le téléphone sonne, je l’avais posé par terre, je regarde l’écran :



Je décroche :



Discuter avec Manon pendant que Simon me sodomise, ça m’excite :



J’halète. Manon doit l’entendre.



À sa voie, je la sens inquiète. Je ris un peu :



Je l’entends sourire. Elle se doute de quelque chose.



Simon hausse la voix :



Et je raccroche :



Et Simon me prend un peu plus fort par les hanches et accélère son rythme :



Et je le sens exploser dans mon cul. J’adore le sentir jouir. Je le sens plus ou moins bien, ça dépend, sans doute de moi, mais que ce soit dans ma chatte, mon cul, ou ma bouche, j’adore.


Une demi-heure plus tard, après la douche, nous sommes calmés, repus, détendus. Le portable d’Isa sonne :



Et je poursuis :



Je raccroche et je me tourne vers Simon.