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Temps de lecture estimé : 9 mn
12/04/22
Résumé:  Dans l’attente d’un dîner, nous nous excitons mutuellement au bureau.
Critères:  f fh fhh hplusag candaul vacances magasin essayage travail amour cérébral voir fellation anulingus fsodo
Auteur : petitjean  (Histoires vraies, augmentées certaines fantasmées)      Envoi mini-message

Série : Rencontre musicale

Chapitre 04
Excitation par messagerie

Résumé des épisodes précédents :

J’ai rencontré une jeune femme très demandeuse de sexe après un concert. Cette rencontre fut si chaude que nous sommes allés faire l’amour dans les toilettes de la salle. Nous sommes ensuite rentrés continuer notre aventure chez elle jusqu’à épuisement. Le lendemain matin, insatiables, nous recommençons. Finalement, nous nous quittons sur la promesse d’un dîner.









Je passe rapidement chez moi pour me changer et récupérer mon ordinateur, et file au bureau. Heureusement, il semblerait que Sandra et moi apprécions l’Est parisien.


Dans le métro, je ne peux m’empêcher d’afficher un sourire satisfait. Décidément, j’ai bien fait d’aller à ce concert en semaine. Je consulte mes messages. Mes amis musiciens me demandent malicieusement si la fin de soirée s’est bien passée. Je leur réponds qu’elle fut au-delà de mes espérances.


La matinée se déroule sans que je la voie passer entre workshops et calls et j’enchaîne avec un déjeuner entre collègues.

De retour au bureau, je m’apprête à travailler sur un projet en autonomie quand je reçois un message de Sandra accompagné d’une photo de sa main posée sur le haut de sa cuisse.



Je sens ma température interne faire un bond vers le haut.



Le tout accompagné d’une autre photo de la même main, mais cette fois-ci, plongée dans son jean ouvert.

Je fais moi aussi une photo de ma main plongée dans mon pantalon, nouée autour de mon sexe, et la lui envoie.



Je file aux toilettes. Décidément, notre rencontre tourne autour de ce lieu. Je rentre dans une cabine et baisse mon pantalon et boxer.

Je prends ma bite en main et de l’autre prends une dick-pic.



Le message de Sandra est accompagné d’une photo de chemisier ouvert sur sa poitrine et sa main plongée dans son soutien-gorge.



La réponse est accompagnée d’une photo de deux de ses doigts écartant le haut de son sexe pour faire jaillir son clitoris. Sandra m’envoie un nouveau message.



Je me mets alors à imaginer une situation à toute vitesse, mais comme je ne connais Sandra que depuis la veille, j’ignore encore beaucoup de ses ressorts érotiques. Aussi je lui demande :



Quelques instants s’écoulent avant que je ne reçoive :



Je réfléchis quelques instants puis me lance.


Nous sommes en vacances dans une quelconque station balnéaire. Nous sommes arrivés depuis quelques jours et nos multiples séances de sexe et de soleil nous ont mis en pleine forme. Tu resplendis dans tes robes légères d’été et irradies l’atmosphère. Les gens que nous croisons le sentent immédiatement. Les hommes te désirent, les femmes alternativement te jalousent, t’envient et te désirent. Je suis fier et n’aime rien de moins que montrer ta beauté solaire.



Nous marchons dans la ville sans but particulier, en sortant de la plage, en fin d’après-midi. Au détour d’une ruelle, tu avises une boutique qui vend divers objets et vêtements vintages.


  • — Entrons, me dis-tu.

Nous entrons dans la boutique, saluons les trois vendeurs et flânons entre les rayons chargés d’objets hétéroclites.


  • — J’ai envie d’essayer des fringues. Tu viens avec moi ?
  • — Pars devant, je vais regarder si je trouve quelques objets intéressants.

Tu rejoins une deuxième salle de la boutique réservée aux vêtements. Elle est isolée de la première par un rideau épais. L’un des vendeurs s’approche de moi afin de me proposer son aide. Nous entamons une discussion autour du mobilier vintage. Je n’ai pas vu que les deux autres vendeurs ont rejoint l’autre salle à ta suite.

Pendant ce temps-là, tu fouines et farfouilles dans les bacs de vêtements à la recherche de la perle rare. Tu repères une robe bleue longue et ouverte sur le devant et l’un des vendeurs s’approche de toi en t’en proposant une autre orange, plus courte avec un dos nu.


  • — Je pense que cette robe vous irait à ravir, madame.
  • — Très jolie, en effet ! Où puis-je les essayer ?
  • — Il y a des cabines au fond de la pièce. Je vous y accompagne.
  • — Merci !

Et vous partez vers les cabines, suivis de près par le deuxième vendeur.



Tu accompagnes ton commentaire d’un gros plan sur ton sexe et d’un portrait de toi avec les doigts fichés dans ta bouche.

Je continue mon histoire :


Avant de rentrer dans ta cabine d’essayage, tu te retournes vers les deux vendeurs pour les détailler. Tu as devant toi deux jeunes hommes, la peau tannée par le soleil et leurs muscles saillants sous leur tee-shirt. Tu sens que l’un et l’autre te désirent. Cela provoque une montée d’excitation et une vague de chaleur née dans ton ventre. Jusqu’à maintenant, tu n’avais jamais eu cette sensation depuis que nous sommes ensemble. Mais le soleil, les vacances, la mer, nos séances torrides de sexe ont mis tes sens en alerte permanente. Tu les regardes dans les yeux, tu passes ta langue sur tes lèvres et tu entres dans la cabine. Tu enlèves ta robe et tu passes la bleue. Tu te regardes dans le miroir en laissant la robe ouverte sur ta culotte et tes seins libres. Tu ne peux t’empêcher de passer tes mains sur tes seins, puis sur ton ventre. Tu pousses un léger gémissement.


  • — Ça va, madame ? demande l’un des vendeurs
  • — Oui, très bien ! réponds-tu en boutonnant la robe bleue. Pouvez-vous me dire ce que vous en pensez ?

Le vendeur ouvre le rideau de la cabine et t’admire.


  • — Cette robe vous va très bien madame, mais si je puis me permettre, vous l’avez boutonnée trop haut.

Tu déboutonnes trois boutons, ouvrant largement la robe sur ta poitrine libre.


  • — C’est mieux ainsi ? demandes-tu.

Déglutissant, le vendeur répond :


  • — Oui, c’est parfait. Néanmoins, je pense que l’autre vous irait encore mieux.

De mon côté, je suis toujours occupé par le troisième vendeur, nous devisons autour des différentes tables, mais je sens bien qu’il cherche à me retenir.



Tu accompagnes ce message d’une photo en contre-plongée de toi en train de te branler.


Tu regardes alternativement les vendeurs et la robe orange.


  • — Oui, je crois que je vais la passer, dis-tu.

Et tu commences à déboutonner complètement la robe bleue. Puis tu la retires. Te voilà face aux vendeurs qui n’imaginaient pas avoir cette chance, juste vêtue de ta culotte – on y devine une petite tâche d’humidité –, puis tu te tournes pour passer la robe orange. Une fois celle-ci passée, tu t’ajustes dans le miroir. L’un des vendeurs s’approche en disant :


  • — Si je puis me permettre de vous aider. La robe est un peu particulière. Peut-être faudra-t-il la reprendre au niveau des hanches.

Il pose sa main sur tes hanches et pince le tissu pour réduire la robe.



Une photo de trois doigts plongés dans ta chatte accompagne le message.


Le vendeur vient coller son bas-ventre contre ton postérieur.


  • — Cette robe vous va à ravir. Vous êtes très désirable dans ce vêtement.
  • — Ah oui, merci beaucoup. Mais comment en être sûre ? lui réponds-tu.
  • — Mon collègue peut vous montrer si vous le souhaitez…
  • — Oui, je ne voudrais pas faire d’erreurs.

Puis en te tournant légèrement avec le vendeur collé à tes fesses, tu avances ta main vers le second vendeur. Celui-ci s’approche. Tu baisses son short et son sous-vêtement pour faire apparaître une bite de bonne facture déjà en érection. Tu te penches et engloutis le membre. Tu commences une lente fellation pour prendre possession de cette bite inconnue.



Je continue mon récit :


Tout à son bonheur, le vendeur prend ta tête entre ses mains afin de te faire comprendre le rythme qui lui convient.


  • — Oh oui, madame, vous sucez trop bien !

Pendant ce temps-là, le premier vendeur a relevé ta robe sur ton dos et a baissé ta culotte. Consentante, tu l’aides à la retirer complètement en levant une jambe et puis l’autre. Il remonte légèrement puis plonge son visage entre tes fesses pour lécher ton abricot et ton petit trou. Tes gémissements étouffés par le sexe que tu as en bouche lui confirment la validité de son idée. Il ouvre ta chatte avec sa langue puis utilise deux de ses doigts pour caresser ton clitoris.

Tes gémissements se font plus fort et emplissent maintenant la cabine.



Les caresses et les léchouilles du vendeur te font parvenir à un orgasme rapide et intense. Tes jambes se dérobent et tu es soutenue par les deux vendeurs. Cherchant à respirer, ta bouche lâche la bite du second vendeur. Dépité, celui-ci se prend en main et commence une masturbation devant ton visage. Comprenant où il veut en venir, tu sors ta langue. Au bout de quelques allers-retours, il éjacule sur ta langue, mais peu précis, il arrose également ton menton et ton nez.

De son côté, voyant que tu as repris pied, le premier vendeur baisse à son tour son short et sort un sexe large et en pleine érection. Tout à son excitation, il pénètre ton anus (peut-être involontairement), heureusement abondement humidifié par le traitement de sa langue. Cette intromission non explicitement consentie t’arrache un cri de douleur et tu tournes la tête vers lui.


  • — On demande avant de faire cela jeune homme. Tu as de la chance que je sois très excitée, viens maintenant !

Le vendeur baisse les yeux puis entame des va-et-vient dans ton fondement.



Une nouvelle photo de sa chatte branlée par sa main accompagne le commentaire.



Tu t’appuies sur le deuxième vendeur pour ne pas perdre l’équilibre sous les coups de boutoirs de ton enculeur. Le premier vendeur en profite pour placer sa main sur ta chatte et commence à te masturber.

Pour ma part, j’ai atteint la deuxième salle et je commence à percevoir les bruits de votre fornication.

Tes amants comprennent qu’ils doivent se synchroniser pour te faire à nouveau atteindre le septième ciel. Ils accélèrent donc de concert leurs pénétrations et caresses.

Ouvrant les yeux, tu me vois au fond de la salle. J’admire le tableau devant moi. Tu me souris puis retournes à ton plaisir. Ton orgasme transperce finalement ton ventre et tu jouis dans un concert de gémissements rauques.

Ton enculeur sort son sexe et se masturbe jusqu’à l’éjaculation sur ton dos, souillant la robe de sa semence.



Tu reprends ton souffle, te relève. Puis dignement, tu enlèves la robe et essuies ton visage avec, puis la tends au second vendeur en lui disant :


  • — Je les prends, mais je crois que celle-ci à une tâche.

Le tout sous mes applaudissements.


  • — Les robes vous sont offertes, madame.
  • — C’est bien le minimum ! lui rétorques-tu dans un sourire.

Tu enfiles ta robe d’été puis tu me rejoins pour m’embrasser.


  • — On rentre chéri, j’ai faim et j’ai envie de toi !
  • — Dans quel ordre ?
  • — Manger puis baiser.

Et nous sortons de la boutique avec un sac contenant tes nouvelles robes.



J’ai mal au sexe d’avoir raconté cette histoire, mais je me suis mis très en retard dans mon job, donc, je retourne à mon bureau.

J’attends avec impatience cette soirée qui promet d’être particulièrement chaude.



À suivre…