n° 20879 | Fiche technique | 20690 caractères | 20690Temps de lecture estimé : 12 mn | 18/04/22 |
Résumé: Julien a rendez-vous avec une consœur pour un dîner en ville. | ||||
Critères: fh cadeau collègues hotel lingerie fmast fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo -rencontre | ||||
Auteur : Conteurreveur (Gentleman séducteur) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Trilogie Bordelaise Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Résumé de l’épisode précédent :
Julien se rend très régulièrement à Bordeaux pour son travail. Après un covoiturage très hot et un massage torride à l’hôtel, Julien vit de nouvelles aventures à Bordeaux.
Sandrine est comme moi… toujours élégante, le sourire, le punch pour aller prêcher la bonne parole sur nos produits financiers en France et en Navarre. Nous nous sommes rencontrés lors d’une soirée organisée par une grande banque et le contact est tout de suite bien passé. J’ai eu l’impression de me voir dans un miroir tant nos vies semblaient parallèles. Souvent entre deux déplacements, petite valise à roulettes, costume/tailleur tiré à quatre épingles, hôtels préférés… Partageant nos sentiments de solitude le soir, nous avons essayé de caler, avec plus ou moins de succès, nos déplacements pour nous organiser des dîners sympas et égayer notre quotidien. De confrères, nous sommes devenus amis proches, puis confidents.
Sandrine est une très jolie femme qui vient d’avoir quarante ans. Elle ressemble beaucoup à Cameron Diaz, coupe carrée blonde, des yeux bleu clair pleins de malice, un large sourire lorsqu’elle laisse exprimer sa joie. Bref, elle a tout pour plaire – elle me plaît et je lui plais aussi, elle me l’a dit – mais là, le moral est un peu en berne. Elle a très longtemps attendu après un premier amour qui lui a fait perdre dix ans de sa vie et ce cap des quarante ans la rend un peu triste. Côté sentimental, c’est encéphalogramme plat depuis un moment. Je veux marquer le coup pour son anniversaire et me propose d’être son chevalier servant pour la soirée. Je l’appelle.
Peu avant 19 heures, je me présente à la porte de la chambre de Sandrine. Elle vient m’ouvrir avec un grand sourire, tout en ayant le téléphone collé sur son oreille. Elle semble en discussion sérieuse avec Marc, son boss, et me fait signe que je peux disposer de la salle de bain à ma convenance. En me déshabillant, je l’entends parler de l’autre côté de la porte et, visiblement, il a l’air bien casse-pied, le Marc en question. Je file sous le jet d’eau et me détends immédiatement en laissant divaguer mes idées sur la suite de la soirée. Même si nous ne sommes pas faits l’un pour l’autre, je sais que Sandrine m’apprécie beaucoup physiquement. J’ai envie de tenter un truc très osé : m’offrir à Sandrine pour son anniversaire. Rien que d’y penser, cela m’excite déjà un peu.
Propre comme un sou neuf, je sors de la douche et noue une serviette sur mes hanches. Je joue mon va-tout et sors de la salle de bain.
Sandrine vient de lever les yeux et de m’apercevoir en serviette. Sa bouche forme un rictus de surprise et ses yeux semblent m’interroger. Puis son regard s’adoucit et me couve avec convoitise. Je lui renvoie un sourire et exagérant le jeu un peu, je prends la pose en m’appuyant sur le meuble de la chambre face à elle pour attendre la fin de son coup de fil. Je sens qu’elle n’est pas insensible, car ses yeux ne me quittent pas un instant et elle a du mal à reprendre le fil de sa conversation.
Sandrine a raccroché prestement et je me suis rapproché d’elle.
Je suis totalement nu face à Sandrine, le sexe déjà au garde-à-vous, et je la regarde dans les yeux. Elle s’approche de moi et sa main gauche vient s’enrouler autour de ma nuque pour m’amener à goûter ses lèvres. Son autre main est venue se poser sur mon pectoral gauche et durant notre baiser, descend rapidement pour caresser mes testicules et saisir mon sexe. Nos langues se mêlent avec passion et Sandrine me masturbe avec un bon rythme pour s’assurer de ma rigidité. Je descends mes mains le long de son corps pour venir caresser ses fesses au travers de sa jupe, mais Sandrine ne me laisse que peu d’initiative et me repousse presque brutalement sur le lit derrière moi. Je perds l’équilibre et me retrouve allongé sur le lit, je me redresse sur mes coudes pour l’observer. Sandrine me toise avec concupiscence et semble vouloir exagérer un peu le jeu aussi. Elle entame un sensuel mouvement pour déposer sa veste, puis retirer son haut moulant. Dans la foulée, elle fait descendre avec grâce sa jupe à ses pieds. Sandrine ne porte plus qu’un très bel ensemble de lingerie en dentelle bleu marine, string et bas autofixants de la même couleur. Un régal.
En terminant sa phrase, Sandrine vient sur moi à quatre pattes et m’embrasse fougueusement, puis ses baisers descendent sur mon cou, mes pectoraux, mes abdominaux et atteignent enfin mon sexe tendu de désir. Elle commence à l’embrasser et couvre de baisers chacune de ses parties puis tout en me jetant un regard de braise, passe sa langue de bas en haut avec beaucoup d’application. Elle recommence l’opération deux ou trois fois et, me regardant à nouveau dans les yeux, elle gobe littéralement mon gland et me prend profondément en bouche. Son rythme s’accélère, sa langue tournoie follement sur mon gland puis sur ma tige, puis sur des testicules. Sandrine apparaît comme une enfant excitée par un nouveau jouet qui a du mal à réfréner son envie de le manipuler dans tous les sens. Surtout, j’ai le sentiment qu’elle cherche à rendre le plus dur possible, comme si elle avait peur que je m’échappe dans un songe.
Sandrine attrape la boîte Durex, prend un sachet et me déroule avec beaucoup d’application le capuchon de latex sur mon pénis. À peine terminé, elle retire son string et à califourchon sur mes hanches vient frotter ses grandes lèvres sur son sexe. Elle va et vient comme cela plusieurs fois, et je sens bien qu’elle coulisse sans effort tant elle mouille sur moi. Elle plaque une main sur mon torse, me regarde avec autorité, et son autre main saisit mon sexe pour le guider à l’entrée de son vagin. Sur un coup de reins franc, elle vient me caler au plus profond d’elle. Son regard semble ailleurs désormais, ses deux mains sont sur mon torse et elle commence de souples va-et-vient sur ma queue. Je la regarde prendre son plaisir qui semble monter très vite. Sandrine accélère rapidement la cadence pour venir s’empaler le plus loin possible tout en inclinant son bassin et venir frotter sur mon pubis ave son clito. Elle transpire, souffle et désormais se déchaîne sur moi comme un volcan trop longtemps endormi et qui ne demande qu’à exploser.
Je suis spectateur de sa cavalcade, plutôt passif, je ne veux pas par une quelconque initiative ralentir ou gêner la montée de son orgasme. J’ai un peu l’impression d’être un « toy boy », mais j’avoue que cela est assez intéressant comme expérience. D’ailleurs, c’est beau de voir Sandrine se démener, les yeux partis ailleurs, les hanches aller et venir bestialement. C’est elle qui me baise, cela ne souffre aucune contestation. Elle me regarde à nouveau, plante ses ongles dans mes pectoraux et dans un dernier coup de reins laisse exploser son orgasme. Elle est prise de frisson, semble électrisée et vient s’affaler sur moi. Nous nous embrassons tendrement.
Elle se dégage de moi et s’aperçoit que je n’ai pas joui dans le préservatif et que j’ai toujours le sexe au garde-à-vous.
Sandrine se saisit de mon sexe et retire délicatement le préservatif. Puis elle entame de nouveau un va-et-vient. Elle vient m’embrasser quelques instants, puis sans préambule quitte ma bouche pour venir engloutir mon gland. Elle me branle très rapidement et me lance des regards brûlants, sa bouche ou sa langue ne s’occupant que de mon gland. Je suis crispé, car, autant tout à l’heure elle était tout à son plaisir, autant là elle est tout à mon plaisir. Je ne la quitte pas des yeux et c’est bon de voir qu’elle met autant d’énergie pour me faire exploser qu’elle en a mis pour son propre orgasme. Le point de non-retour est atteint et dans un râle, je préviens Sandrine que je vais venir. Elle redouble de vitesse dans sa masturbation et les yeux dans les yeux, me fait exploser au fond de sa gorge. Moi aussi j’en avais envie depuis un moment et je libère une bonne dose de sperme. Sandrine ne bronche pas et finit tranquillement de me délester jusqu’à la dernière goutte, puis elle déglutit vaillamment pour ne pas y paraître. Finalement, c’est pas mal aussi le rôle de « Toy Boy ».
Le dîner est toujours très sympa avec Sandrine. On parle de tout et de rien, on ne se juge pas, ou plutôt on a toujours un commentaire bienveillant et positif envers l’autre. La viande est toujours parfaite à la Brasserie et la bouteille de Mouton Cadet qui l’accompagne descend bien vite. J’avais peur de casser quelque chose entre nous si nous couchions ensemble, mais bien au contraire nous avons encore plus de complicité et d’estime pour l’autre. Sandrine est radieuse, détendue. Si mon seul objectif était de chasser ce spleen des quarante ans, il est atteint pour ce soir.
Arrivés dans le hall de l’hôtel, Sandrine me prend la main et m’entraîne directement vers les ascenseurs sans passer par le bar. Je me laisse conduire sans broncher. Une fois les portes refermées sur nous, elle vient immédiatement chercher ma bouche et pose une main sur ma braguette.
Nous nous échappons de l’ascenseur et nous engouffrons dans sa chambre comme deux gamins tout excités. Ce coup-ci, c’est moi qui pousse Sandrine sur le lit et je compte bien lui montrer que je sais aussi me servir de mes doigts et de ma langue. Je remonte sa jupe en bouchon au-dessus de sa taille et dans la foulée je baisse son string. Je peux enfin admirer son pubis joliment taillé en triangle et ses grandes lèvres qui déjà laissent présager de leur humidité. Vorace, je positionne les pieds de Sandrine sur mes épaules et viens coller ma bouche sur sa fente. Sandrine lâche immédiatement un soupir de plaisir. Ma langue commence à fouiller ses grandes lèvres puis s’attaque à ses petites lèvres luisantes d’excitation. Je viens aspirer son clitoris qui se dresse et réagit à chaque passage. Sandrine essaie dans le même temps de me débarrasser de ma veste et ma chemise, mais elle galère. Je me redresse un instant et ôte cette barrière rapidement puis je replonge sur sa fente que je lèche de bas en haut en descendant toujours plus loin. Je pousse sur ses cuisses pour l’obliger à relever son bassin et me dévoiler son anneau plissé. Je suis chauffé à blanc et je viens jouer avec ma langue sur sa corolle. Sandrine souffle très fort et m’encourage avec des mots très directs.
Je ne me fais pas prier et j’insiste avec ma langue sur son anus et rentre deux doigts dans sa fente. Je la doigte énergiquement, Sandrine agrippe mes cheveux, et d’un coup s’arque dans un puissant orgasme.
Je laisse Sandrine atterrir tranquillement en lui faisant des petits baisers sur les cuisses, son bassin, son cou, car elle n’a pas encore enlevé le haut de ses vêtements et je ne veux pas les tacher avec la cyprine qui recouvre mon menton, ma bouche, mon nez. Sandrine n’y prête que peu d’attention et vient m’embrasser à pleine bouche. Je me redresse, nous finissons de nous déshabiller et je viens enfiler un préservatif. Sandrine m’attend nue sur le lit. Je viens sur elle et la pénètre facilement d’une seule poussée jusqu’à la garde tant son sexe est ouvert et accueillant. Collé contre elle, nos bouches soudées, je vais et je viens en elle avec de longs et amples mouvements. Je vois renaître le plaisir dans ses yeux et cela m’encourage à prendre plus d’initiatives. J’attrape ses jambes pour caler ses mollets sur mes épaules. Ainsi offerte, la pénétration est très profonde et je perds en délicatesse pour monter en puissance et pénétrer sauvagement Sandrine, lui arrachant un petit cri à chacune de mes poussées. Mon bassin claque sur ses fesses, sa bouche est déformée par le plaisir. Je me sens fort, j’ai envie de la défoncer, mais je sens que mon plaisir monte vite, un peu trop vite.
Nous roulons sur le lit et comme trois heures plus tôt, Sandrine commence une longue cavalcade sur mon sexe. Elle est plus en maîtrise que précédemment, probablement moins submergée par un plaisir incontrôlable trop longtemps réfréné. On se regarde, on se sourit, on est en phase. Elle ne me baise pas comme tout à l’heure. On fait l’amour, ensemble. Et c’est bon, le plaisir est là et remonte vite aussi. Je décide de jouer un peu et caresse ses fesses, je glisse un doigt fureteur le long de sa raie et le pose sur son anus. Il est encore humide de mes caresses buccales et de son excitation. J’insiste, je titille, je pénètre son fondement d’abord doucement puis au même rythme que Sandrine s’empale sur mon sexe. Elle me regarde avec un sourire coquin.
Sandrine me libère de son étreinte et je passe derrière elle. J’admire ses belles fesses, encore fermes, et sa chute de reins parfaite. Je salive sur son œillet et masse délicatement avec mon pouce pour l’assouplir encore plus. Puis je présente mon gland à l’entrée de son fondement. La pénétration est moins aisée et je prends mon temps. Je laisse aussi le temps à Sandrine de s’habituer à ma largeur. Elle souffle, ahane, mais m’encourage à poursuivre. Sandrine a glissé une main sous elle et caresse son clitoris. Je commence de petits va-et-vient et Sandrine se détend et s’habitue au fur et à mesure. Je resalive à nouveau pour lubrifier mon bâton de chair et j’amplifie mes mouvements en m’agrippant aux hanches de Sandrine. Elle prend son pied et comme pour l’anulingus m’encourage encore avec des mots très directs.
Ces paroles sont telle une mèche de dynamite dans mon cerveau et excité par le contexte et l’ensemble de la soirée, je perds toute réserve. De nouveau, je me sens fort et de nouveau j’ai envie de la défoncer. Je tiens fermement ses hanches et j’accélère franchement. Sandrine se caresse frénétiquement et s’agite sous moi. Elle tremble, se contorsionne et pousse un râle de jouissance presque guttural. C’en est trop pour moi, je sors de son anus, retire mon préservatif et me masturbe pour jouir sur le dos et les fesses de Sandrine. Moins abondant que tout à l’heure, mon sperme zèbre le dos de Sandrine jusqu’aux omoplates et les dernières gouttes glissent de ses fesses au creux de ses reins. Je me penche sur elle pour venir l’embrasser.
Pfff, définitivement Bordeaux, c’est chaud…