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L’hôtel Spa du Médoc

Résumé de l’épisode précédent :

Julien se rend très régulièrement à Bordeaux pour son travail. Après avoir compris les codes de cette belle ville, il profite au maximum de ses charmes, notamment d’un covoiturage très hot. Quelques semaines plus tard, place à un repos bien mérité à l’hôtel…

18 h, ça y est, le dernier rendez-vous est bouclé, si je ne traîne pas trop, je serai pile à l’heure pour un soin modelage réservé au centre Spa de l’hôtel.

J’aime beaucoup cet hôtel dans le Médoc. Certes, il est un peu éloigné du centre-ville, mais j’y ai pris mes habitudes. Construit sur un golf, les couleurs au lever et au coucher du soleil y sont magnifiques. Le restaurant est calme le soir en semaine, la carte des vins y est sans fin. Je m’y rends deux à quatre nuits par mois et, en peu de temps, je suis connu comme le loup blanc, avec des petites attentions et privilèges particuliers. Il y a un centre Spa qui est de très bonne qualité : piscine sous verrière, salle de fitness, douche sensorielle, hammam, etc. Bref, c’est hyper complet pour passer un agréable moment de détente en fin de journée, surtout quand on a accumulé du stress et de la tension dans les bouchons… En parlant de privilèges, j’ai accès au centre de soin, je peux choisir la thérapeute qui va me masser et je suis attendu en cas de léger retard.

Ce n’est pas le cas ce jour, car cela roule plutôt correctement et je me présente à l’accueil du centre pour ma séance d’une heure de massage oriental « cinq mondes ».

• — Bonjour, Monsieur P., comment allez-vous ?
• — Bonjour Nathalie, très bien, et vous ?
• — Très bien, la cabine 3 est prête pour vous.
• — Merci.

Je file en direction de la cabine de massage. Lumière tamisée, ambiance parfumée. Un peu transpirant, je prends une douche rapide, car je n’ai pas envie qu’Amandine me masse alors que je ne suis pas hyper frais. Ah, Amandine… j’adore cette thérapeute, et c’est peu de le dire ! Elle est plutôt discrète et réservée, parle peu, mais qu’est-ce qu’elle masse bien ! Elle est tonique, puissante, me laboure littéralement le haut des épaules et la base du cou… Je « surkiffe » !

Elle fait de vrais massages, mais sait aussi être très douce. Je dirai que maintenant on se connaît un peu et qu’il n’y a pas de chichis entre nous lorsqu’elle roule la serviette très bas sur mon dos, lorsqu’elle vient soulager ce point de tension en dessous de ma hanche droite, ou encore quand ses mains passent du haut de mes cuisses au bas du dos en effleurant mes fesses.

Bref, je suis dans mes douces pensées, allongé sur la table de massage, lorsque la porte de la cabine s’ouvre.

• — Bonjour Monsieur P. !

Ah, ce n’est pas du tout la voix d’Amandine…

• — Je suis Jessica, c’est moi qui vais vous masser ce soir. Amandine devait partir à dix-huit heures, et plutôt que d’annuler le rendez-vous, elle m’a demandé de m’occuper de vous.

Ah mince, la loose ! Je regarde Jessica, c’est une belle femme… une grande brune un brin délurée dans son intonation et sa façon de me détailler, mais ce n’est pas Amandine ! J’ai l’impression d’être Jean-Claude Dusse dans « les bronzés » qui avait demandé Anne Laurencin… flop. J’essaie malgré tout de donner le change et de masquer ma déception.

• — Bonjour, enchanté !
• — C’est la première fois pour nous deux ? Je veux dire, pour une séance de massage.
• — Oui, en effet, je n’ai pas souvenir que vous m’ayez déjà massé.
• — Alors ce sera une découverte, mais installez-vous sur le ventre, je prépare l’huile et commence par le bas.
• — Ça marche, mon corps est à vous !

Ça y est, c’est mon moment ! C’est un peu égoïste, mais je l’apprécie particulièrement. Avoir quelqu’un qui s’occupe de moi et rien que de moi pendant une heure, c’est quand même le top !

• — Tout va bien, Monsieur P ? Vous êtes bien installé ? L’huile n’est pas trop chaude ?
• — Non, c’est parfait.
• — Je sais qu’Amandine est très réservée et parle peu en séance, moi, j’aime bien engager la conversation avec les clients.

Ben, tiens, j’avais à peine remarqué ! Je sens que Jessica est une bonne pipelette et ça va être une heure de parlotte.

• — Mais si vous préférez le silence, il ne faut pas hésiter à me le dire.

Dire que cela ne m’a pas effleuré l’esprit serait mentir, mais d’un autre côté, Jessica est aux petits soins pour moi, elle a pris la peine de prendre ce dernier créneau du soir et je sens qu’elle va se démener pour me satisfaire… je décide donc de jouer le jeu.

• — Non, ne vous mettez pas de pression, je ne suis pas un client exigeant.
• — Oui, je sais. En fait, c’est une première séance, mais j’ai un peu l’impression de vous connaître, Amandine m’a beaucoup parlé de vous durant nos pauses.
• — Ha ha, en bien, j’espère ?
• — Oui, ne vous inquiétez pas, bien au contraire. Et maintenant, je sais pourquoi.
• — C’est-à-dire ?
• — Eh bien, avec l’équipe on repère les clients réguliers et on ne peut pas s’empêcher de parler d’eux entre nous, de ceux qui marquent ou du petit surnom qu’on leur donne.

Je sens que Jessica est sans filtre, elle parle et ne réfléchit qu’après. Sans être pervers, cela peut devenir drôle.

• — Ah oui, et c’est quoi mon surnom, alors ?
• — Oh, eh bien, vous ça va, c’est Monsieur P. le BG… Comme « beau gentleman ».
• — Ah, merci, c’est flatteur !
• — C’est Lucie au desk qui l’a trouvé… Elle vous adore ! Elle nous dit toujours : Monsieur P. quand il arrive, c’est mon rayon de soleil : toujours très élégant, toujours hyper poli avec un mot gentil, toujours un sourire.
• — Lucie est top, elle sait que j’aime bien certaines chambres au bout du bâtiment qui sont hyper calmes. Elle essaie à chaque fois de m’y installer.

Tout en parlant, Jessica a roulé la serviette des pieds jusqu’à la naissance de mes fesses et fait de longs mouvements pour détendre l’arrière de mes mollets et de mes cuisses. C’est très agréable, elle s’y prend très bien.

• — Et donc, vous qui voyez des corps quasiment nus toute la journée, j’ai un autre surnom au centre de soin ou c’est le même qu’à l’accueil.
• — Ah non, Amandine m’avait dit que vous portiez bien votre surnom… Et je confirme !
• — Vous allez me faire rougir.
• — En fait, quand on est thérapeute, on aime les corps, on aime les toucher, trouver les points sensibles, les dénouer, mais on aime surtout les beaux corps, et ici, malheureusement, la clientèle est plutôt âgée, donc, quand on a un ou une cliente bien faite, on apprécie d’autant plus. Vous faites beaucoup de sport, Monsieur P. ?
• — Oui, j’essaie de m’entretenir et j’aime bien l’effort.
• — Qu’est-ce que vous pratiquez comme sport ?
• — Je cours ; je fais du vélo ; j’aime bien les sports nautiques aussi.
• — Oui, ça se voit, vous avez des cuisses très musclées.

En ajoutant ce commentaire, Jessica a remonté ses deux mains le long de ma cuisse gauche en appuyant avec ses pouces et en prodiguant des mouvements circulaires. Arrivés tout en haut de ma cuisse, les doigts de sa main gauche sont sur ma fesse, les doigts de sa main droite frôlent mes testicules. J’ai comme un flash. Est-ce l’ambiance ultra zen de la cabine, le lâcher-prise lié au massage, le côté peu farouche de Jessica, mais je commence à me faire un petit film dans ma tête.

D’ailleurs, Jessica passe de l’autre côté de la table et répète la même manœuvre sur l’autre jambe. Cette fois : nul doute n’est permis, elle est remontée aussi haut et a clairement caressé mes fesses du bout de ses doigts extérieurs et a touché mes testicules avec ses doigts intérieurs ! Je rêve ou elle joue avec moi ?

• — Amandine m’a dit que vous aviez un point de tension sous la hanche droite… Je vais regarder ce que je peux faire.

En disant cela, Jessica replie la serviette sur la moitié gauche de mon corps. Elle a désormais une vue imprenable sur ma fesse droite. Sans préalable, elle masse la face externe de ma fesse et vient trouver le point sensible.

• — En fait, ce n’était même pas la peine qu’elle me le dise, je l’ai senti tout de suite en passant la main. Vous avez une petite contracture en haut du nerf sciatique. Je vais insister un peu plus ici.

Jessica commence de nouveaux mouvements assez pénétrants et se concentre exclusivement sur ma fesse droite. Je sens l’effet immédiat sur mon point sensible. Puis, comme ayant besoin de bien caler ses mouvements, elle repose sa main gauche à l’intérieur de mes cuisses pour l’empêcher de bouger.

Je suis allongé sur la table de massage, nu, avec une femme que je ne connaissais pas il y a vingt minutes et qui désormais me masse la fesse de sa main droite et me maintient fermement de sa main gauche. D’ailleurs, sans gêne apparente, Jessica a son index et son majeur collés à mes testicules alors que son pouce est sur le haut de mon sillon fessier. Je commence à être excité par la situation et sens mon sexe à l’étroit entre la table de massage et mon corps. J’en suis à fantasmer gentiment quand Jessica délaisse mes fesses et testicules pour m’annoncer à la suite du programme.

• — Voilà, cela devrait être mieux pour votre sciatique. Je vais passer au haut du corps si vous le voulez bien.
• — Bien sûr, et merci, c’était très agréable.
• — Profitez-en, on a le temps. En plus, je n’ai personne derrière.

Je repars dans mes pensées en essayant d’analyser ce sous-entendu, ou pas, car c’est dur de se faire une idée sans voir son interlocuteur… Sans parler du décalage de situation, moi je me laisse aller en séance de massage, Jessica, elle, elle bosse et n’attend peut-être qu’une chose : finir sa journée !

• — Vous avez des enfants, Monsieur P. ?
• — Oui, trois garçons : 15, 13 et 10 ans.
• — Ouh là là ! votre femme doit être bien occupée.
• — Eh bien, en fait on est séparé. C’était un peu dur au début, mais maintenant chacun a trouvé ses marques et nous sommes bien organisés. Et vous ?
• — Euh, non, enfin, je veux dire que je n’ai pas encore d’enfants.
• — Vous êtes jeune, vous avez encore le temps de trouver un prince charmant.
• — Mmhhhh !
• — Ah, vous avez un prince, mais il n’est pas charmant, ou bien vous avez un charmant, mais il n’est pas prince…
• — Oui, on peut dire ça comme ça. Je ne me fixe pas. Je n’ai pas encore trouvé la perle rare. En fait, j’aime bien les hommes un peu plus âgés que moi qui ont de l’expérience, mais ils ne sont pas souvent libres.

Tout en discutant, Jessica est venue se placer sur le devant de la table, à quelques centimètres de ma tête, et fait désormais aller et venir ses mains du haut de mes épaules au bas de mon dos en lissant la peau fermement. J’adore, c’est très relaxant ! Ces mains descendent le long de mon dos et lorsqu’elles arrivent en bas j’ai quasiment ma tête collée à ses cuisses. Elle se plie en deux pour aller le plus loin possible, j’imagine sa poitrine si proche de mes épaules, je sens son souffle sur ma colonne vertébrale et ses mains qui n’en finissent pas de pousser vers le bas. D’ailleurs, je sens de nouveau le bout de ses doigts qui effleurent le haut de mes fesses et qui repartent sur les côtés extérieurs. J’en suis quasiment sûr, elle joue de nouveau avec moi. La deuxième descente est sans équivoque, car ses mains entières sont descendues jusque sur mes fesses. Excité par ses initiatives, je décide de jouer moi aussi.

• — Pourtant, avec votre métier, vous devez rencontrer pas mal d’hommes mûrs assez friqués ?
• — Ah oui, ça, c’est sûr ! Mais je ne recherche pas un homme âgé plein aux as, non, je voulais plutôt dire dix-quinze ans de plus ; élégant ; expérimenté ; qui inspire confiance, mais qui s’entretient. Un peu comme vous en fait !

En terminant cette phrase, Jessica a descendu ses deux pouces le long de ma colonne jusqu’au coccyx, puis a empaumé fermement mes fesses avant de repartir sur les côtés. Cela me provoque comme une décharge électrique et j’ai désormais une trique d’enfer. Heureusement que je suis allongé sur le ventre, je peux continuer à cacher mon excitation.

• — Vous dites ça pour m’être agréable.
• — Non, c’est sincère, je peux vous l’assurer. Moi, c’est tout ou rien. J’adore ou je déteste. J’aime beaucoup votre corps, je pourrais le masser en profondeur pendant des heures. D’ailleurs, vous passez sur le dos s’il vous plaît.

Mince, j’avais complètement zappé que pour la version longue, il y avait un passage sur le dos. Je me retourne en essayant de faire comme si de rien n’était et essaie de me relaxer. J’ouvre tout de même les yeux et je constate que Jessica a enlevé la veste d’uniforme du Spa et s’est mise à l’aise, en débardeur, pour me masser. Elle est très bien fichue. Une jolie poitrine, pas très grosse, mais qui semble très ferme avec des tétons apparents malgré le vêtement. Surtout qu’elle me regarde avec un petit sourire taquin, car elle n’a pas manqué de constater le chapiteau que j’ai entre les jambes. Je lui renvoie son sourire, mais ne sais trop quoi dire, un peu gêné tout de même.

• — Sur le dos, je peux vous masser les bras si vous avez un métier physique, mais si vous faites pas mal de voiture, je peux plutôt vous masser l’abdomen et autour des hanches, c’est très bon pour le transit.
• — Ah, OK…

Jessica remet de l’huile chaude sur ses mains et commence à masser de chaque côté de l’abdomen et descend de plus en plus ses mains vers mon nombril et ma vessie. Elle frôle à chaque fois mon sexe dur comme du bois et repousse toujours un peu plus la serviette vers mes hanches puis, sans prévenir, la roule complètement sur le haut de mes cuisses. Je suis allongé sur le dos, nu, le sexe au garde-à-vous sous les yeux et à la merci de Jessica… C’est improbable !

• — Jessica, je suis désolé, je vous mets dans l’embarras.
• — Ne vous inquiétez pas, j’en ai vu d’autres. Enfin, je voulais dire, c’est mon métier de voir des corps nus toute la journée, cela ne me choque pas. Au contraire, détendez-vous, je vais aller un peu au-delà du protocole si cela vous plaît.

Ce faisant, Jessica continue avec une main de me masser le bas de l’abdomen et, avec une autre, le pourtour de l’os pubien. Puis, tout en douceur, ses mains descendent d’un cran. Sa main gauche me masse le pourtour du pubis et sa main droite masse très délicatement mes testicules gonflés de désir. Rapidement, sa main gauche saisit ma queue et entame de longs et lents va-et-vient. C’est divin ! Le contact des mains chaudes et huilées sur mon sexe est très agréable. L’érection trop longtemps contenue sous moi peut enfin se libérer. La tension sexuelle du massage peut enfin trouver son champ d’expression, ou plutôt, d’explosion. Jessica n’a pas un regard pour moi, elle est concentrée sur ma queue, comme si cette partie de mon corps méritait un massage des plus appliqué. Elle accélère au fur et à mesure la cadence et je sens que je ne vais pas tenir bien longtemps çà ce rythme.

• — Jessica, vous allez me faire exploser ?
• — Je sais, c’est l’objectif de cette fin de massage.

Elle me regarde enfin, pose une main apaisante sur mon torse pour m’inciter à rester allongé, détendu, et continue sa masturbation en veillant à ce que sa main soit toujours douce, huilée. Je n’y tiens plus, je sens le plaisir monter, monter sans fin et, dans un souffle, j’explose en saccades sur mon abdomen. Dieu que c’est bon ! Jessica continue de me masturber doucement pour que les dernières gouttes s’échappent puis me regarde à nouveau.

• — Et voilà, Monsieur P., j’avais bien senti qu’il y avait un point de tension là aussi, me dit-elle avec un petit clin d’œil.
• — C’était génial, Jessica, de loin le meilleur massage de ma vie, merci !
• — Avec plaisir, je me suis permis ce petit extra, car je vous y sentais disposé et cela me plaisait aussi.
• — Moi aussi, cela m’a beaucoup plu. En revanche, j’ai une réputation de « Beau Gentleman » à tenir et je ne vais pas vous laisser comme ça !
• — Ah non, ne vous inquiétez pas, c’était juste un bonus ! Nous sommes censées garder une certaine distance avec nos clients.
• — Ah oui, je ne m’en suis pas rendu compte ! dis-je en riant. Permettez-moi d’insister, Jessica, faites-moi confiance, vous ne le regretterez pas.

Je me suis assis sur la table de massage et Jessica me regarde un peu incrédule. Je suis nu, mon sexe se remet en mode repos et Jessica est debout face à moi. Je me lève et prends Jessica dans mes bras avec beaucoup de douceur et de bienveillance. Je plonge mon regard dans le sien et viens déposer un baiser sur le bord de ses lèvres. Timide au départ, le baiser devient vite fougueux et passionné… Jessica me mange littéralement la bouche. J’en profite pour la soulever du sol et, pivotant de 180 degrés, je viens la déposer sur la table de massage, pile à l’endroit où j’étais assis quelques secondes plus tôt.

Nos langues se mêlent à nouveau et, enhardi par le désir de Jessica, je fais glisser mes mains de ses épaules vers sa taille en passant mes pouces sur ses jolis seins. Prenant mon temps, je peux sentir au travers de son débardeur ses tétins durs, tendus d’excitation, que je prends plaisir à faire rouler entre mes pouces et mes index. Jessica semble apprécier, car sa respiration s’accélère et son souffle se fait plus fort. Je garde un sein en main, et, sans équivoque, mon autre main descend le long de ses côtes pour atteindre sa hanche et venir se glisser sous l’élastique de son pantalon et de ses dessous. Son pubis est intégralement épilé. Rapidement, mes doigts atteignent ses grandes lèvres déjà humides et font éclore son clitoris. Jessica est immédiatement électrisée par ce contact. Je la pousse à s’allonger sur la table de massage pour prendre plus d’aisance à caresser son sein et son clito en même temps.

• — Oh, c’est bon !
• — Oui, à votre tour de profiter et de vous détendre.
• — Je ne sais pas si c’est très raisonnable.
• — Ne vous inquiétez pas, je vais juste prendre soin de vous pendant plusieurs minutes.
• — Vous voulez me concurrencer sur un massage ?
• — Non, je n’ai pas cette prétention, mais j’ai moi aussi quelques connaissances du corps humain qui peuvent vous plaire.

En terminant ma phrase, j’ai passé mes deux mains de chaque côté des hanches de Jessica et, d’un mouvement, baissé son pantalon et sa culotte. Jessica est désormais à demi nue sous mes mains. Je ne lui laisse pas le temps de protester que je délaisse sa bouche pour venir coller la mienne directement sur son sexe. Son clitoris, deviné sensible, m’accueille avec joie, car, désormais, Jessica respire vraiment fort. Je commence mon travail de sape en alternant des passages tout au long de sa fente avec des focus sur son clitoris. Jessica mouille beaucoup désormais et écarte ses jambes impudiquement pour me laisser fouiller au plus profond d’elle avec ma langue. Ses mains ont agrippé mes cheveux et me caressent la tête avec énergie. Je décide de concentrer ma langue sur son clitoris et la pénètre avec mon majeur et mon index. Mes doigts bougent en elle et ma bouche aspire littéralement son clitoris. Jessica prononce des paroles que je ne comprends pas et appuie fort ses mains sur ma tête comme pour la souder à son sexe. Je sens qu’elle va partir et je joue avec mes doigts sur son point G pendant que ma langue tournoie sur clitoris. Jessica s’agite, gigote, mais je ne la lâche pas et, dans un profond soupir, son corps se tend pour laisser exploser son orgasme.

• — Oh punaise ! C’était trop bon !
• — Oui, je suis allé un peu au-delà du protocole, dis-je avec une voix haute perchée.
• — Ah, vous êtes moqueur à votre tour.
• — Je plaisante, vous voir jouir m’a plu.
• — C’est clair que vous savez bien vous y prendre question détente. J’en ai les jambes coupées. C’est une fin de massage que je ne suis pas près d’oublier.
• — Moi non plus ! Je vous aide à fermer le centre de soin ?
• — Ouh là, non, surtout pas ! Si l’équipe nous voit en train de faire ça, ça va jaser en quelques heures. Filez donc dans votre chambre !
• — Merci, Jessica, pour ce moment.
• — Merci à vous !

Je dépose un baiser sur les lèvres de Jessica et enfile mon peignoir pour remonter dans ma chambre. Une fois seul à l’intérieur, j’ai un peu de mal à réaliser ce qu’il s’est passé. Une question me taraude désormais : pour mon prochain massage, Amandine ou Jessica ?