n° 20899 | Fiche technique | 29436 caractères | 29436Temps de lecture estimé : 20 mn | 05/05/22 |
Résumé: Daphné retrouve, fortuitement, chez des amis communs, une de ses connaissances, la belle Béatrice, qui va l’éveiller à des plaisirs particuliers… | ||||
Critères: fffh rousseurs jardin fête fsoumise fdomine fist -initiat -dominatio | ||||
Auteur : Iovan Envoi mini-message |
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Résumé de l’épisode précédent :
Après Kate, Jean vient d’achever le récit de l’expérience qui a le plus marqué sa vie amoureuse… c’est maintenant à Daphné.
Quand ce fut au tour de Daphné de raconter, le traiteur arriva et la belle dut attendre son départ pour nous faire part de ce qui fut dans sa vie amoureuse, nous dit-elle, une expérience fondatrice. Cela s’était déroulé trois ans auparavant…
Tout à fait par hasard, elle retrouvait chez des amis une ancienne copine de classe. Une conjonction de circonstances fit que les deux anciennes rivales se rapprochèrent… tant et si bien que celle qui devenait sa maîtresse l’initia à une pratique dont elle avait entendu parler sans n’avoir toutefois jamais osé s’y adonner… ce fut pour elle une véritable révélation d’autant plus que le hasard, encore lui, l’amena à connaître cette nuit-là sa première expérience de la pluralité.
Voici ce qu’elle nous conta :
Elles avaient été invitées à cette soirée barbecue, ce soir de juillet, et avaient été toutes surprises, de se retrouver chez ces gens, l’une et l’autre, ignorant qu’elles avaient ces amis communs. Les deux jolies filles, étaient arrivées à la soirée, chacune de leur côté, pour une fois, seules, sans escorte, alors qu’elles étaient, d’habitude, l’une aussi bien que l’autre, entourées d’une nuée de prétendants.
Daphné connaissait Béatrice de longue date, elles avaient fréquenté, toutes deux internes, la même institution religieuse de la seconde à la terminale. Béa, ainsi qu’elle se faisait appeler, avait toujours eu, à l’égard de la jolie blonde, une attitude abrupte, et son caractère exécrable, avait maintes fois trouvé un exutoire, en se défoulant, plus souvent qu’à son tour, sur la mignonne.
Daphné, toute de blondeur et d’innocence, avait toujours ce sourire charmant, éclairant son joli minois. Espiègle, elle était d’humeur égale, enjouée, et riait de tout, ne prêtant aucune attention aux aigreurs, et remarques acerbes de sa « copine », car, malgré tout, elle éprouvait pour elle une certaine affection due à la proximité qu’avaient obligé ces longues journées de quasi recluses, passées ensemble pendant trois années.
Elle venait de terminer sa première année de droit et c’était la première fois qu’elle revoyait sa jolie teigne de copine.
Béatrice, était une rousse aux yeux verts absolument sublimes, et malgré le caractère épouvantable que chacun lui connaissait, on ne pouvait s’empêcher d’admirer la magnifique jeune femme, au visage ravissant, au corps délié, au port de reine, qui dégageait une aura de sensualité torride.
Ce soir-là, le temps était magnifique, la soirée douce, une grande table avait été dressée sur la pelouse, sous le tilleul. Les travers étaient savoureux, le vin léger coulait à flots, et l’ambiance était des plus chaleureuses et gaie. Les couples étant déjà formés, on était arrivés à ce moment de la soirée où les désirs se font pressants et l’un après l’autre, ils s’éloignèrent cherchant un peu d’intimité.
Dans la lumière douce des lampions accrochés aux branches du tilleul, les deux « copines » se retrouvèrent seules à table… Daphné s’empara, dans un seau ruisselant de condensation, d’une bouteille de Champagne, se versa une coupe, et prenant place en face de Béatrice, lui en emplit une aussi.
La jolie blonde, leva son verre en regardant, tout sourire, la belle rousse.
Béatrice que cette situation frustrait, adossée à sa chaise de jardin, l’air fâché, gardait les bras croisés sur ses jolis petits seins et regardait Daphné avec un air de ressentiment. La blonde, amusée, haussa les sourcils, l’air interrogateur, et demanda à sa « copine préférée » si elle avait encore dit quelque chose qui lui avait déplu.
Avec sa rondeur coutumière, Béatrice réagit :
Puis, se radoucissant, tout soudain :
Pour le coup, Daphné éclata de rire, elle ne pouvait plus s’arrêter… Entre deux hoquets :
Elle essuyait ses larmes, entre deux rires, regardant Béa se renfrogner à nouveau…
Daphné était ravie… elle tenait la plus douce, la plus belle des revanches.
Elle se leva, s’approcha de Béatrice, s’immobilisa un long moment devant elle, inclinant sa jolie tête sur le côté, et commença à caresser son visage, du dos de son index, la fixant de son plus doux regard, elle arrangea délicatement une mèche rousse sur le front de sa belle copine. Béatrice, le regard perdu, la fixait, elle aussi… que se passait-il… ? Elle ne comprenait pas.
Alors Daphné se pencha sur son visage et déposa doucement de légers baisers sur le front, sur les joues, les yeux qu’elle faisait ciller et qu’emplissait une incompréhension grandissante, puis, se penchant sur la bouche de la belle Béatrice, elle l’embrassa, longuement, d’un doux et tendre baiser.
Elle avait dit cela sans colère… presque dolente.
Et se penchant, à nouveau sur elle, la jolie blonde, victorieuse, baisa tendrement les lèvres tremblantes de sa conquête.
Béa, vaincue, se laissait embrasser, goûtant la douceur de la bouche de celle qu’elle avait longtemps considérée comme une rivale, laissant la langue veloutée de Daphné jouer avec la sienne, subjuguée par la suavité de ce baiser de miel. Tout en elle fondait, gémissant sous la douce sensation qui la soumettait, elle sentait monter cette vague de chaleur vibrante, qui envahissait son ventre, et constatait, avec ravissement, qu’elle était en train de mouiller son string…
Son tempérament de feu ne pouvait rester muselé bien longtemps, elle s’empara du joli minois de Daphné qu’elle étreignit de ses mains, et embrassa passionnément la bouche de sa belle amie, lui murmurant des mots d’amour enfiévrés, l’embrassant de nouveau, couvrant son visage de baisers enflammés.
Béatrice était bouleversée. Daphné jubilait.
Daphné, souriant encore de sa belle revanche était, cependant, remuée par les paroles enfiévrées, et la frénésie amoureuse de sa belle amante. Elle se sentait gagnée par un affolement de tout son corps, qui la tendait vers les caresses de son impérieuse maîtresse.
Leurs baisers de feu disaient le tempérament d’exception des deux belles amoureuses. Gémissantes, elles caressaient leurs corps de rêve, anticipant le plaisir qu’elles allaient se donner.
Béatrice, impatiente, prit Daphné par la main et l’entraîna vers la partie paysagée du jardin, où poussaient un groupe de buissons providentiel.
Elle éclata de rire.
Béatrice était heureuse, sa soirée devenait pétillante comme un Champagne… Elle n’avait rien contre un plan avec un beau mec, mais elle préférait quand même les filles, et ce soir, celle qui s’offrait à elle était une beauté sublime. De plus, leur rencontre amoureuse était tellement inattendue et romanesque qu’elle enchantait la belle coquine… Daphné, la jolie Daphné – sa tête de Turc favorite – lui tombait dans les bras ! Jamais elle n’aurait pu le croire, si quelqu’un lui avait annoncé cela il y avait seulement une heure.
À peine à l’abri des buissons, au fond du jardin, Béatrice lâcha la main de sa belle proie, elle se retourna et, saisissant le frais minois de Daphné entre ses deux mains crispées par la tension érotique qui l’avait envahie, elle feula :
Et se jetant sur la jolie bouche, elle s’en empara dans un baiser passionné qui fit gémir sa tendre conquête.
Béatrice, picorant de baisers le visage, la bouche, le cou, les seins, le ventre de sa belle amante, s’accroupit à ses pieds et, relevant la légère robe courte de sa belle, découvrit le mignon cache-sexe de dentelle blanche, sous lequel se trouvait le doux triangle de toison blonde, où se nichait le délicat trésor de sa belle.
Caressant doucement les hanches lisses et les fesses rondes et douces de sa splendide maîtresse, Béatrice, folle d’excitation, appliqua sa bouche – au travers du tissu arachnéen du string – sur la tendre motte de sa belle amie qui avait écarté les jambes pour mieux recevoir la caresse, et s’enivrait du parfum suave qui s’en dégageait.
Fiévreusement, mais avec une grande douceur, anticipant le bonheur de découvrir un tel trésor, Béatrice baissa le petit string blanc sur les chevilles de sa belle amante. Daphné, elle aussi maintenant affolée de luxure, avait saisi la nuque de sa maîtresse et la maintenait sur son sexe, aspirant l’air entre ses dents serrées.
Béatrice écarta de deux doigts les lèvres tuméfiées de désir de sa belle et, découvrant sa mignonne framboise, se mit à la lécher, pour s’interrompre, interloquée :
Deux ans auparavant, alors qu’elle passait ses vacances d’été en Floride, un de ses amants de passage, étonné, s’était exclamé, extasié : « She’s as sweet as a cookie… !* »… elle avait gardé cet amusant petit surnom.
Béatrice, émerveillée, reprit sa caresse avec un bonheur que décuplait son étonnement. En experte qu’elle était, la belle rousse déclencha plusieurs orgasmes chez sa jolie maîtresse, la faisant gémir de plaisir, et en fut récompensée par des flots de cyprine plus douce qu’un miel.
Après un long moment, Béatrice se redressa droit vers la bouche de la jolie Daphné qu’elle embrassa passionnément. Leurs langues s’entremêlèrent, jouant et se caressant, Béatrice, gémissante de lubricité, s’abreuvait, lascive, de la salive de sa belle maîtresse.
Elle posa un pied sur le rebord d’une jardinière pour que Cookie puisse, à son tour, lécher sa jolie chatte épilée. La langue de daphné vint se coller directement sur l’entrée du vagin, et se mit à titiller l’orbe de plaisir noyé de désir. Béa se mit à jouir, râlant, se mordant les lèvres et se caressant les seins. Cookie commença alors à la doigter, lui enfonçant trois doigts, longs de toutes leurs phalanges, qu’elle fit aller en un va-et-vient rapide qui la fit se crisper. Au bout de quelques secondes, Béa eut son premier orgasme. Alors, Daphné appliqua, encore, sa jolie bouche au bourgeon turgide de Béa et se mit à le lécher, le sucer, le mordiller. Son clitoris était devenu si sensible que Béa obligea la mignonne à retirer son visage d’entre ses cuisses pour le ramener sur sa bouche où, dans un long baiser, elle goûta son plaisir sur les lèvres de son amante.
Tout en l’embrassant, Béatrice pesa doucement sur les épaules de sa belle, l’enjoignant de s’asseoir sur le gazon. Lorsqu’elle fut assise, agenouillée près d’elle, sa bouche fondue à la sienne dans un langoureux baiser, Béatrice se mit à caresser doucement les jolis petits seins de Daphné à travers la légère robe d’été.
La jolie blonde, le souffle court, était sous l’emprise de son impérieuse maîtresse qui, elle l’avait senti dès le début, s’imposait comme dominante. Elle l’acceptait et était dans l’expectative de ses désirs, se laissant embrasser avec volupté par son experte maîtresse, qui l’embrassait comme elle ne l’avait jamais été, et qui arrivait presque à la faire jouir, rien qu’avec ses baisers.
Béatrice murmura à sa jolie proie de s’allonger, ce qu’elle fit, obéissante, et c’est d’elle-même, soumise, qu’elle releva ses genoux et écarta largement ses jambes, ce que sa belle maîtresse accueillit d’un long « oui ! » satisfait, et qu’elle accompagna d’une caresse sur la jolie petite chatte lisse et ruisselante.
Béatrice releva les plis de la légère robe jaune de Daphné sur le doux ventre délicat, au-dessus du nombril, sur lequel elle déposa un baiser. Elle se mit à couvrir de baisers l’intérieur des cuisses de sa tendre proie, puis la faisant gémir, les lécha longuement, se mit à les mordiller, déclenchant un quasi-orgasme chez sa belle qui, s’emparant de son visage des deux mains, l’enjoignit à porter sa caresse sur son joli con turgide.
Ce que fit Béatrice, se délectant de la douce cyprine de sa belle qui exprimait sa jouissance à grand renfort de gémissements et feulements.
Puis Béatrice se redressa et s’assit entre les jambes de sa douce amante. Daphné s’était redressée sur ses bras repliés et posait sur son impérieuse maîtresse, un regard, voilé par la volupté, qu’elle venait de lui faire éprouver.
Caressant l’intérieur des cuisses de sa belle soumise, elle embrassait à petits baisers le genou qui se trouvait tout près de son visage.
Daphné se fit suppliante :
Plus rien ne pouvait arrêter la perverse Béatrice qui adorait pratiquer le fisting sur ses maîtresses. Elle y trouvait un plaisir que rien ne pouvait égaler, et avec sa jolie victime ce serait un régal : pas de lubrifiant… uniquement sa cyprine !
Elle éprouvait un curieux mélange de tendresse et de gratitude, en même temps qu’un intense sentiment de violence, de domination, et une quasi-cruauté envers sa belle proie qui la fixait intensément, une lueur angoissée dans le regard, en se mordant la lèvre inférieure.
Toujours caressant ses cuisses, la fixant d’un regard farouche,
Daphné, le regard affolé, renversa sa tête en arrière en sentant les doigts de sa maîtresse s’insinuer dans sa fente incandescente, trempée de mouille. Tout en redoutant la brutale intrusion, elle l’appelait, et lorsqu’elle sentit les phalanges de sa tortionnaire écarter les lèvres tumescentes de sa chatte, elle fut à la fois envahie d’appréhension en même temps que d’une envie d’être sauvagement pénétrée, et violentée, par la main impérieuse qui commença à s’enfoncer et à forcer son petit con, irradiant une douleur qui la terrassait et l’enivrait tout à la fois. Elle éructait, dans la fièvre qui s’était emparée d’elle, des mots sans suite, des suppliques. Un plaisir d’une violence inconnue s’emparait d’elle, des larmes lui montaient aux yeux…, et elle jouissait comme jamais elle n’avait joui. C’était un tsunami de sensations, telles qu’elle n’en avait jamais connues. Elle râlait, elle râlait encore et appelait la brutale caresse, cambrée, tendue vers la main de sa farouche maîtresse qui, grinçant des dents et feulant de plaisir, la vrillait et la poussait dans le doux sanctuaire où elle pénétrait jusqu’aux jointures pour s’en retirer, et encore y replonger, avec des bruits mouillés, qui ravissaient sa tortionnaire.
Béatrice poussait sa main trempée de cyprine, lui imprimant de lents mouvements de rotation. Daphné ne pouvait se retenir de hurler de jouissance et de douleur, saisissant le poignet de sa brutale maîtresse, poussant davantage la main qui la suppliciait, elle se tordait sous l’âpre caresse, mais suppliait sa tortionnaire de ne pas s’arrêter. Béatrice, grinçant des dents dans un rictus obscène de frénésie érotique, vrillait lentement et fortement sa main, distendant le petit con inondé de mouille de sa blonde amante. Fascinée, elle gardait son regard rivé sur la main qu’elle continuait à vriller doucement et qui distendait peu à peu les parois de la jolie chatte,
La fragile Daphné n’était plus qu’une sensation, un vertige de douleur et de volupté lascive. Elle geignait, râlait, sanglotait de bonheur et de douleur.
Des larmes roulaient sur ses joues, inondaient ses tempes. Agitée de spasmes et de tremblements, elle balançait convulsivement sa tête. Les yeux révulsés, derrière ses paupières crispées, elle cherchait son souffle, la bouche béante.
Béatrice, alors, ressortit légèrement sa main et cracha plusieurs fois sur celle-ci. Elle étala de l’autre sa salive sur celle-ci, enfonçant à nouveau sa main, et, poussant encore davantage, pénétra d’un coup le con tuméfié de sa maîtresse qui engloutit la main cruelle et bénie, dans un cri où se mêlaient douleur, volupté, délivrance.
Daphné gémissait sa souffrance et son bonheur, sanglotant et râlant :
Oui… ! Encore… ! Ooh… ! Continue… !
Doucement, Béatrice ramena sa main en arrière, faisant gémir encore sa belle suppliciée, mais ce fut pour mieux l’enfoncer, à nouveau, d’un lent et puissant mouvement, qui fit hurler sa belle, pour la retirer et l’enfoncer encore, encore et encore, déclenchant, chez elle, orgasme sur orgasme qui la faisait hurler de bonheur.
C’est à ce moment qu’apparut au détour du buisson un couple qui, revenant à la table et alerté par les gémissements et les cris de Daphné, s’était approché, intrigué.
D’abord surpris, et interloqués, par la scène qui se déroulait sous leurs yeux, ils furent déroutés et étaient sur le point de repartir quand la femme, une jolie brune, s’approcha de Béatrice et lui demanda à mi-voix :
Béatrice acquiesça d’un signe de tête. Les deux spectateurs inopinés s’agenouillèrent, tout près, fascinés par le spectacle renversant qui s’offrait à eux.
Daphné, éperdue de jouissance, ne s’était pas encore aperçue de la présence des deux spectateurs.
Le type, excité, dégrafa son pantalon, l’ouvrit et le baissa, produisant un mandrin de belle taille qu’il commença à branler. Pendant ce temps, la jolie brune s’était rapprochée et se tenait tout près de Béa, elle était très excitée et s’agitait beaucoup. Elle se redressa et resta ainsi, jusqu’à ce que Daphné s’aperçoive de sa présence… Elle lui envoya un baiser, et par signes lui fit comprendre qu’elle aussi avait envie de la fister. Après un instant d’hésitation, la jolie Daphné baissa les paupières et hocha la tête en signe d’assentiment. La brune se pencha sur Béatrice et lui parla à l’oreille… Béatrice acquiesça.
Béatrice embrassa alors passionnément la jolie femme, puis retira doucement sa main de l’antre de Daphné et y dirigea la main de sa comparse, la tenant par le poignet.
Était-ce l’émotion ou intentionnel… la fille enfonça brutalement sa main dans la petite chatte trempée de mouille, arrachant un cri de douleur à Daphné, mais se reprit aussitôt et, dans un mouvement très lent, commença à doucement la baiser de sa main fine, la faisant à nouveau gémir de bonheur.
Pendant ce temps, Béatrice avait saisi le chibre du gars et, après l’avoir branlé avec vigueur, en avait englouti le gland turgescent et le suçait avec ardeur.
Elle s’interrompit et chuchota à l’oreille du type qui acquiesça, l’air intéressé. Puis, c’est à l’oreille de la brune qu’elle murmura quelques paroles qui eurent l’air de recueillir son adhésion.
Elle se leva, pendant que la brune besognait toujours Daphné qui râlait de plaisir, et alla jusqu’à sa place, à table, où dans son sac elle prit un tube de cold-cream avec lequel elle revint.
Elle chuchota à nouveau à l’oreille de la belle brune et fit un signe au gars qui hocha la tête. La brune ressortit, sans ménagement, sa main de la chatte de Daphné qui, surprise, se redressa sur les coudes, hébétée… Béatrice était déjà auprès d’elle et l’embrassait passionnément, en la caressant, pendant que la brune se jetait sur son petit con, béant, l’embrassait et le léchait, pour s’interrompre soudain et s’extasier, émerveillée, de son goût exquis. Elle appela son copain, qui à son tour, goûtant la petite chatte tuméfiée, fut saisi d’étonnement. Daphné, appuyée à Béatrice, jambes largement écartées, lui avait entouré le cou de ses bras et répondait avec tendresse à son baiser de feu.
La belle rousse chuchotait maintenant à l’oreille de Daphné, tout en la caressant, Celle-ci lui répondit, dans un murmure semblant ne pas être d’accord, secouant négativement sa jolie tête. Elles discutèrent, ainsi, un long moment, et Béatrice finit par l’emporter : Daphné acceptait, hochant la tête.
Béatrice aida, la douce soumise, à se redresser, et la fit mettre à quatre pattes, regardant les autres avec un air de triomphe : sa belle faisait ce qu’elle lui ordonnait !
Elle releva la petite robe légère et la remonta en corolle, dévoilant ainsi le joli petit derrière de la mignonne.
Le type qui se tenait maintenant devant Daphné, lui présenta son chibre turgide, Daphné, leva les yeux vers lui et – soumise – engloutit le gland et commença à le sucer… elle adorait cela ! Ce qui l’inquiétait était plutôt ce que Béatrice projetait : les deux filles allaient la fister, l’une lui prenant la chatte, l’autre sa rosette ! Elle adorait se faire sodomiser, mais n’avait jamais été fistée… Elle le redoutait, mais en même temps, cette nouvelle expérience l’excitait au plus haut point. Le doux supplice que venait de lui faire subir son impérieuse maîtresse l’avait mise dans un tel état d’excitation, qu’elle ne voulait plus, ne pouvait plus s’arrêter, elle voulait jouir, jouir et jouir encore…Son cœur battant la chamade, le tambour du sang à ses tempes, dans un vertige, elle se prépara à son sacrifice.
Béatrice lui fit du geste creuser les reins et se cambrer, elle écarta les jolies petites fesses et, découvrant son œillet froncé, se mit à l’embrasser et à le lécher, faisant gémir la belle, elle y darda sa langue à plusieurs reprises, la faisant râler.
Puis, s’emparant du tube de cold-cream, elle en plaça l’embout sur la jolie armille et, appuyant sur le tube, en oignit son anneau, en faisant pénétrer une bonne quantité dans son fourreau. Elle s’enduisit ensuite copieusement la main de liniment, puis l’approcha de sa tendre victime, enjoignant sa comparse d’attendre…
Daphné sentit les doigts de sa maîtresse commencer à s’insinuer dans son fourreau. Elle sentit que Béatrice en avait introduit les premières phalanges dans son orifice. Doucement, celle-ci poussa encore ses doigts que Daphné sentit pénétrer encore plus profondément… les jointures vinrent buter sur ses sphincters, elle sentait la douleur commencer à irradier son fondement. Pendant ce temps, la brune caressait son petit con ruisselant de mouille et son bourgeon turgide, embrassait ses fesses.
Béatrice se mit à donner alors, un mouvement tournant à son poignet, qu’elle accompagnait de brefs à-coups répétés. Daphné gémissait.
Pour Béa, ce spectacle était une véritable jouissance ! Voir sa main distendre l’étroit anneau et s’enfoncer entre les jolies petites fesses de sa belle l’excitait au plus haut point.
La belle rousse, d’une poussée plus appuyée, fit enfin céder les sphincters de la belle, et projetant Daphné dans une déflagration de jouissance, sa main s’enfonça aux tréfonds du ventre de la jolie blonde, qui hurla de douleur et de volupté.
Les deux autres, fascinés, ne perdaient rien du luxurieux spectacle qui les subjuguait.
D’abord, doucement, Béatrice ramena sa main pour l’enfoncer à nouveau, lentement, profondément, tordue de jouissance, dans l’intimité soyeuse de sa belle maîtresse. Daphné se cambrait, se tordait, éprouvant des orgasmes répétés, au gré de la main de Béatrice, qui allait et venait de plus en plus puissamment et violemment en elle, la faisant crier de plaisir.
À ce moment, Béatrice ralentit, et arrêta ses mouvements, mais garda sa main, enfouie jusqu’au poignet, dans l’antre de Cookie qui, geignant, jouissait, agitée de spasmes et de tremblements.
Puis, la belle tortionnaire fit signe à la jolie brune, hypnotisée par la scène, qu’elle pouvait intervenir.
Se saisissant du tube de cold-cream, celle-ci versa ce qui restait du contenu, sur sa main droite, l’étala, et, le regard farouche, excitée par l’intensité de l’expérience qu’elle s’apprêtait à vivre, haletante, elle approcha sa main, tremblante, dont elle avait ramassé les doigts, luisants de liniment, du petit con béant.
Doucement, les dents serrées, elle fit entrer les premières phalanges. Déjà, Daphné commençait à manifester des signes de douleur, ses petits geignements plaintifs le disaient clairement. Alors, la fille poussa plus fort, commençant à vriller sa main. Béatrice gardait intensément les yeux fixés sur ce spectacle qui la fascinait, mais ne bougeait pas. Daphné gémissait de plus belle et s’était arrêtée de sucer le type. La brune poussa encore sa main qui progressa dans l’antre de la mignonne, qui haletait et gémissait tout à la fois. Elle vrilla encore plusieurs fois sa main puis, s’arc-boutant et détendant fortement son bras, elle écartela le tendre petit con et s’engloutit aux tréfonds du ventre de la pauvrette violentée qui hurla… il n’y avait trace d’aucun plaisir dans ce cri qui n’était que l’expression d’une surprise, d’une incompréhension et d’une souffrance intenses. Béatrice eut un regard sévère pour la fille. Celle-ci se mordit la lèvre et dit à mi-voix :
Daphné sanglotait… Le gars se baissa vers elle et, très doucement, très tendrement, l’embrassa, sécha ses larmes, lui murmurant des mots doux, il caressait son visage. La douleur décrut, elle se calma. Elle soupira longuement. Puis, eut cette prière :
Ils se regardèrent.
Le gars se baissa à nouveau sur Daphné, l’embrassa passionnément, caressa son beau visage, lui murmurant :
La jolie brune caressait et embrassait tendrement ses reins.
Ce fut Béatrice qui commença, doucement elle retira sa main, très peu, puis la ramena dans l’antre soyeux de sa belle, qui gémit doucement :
Béatrice fit un signe à la brune… C’était à elle.
Avec une grande délicatesse, elle tourna lentement sa main, et encore… doucement… comme attentive.
Daphné eut encore un doux « Oh ! Oui… ! » qui disait ce qu’elle attendait. Elle murmura au gars :
Doucement, il prit son visage dans ses mains, et amena son gland sur la belle bouche qui l’accueillit… Elle le suçait, se faisant simplement plaisir, c’était divin… ! Éprouvant un sentiment de gratitude intense, il caressait le visage de cette merveilleuse fille, qu’il ne connaissait pas, et qui lui faisait découvrir une des plus grandes émotions érotiques qu’il n’eût jamais éprouvée jusque là. Celle qui, il y avait encore peu, lui serait apparue comme une fieffée salope, lui faisait découvrir ce qu’était une vraie femme.
Ses deux maîtresses, reprenant doucement de lents et délicats mouvements, éveillèrent en Daphné le subtil réseau de ses sensations exacerbées, elle se mit à soupirer profondément et à produire de petits râles qui disaient que ses deux amantes lui procuraient un plaisir qui s’accroissait et qu’elle manifestait, maintenant, par des gémissements de plus en plus lascifs. Aussi petit à petit, se mirent-elles à intensifier leurs mouvements qui, s’ils demeuraient lents et mesurés, n’en gagnaient pas moins en puissance. Aux cris et râles, que poussait la jolie suppliciée, il ne faisait aucun doute qu’elle jouissait comme une bête. Béatrice, qui au début se maîtrisait et ménageait le petit anneau de sa belle, était gagnée par une excitation farouche, fascinée par la vue de sa main, ressortant presque entièrement du fondement de la jolie victime pour y replonger jusqu’au poignet alors que celle-ci hurlait de jouissance, la transportait. Elle pouvait voir, en même temps, la main de la belle brune, dont le regard était affolé de stupre et de luxure, distendre et violenter la petite chatte, inondée de mouille, et s’enfoncer dans le ventre de soie. La belle suppliciée hurlait de volupté salace, suppliant ses deux tortionnaires de continuer à la faire jouir, encore… Elle ne pouvait plus prodiguer au gars sa délicieuse caresse, tant elle était accaparée par sa jouissance… lui se masturbait, frottant son gland turgescent sur le visage de Cookie.
Alors qu’elle maintenait sa main profondément enfoncée dans la chatte distendue de Daphné, la brune, râlant d’excitation, approcha son visage de Béatrice, et la bouche déjà ouverte sur sa langue offerte, embrassa celle de la belle rousse qui de sa main libre l’attira à elle pour un baiser des plus lubriques.
Comme d’un commun accord elles enfoncèrent leur main au tréfonds du ventre de la jolie martyre, lui arrachant un cri alors qu’elle se tétanisait, secouée de spasmes et de convulsions, au paroxysme de la jouissance dans une transe de tout son corps.
Le gars, dans un long râle, jouit et déchargea à longs jets épais sur son visage et dans sa bouche ouverte sur son cri, le sperme s’écoulant en lourdes rigoles sur ses lèvres et ses joues.
Alors, exténuée, ivre de douleur, de jouissance et de stupre, elle se laissa aller, vaincue par son plaisir et s’affala dans l’herbe, se libérant par ce mouvement des mains intruses.
Elle gisait, étendue sur ce bout de pelouse, épuisée, comblée, dévastée…heureuse.
Ses maîtresses et son amant s’allongèrent auprès d’elle, et la caressant, se mirent à l’embrasser tour à tour avec douceur et révérence. Elle les caressait, elle aussi, se laissant embrasser, pleine de gratitude pour tout ce plaisir qu’ils venaient de lui donner…
Au zénith, une étoile très brillante qu’elle seule pouvait voir… la jolie Daphné n’en connaissait pas le nom, mais elle la trouvait très belle.
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She’s as sweet as a cookie !: Elle est aussi sucrée qu’un cookie !