n° 20913 | Fiche technique | 12330 caractères | 12330 2169 Temps de lecture estimé : 9 mn |
14/05/22 |
Résumé: Clara voit une annonce pour un boulot de serveuse. Elle va devoir user de tous ses charmes pour décrocher le job… | ||||
Critères: fh collègues travail collection fellation journal humour -occasion -fellation | ||||
Auteur : Lauthony (Passionné d’écriture, j’aime voyager entre les genres) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Service à table ! Chapitre 01 | Épisode suivant |
Journal intime – Clara
Jour 1
On a parfois le sentiment, quand on commence à faire quelque chose, qu’on est en train de faire une très grosse bêtise, mais qu’une fois qu’on y est, autant aller jusqu’au bout.
Eh bien, j’étais en ce moment exactement dans cet état d’esprit.
Je savais que je n’aurais pas dû chauffer le collègue de mon père quand il est venu prendre l’apéritif chez nous. Je savais également que lui faire du pied sous la table était une idée particulièrement stupide quand il est revenu la semaine suivante. De même, ne pas mettre de culotte sous ma jupe et lui montrer mes fesses nues quand il est arrivé aujourd’hui n’était pas particulièrement malin. Donc, autant vous dire que, quand il a proposé de m’accompagner au sous-sol pour remonter des bouteilles, je savais parfaitement ce qui m’attendait.
Je n’ai pas fait ça pour emmerder mes parents. Je n’ai pas un esprit de rébellion particulièrement développé. J’en avais vraiment envie.
Depuis que j’ai commencé ma vie sexuelle, j’ai du mal à me passer de relations régulières. Je pense même être beaucoup plus curieuse à ce sujet que la plupart des gens. Après quelques expériences décevantes à la fac, j’ai tenté ma chance dans un club libertin, histoire de voir si tous les mecs étaient aussi mauvais. Autant dire qu’une petite jeune femme de 19 ans qui arrive seule dans ce genre d’endroit est accueillie à bras ouverts. Ça a été une révélation. J’ai adoré ça. Avoir autant de mecs à utiliser, me faire baiser des nuits entières par plusieurs types, c’était le pied. Mais, depuis deux ans, ça m’a donné de mauvaises habitudes. Quand j’ai envie de quelque chose, je le prends…
Et c’est là que nous revenons au collègue de mon père.
Philippe a la petite cinquantaine, athlétique, sympathique. Récemment divorcé, il vient souvent boire une bière avec mon père. Je ne suis pas particulièrement attirée par les cinquantenaires, mais j’ai toujours été très intriguée par Philippe pour une raison : ses « exploits » avec les femmes. J’ai surpris des conversations entre mes parents dans lesquelles mon père racontait comment Philippe couchait avec absolument toutes les femmes qu’il souhaitait et qu’il avait une réputation de très bon amant. J’avais très envie de vérifier ces rumeurs.
Mais retournons au sous-sol de la maison de mes parents. Nous sommes devant le frigo, tendant l’oreille au bas de l’escalier pour vérifier que personne ne descend. Il me prend la main qu’il pose sur son jean. Il bande dur.
Je serre sa queue plus fort, ce qui le fait expirer bruyamment.
J’ouvre sa ceinture, baisse la fermeture de son pantalon et me mets à genoux devant lui. Il a une belle queue que je me dépêche d’engloutir. Il est tellement excité que son gland est déjà humide et salé.
Il met ses mains dans mes cheveux pour intensifier les mouvements. Ma main enserre la base de sa queue, je laisse la salive s’accumuler dans ma bouche. Je sens que ma caresse et l’excitation de se faire sucer par la fille de son pote vont vite le faire décoller.
Il vient dans ma bouche, j’avale au fur et à mesure tout en continuant mes mouvements.
La voix de mon père me fait subitement redescendre. Philippe écarte ma tête et remonte son pantalon. Je me relève et regarde mon père. J’imagine la vision qu’il doit avoir de moi, les cheveux dans tous les sens et la bouche encore humide de salive. Il regarde son ami.
Philippe semble sur le point de répondre mais, devant l’air déterminé de mon père, remonte l’escalier.
C’est ce que j’ai choisi. Et je pensais être dans une sacrée merde jusqu’à ce que je vois cette annonce : « Recherche serveur(se) ».
Pourquoi pas ?
***
Journal intime – Stéphane
Jour 1
Si vous vous attendez, en lisant ces mémoires, à trouver l’histoire d’un séducteur repenti ayant trouvé l’amour, vous pouvez refermer ces carnets maintenant.
Ça arrivera peut-être un jour. Je l’espère même. Mais en attendant de trouver quelqu’un qui partagerait les mêmes envies que moi – ce qui, vous allez vite vous en rendre compte, n’est pas chose aisée – je profite.
Je m’appelle Stéphane, j’ai un petit resto dans Paris. Il marche plutôt bien, je vis confortablement. J’ai un cuisinier, une serveuse. Tiens, je pourrais peut-être commencer par vous raconter comment je l’ai embauchée…
Depuis deux semaines, je cherche une serveuse. La dernière m’a planté pour partir avec un client, et depuis, je galère tout seul en salle.
Des CV j’en ai reçu, mais c’est important de trouver quelqu’un avec qui le contact passe bien. On passe nos journées ensemble, il faut un minimum d’atomes crochus. Beaucoup d’étudiants passent, leur CV à la main. Ils pensent juste me le déposer, mais j’en profite pour leur proposer de rester prendre un café, histoire de faire connaissance. C’est comme ça que Clara est entrée un jour.
J’entends la clochette accrochée en haut de la porte et une jolie petite brunette passe le seuil. Elle me regarde franchement, sans timidité. Tout ça change agréablement des autres étudiants, parfois très timides.
Je sors de derrière le bar et tends la main pour saisir la feuille de papier qu’elle a à la main.
Je la parcours rapidement.
Je jette un nouveau coup d’œil à son maigre CV. Elle me fait bonne impression, je lui propose tout de même un entretien.
Je vois les derniers clients réclamer leur addition.
Je sors la note et prends l’appareil à carte bleue pour encaisser les clients. Une fois ceux-ci partis, je ferme la porte, baisse en partie le rideau avant de proposer à Clara de prendre place sur un des canapés qui meublent le restaurant. Je nous sers deux cafés avant de prendre place face à elle.
J’apprécie sa franchise. Je sens qu’on pourrait bien s’entendre. On passe encore quelques minutes à discuter horaires et missions. J’ai un peu peur de son manque d’expérience, mais humainement, ça pourrait vraiment le faire.
Elle me regarde en souriant et se rapproche d’un air conspirateur.
J’imagine que ce n’est pas ce que je pense. Mais ma queue ne le voit pas de cette façon. Entre son air coquin et les images qu’elle a fait naître dans ma tête, je me sens durcir à toute vitesse.
Je ne peux pas m’empêcher de demander :
Putain.
Je ne peux plus me lever tellement je bande. Elle baisse les yeux et s’en rend compte. Elle sourit.
Je meurs d’envie de me caresser. Si elle n’assume pas ce qu’elle est en train de me dire, je suis bon pour une branlette sitôt la porte refermée sur elle.
Je tente :
Elle se lève pour se placer devant moi. Je pousse la table basse du pied pour qu’elle puisse s’approcher davantage.
Elle défait la boucle de ma ceinture sans me quitter des yeux. Cette fille a un culot incroyable. Elle baisse la fermeture éclair et se saisit de ma verge d’une main experte.
Elle sort sa langue et parcourt toute ma longueur jusqu’au gland. Elle tourne sa langue autour de celui-ci avant de prendre toute ma longueur dans sa bouche. Je me sens glisser, c’est mouillé, sa gorge touche mon gland. C’est trop bon.
Sans me toucher avec ses mains, elle fait profondément coulisser mon membre entre ses lèvres. Je vois le haut de sa tête bouger, sa bouche est remplie de salive, elle bouge de plus en plus vite. J’ai envie d’aller plus loin, je saisis ses cheveux et guide sa tête pour qu’elle me prenne encore plus loin.
Je donne le rythme en appuyant et en relevant sa tête. J’ai l’impression de lui baiser la bouche. Elle tortille sa langue autour du gland dès qu’elle le peut.
À quatre pattes comme ça, elle est sacrément excitante. Elle a un cul magnifique. Je vois sa main disparaître entre ses jambes. Elle est en train de se doigter pendant qu’elle me suce. Cette fille est une bombe. Sa bouche est comme une gaine de velours sur ma queue, elle sait exactement quelle pression exercer pour que ce soit une pipe magnifique.
Je me relève, elle prend ma place et s’étend face à moi. Sans aucune pudeur, elle écarte les jambes et s’enfonce deux doigts dans la chatte. Elle semble sur le point de jouir. Son front est luisant de sueur, elle enfonce frénétiquement ses doigts dans sa fente en me regardant.
Je frôle son clitoris doucement, ce qui la fait se cambrer. Elle mouille tellement que je n’ai qu’à me servir pour lubrifier sa perle et faire glisser mon pouce dessus. Je vois ses jambes qui commencent à trembler, je saisis ma queue et commence à me branler au-dessus de son visage.
Je me branle fermement au-dessus de sa bouche ouverte. Le tableau qu’elle m’offre me fait décoller.
Mon sperme jaillit et lui éclabousse le visage. De la main qui lui reste, elle le récupère et se lèche les doigts. Elle se cambre et jouit pendant que je me vide dans sa bouche.
Elle me regarde dans les yeux pendant qu’elle avale. Elle se penche ensuite pour nettoyer ma queue de sa langue.
Ce jour-là, je n’ai découvert qu’une partie des talents de Clara. Elle n’avait pas menti en disant qu’elle était débrouillarde, elle est une excellente serveuse.
Entre autres…