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Temps de lecture estimé : 11 mn
19/05/22
Résumé:  Stéphane a rendez-vous avec un commercial, ce qui lui laisse à penser que l’après-midi va être très long. Il va découvrir, avec surprise, de nouveaux plaisirs inattendus.
Critères:  h fh hh hbi collègues caférestau fellation anulingus fsodo hdanus hsodo -totalsexe -bisex
Auteur : Lauthony  (Passionné d’écriture, je voyage entre les genres)      Envoi mini-message

Série : Service à table !

Chapitre 02
Après-midi de négociation...

Résumé de l’épisode précédent :

Stéphane possède un restaurant dans Paris. À l’occasion d’un entretien d’embauche très chaud, il a trouvé une nouvelle serveuse avec qui il partage bon nombre d’atomes crochus.








Carnet 1 – Stéphane

Rencontre avec Matthieu



Quand on tient un restaurant, on ne fait pas que cuisiner et servir. Il y a beaucoup de travail administratif, entre autres avec les fournisseurs.

Aujourd’hui, j’avais un rendez-vous prévu après le service avec un représentant d’une grande marque d’alcool. Je détestais ce genre de négo. Il allait essayer de me refourguer des cadeaux en échange de l’achat d’un nombre exorbitant de bouteilles. Mais ça fait partie du boulot pour espérer gratter une ristourne à l’occasion.



Je saisissais parfaitement le sens du mot « bosser » dans ce contexte. Régulièrement, on montait dans mon appartement pour prendre du bon temps l’après-midi. Parfois, après un service particulièrement difficile, je fermais juste la porte une fois les derniers clients et Serge partis, et je la baisais furieusement contre le bar.



La salle principale est vide, il ne reste que quatre clients dans la petite salle du fond.



Elle s’approche de moi et soulève sa jupe. Je glisse la main dans sa culotte. Elle est complètement mouillée. Pas besoin de la préparer, ma queue glisserait d’un coup au fond d’elle.



Elle s’exécute et, en se penchant, se met fesses en arrière. Je fais glisser sa culotte sur le côté et enfonce deux doigts dans sa chatte.



On entend les clients dans le fond, ils ne peuvent pas nous voir.

Je doigte Clara de plus en plus vite, elle a fermé les yeux et se concentre pour ne pas crier.

Au bout de quelques instants, je la sens se contracter avant d’exploser autour de mes doigts.

Je ressors la main de sous sa jupe et suce mes doigts en la regardant.



Il n’arriva pas tout de suite. Mais même si la pression était retombée, je regrettais tout de même de ne pas avoir le temps d’entraîner ma jolie serveuse à l’étage pour évacuer la pression.


À 14 h 30, les derniers clients partis, je finissais de ranger la vaisselle quand on tapa à la porte.

Un grand brun en costume, avec sacoche à la main, me fit signe.



Elle jette un coup d’œil dehors.



Elle m’avait laissé sans voix.



J’allais ouvrir la porte et accueillais le commercial d’une poignée de main.



Je le dirige vers une table, où il s’installe.



Je prends un bloc-notes et m’installe face à Matthieu.

Clara nous apporte nos cafés et jette un coup d’œil intéressé au représentant.

Celui-ci le remarque et rougit légèrement.



Il me propose d’acheter des bouteilles de Vodka pour réaliser des cocktails pour la Saint-Valentin. En échange d’un certain nombre de cartons offerts, la marque offre des bijoux réalisés en collaboration avec une grande marque de bijouterie.



Nous passons quelques minutes à discuter tarifs et mise en avant de ses produits. Le type est bon. Il sait bien vendre son produit sans donner l’air de forcer.



Je regarde Matthieu du regard, qui acquiesce.

Clara nous dépose nos tasses, et retourne vers le bar pour prendre son sac, en roulant clairement des hanches.



Je regarde l’homme en face de moi et lui dit :



Il rougit légèrement.



Nous continuons à discuter contrat et je ne peux m’empêcher de l’imaginer en train de baiser un autre homme. J’ai eu quelques expériences avec des hommes, à la fac, qui se sont limitées à des attouchements lors de soirées avinées. On m’a branlé, sucé, mais je crois que j’étais vraiment trop bourré car j’en garde très peu de souvenirs. Matthieu a une belle bouche. Est-ce qu’il suce bien ?

La séance avec Clara tout à l’heure et la frustration engendrée par celle-ci commencent à me mettre des idées inhabituelles dans la tête.



Je réfléchis quelques secondes avant de lancer la fin de ma phrase :



Il rougit fortement, ne sachant quoi répondre.



Je ponctue ma phrase d’une longue caresse sur ma queue, dont la forme est clairement visible à travers mon jean. Il semble hypnotisé par mon geste.



Je me lève et active la fermeture du rideau.

Je me retourne vers lui, mon bassin se trouve à la hauteur de son torse.



Il a l’air hésitant, mais ses mains se lèvent doucement pour défaire la ceinture de mon jean.

Il baisse mon caleçon. Je bande tellement que ma queue jaillit littéralement devant son visage.

Matthieu me regarde et me dit :



Il ouvre la bouche et me gobe d’un coup. Il a des gestes francs, presque brutaux. Les femmes ont toujours tendance à avoir peur de nous faire mal. Lui, il sait que serrer fortement une queue ne va pas la casser. Il enserre la base de ma bite de sa main et coordonne ses gestes sur le mouvement de sa bouche.



J’ai l’impression d’avoir la queue dans un étau, c’est trop, trop bon.

Il garde ma bite dans sa bouche, mais ses mains sont désormais sur mes fesses qu’il pousse pour me faire entrer plus profondément dans sa bouche. Il a le nez dans mes poils, il me fait gorge profonde sur gorge profonde.

Il retire mon membre de sa bouche et me regarde.



Il me prend au mot et glisse un doigt entre ses lèvres pour l’enduire de salive.

Je le sens glisser le long de ma raie avant de caresser mon anus. Il reprend ma queue en bouche et enfonce son doigt sans hésitation.

C’est déstabilisant mais rapidement les sensations combinées de sa bouche et de son doigt rendent l’expérience incroyable.



Il accélère le rythme et ajoute un deuxième doigt dans mon cul.



Je saisis son visage et l’écarte de ma queue. La sensation de sa barbe naissante sur mes mains est étrange.

Je suis devant lui, le pantalon sur les chevilles, alors que lui est en costume en train de me caresser les couilles.



Je remonte rapidement mon jean et file dans ma chambre pour choper une capote et du lubrifiant.

Cinq minutes plus tard, j’ai ses jambes sur les épaules et ma queue profondément enfoncée dans son cul. C’est rentré tout seul. Il m’a demandé de lui lécher la rondelle et de le doigter et sans lubrifiant, ma queue est allée se ficher directement au fond.

C’est étrange de baiser un mec. Pendant que je lui laboure le cul sans aucune douceur, il a sa queue dans la main et se branle en rythme.



Je saisis ses jambes plus fermement et accélère le mouvement. C’est incroyable. Je n’ai pas une petite queue, loin de là, et il la reçoit sans broncher, semblant même en réclamer plus.



Il accélère les mouvements sur sa queue et je prends son rythme.

Au bout de quelques instants, il jouit, sa bite lançant des jets de foutre sur son torse.

Je craque aussi et remplis la capote de sperme.

On se regarde, haletants. Du doigt, il ramasse une traînée de sperme qu’il étale sur mes lèvres. Le goût salé est inédit pour moi. Je prends le doigt dans ma bouche pour mieux le goûter.



Le rendez-vous est pris.


Après son départ, je reste dans le canapé près du bar, me refaisant le film de l’après-midi. Même si j’ai toujours été ouvert aux expériences, baiser le représentant en alcool n’est pas quelque chose que j’aurais envisagé ce matin.

Le fait d’y repenser me fait rebander. Je lui ai proposé de rester un peu – après tout, pourquoi attendre Pâques ? – mais il avait d’autres rendez-vous dans l’après-midi.

J’ouvre mon jean et me caresse, les yeux fermés. Putain, j’ai encore envie. Depuis l’arrivée de Clara, j’ai l’impression que je suis devenu insatiable.

Sans lâcher ma queue, je prends mon téléphone et appelle ma serveuse.



Elle raccroche. Je la connais maintenant assez pour savoir qu’elle va rappliquer très vite.

Je me lâche pour essayer de faire redescendre la pression. Putain, cette expérience m’a mis dans un état…


Quand Clara arrive, je la prends par la main, lui retire sa robe et la positionne sur la table comme Matthieu une heure plus tôt.

Je prends une chaise que je positionne entre ses jambes, et sans préliminaires, passe ma langue le long de sa fente. J’ai ressorti ma queue que je branle pendant que je la lèche.



J’arrête de la lécher un instant pour lui parler.



Tout en parlant, je continue mes mouvements de doigts.



Elle se redresse sur les coudes pour me regarder. Je continue mon manège avec les doigts et recommence à lécher son clitoris.



Elle acquiesce et s’occupe elle-même de sa chatte pendant que je me redresse.



Je joins l’acte à la parole et me penche pour lui enfoncer la langue dans le cul.



Je lui doigte le cul, tout en continuant de la lécher.

Elle se tortille dans tous les sens, se pince les bouts-de-sein en attendant la suite.



Comme je ne sais pas si Clara est aussi habituée à la sodomie que Matthieu, j’enduis ma queue de lubrifiant avant de la pénétrer.

Elle halète, je lui mets les jambes sur mes épaules et commence à la baiser comme j’ai baisé Matthieu.



Cette fille est vraiment une folle du cul. J’ai l’impression que je pourrais tout faire avec elle.

Je lèche mon pouce et la caresse pendant que je la prends. J’essaye de varier le rythme pour ne pas la faire vriller trop tôt.

Au bout d’un moment, je sens la pression habituelle au creux de mes reins qui m’indique que je vais bientôt éjaculer.

Je la préviens.



Elle ne parle pas mais hoche la tête. Je lui prends les jambes et redouble d’efforts pour l’emmener avec moi. Elle me remplace sur son clitoris et en profite pour s’enfoncer deux doigts dans la chatte.



J’explose en même temps qu’elle. Je lui remplis le cul de mon foutre. C’est vraiment trop bon.

Je me retire et baisse la tête pour lui passer un dernier coup de langue sur le clitoris, qui la fait tressaillir.



Je ris.



Je lui tends la main pour qu’elle se redresse.