n° 20936 | Fiche technique | 17930 caractères | 17930Temps de lecture estimé : 13 mn | 30/05/22 |
Résumé: Notre amie Lucia se joint à moi pour offrir à mon mari Maxime un anniversaire inoubliable. | ||||
Critères: ff ffh fbi couplus anniversai caresses intermast fellation cunnilingu 69 pénétratio confession -couplea3 | ||||
Auteur : Camille.R Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
Maxime et moi avons commencé à tester ensemble le libertinage en couple. Nous nous découvrons et progressons dans nos plaisirs partagés.
J’aime le style direct de Lucia. Nous convenons qu’elle viendra chez nous le jour J à 18 h, pour être sûres d’être là quand Maxime rentrera du travail, vers 18 h 30.
Quelques jours avant la date, je dis à Maxime que je voudrais l’inviter à sortir le soir de son anniversaire, mais que le lieu sera une surprise. L’important, c’est qu’il s’arrange pour ne pas avoir à rester tard au bureau, comme cela arrive parfois. Il semble enchanté de la proposition.
De mon côté, je prends une demi-journée de congé, histoire de préparer un peu la soirée. Comme nous n’allons en fait pas sortir, je prévois de quoi dîner pour tous les trois. Avec la chaleur de juillet, le mieux est de faire dans le frais et léger : melon, gambas. Champagne au frais, et bien sûr, un gâteau et des bougies.
Je suis tout juste prête lorsque Lucia se présente, un paquet emballé à la main. Nous nous faisons une chaste bise sur le pas de la porte. Lucia entre, et ôte la légère chemise qu’elle porte en guise de veste par-dessus son T-shirt coloré. Dès qu’elle a posé son sac à main et son paquet, nous nous étreignons avec fougue. Je retrouve avec joie son corps contre le mien. Nous nous embrassons pendant un bon moment, jouant avec nos langues, et laissant nos mains se balader par-dessus les minces étoffes de nos vêtements d’été. Avant que ça ne dégénère, je souffle à l’oreille de Lucia :
Nous avons du mal à nous séparer, mais nous savons que c’est très temporaire. Nous transportons les affaires de Lucia dans la chambre pour que Maxime ne les voie pas en arrivant. Nous scotchons au mur deux flèches en papier coloré que j’ai préparées pour guider Maxime de la porte d’entrée jusqu’à la chambre. J’ai juste écrit dessus « Par ici ». Je vérifie une dernière fois que je n’ai pas laissé traîner d’indice, et nous allons toutes deux dans la chambre. Lucia me propose :
Elle rit, car en l’occurrence, la tenue est on ne peut plus simple : nues comme deux Ève. Nous nous déshabillons rapidement, en prenant soin de ranger nos vêtements dans un placard. Nos attitudes évoquent celles de sportives ou de techniciennes axées sur leur mission à venir, et nos mouvements, rapides et précis, n’ont rien d’un strip-tease évocateur. Pourtant, je ne peux m’empêcher d’admirer le corps de Lucia. Je le connais à la fois si peu et si intimement. Elle me regarde aussi, de haut en bas. Puis nos yeux se croisent, nous nous fixons réciproquement quelques longues secondes. Son regard suffit à me donner des frissons. Mes mains se souviennent des courbes de ses seins, de ses hanches, et du doux contact de sa toison brune.
Comme deux aimants, nous nous approchons l’une de l’autre, franchissons le mètre qui nous sépare. Le contact de sa peau me fait frémir de désir. Nous ne pouvons nous empêcher de reprendre baisers et caresses. Les mains de Lucia font naître toute une gamme de sensations sur mon corps. Je me saoule du parfum de sa peau. Nos ventres, nos seins se touchent, se frottent. Je n’y tiens plus, je nous fais basculer sur le lit. Nous roulons l’une sur l’autre en riant. Elle finit sur le dos, je suis sur elle. Seins contre seins, ventre contre ventre, nous échangeons un long baiser. Je m’écarte pour la caresser. Je pose ma main sur son mont de Vénus. Elle soupire et tend une main vers mes seins. Elle se contorsionne pour pouvoir me caresser les fesses. Je fais rouler son clitoris sous mes doigts. Puis sa main descend derrière ma cuisse et parvient à mon sexe, s’y immisce. Je l’attendais, je l’accueille. Nos caresses nous tirent de longs soupirs.
Tout à coup, Lucia se fige et lance :
Je tournais le dos à la porte, et j’étais si absorbée que ne l’ai pas vu arriver. Il a évidemment suivi les flèches depuis l’entrée de la maison. Je suppose qu’il n’avait aucune raison de le faire discrètement. Mais je n’ai rien entendu, et le voilà dans l’embrasure de la porte. Il est soufflé par le spectacle que nous offrons. Il nous regarde, immobile, il sourit. Je m’écrie :
Je réalise que la surprise à double détente est passée aux oubliettes. Pas grave, j’enchaîne :
Maxime se déshabille en dix secondes, pendant lesquelles nous avons le temps de reprendre nos caresses. Même si l’interruption nous a un peu fait redescendre la colline de plaisir que nous gravissions lentement, nous retrouvons tout de suite le chemin vers le haut. Maxime nous rejoint, son sexe déjà à moitié dressé. Il s’allonge auprès de nous et caresse nos deux corps, chacun avec une main. Il s’attarde sur nos seins, les embrasse l’un après l’autre, les lèche. Nos respirations se font profondes. Lucia, tout en caressant mon sexe d’une main, tend l’autre vers le sexe de Maxime. C’est vrai qu’après tout, elle est là pour lui. Il bande complètement, et elle l’attire pour pouvoir prendre son sexe en bouche. Tout en le suçant, elle continue à jouir avec moi.
Maxime caresse longuement les seins de Lucia, puis sa main descend vers son sexe, que je n’ai pas cessé de caresser. Nos doigts se partagent la vulve échaudée. Maxime se penche et commence à la lécher, et ils se retrouvent en soixante-neuf, tandis que Lucia continue de me caresser. Maxime joue de la langue sur le clitoris de Lucia, pendant que j’introduis deux doigts dans son vagin. De mon autre main, je caresse mes seins.
Tout en jouissant, Lucia suce la bite de mon mari et lui caresse les couilles. J’estime qu’elle est assez sollicitée comme ça, et je remplace sa main sur mon sexe par ma propre main. Lucia me laisse faire, et sa main quitte mon pubis pour folâtrer distraitement sur mon corps. Sans cesser de doigter Lucia qui pompe Maxime, je me masturbe avec délectation. Lucia gémit et se cabre de plus en plus. Mon plaisir monte doucement, mais c’est Lucia qui est au plus haut. Elle pompe de plus en plus profondément le sexe de Maxime, lui arrachant des râles de plaisir. J’ai l’impression qu’elle ne contrôle plus rien, elle jouit au rythme que nous lui imposons. Elle respire à grand-peine tout en engloutissant à fond la bite de Maxime.
Je sens venir l’explosion, et j’intensifie ma pénétration digitale en Lucia, et en moi-même. Maxime crie et tout à coup décharge, tandis que Lucia se tend en un orgasme sonore. J’ai envie d’applaudir. Je laisse mes doigts plantés dans mon vagin, mais je cesse de me caresser : je me suis immobilisée en même temps que les acteurs de mon spectacle érotique privé. Je ne suis pas allée au bout de mon plaisir, mais je ne me sens pas vraiment frustrée : je me mets juste en attente. Maxime et Lucia se détendent, et nous nous enlaçons tous les trois.
Je décrète qu’une pause nous fera du bien. Je me lève, sors mon T-shirt du placard où je l’avais dissimulé, l’enfile et me dirige vers la cuisine. Je vais installer la table pour le dîner d’anniversaire de mon mari. Tout est déjà prêt, je n’ai plus qu’à poser assiettes, verres et couverts, sortir les plats et le champagne. Lucia et Maxime me rejoignent bientôt. Comme moi, elle a remis uniquement son T-shirt, tandis que Maxime a récupéré son caleçon, en plus d’un T-shirt. Ils m’aident à dresser la table, et nous dînons tous les trois.
Maxime est évidemment heureux de partager ce repas avec deux femmes qui, dès qu’elles se lèvent, exhibent fesses galbées et minous délicatement frisés. Bien entendu, la conversation ne s’oriente pas vers la conjoncture économique ou les évolutions de la littérature contemporaine. Maxime, qui s’attendait à ce que la soirée soit un classique restaurant romantique, me remercie pour la surprise. Il remercie aussi Lucia de s’être prêtée au jeu. Lucia répond qu’elle est fière que j’aie pensé à elle pour ça. Fière, et contente, aussi, car elle avoue être un peu en manque de sexe :
J’approuve en hochant la tête.
Maxime et moi demandons en même temps :
Elle hésite.
Je me tourne vers Maxime, et lui demande d’un coup :
Sans bien comprendre, il s’exécute. Dès qu’il est debout, Lucia éclate de rire, et moi avec : comme je l’avais prévu, la conversation que nous venons d’avoir entre femmes l’a excité, et ce n’est pas le simple caleçon qu’il porte qui peut masquer son début d’érection. Maxime comprend vite ce qui nous fait rire, et se rassoit en riant à son tour. Je reprends :
Tout le monde est émoustillé, alors le repas ne traîne pas. Nous sacrifions quand même à la tradition : gâteau, bougies, chanson de joyeux anniversaire, remise de cadeaux, champagne. Ceci fait, nous regagnons la chambre. Lucia propose, en s’adressant à moi :
Il ne réfléchit pas bien longtemps :
Nous le poussons sur le lit, et nous ôtons nos T-shirts en même temps, comme si nous avions répété une chorégraphie. Puis lui retirons à Maxime son caleçon pendant qu’il s’occupe de son propre T-shirt. Nous prenons son sexe, déjà à moitié en érection, d’abord dans nos mains. Puis j’attire un peu Lucia vers moi, et je frotte le gland de Maxime contre les seins de Lucia. Mon initiative est couronnée de succès : Maxime regarde sa bite caresser les mamelons dressés de Lucia. Je sais qu’il est très excité par sa poitrine, et il durcit rapidement. Puis je me sers de ma langue pour lécher le bout du sexe de mon mari, en alternance avec les seins de Lucia, sur lesquels je continue à le frotter. Les deux me laissent faire, en poussant de langoureux soupirs. Je prends la bite de mon homme, maintenant très dure, dans la bouche, tandis que Lucia lui lèche les couilles. Ensuite, nous échangeons : elle suce pendant que je lèche. Nous alternons ainsi un bon moment, provoquant de longs gémissements. Mais Maxime nous supplie d’arrêter :
Aussitôt dit, aussitôt fait. Nous nous installons en position. Nos minous ont commencé à mouiller pendant la séance de fellation, et ne se plaignent pas qu’on s’occupe d’eux. Lucia me lèche divinement, et je m’applique à lui donner du plaisir en retour. Maxime nous regarde plusieurs minutes, puis ses mains viennent compléter nos caresses. Nous apprécions. Il ne peut s’empêcher de toucher surtout les seins de Lucia, mais je le comprends ! Nous laissons monter notre plaisir, Maxime nous accompagnant de ses caresses. Puis il se positionne derrière Lucia, qui est à quatre pattes au-dessus de moi. Je vois mon Maxime, en contre-plongée, qui tient son sexe dressé dans sa main. Il l’approche du sexe de Lucia, que je suis en train de lécher. Il pose son gland à l’entrée du vagin. Ma langue maintenant, passe des lèvres du sexe de Lucia à l’extrémité du sexe de Maxime. Je sens que Lucia est au comble de l’excitation. Elle me lèche avec de plus en plus d’ardeur, ce dont je ne me plains pas. Elle pose un doigt à l’orée de mon vagin.
Maxime commence à s’introduire, petit à petit. Il est accueilli par un vagin bien disposé, bien préparé par mes coups de langue. J’ai une scène érotique en gros plan pour moi toute seule. L’image, mais aussi tous les autres sens. Je lèche la jonction entre leurs deux sexes. Lucia me pénètre de son doigt, augmentant mon excitation. Maxime entre plus à fond, ressort. De mon côté, je passe du clitoris de Lucia à la bite qui pénètre son vagin. Le va-et-vient de Maxime s’installe dans son rythme, que Lucia reproduit dans mon propre vagin avec un doigt, sans cesser de lécher mon clitoris. Je lui rends la pareille du mieux que je peux, même si les mouvements imprimés par la pénétration de Maxime ne me facilitent pas la tâche. Mais je ne délaisse son bouton que pour passer ma langue sur la bite de mon mari, toute parfumée du goût de Lucia. Elle est prise de plus en plus fort, et je sens ses gémissements se transformer en vibrations contre ma vulve.
Elle me fait maintenant jouir avec deux doigts, qui sont en moi comme une bite. Moins gros qu’une bite, mais plus agiles, car Lucia ne se contente pas de les faire entrer et sortir en les gardant bien raides. Elle leur fait parcourir de délicieuses arabesques dans mon vagin. Le plaisir me gagne en même temps que la bite de mon mari comble Lucia, qui s’agite en tous sens. Je parviens à laisser ma langue tournoyer au contact de son clitoris. Maxime donne de grands coups de reins tout en tenant Lucia aux hanches. Je sens contre ma langue et mes lèvres toute la puissance de ses coups de boutoir. Chacun d’eux fait crier Lucia, qui tremble quelques instants, puis se tend, en même temps qu’elle m’enfonce ses deux doigts à fond. Je sens sur ma langue le frémissement de son orgasme, auquel répond le mien lorsqu’entre deux cris, elle aspire mon clitoris entre ses lèvres. Maxime est entré en elle jusqu’à la garde, et y reste fiché. Du bout de ma langue, glissée à la jonction de leurs deux sexes, je sens très distinctement les pulsions de son éjaculation. Je crois que je vais classer cette position à trois au top de ma liste des bonnes choses de l’existence.
J’ai ressorti une bouteille de champagne, et nous avons fini la soirée en bavardant tranquillement. Après le départ de Lucia, Maxime et moi avons profité d’une bonne nuit de sommeil.