n° 20941 | Fiche technique | 31120 caractères | 31120Temps de lecture estimé : 17 mn | 01/06/22 |
Résumé: La découverte du métier de majordome moderne. | ||||
Critères: fhh candaul grossexe grosseins fsoumise hsoumis hdomine voir exhib -candaul -dominatio | ||||
Auteur : CarpediemAdlib Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Au service de Monsieur et Madame Chapitre 01 / 05 | Épisode suivant |
Moi, Grégoire
Sur les ordres de mes parents, je suis depuis quatre mois au service de Monsieur et Madame Aladur, installés à Palma aux Baléares.
Monsieur travaille pour une grosse entreprise dans les nouvelles technologies et a quitté Paris pour un poste à hautes responsabilités. Étienne, de son prénom, est donc très occupé et souvent en déplacement. Son épouse, Laurence, quant à elle, œuvre depuis son domicile comme coach mental. Laurence a réquisitionné deux pièces de la maison qui lui servent de bureaux.
Moi, Grégoire – fainéant par nature, mais pour autant assez doué dans de nombreux domaines – me suis fait mettre à la porte de la maison familiale le jour de mes vingt-deux ans en une phrase :
Grégoire, il est grand temps que tu fasses quelque chose de ta vie, alors demain tu pars travailler pour Monsieur et Madame Aladur aux Baléares, tu as de la chance, car ils n’ont plus de majordome et tu feras parfaitement l’affaire.
Les Baléares… ça sonnait plus « vacances » que « travail », mais je ne savais pas vraiment ce qu’était un majordome ?
Depuis quatre mois donc, mon quotidien consiste à conduire Monsieur ou Madame, aller leur récupérer une commande urgente, faire les courses, le ménage, le repassage… bref, un homme à tout faire.
Heureusement, le week-end, je profite du climat et des petites Espagnoles.
***
Moi, Laurence
Ce mardi matin, je suis en train de m’habiller dans le dressing qui jouxte ma chambre, au premier étage. Au fond, une grande fenêtre apporte une lumière naturelle. Je m’en approche et, après plusieurs secondes à contempler la vue tout en boutonnant mon chemisier, je remarque de la lumière en contrebas.
Cette fenêtre surplombe l’énorme Velux qui éclaire la chambre de Grégoire, notre jeune homme à tout faire. Sa chambre est en fait une extension de la maison, visible depuis mon bureau et, comme je viens de le découvrir, depuis la fenêtre du dressing.
Le volet du Velux de Grégoire est ouvert.
Soudain, Grégoire apparaît dans mon champ de vision. Il est totalement nu. Il vient de se lever et… son sexe est en érection. Je ne bouge pas et je le regarde évoluer ainsi. C’est un beau jeune homme, à n’en pas douter. Il ne prend pas beaucoup d’initiatives, mais ce n’est pas ce que nous lui demandons finalement. Voici une belle manière de commencer ma journée.
Je le regarde évoluer chaque matin depuis maintenant deux semaines et sa vigueur au réveil est exemplaire. Hier, je me suis fait surprendre par Étienne qui avait oublié sa ceinture dans le dressing. La situation l’a plutôt fait sourire : me voir moi, du haut de mes quarante-six ans, reluquer un petit jeune et sentir l’excitation que cela me provoque.
Me disant cela, il se colle derrière moi pour me faire sentir qu’il n’est pas non plus indifférent à la situation.
***
Moi, Étienne
Notre nouveau majordome semble plaire à mon épouse, mais surtout, il a réveillé en elle la femme et l’érotisme latent qui s’étaient endormis.
En partant au travail ce matin, j’ai laissé une Laurence perturbée par la présence de Grégoire et de son petit rituel du matin. D’ailleurs, ça n’a rien pour me déplaire. J’ai toujours aimé le regard des hommes posé sur le corps de Laurence… à la plage, à la piscine, mais aussi dans les lieux où l’on s’y attend moins. Je sens bien qu’elle ne va plus tenir longtemps.
***
Moi, Laurence
Il fait particulièrement chaud ce matin. Comme d’habitude, Grégoire s’est levé dans une forme olympique, me laissant béate devant ce spectacle.
Je descends à la cuisine et le croise, venant prendre son petit-déjeuner. Son short est encore déformé d’une belle bosse. C’est décidé, à partir d’aujourd’hui, je vais jouer. J’attrape une tasse, je me verse un café et, avec théâtralité, je fais semblant de trébucher et renverse ma tasse pleine.
Je me saisis d’une éponge pour nettoyer les dégâts et Grégoire me rejoint avec une serpillière. Je suis accroupie, les jambes écartées pour garder l’équilibre. Grégoire face à moi n’en perd pas une miette. Depuis le temps qu’il lave nos sous-vêtements, il peut enfin les admirer sur moi et aujourd’hui il ne doit pas être déçu, comme il fait chaud, j’ai mis une fine culotte en tulle, toute transparente.
Le nettoyage prend plus de temps qu’il ne devrait. Je remarque rapidement à quel point il est sensible à la vision que je lui offre, c’est un bon début. Je me relève tandis que, à quatre pattes et à mes pieds, Grégoire continue de nettoyer le sol. Il est visiblement gêné par la déformation de son short, et pourtant ce n’est que le début.
Deux jours plus tard, je m’apprête à sortir pour un rendez-vous lorsque je constate que mes escarpins ne sont pas très clean. Je m’assieds dans le canapé extérieur, sur la terrasse.
Grégoire arrive, dans son bermuda qui lui sert d’uniforme, et s’accroupit à mes pieds. Il pose un premier pied sur son genou et commence à lustrer l’escarpin. Il s’applique, comme toujours, et attend que je lui demande de passer au second pied. Son regard se dirige très subtilement sur mes cuisses que ma légère robe estivale peine à recouvrir. Je fais mine d’être occupée sur mon téléphone.
Je retire mon pied droit et lui tends le gauche dans un même mouvement. Ce faisant, ma robe s’est inévitablement repliée sur le haut de mes cuisses, les révélant presque intégralement. Je l’observe à travers mon smartphone qui filme la scène. Lui s’imagine que je travaille, concentrée comme je suis.
Il s’applique sur mon deuxième escarpin, ses mouvements font osciller mon genou, lui offrant par poignées de secondes une vue plus intime de mon entrejambe.
J’ai opté aujourd’hui pour un string minimaliste… il lui est impossible de ne pas plonger son regard sur mon trésor ainsi révélé. Je vois, à ses gestes plus lents que sur le premier pied, que son attention est perturbée. Je ne bouge pas une seule seconde, seul son mouvement pour faire briller la chaussure fait s’écarter par intermittence mes genoux. Puis je me lève d’un coup.
De retour dans l’après-midi, je file directement dans mon bureau pour changer de tenue. Grégoire est en train de nettoyer la terrasse et m’a vu rentrer. Je tourne le dos à la baie vitrée, donc à la terrasse, et retire ma robe, dévoilant mon fameux string blanc assorti d’un subtil soutien-gorge, blanc également, en fine dentelle.
Je prends le temps d’enfiler la jupe, de l’ajuster, puis je passe la veste directement. Je ferme un bouton, ce qui permet de dissimuler l’essentiel. Durant ce court instant, j’ai vu le reflet de Grégoire dans l’écran de l’ordinateur… Je sais donc qu’il a profité du show, aussi sobre fût-il.
***
Moi, Grégoire
Depuis plusieurs jours, j’ai la sensation que quelque chose a changé. Je trouve Madame Aladur plus relâchée, plus accessible. Je pénètre son quotidien malgré elle. De plus, j’ai eu plusieurs occasions d’admirer son corps et je ne sais si je deviens de plus en plus attentif ou si c’est elle qui est négligente.
Aujourd’hui, j’ai pu constater à quel point elle entretient son corps. Cependant, j’ai toujours eu un faible pour les poitrines et je dois avouer que la sienne me reste dissimulée. Pourtant, il n’y a pas de place au doute, je n’en ai jamais vu d’aussi volumineuse.
***
Moi, Laurence
Ce matin, je me décide à commencer la journée par une séance de remise en forme. C’est la matinée durant laquelle Grégoire profite également du matériel de notre salle de sport.
J’enfile un short en lycra près du corps et un top court sans manches et très large quant à lui, libre de tout soutien-gorge. J’arrive dans la salle et m’installe sur le tapis de marche. Je prends vite une allure rapide. Après dix minutes, je commence à transpirer, mais ai oublié ma serviette à l’entrée de la pièce. Grégoire fait son apparition, surpris par ma présence.
Il s’approche la serviette à la main. Il est peu à son aise, car je sais que de profil il doit apercevoir ma poitrine arrogante en mouvement. Je m’essuie le visage et le décolleté. Dans un même mouvement, j’en profite pour éponger ma poitrine sous le T-shirt.
Grégoire a pris place face à moi sur le rameur. Il est aux premières loges pour me regarder marcher. J’accentue le mouvement de mes bras, donnant du mouvement à mes seins que je sens pointer à travers le tissu. Par le jeu de la transpiration, mon T-shirt me colle de plus en plus au corps. Les yeux rivés sur l’ordinateur du tapis de marche, le corps de Grégoire se trouve dans le prolongement de mon regard. Celui-ci, gêné, n’ose me regarder franchement. Je fixe désormais son entrejambe, je sais qu’il s’en est aperçu.
Je me saisis de la serviette et m’éponge le visage, puis je lève un bras pour m’éponger la nuque. De par sa position, Grégoire doit voir mon top se relever légèrement et révéler le dessous de mes seins.
Je poursuis ma marche durant trente minutes puis m’arrête. J’attrape ma bouteille d’eau et me désaltère longuement. Je fais mine d’avaler trop vite et, toussotant, je fais maladroitement couler de l’eau sur mon top. Cette fois, il colle pleinement à ma peau. C’est lorsque je monte sur le vélo d’appartement à côté du rameur que je constate l’éveil de Grégoire. Son short présente une belle vigueur dont je connais le teneur.
Je prends position, les bras bien relevés sur les poignées du vélo. Je le provoque ouvertement en essuyant régulièrement la sueur qui stagne sur mon décolleté et sous ma poitrine. Lorsqu’enfin il quitte le rameur, je l’interpelle :
Grégoire est très gêné et se presse jusque dans sa chambre. De mon côté, je me précipite dans le dressing et m’approche de la grande fenêtre qui surplombe son velux. Je le vois déjà allongé sur son lit, les yeux clos, le short aux chevilles et son sexe à la main.
Sa masturbation est une forme d’urgence nécessaire, sans réflexion ni retenue. Je suis troublée, mon propre sexe est en feu, mais je n’ai pas le temps de me caresser que son éjaculation me surprend. Il n’a pu se retenir bien longtemps et son ventre se recouvre de ce précieux liquide.
Je suis totalement excitée, mais je dois rejoindre un client dans peu de temps. Je file à la douche. Une fois lavée, mon stress érotique ne s’est pas apaisé. J’enfile une jupe droite à même la peau et un joli chemisier en dentelle. Ma poitrine reste libre, mon client profitera certainement de mon état d’excitation pour se rincer l’œil, ça me rappellera quelques années en arrière.
***
Moi, Grégoire
La scène que j’ai vécue hier m’a totalement retourné. Ce matin, je me suis levé encore excité de la veille. Laurence semble dure et pourtant elle m’offre de courts moments de plaisir.
Aujourd’hui, Monsieur m’a convié à un moment de détente en fin de journée : un petit tournoi de fléchettes entre nous trois. Je ne suis pas à l’aise à l’idée de passer du temps avec eux, car je connais peu Monsieur qui reste très discret et peu présent. Ce sera la première fois que nous prendrons le temps de discuter.
***
Moi, Étienne
La journée est enfin terminée. Après avoir passé un bermuda plus adapté aux températures locales, je descends sur la terrasse pour préparer la scène de notre soirée. Je me sens bien. J’espère bien savourer la provocation de mon épouse sur ce jeune homme et m’amuser un peu. Je me languis de la voir, prédatrice sensuelle face à sa proie désorientée.
Laurence me rejoint quelque temps après. D’apparence, sa tenue semble sobre. J’aime cette robe portefeuille sagement boutonnée par cinq énormes boutons. Sa blancheur fait ressortir la peau hâlée de Laurence. Rien n’est dévoilé, tout est suggéré. Elle s’approche et m’embrasse tendrement, sa langue vient à la recherche de la mienne. Son attitude ne me trompe pas, cette soirée l’excite au plus haut point. Son corps collé au mien, je sens sa généreuse poitrine s’écraser sur mon torse, libre, sans nul doute, de tout soutien.
Grégoire apparaît sur la terrasse. Il nous sourit, mais semble peu à son aise, comme embarrassé.
Nous commençons une première partie. Chacun se concentre pour viser au mieux, mais le hasard est plus fort. Grégoire évite de trop poser son regard sur Laurence, il commence à se détendre.
Pour le mettre totalement à l’aise, je fais quelques blagues dont certaines un peu grivoises. À l’occasion, je laisse ma main se poser délicatement sur les fesses de Laurence. Après un festival de lancers périlleux, elle s’écrie :
En sautant sur place comme s’il s’agissait d’un grand championnat. Les yeux de Grégoire ne peuvent se détacher de sa poitrine qui tend outrageusement le tissu à chaque saut.
Je la félicite d’un tendre baiser dans le cou et, sans dissimuler mon geste, je défais le premier des cinq boutons de sa robe, offrant plus de liberté à ses seins, et plus de visibilité.
Grégoire est à nouveau tendu. Je lui souris pour lui faire comprendre que je suis sûr de ce que je fais.
Après de nombreux lancers toujours aussi hasardeux, Laurence remporte la deuxième partie et, avant même qu’elle ne célèbre cette nouvelle victoire, je demande à Grégoire de lui défaire le second bouton. Laurence s’approche de lui et attend. Il est rouge et n’ose lever la main, mais Laurence s’impatiente.
Grégoire obtempère alors et lui défait lentement le second bouton. Ainsi, le moindre mouvement de ses bras offre une vue imprenable sur cette poitrine ferme. Ses tétons reflètent déjà son excitation et dardent à travers le tissu.
Grégoire s’est effacé, soulagé de pouvoir reprendre ses esprits. Laurence se rapproche de moi et l’œil pétillant défait le bouton du bas de sa robe.
Grégoire revient, les bras chargés. Il dépose le tout sur la table basse de la terrasse alors que nous nous installons… Laurence, dans le canapé, Grégoire et moi, dans des fauteuils, face à elle.
Le service fait, Grégoire s’installe pour trinquer. C’est alors qu’il remarque la tenue de ma chère et tendre épouse. Les jambes croisées, sa robe ne couvre plus que le haut de ses cuisses. Quant à son décolleté, il lui suffit de vouloir attraper une olive pour voir l’ensemble de sa poitrine.
Nous discutons comme si de rien n’était. Laurence se joue de notre employé et le chauffe de plus en plus. Elle se lève pour lui servir un nouveau verre et se penche fortement en prenant son temps. Ses seins sont totalement visibles, à peine cachés par la robe plus qu’entrouverte. La réaction de Grégoire est immédiate, son short se déforme à la vue de ses deux globes.
Lorsqu’elle se rassied, Laurence pose négligemment un pied sur la table basse, s’assurant que son entrejambe soit pleinement accessible aux regards.
Il se lève et d’un geste toujours aussi fébrile défait le bouton, laissant la robe fermée par un unique bouton au niveau du nombril.
Il s’exécute alors que Laurence le fixe ardemment. Ses mains frôlent sa peau qui réagit à leur contact. Il reste figé, debout devant elle, son short ostensiblement tendu. Laurence s’est adossée, son sexe exposé à la vue des deux hommes. Seul le contour des lèvres est épilé et sa fine toison sonne comme une nouveauté pour Grégoire.
Je sens ce fourmillement dans mon ventre, ce plaisir de la voir nue et offerte devant un autre. Cependant, je décide de casser l’énergie sexuelle de l’instant en annonçant :
Il obéit à ma demande sans sourciller. Il a maintenant compris quel jeu était au centre de la soirée. Sa tige dressée est clairement visible à travers son caleçon et Laurence ne la quitte pas des yeux. Son gland peine à rester dans son caleçon.
***
Moi, Laurence
Nous reprenons la partie, mais cette fois je me joue de ma tenue. Mes seins, gonflés de désir tels deux obus pacifiques, pointent vers leur cible et bougent au rythme de mes lancers. Étienne a de plus en plus de gestes déplacés.
Alors que Grégoire se retourne après avoir récupéré ses fléchettes, il me retrouve la robe totalement ouverte, les deux mamelons pincés par les doigts de mon cher maître et époux. Face à Grégoire, j’écarte un peu plus les jambes tandis que mes tétons roulent désormais entre les doigts d’Étienne. C’est bien lui qui a le contrôle sur nous.
Il prend place et je finis par sentir son souffle venir heurter mes lèvres gonflées. Les doigts d’Étienne se font de plus en plus joueurs, alternant entre pincements et caresses. Il a sorti son sexe, je le sens buter contre la robe à hauteur de mes fesses.
Cette fois, c’est son torse qui frôle ma poitrine, le moindre contact m’électrise. Ma robe tombe à mes pieds dans un geste fluide. Puis je sens le morceau de chair de mon mari venir se blottir entre mes fesses.
Ça y est, cette jeune tige que j’ai déjà aperçue de loin va enfin m’apparaître à quelques centimètres. Son érection me satisfait, moi, femme de quarante-six ans, je parviens à susciter un tel désir chez un jeune homme. Son érection est à la hauteur de ce que je percevais. Certes, son volume n’atteint pas celui de mon mari, mais sa raideur est si attractive.
Étienne me fait écarter les jambes et, tout en restant derrière moi, fait glisser son sexe le long de mes lèvres. Seul son gland ressort côté pile et devient visible de Grégoire.
Cette fois, j’ai la sensation qu’il me touche tant il est près. Étienne aussi doit le sentir, car son sexe se raidit encore. Puis celui-ci entame de lents va-et-vient, toujours entre mes lèvres, sans jamais me pénétrer. Parfois, son geste est un peu plus appuyé et nos deux sexes collés l’un à l’autre viennent rebondir sur la bouche de Grégoire, mais il ne bronche pas. Il obéit à mon mari sans rébellion aucune. Je suis trempée et c’est moi désormais qui me caresse les seins. Ce jeune sexe m’attire, mais est beaucoup trop loin.
Et voilà, nos sexes viennent à nouveau de s’écraser sur sa bouche, mais cette fois, Étienne me maintient dans cette position. Quel supplice, aucun des deux ne bouge ! Puis Étienne reprend quelques va-et-vient qui se terminent contre Grégoire avant de s’écarter totalement de moi sans prévenir. Grégoire est rouge-écarlate. Je comprends que c’est la première fois qu’il se donne à ce type de jeu avec une femme et un homme.
Étienne est reparti vers les fauteuils, il les rapproche l’un de l’autre puis s’assied.
Lorsqu’il se relève, je vois son gland violacé tendu vers le ciel d’où s’écoule un épais liquide transparent. Quelle jeunesse ! j’ai tellement envie de l’enrouler autour de ma langue…
Il s’assied. Étienne regarde lui aussi cette puissante érection.
C’est ici, assise sur cette table basse, que j’assiste pour la première fois à leur communion masturbatoire. Grégoire écoute fidèlement Étienne, il se caresse lentement, les yeux rivés sur mon sexe ouvert. Les doigts sur mon pubis, je joue avec mes poils et l’encourage silencieusement.
De son côté, Étienne sait comment s’y prendre. Son sexe est gros, j’aime le voir comme ça. Il se caresse les testicules qu’il a rasés de près ce matin de sa main libre.
J’écarte encore plus les jambes, je joue avec mes mamelons, je passe ma langue sur mes pointes. Je mouille de plus en plus, j’aimerais tellement être pénétrée…
***
Moi, Grégoire
Je me branle lentement, malgré cela j’ai déjà terriblement envie d’éjaculer. Laurence me regarde avec un farouche désir. Étienne, à côté de moi, ne cesse de me jeter des regards, comme s’il calait son rythme sur le mien. Je n’y tiens plus, mes mouvements sont de plus en plus rapides, je serre plus fort mon sexe. Je ne me suis jamais vu avec le gland aussi gonflé. Mes yeux passent de cette généreuse poitrine tendue vers moi à ce sexe de femme qui s’assume. Je me lève. Debout, ma queue pourrait reposer sur son sein gauche, si elle n’était aussi raide. Étienne se lève à son tour. Il s’approche du sein droit de sa femme. Son sexe est long et gros. Une main de chaque côté de ses seins, Laurence les colle l’un à l’autre dans l’attente de nos jouissances. Jamais je n’ai eu de copine avec une telle paire.
Je sens ma sève monter, j’accélère mon mouvement jusqu’à l’explosion. Mes jets sont désordonnés et je couvre le cou puis les seins de Laurence de ma liqueur. Étienne ne tarde pas à éjaculer lui aussi. Son premier jet vient s’écraser à côté de mon sexe, puis il se répand sur sa femme, le gland posé contre elle.
Laurence nous regarde, les pupilles dilatées. C’est avec beaucoup de vice dans le regard qu’elle joue du bout des doigts avec le liquide qui couvre ses seins.
Étienne prend la main de sa femme et l’accompagne jusqu’à la douche proche de la piscine. Il fait couler l’eau puis la nettoie avec tendresse. Madame n’a toujours pas joui et elle reste très sensible à ses attouchements. Elle enlace de ses mains ce sexe volumineux même au repos. Ils s’embrassent d’abord timidement, puis les langues se perdent en une danse de débauche excessive. Elle lui suce la langue, il se saisit à nouveau des pointes dardées de Madame. Il les tire puis les relâche pour mieux les pincer.
Si les caresses de Madame sur Monsieur ne lui ont pas encore redonné une vigueur flagrante, je constate chez moi un regain d’envie : je bande à nouveau avec force. Je me suis approché de la douche, assis sur un transat.
Étienne s’écarte de sa femme et lui fait nous tourner le dos. Il se met à lui fouetter les fesses avec son sexe à moitié bandé. Il l’a fait se pencher en avant et m’interpelle :
Je m’approche de Madame. Mon sexe dressé pointe à proximité de sa bouche. J’entends cette fois les claques tomber sur ces fesses. Les coups ne sont pas forts, mais ils claquent avec bruit. Madame ne cesse de sortir sa langue, tantôt pour la passer sur ses lèvres, tantôt pour l’approcher de mon gland qu’elle frôle avec malice.
Ce supplice ne dure que quelques minutes. Rapidement, Monsieur me demande de prendre la même position que Madame. J’hésite… mais son regard m’incite à leur faire confiance. Je me tiens debout, jambes écartées et buste penché en appui sur le claustra de la douche. C’est Madame qui commence par me claquer avec légèreté, sans appuyer. De temps en temps, ses mains me caressent les fesses jusqu’à mes bourses durcies, puis elles commencent à alterner avec des claques un peu plus appuyées, lorsque je sens par intermittence le sexe de Monsieur venir me gifler les fesses. Je ne bouge toujours pas. Je les laisse faire…
Madame cesse de me fesser pour me prodiguer de douces caresses appuyées. Je vois Monsieur apparaître dans mon champ de vision et se positionner comme je l’étais quelques minutes plus tôt. À cette distance, son sexe paraît démesuré, plus gros que je n’ai jamais vu, mais il est vrai que c’est la première fois que j’en vois un d’aussi près.
Son érection n’est pas aussi forte que la mienne, ainsi son sexe se tient à l’horizontale. Je pourrais le toucher si je le voulais. Je ne ressens ni dégoût ni attirance, seulement de la découverte. Madame a repris et me mordille les fesses, une main ferme verrouillée sur mes testicules.
Au bout de quelques instants, elle cesse tout. Plus personne ne bouge. Seule la queue de Monsieur connaît quelques soubresauts non maîtrisés.
Comme une délivrance, je sens avec excitation les seins de Madame se frotter sur mon dos. Je ressens leur poids, leur douceur. J’aime quand elle les écrase pleinement puis j’adore quand elle me frôle du bout de ses mamelons.
Je me redresse, je suis exténué. Cette nouvelle séance inédite m’a complètement vidé…
***
La suite au retour de Grégoire…