n° 21208 | Fiche technique | 16812 caractères | 16812Temps de lecture estimé : 10 mn | 07/10/22 |
Résumé: Étienne, déjà surpris par la tournure de la soirée, va aller de surprises en expériences nouvelles. | ||||
Critères: fhh extraoffre candaul exhib hmast caresses -totalsexe | ||||
Auteur : CarpediemAdlib Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Au service de Monsieur et Madame Chapitre 02 / 05 | Fin provisoire |
Résumé de l’épisode précédent :
Grégoire, au service d’Étienne et Laurence dans leur villa aux Baléares, découvre la lubricité de ses patrons.
Après un début de soirée qui me permet de découvrir différemment mes patrons, j’attends avec impatience comme je redoute la suite.
Grégoire
Je monte jusque dans leur chambre et m’écroule sur leur lit.
Quelle aventure… je ne pensais pas que la soirée commencerait ainsi ! Je me surprends à y prendre du plaisir mêlé à un soupçon de honte.
Mais je sais surtout que ce n’est pas terminé.
Bon, quelle tenue vais-je lui choisir maintenant ? Je me dirige dans le dressing.
Je cherche quelque chose qui puisse leur plaire.
J’aperçois une de ses mini-jupes volantes blanches, je m’en saisis, ça fera parfaitement l’affaire.
Je cherche maintenant un haut. Son dressing est immense et j’ai du mal à choisir. Je tombe sur un boléro en coton, blanc lui aussi. Il ne ferme que par un petit crochet. C’est idéal.
Je redescends et je me rends compte que je suis toujours nu.
Lorsque j’arrive sur la terrasse, Étienne s’est rhabillé et boit une nouvelle coupe.
Laurence n’est pas là.
Je dépose les vêtements sur le canapé puis j’enfile mon short et mon polo, sans prendre la peine de remettre mon caleçon.
Étienne me demande d’aller récupérer en cuisine les plateaux qu’il a fait préparer pour ce soir.
Laurence
Je redescends, une serviette pour tout vêtement, après avoir pris une douche.
Étienne est installé paisiblement dehors dans un fauteuil, il me désigne les vêtements posés face à lui.
J’attrape la jupe et l’enfile. Parfait avec ces températures. Un sourire aux lèvres, je passe le boléro que je peine à fermer.
Il dévoile plus qu’il dissimule en réalité.
Cette tenue est très légère, très agréable à porter.
Il y a bien longtemps que je ne me suis pas vêtue ainsi. Cela remonte à presque quinze ans, lorsqu’Étienne travaillait à Bordeaux et qu’il profitait des week-ends ensoleillés pour me promener, offerte aux regards concupiscents des promeneurs.
Parfois, il improvisait une séance de jeu avec des couples voyeurs.
Aujourd’hui, je me sens l’envie de revivre ces moments indescriptibles en sa compagnie. Peut-être est-ce le début d’une nouvelle ère avec plus de maturité.
Je m’assieds à mon tour dans le fauteuil libre, un coup d’œil à Étienne qui me dévore du regard.
Étienne
Je regarde Laurence assise à mes côtés. Elle est magnifique toute de blanc vêtu.
J’aurais envie qu’ils soient nombreux à la regarder dans cette tenue.
Grégoire revient avec le plateau que j’avais commandé.
Il s’installe face à nous dans le canapé.
Nous discutons tranquillement, sans évoquer le début de soirée. Grégoire est surpris de notre changement d’attitude puis se relâche en mangeant et en parlant de la ville et de l’île.
Il continue à appuyer son regard sur Laurence qui reste discrète et prude, du moins autant que possible.
Le repas terminé, je propose d’aller marcher pour digérer. Comme la nuit tombe, nous devrions pouvoir nous promener tranquillement sur la plage.
Laurence se lève et je la contemple comme pourront le faire les passants que nous croiserons. Si la jupe n’a rien d’inhabituel sur l’île, en revanche le boléro ne cache pas grand-chose dès qu’elle marche.
Laurence
Je marche dans la relative fraîcheur de la soirée, Étienne à ma gauche et Grégoire à ma droite.
C’est agréable de sentir un petit filet d’air se promener sous ma jupe et glisser au creux de mon boléro.
Nous approchons de la promenade le long de la plage sans avoir croisé qui que ce soit.
J’aperçois un couple qui marche face à nous, dans notre direction. Déjà, leur regard ne me quitte plus. La femme, un peu plus âgée que moi, semble hypnotisée par ma poitrine libre sous mon vêtement.
Son mari sourit à Étienne, comme pour le remercier, et me regarde avec envie ou admiration.
Arrivés au bout de la promenade, nous faisons demi-tour. Nous avons croisé peu de personnes lorsque nous apercevons à nouveau le couple si attentif à l’aller.
Je le défais en sachant pertinemment ce que je vais dévoiler à la vue des passants.
Désormais, chacun de mes pas offre une vision flagrante sur ma poitrine.
Instinctivement, je remonte ma jupe sur les hanches afin de découvrir un peu plus mes cuisses.
Lorsque nous arrivons à quelques mètres du couple, celui-ci ralentit. Nous faisons de même.
Du creux de mon ventre, je sens à nouveau monter une vague d’excitation.
Le couple est presque arrêté et ne me quitte pas des yeux. Ils sont massifs tous les deux, un peu enrobés et plus âgés que nous.
Étienne me saisit la main et m’entraîne vers les hangars à bateaux. Grégoire et le couple nous suivent, quelques pas derrière nous.
Nous sommes sortis de la zone de promenade et nous avons peu de risque de croiser du monde ici.
Étienne s’arrête.
Tous les yeux se braquent sur moi. C’est bon.
Grégoire obéit et s’approche de moi. Il les caresse, tout d’abord avec beaucoup de délicatesse. Puis il s’en saisit fermement. Sa bouche attrape l’un de mes mamelons et sa langue entame de rapides mouvements pour le faire réagir.
De sa main libre, il fait de même avec ses doigts sur mon second sein. Je réagis sans tarder, la situation m’excite énormément.
et offre-lui mon sexe.
Grégoire s’approche de l’Allemande, lui saisit la main et l’attire jusqu’à Étienne. Elle ne fait pas de difficultés et suit Grégoire prestement. Elle s’agenouille devant Étienne et, sans qu’il ne lui soit rien demandé, embouche goulûment et en entier son sexe au repos.
Étienne nous regarde tour à tour, mais ne dit rien. La femme ne peut déjà plus l’avaler en entier, mais s’applique pour autant autour de cette verge aux dimensions peu courantes.
Nous nous tenons devant ce spectacle dans l’attente de ses instructions.
Étienne
Ce couple n’est pas spécialement attirant, mais l’opportunité qui nous est offerte est trop belle.
Cette femme s’applique à me faire grossir et y arrive plutôt bien. Mon excitation est accentuée par le regard de son mari et de ma femme.
Je demande à Laurence de s’agenouiller à son tour devant l’Allemand. Elle devra se contenter de simples coups de langue pour lui donner du plaisir, les mains croisées dans le dos.
L’homme à un geste de recul lorsque Grégoire commence à le dévêtir puis il se raccroche au visage de Laurence agenouillée devant lui, la langue qui pointe entre ses lèvres est à elle seule une promesse vers de terribles plaisirs.
Grégoire se saisit timidement de ce sexe mou. Difficile de dire lequel des deux est le plus mal à l’aise. D’abord maladroit, il corrige rapidement son mouvement de va-et-vient. Le geste est lent, mais la pression invisible de ses doigts sait donner vie à ce sexe étranger.
Grégoire
Mon sentiment est ambivalent, je suis à la fois répugné à l’idée de caresser ce sexe d’homme et en même temps captivé et peut-être même excité de sentir le pouvoir de mes doigts, aptes à exciter un autre sexe que le mien.
L’homme s’est détendu et ma caresse produit son effet. Son sexe est maintenant gonflé et raide. Je maintiens un rythme assez lent pour ne pas faire monter son excitation trop rapidement.
La scène est encore une fois bien étrange. Je vois la bouche de l’Allemande se déformer à chaque fois qu’elle avale sa tige démesurée. Elle semble se goinfrer de cette offrande inespérée, dans un bruit de succion très explicite.
Laurence quant à elle patiente devant le sexe dressé de l’Allemand. Ses seins offerts sous le boléro ouvert sont à portée de ma main.
Étienne dit à son épouse :
Puis Étienne me regarde et me dit :
Je suis désormais simple spectateur. J’assiste aux deux fellations, réalisées dans un style si différent. Alors que l’Allemande tente d’avaler le plus possible le morceau de chair d’Étienne dans des mouvements de va-et-vient saccadés, Laurence se joue du gland de l’Allemand, elle le suce avec délectation. Telle une sucette, sa langue glisse et tourne autour de son pénis. De temps en temps, elle me cherche du regard et s’applique à se l’enfoncer le plus loin possible.
C’est à ce moment-là que je vois Étienne me faire signe.
Je lui saisis les cheveux et lui tire la tête en arrière dans un geste lent, mais impératif.
Laurence
Son gland est si proche. Je tente de le laper du bout de la langue, mais je n’y parviens pas. Mes mains fermement resserrées sur ma poitrine jouent avec mes tétons devenus si sensibles.
Je sens mon sexe s’ouvrir, l’expression de mon plaisir coule le long de ma cuisse.
Grégoire me tient par les cheveux, son geste est délicat, mais emprunt d’une telle domination que cela ajoute à mon état d’excitation.
Le sexe de l’Allemand tressaute à porter de langue quand j’entends Étienne dire :
Alors je le sens remplir ma bouche petit à petit… jusqu’à ce que mon nez vienne effleurer le pubis garni. L’Allemand est au comble du plaisir. J’entame alors une succion sans retenue, avec une telle pression que je sais qu’il ne va pas tenir longtemps.
Étienne
Je regarde mon épouse soumise se comporter comme elle aime tant. Les yeux de l’Allemand expriment tout le talent dont elle sait faire preuve pour réaliser une fellation. Il se délecte de la vue plongeante dévoilant cette belle poitrine.
De mon côté, l’Allemande n’a aucune retenue et me masturbe avec ferveur en me léchant le gland. Je sens la jouissance monter en moi… je stoppe son mouvement et empoigne sa main pour la lui ouvrir. Puis je reprends seul la masturbation entamée et, dans un long soupir, je me vide au creux de sa main qu’elle s’efforce de maintenir sous moi pour tout récupérer.
Mon plaisir achevé, je rentre mon sexe dans mon bermuda tandis que, délicatement, l’Allemande lèche le contenu de sa main, les yeux vissés dans ceux de son mari. Je la remercie d’un signe de tête puis me m’approche de Laurence.
Laurence
Je le sens de plus en plus gros dans ma bouche. Je le provoque savamment du bout des lèvres en jouant avec ma langue puis, d’un coup, je l’avale en entier en l’aspirant profondément. Je le sens alors faire de léger va-et-vient au sein de ma bouche, se glissant entre mes lèvres humides, me pénétrant, ses mains posées sur ma tête.
À ma troisième mise en bouche, je le sens se raidir et je jette alors un regard pressé vers Grégoire.
Celui-ci comprend de suite et m’attrape par les cheveux pour me retirer doucement, il se saisit du sexe et l’empoigne fermement pour entamer une masturbation libératrice.
L’Allemand ne résiste pas longtemps au coup de main de Grégoire et se répand en jets désordonnés dans mon cou et sur ma poitrine. Je sens son sperme chaud couler dans le sillon de mes seins, pour s’abandonner au creux de mon nombril.
Grégoire tient toujours ce sexe bandé et poursuit son geste plus lentement, jusqu’à la dernière goutte.
L’Allemand recule et se rhabille convenablement. Il nous remercie chaleureusement, se rapproche de sa femme pour l’embrasser puis repart en direction de la promenade.
De mon côté, Étienne me demande de rester en l’état jusqu’à la maison, offerte aux regards de tous.
Sous le halo des quelques réverbères, mes seins luisent de leur onguent naturel. Je me sens femme… soumise… aimée et désirée.
Étienne me tient la main en me raccompagnant. Grégoire à nos côtés semble absent, encore plongé dans l’expérience qu’il vient de vivre.
Sur le chemin du retour, nous ne croisons qu’un seul couple, de jeunes amoureux. Je pense qu’ils se souviendront longtemps de la vision que je leur ai offerte en les croisant.
Grégoire
De retour à la villa, nous nous souhaitons une bonne nuit puis nous partons retrouver nos chambres respectives.
La porte refermée, j’allume la lumière et m’étends sur mon lit. Je suis fatigué, l’esprit retourné et encore excité.
Je baisse mon bermuda et m’empoigne la tige qui peine à retrouver du repos depuis notre rencontre avec les Allemands.
Je me caresse en repensant à Laurence suçant cet homme comme si sa vie en dépendait, obéissante à son mari, soumise à un inconnu. Je me revois tenir ce sexe masculin pour le faire jouir, sentir ses veines gonflées sous mes doigts, percevoir le moment de jouissance survenir et diriger sa semence sur Laurence. Je garde gravé en mémoire ce liquide qui coule sur puis entre ses seins, et son regard accroché au mien, heureuse et fière de me montrer ce qu’elle aime par-dessus tout.
Laurence
Nous sommes revenus dans notre chambre. Je me dévêts avant d’aller me doucher. Étienne se déshabille dans le dressing lorsqu’il m’interpelle d’un chuchotement impératif.
Je le rejoins auprès de la fenêtre où il se tient.
En contrebas, la lumière est allumée dans la chambre de Grégoire. Je le vois quasi nu, allongé sur le dos.
Étienne passe derrière moi.
Grégoire s’acharne sur son sexe dressé, l’autre main serrée sur ses bourses.
La bouche entrouverte je me laisse aller aux assauts des doigts d’Étienne qui se sont emparés de mon corps. Sa main droite se joue de mon clitoris tandis que de sa main gauche il me pénètre avec deux doigts. Il ne cherche pas à prendre son temps et me fait monter dans les tours sans patience.
Le sexe encore trempé, ses doigts me pénètrent sauvagement, son majeur écrasé sur mon bouton sensible je me laisse aller à un plaisir intense.
De son côté, Grégoire ne tarde pas à jouir, de longs jets viennent s’écraser sur son ventre. Ma jouissance me surprend au moment où Grégoire porte ses doigts à sa bouche, suçant le fruit de son plaisir.
Étienne me retient quand mes jambes se dérobent sous moi. Mon cri est sourd et mon plaisir intense.
Accrochée, à son bras, je me dirige vers la douche avant de profiter d’une belle nuit de repos, le corps marqué et encore sensible des émois de la soirée.
À suivre…