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Temps de lecture estimé : 47 mn
03/09/22
Résumé:  Lise et Laurie sont deux sœurs mariées à Daniel et Éric. Depuis leur mariage, les couples ont pratiqué l’échangisme. La venue des enfants a stoppé ce type de relation. Mais les enfants ont grandi et les couples se reforment doucement.
Critères:  fh couple couplus cousins alliance voir exhib fmast hmast caresses intermast fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio fsodo hdanus hgode hsodo échange journal -extraconj
Auteur : Tanis            Envoi mini-message
Le cadeau de Laurie

Les années sont passées tellement vite, et l’idée a germé en moi, il y a quelque temps déjà, de consigner certains moments importants de la vie passée avec mon épouse et de ses sœurs.

Cela faisait des années que nous avions vécu dans notre couple des moments intenses. Et quand je dis dans notre couple, c’était plutôt avec les couples des deux sœurs jumelles de ma femme. Notre jeunesse nous avait entraînés à tâter ensemble certains plaisirs et délices interdits, parfois voisinant les douceurs de l’adultère et les délices de l’inceste au deuxième degré.

J’avais parlé de mon intention d’écrire notre histoire à ma belle-sœur Laurie, et après lui avoir fait lire les premières pages de mon récit, elle avait émis l’envie de l’écrire avec moi, et d’émettre aussi son avis, étant également concernée.

Demandant l’avis de Lise, mon épouse, celle-ci avait été emballée d’apparaître dans un récit un peu léger où elle tenait également un des rôles.


J’ai alors fait un mixage de nos expériences, pour avoir des avis différents sur une journée ou un fait particulier. Mixage qui a pris bien du temps, chacun voulant en raconter plus que l’autre. Finalement, pour regrouper les expériences de chacun, l’écriture sous forme de roman s’est imposée et certains passages plus intéressants que d’autres ont été choisis. En effet, beaucoup plus vivants, plus faciles à lire, chacun peut s’identifier à l’un ou à l’autre des personnages.

Beaucoup diront que j’exagère. Dommage pour eux qu’ils n’aient pas connu ce temps béni de ces vingt années de plaisir, mais en tout cas ni moi, ni mon épouse, ni mes belles-sœurs ne le regrettons.


Et la plume à la main, ces souvenirs me reviennent comme si c’était hier. Ils se couchent tout seuls sur le papier sans effort de mémoire. Seules quelques notes prises dans les jours qui suivirent me permettent d’être précis et de ne rien oublier.

Et mes longs moments de solitude se comblent par une mémoire fertile en délicieuses sensations.




***




Ce jour-là, je devais me rendre chez ma belle-sœur. Bien que le jeudi, elle et son mari travaillent à l’extérieur de chez eux, je me suis rendu compte en voyant leur voiture dans l’allée que je ne serais pas seul dans la maison malgré ce que Laurie m’avait dit.

Cela me dérangeait ! J’aime avoir la paix pour bricoler, avancer à mon rythme et partir quand l’envie m’en prenait. Je terminais chez eux un peu de menuiserie dans le grenier où de nouveaux rangements recevraient les collections de livres rangées pour le moment en piles le long des murs.

Ma belle-sœur préférait rentrer en fin de journée dans une maison propre et calme, la poussière et le bruit ne lui étant pas spécialement agréables.

Elle avait hérité de la maison de sa grand-mère avec tout le mobilier et des étagères de livres. Amoureuse de ceux-ci, elle désirait les garder, les classer et les entreposer correctement à l’abri de la poussière.


Depuis des années, nos couples se voyaient régulièrement. Souvent, nous passions le week-end l’un chez l’autre, nous entraidant dans divers travaux de remise en état des maisons que nous venions d’acquérir.

De plus, nos familles partaient depuis des années ensemble en vacances pour le plus grand plaisir des enfants, et la proximité des couples malgré les enfants, avait encouragé le rapprochement, puis la tendresse et l’intimité, et finalement des contacts plus intimes dans lesquels chacun avait pris énormément de plaisirs.

Tout cela s’était passé facilement, sans brusquerie, avec douceur et beaucoup de respect.

Il faut dire que quand femme veut, Dieu le veut !


Cela avait commencé entre ma femme, Lise, et Éric, le mari de sa sœur Laurie, alors qu’entre Laurie et moi, les choses étaient encore calmes. La connaissant, je me demandais même si c’était vraiment possible de développer quelque chose avec elle qui gardait une certaine retenue et ne se livrait pas beaucoup.

J’avais bien essayé lors de soupers bien arrosés de glisser une main dans son dos et de la caresser un peu. Elle s’était laissé faire, puis j’avais osé dégrafer le soutien-gorge, et glisser mes doigts sur un sein. Se levant parfois, elle passait alors à la cuisine pour ragrafer son soutien. Mais lentement, avec le temps, elle s’était laissé aller, et j’avais pu enfin caresser un téton raidi de plaisir.


Puis un soir lors d’un souper, elle m’avait glissé à l’oreille :



Il faut dire qu’étant d’expression néerlandophone, elle s’exprimait aussi bien en français que dans cette langue. Voulant cependant conserver la saveur de celle-ci, et ne pas perdre la traduction de certains mots érotiques, j’ai simplement traduit entre parenthèses les phrases qu’elle avait prononcées. Je ne peux malheureusement pas exprimer l’accent, ni le roulé de certains mots, et certainement pas l’érotisme avec lequel ils avaient été exprimés !


Et la soirée avançant, on s’était finalement retrouvé ensemble pour la nuit sur le canapé du living pendant que son mari et ma femme montaient dans la chambre.


Puis les enfants ont grandi, les rapports se sont espacés pour cesser complètement.


Évidemment, ces années de contact ensemble ne s’oublient pas comme cela !

Les regards que nous échangions parfois en disaient long sur nos aventures et nos expériences passées.




***




Arrivé chez ma belle-sœur, je fus surpris en trouvant la porte de service ouverte. J’entrai et refermai celle-ci derrière moi. J’allais appeler lorsque je fus surpris par des bruits de voix provenant de l’étage. Le couple devait sans doute discuter des dernières finitions du placard. Je montai l’escalier, mais je ralentis lorsque j’entamai les dernières marches… De légers gémissements s’échappaient de leur chambre et, d’où j’étais, les paroles me parvenaient sans difficulté.

Je me rendais compte qu’étant en avance, je n’étais pas encore spécialement attendu, bien qu’ils auraient déjà dû être partis ! J’aurais dû redescendre et m’en aller, mais le couple en pleins ébats amoureux échangeait les impressions de leur relation avec mon propre couple ! Et Laurie, curieuse comme toutes les femmes, interrogeait son mari Éric sur le type de relations qu’il avait entretenues avec sa sœur Lise.

Malgré le nombre d’années passées ensemble dans cette relation échangiste, j’entendais que tout ne s’était pas dévoilé entre eux, et que si peu de secrets persistaient, beaucoup de choses restaient encore à découvrir et deviendraient sans doute des « secrets de famille » !

Gêné, mais intéressé, j’écoutais les choses que ma femme avait faites avec lui sans me les raconter ! Chacun peut avoir ses petits secrets, et je ne racontais pas tout à ma femme non plus ! Mais la curiosité m’immobilisa et je prêtai l’oreille plus attentivement.

De plus, le mélange de deux langues rendait encore leurs dialogues plus excitants :



Laurie était à présent certaine que Daniel était entré. Elle avait reconnu le bruit caractéristique de la porte de service qui s’ouvrait et les entendant parler, Daniel devait être monté en silence jusqu’à la baie de leur chambre et devait sans doute les regarder sans complexe ! Elle poussa un long gémissement pour l’avertir et l’empêcher d’entrer tout en le mettant au courant de leur activité et en écartant les jambes en grand ! Éric, dressé sur ses bras, frottait son sexe dans sa fente du haut en bas, glissant du clitoris à la fourchette des lèvres en bas du vagin. Laurie s’offrait ainsi à son beau-frère, dévoilant sa vulve ouverte.



Laurie s’excitait, elle sentait la vigueur de son mari se frotter contre elle. Daniel la regardait-il ? Voyait-il Éric voyager dans sa vulve, prêt à lui enfoncer son sexe ? L’idée d’être vue la rendait folle !



La pénétration était un moment vraiment particulier pour elle. Elle adorait lorsque ses lèvres s’écartent pour laisser entrer la verge, elle sentait alors une vague de chaleur l’envahir… À ce moment-là, elle avait l’impression de n’être pas complète tant que le sexe n’était pas enfoncé à fond et n’était pas entré jusqu’au bout.

Toujours en voyeur, Daniel sentait monter son excitation. Il y avait déjà longtemps qu’il n’avait plus vu ce couple faire l’amour, et à plus forte raison le sexe de sa belle-sœur.

Les cuisses écartées de celle-ci laissaient voir son pubis et sa pilosité noire entourant les petites lèvres de la vulve. Pour le moment, l’action laissait place à la discussion. La vulve s’ouvrait, dévoilant l’entrée vaginale et, perdu sous son capuchon, le petit doigt pointé du clitoris.

Daniel sentit la transpiration l’envahir… déjà, voir une femme nue, jambes écartées, puis un homme face à elle en pleine érection…

Lentement, son mari enfonça son gland, ressortant rapidement, puis d’une longue et lente poussée renfonçait celui-ci profondément. Il commença de longs mouvements de piston bien lubrifié. Les lourds testicules commencèrent à battre l’entrée du vagin comme le battant d’une cloche frappant sa jupe de bronze.

Son sexe raide et bien dressé, guillochait avec sa nervure longitudinale, les parois nervurées de l’aven vaginal.


Laurie se redressa, regardant le cylindre de chair s’immobiliser à l’entrée de son ventre et en distendre les parois, puis elle acceptait l’enfoncement lent et puissant de la bite en poussant de petits cris. Son mari gardait le rythme, et la pilonnait sous les yeux de son beau-frère. Elle aperçut Daniel à la porte de la chambre puis sentit à nouveau le poignard de son mari qui s’enfonçait en elle sous son regard.

Daniel vit l’épieu d’Éric s’encastrer entre les parois humides et se frayer un passage jusqu’au fond du fourreau. Laurie regarda alors Daniel tout le temps qu’Éric la posséda, fichant son sexe profondément dans la vulve offerte.

Puis elle retomba sur l’oreiller, se sentant pleine.


Jamais dans nos couples nous n’avions marqué le moindre gène. Nous évoluions nus l’un face à l’autre sans complexe, même en érection. Cette pratique nous avait rendus très à l’aise, mais une certaine pudeur nous forçait encore à nous dissimuler pour une caresse plus intime l’un devant l’autre.

On se laissait aller dès que l’on se retrouvait à deux dans la chambre. Que l’autre couple s’arrête devant la porte ouverte et nous regarde ne nous gênait pas du tout.

Je me rendais compte que finalement la curiosité était bien présente des deux côtés, et que revoir l’autre couple nu nous faisait encore autant d’effet que par le passé !


Je prenais plaisir à revoir Laurie nue, les jambes ouvertes, dévoilant sa vulve auréolée d’un petit buisson de poils noirs. Puis voir la verge s’enfoncer en elle, et ressortir lentement recouverte des sécrétions sexuelles qui collaient ses petites lèvres de tous côtés au phallus. Les profonds aller-retour dans ce ventre de femme me ravissaient, c’était une merveille à regarder.

Et elle s’offrait à son mari et à son beau-frère. Les jambes ouvertes et les bras écartés, elle s’ouvrait, offrait son sexe, son ventre, l’ouverture glissante de sa féminité dans laquelle s’enfouissait le sexe luisant de son homme.


Je me rappelais la douce sensation d’être enveloppé dans son vagin humide, la pression délicate de ses chairs, l’aspiration de cette gaine charnelle, un peu comme le gant d’une digitale dans laquelle je prendrais plaisir à m’enfoncer sans complexe, cherchant le fond que je pouvais dilater, distendre, évaser. Puis se relâcher, se laisser aller, ouvrir les vannes et déverser dans cette entaillure humide la liqueur chaude et gluante qui allait tapisser ces délectables parois.

J’avais déjà parlé à l’époque à ma belle-sœur de l’envie de connaître ce type possession même si nous n’étions pas faits pour cela ! Mais l’idée, de sentir en moi un sexe rigide qui viendrait fouiller les profondeurs de mes fesses, et y déverser aussi la charge chaude et épaisse de ses testicules me donnait bien souvent des envies.

Alors elle m’avait glissé un doigt entre les fesses, et l’enfonçant prudemment, elle m’avait dit en riant que cela lui plairait de me prendre si elle avait été équipée pour cela !



J’attendis un peu, voyant la proximité de leur orgasme, Laurie en me regardant, et Éric en suivant le rythme puissant de la possession de ce sexe de femme.

Ils jouirent en même temps, je vis le sperme mousser entre les lèvres de Laurie qui vibra violemment de sa jouissance et nos regards se croisèrent éteignant les derniers spasmes qui la secouaient.

Je quittai la chambre et redescendis les marches en catimini.

Délicatement, je sortis de la maison, remettant à plus tard la poursuite de mes travaux.


De retour chez moi, encore bouleversé de ce que j’avais vu, et surtout de l’offrande silencieuse du corps de Laurie, je mis Lise au courant, lui racontai mes impressions, mes envies, et surtout Laurie qui s’était dévoilée, prête à être prise.

Lise était contente ! Elle s’était arrangée avec sa sœur pour faire profiter à son mari d’une petite gâterie de sa belle-sœur.




***




La nuit de nouveaux rêves et de nouvelles envies revinrent hanter Daniel… C’était comme si le passé refaisait surface et se déroulait à ses yeux…


Il revoyait Laurie couchée sur le ventre, les bras relevés, le creux de son dos affirmant la ligne de sa colonne vertébrale et la naissance de la courbe de ses seins.

Plus bas, le creux de ses reins plongeait entre ses fesses rondes, chaudes et charnues. Les jambes légèrement écartées laissaient apparaître la courbe vers la rondelle plissée de l’anus, et plus bas, l’ouverture rose de la vulve entourée de la chiffonnade des petites lèvres brunes dissimulait l’ouverture vaginale.


Les souvenirs lui revenaient en masse, défilaient l’un après l’autre dans ses pensées ! Dans combien de pays, d’hôtels, de lits n’avaient-ils pas fait l’amour ? Combien de fois n’avait-il pas éjaculé entre ses cuisses ? Combien de fois n’avait-il pas léché les lèvres de sa vulve, son vagin humide des sécrétions acides qui s’en écoulaient ? Parfois après s’être vidé en elle, il allait récupérer dans sa bouche la semence qui s’écoulait de son ventre, puis allant coller ses lèvres aux siennes, ils l’embrassaient dans la liqueur qui s’écoulait de sa bouche et se mêlait à leur langue gourmande.




***




Parfois, j’en venais à me comparer au marquis de Sade, bien que loin de ses pratiques, je ne forcerais jamais personne à subir ma loi ! Cependant avec le temps je me rendais compte qu’elle aimait découvrir ce qu’elle ne connaissait pas, même si cela devait aller contre ses principes, ses convictions et ses pratiques. Ainsi lorsque j’essayais de lui faire pratiquer une fellation, elle détournait la tête à gauche et à droite, fuyant la verge. Et c’est en appuyant alors doucement mon gland contre ses lèvres, et frottant doucement celles-ci qu’elle les écartait. Alors toute résistance cessait immédiatement, et d’une longue poussée je pouvais introduire mon sexe entre ses joues, sentant sa langue chercher le gland et l’entrée du méat.

Le plaisir que j’ai pris en voyant ma verge dans sa bouche est prodigieux.


Et chaque fois, cela se reproduisait… Croyant à chaque instant qu’elle n’accepterait pas, je m’attendais à un refus, à un geste qui me détacherait d’elle, rejetant ce que j’avais envie de lui faire découvrir. Chaque fois, je fus étonné de son acceptation et de la langueur avec laquelle elle se laissait posséder ou caresser.

L’anneau de ses lèvres enserrer ce cylindre de chair en pleine érection, sentir sa langue fouiller mon gland, s’insinuer dans les replis de peau qu’elle avait en bouche et me sucer avec délectation pendant qu’elle me fixait dans les yeux…

Elle cherchait le plaisir dans mon regard, sa langue fouillait, fouinait, tâtonnait, s’enroulait autour de mon gland, me donnant l’impression d’une nuée de caresses, frottant, mordillant. Parfois, elle sortait le sexe de sa bouche, alors ouvrant celle-ci, elle saisissait la tige par le travers, et mordait avec force, m’arrachant de petits cris de douleur. Souvent, je ne résistais pas, et les jets de sperme giclaient au rythme de la pression de ses dents.


Mes doigts la découvraient chaque fois un peu plus. Son sexe s’ouvrait sous mes caresses, le capuchon de son clitoris avait éclos sous mes baisers, ses petites lèvres s’écartaient, disjointes par la poussée de ma langue, et sans me repousser, elle gémissait, acceptant les vagues de plaisir qui déferlaient en elle avec amour.


Et pendant ce temps, Éric, son mari, s’occupait de sa sœur Lise… dans une autre chambre de l’étage.


Lise, ma femme !

Elle me connaît bien, ma Lise ! Elle me comprend de suite – elle sait mon souhait – et glisse sa main sous mes testicules, conduit une phalange vers mon anus. J’écarte les jambes pour lui signifier mon désir. Je sens la pulpe de ses doigts se promener sur les plis serrés de mes testicules et sur les stries anales de ma rosette. Elle palpe, caresse, enserre avec douceur, alors elle croche doucement la première phalange de son doigt dans mon anus et l’enfonce doucement. Puis, à genoux, elle explore, procède par petites touches rapides, me couve de ses yeux, me gêne à me regarder, à m’observer ainsi, à me posséder, à me fouiller si intimement.

Sa tête se positionne devant mon sexe, et elle l’englobe faisant saillir ses joues. Celles-ci se gonflent sous la pression du sexe à l’intérieur de sa bouche et de la pression qu’il exerce sur ses parois.

J’adore ses mains, ses doigts qui s’occupent de moi. C’est cela exciter… faire monter la pression, par de petits gestes. Une caresse et un regard appuyé en même temps parfois prolongé jusqu’à l’orgasme, et regarder le sperme sourdre du méat, se répandre sur ses doigts et sur la verge. Ou des mouvements brusques, rapides, à la limite de la douleur qui m’arrachent des cris, des soupirs puis cet orgasme puissant qui libère des giclées de sperme allant recouvrir le visage et les seins de ma Lise.


Elle souriait, suivant sur mon visage les effets de sa masturbation, ses mains s’activaient sur mes bourses, les roulant l’une contre l’autre avec puissance, les poignant, dans son poing fermé, les trayant comme des pis de vache, puis lorsqu’elle me sentait à point, son majeur d’une poussée me pourfendait l’anus pendant que son autre main d’une traction brusque m’étirait violemment les testicules…. Là, j’aimais bien ses paroles vulgaires :



Et à tous les coups, elle me faisait jouir, recueillant les giclées de semence sur son visage, ses lèvres, et dans sa bouche.

Et je la regardais, belle, nue, le visage englué de sperme, le sourire éclatant, venant à se frotter à moi, empoissant mes lèvres, mes joues et ma bouche de mon foutre chaud et salé.

Elle adorait regarder ce moment de violence, c’est un moment de possession de l’autre. Elle n’en abuse point pour autant, elle n’est pas femme qui cherche le pouvoir sur les autres, mais pour autant, voir la partenaire se laisser ainsi aller est source d’un plaisir intense.


Lentement, dans les deux couples, les choses s’étaient mises en place. Les week-ends, les vacances se passaient souvent ensemble de plus en plus librement, et des baisers sur la bouche ou un geste d’envie se passaient sans problème devant les autres.

Les nuits, lorsque les enfants n’étaient pas là, les portes des chambres restaient souvent ouvertes, et lorsque l’un ou l’autre allait chercher à boire, il s’arrêtait, curieux, devant l’autre chambre, et regardait en souriant l’autre couple prenant son plaisir…

J’entends encore Laurie me souffler à l’oreille en riant :



Alors, excité, je m’enfonçais plus loin en elle, plus profondément, augmentant l’ampleur de mes mouvements, cherchant à lui arracher de petits gémissements, fouillant en tournant pendant que mes testicules, se frottant à ses lèvres sexuelles, venaient battre l’intérieur de ses cuisses et frapper la rosette de son anus. Les aller-retour se faisaient plus amples, toujours sur un rythme assez lent, histoire de ne pas faire monter trop vite la pression.


Je me redressais sur mes bras, de façon à bien dégager la vue sur mon sexe et la vulve, et dégager le bassin se projetant à la rencontre du phallus et offrant à sa sœur le spectacle de sa possession.

J’aimais voir mon érection humide glisser en elle, elle suivait mes mouvements, sursautant, se crispant quand la pénétration se faisait plus puissante ou plus rapide, puis elle se relâchait, et suivait le mandrin s’enfoncer profondément entre ses cuisses, acceptant l’indicible.


Son orgasme arrivait lentement, je la préparais minutieusement, lui arrachant les petits cris qui m’indiquaient son niveau de plaisir, puis je m’insérais, doucement, enfouissant mon membre dans la gaine chaude, tournoyant pour bien caresser les pourtours striés du vagin puis lors du premier petit mugissement, je forçais plus sèchement, par à-coups, rentrant et sortant plus puissamment, distendant le fond de son sexe, écrasant mon gland contre le col de l’utérus. Je me retenais avec plaisir, bloquant la montée du sperme. Alors elle grognait, voulait être arrosée, et je sentais les griffes de ses mains m’empoigner les fesses, me griffer.



Et alors un de ses doigts s’insinuait entre mes fesses et s’enfonçait en moi profondément, voulant me forcer à dégorger puissamment au fond d’elle. Mais le plaisir de ce doigt me visitant me plaisait trop, et je retardais l’instant de ma jouissance. C’était un moment de rêve… un plaisir de roi !

Alors je la prenais plus violemment, donnant de secousses puissantes en elle, qu’elle compensait par des mouvements plus violents de son doigt et, ne tenant plus devant ses va-et-vient rapides et profonds dans mon rectum, je lui disais de patienter, que je n’étais pas prêt, qu’il fallait attendre que mon plaisir monte. Alors elle m’insultait, me grondait, me suppliait de dégorger en elle, de la mouiller, de lui faire sentir la chaleur de mon foutre, elle me traitait d’impuissant, comment la laisser dans cette attente ? Comment ne pas avoir de vider ses couilles en elle ?



Alors j’eus pitié d’elle…



Et me laissant aller, je me relâchai et vidai mes testicules ensemençant de sperme la mouille qui sourdait de sa vulve et engorgeait le fond de son vagin.





***




Je revins le lendemain matin. Éric était parti et Laurie était seule. Elle me regarda avec un petit air complice :



Je la regardai avec un petit sourire !



Puis, changeant de sujet :



Laurie alla chercher un petit carnet entoilé dans le tiroir de son bureau. Celui-ci possédait une petite serrure qui permettait de le fermer, mais dont la clef manquait. Laurie l’ouvrit à la page où se trouvait un signet. La calligraphie était magnifique, écrite encore à la plume.

Elle attendit un moment et commença à lire :


Avril 1935


Je m’approchai du lit, me mis sur le dos et demandai à ma chère cousine Diane de m’enjamber et de venir déposer son entrejambe sur ma bouche. J’avais envie de la goûter. Ce sont à notre époque des pratiques défendues, tout comme la femme qui prend dans sa bouche le sexe de l’homme. Comment bien se connaître si on ne profite pas entièrement du corps de l’autre ?

J’avais eu la chance de consulter des livres de médecine, et de découvrir pas mal de choses concernant les corps des femmes.


En se retournant, elle s’exécuta, sans se faire prier, heureuse de me faire autant d’effet. Elle releva ses longues jupes et les retint au-dessus de ses genoux. Elle n’avait pas de dessous et je devenais fou chaque fois que je la voyais nue, les cuisses ouvertes et sa vulve bâillant doucement, me dévoilant l’entrée de son intimité. S’abaissant, elle écrasa sa vulve sur le bas de mon visage, enfouissant l’entrée de son vagin sur mes lèvres. Je commençai par écarter ses petites lèvres avec ma langue, remontant dans la fente lui lécher le clitoris, ensuite, je passai à sa vulve en imaginant que quelques minutes plus tard, je m’occuperais de son anus avec autre chose que ma bouche ou mes doigts.

Je parsemais son sexe de vifs coups de langue, puis lui mordillai les lèvres vaginales. Nous bravions les interdits de notre époque ! Le contact de la bouche et du sexe était chose démoniaque !


Puis, je la fis s’allonger sur le ventre, les cuisses ramenées contre son buste. Me redressant, je jouai avec sa rosette, la titillant du bout de mon sexe, faisant passer mon gland entre ses fesses… Nos fluides commencèrent à se mélanger vraiment. Le jeu ne dura pas plus de cinq minutes. Je la sentais très réceptive et très ouverte, je lui fis écarter les jambes et, d’une longue poussée, la pénétrai avec force.


Comme toujours, c’est au meilleur moment que l’on est dérangé, et à ce moment, sans doute à la recherche d’une chambre libre, la porte s’ouvrit et ma sœur Lenny pénétra avec Lucas le frère de Diane. J’étais trop occupé pour prêter attention à ces cousins qui s’immobilisant nous regardèrent de tous leurs yeux.

Alors sans complexe, et devant ma sœur et le frère de Diane, je la pilonnai encore et encore, profondément, amplement. D’abord le sexe, ensuite l’anus. Elle pleurait tant l’afflux de sensations était vif. Son sexe apparaissait comme une fleur à travers les voiles de ses jupes. Elle dodelinait de la tête. J’aimais la voir perdre tout contrôle. Cela me rendait fou, ivre de désir pour cette petite chose fragile, mais si déterminée et si forte, finalement. Et puis, et surtout, j’avais envie de voir ses yeux saphir se voiler. Sa poitrine se soulever de plus en plus vite. Elle sentit mon membre se raidir plus encore et investir totalement son rectum pour après quelques puissantes poussées dégorger tout mon foutre en elle… Il était doux, liquide, et abondant. Ensuite, elle se servit à nouveau de ses doigts à elle pour prolonger son orgasme. Elle se branla le clitoris en regardant sa cousine Lenny et le spasme arriva au moment où elle prit un peu de sa mouille pour la mélanger à mon sperme et s’en badigeonner les seins… Mon sexe me faisait mal, les pulsions de l’orgasme m’avaient vidé. Je revoyais mon sexe rentrer et sortir de son anus, cherchant profondément le fond de cette gaine interdite pour y gicler ma semence.


Laurie me regarda avec curiosité après avoir lu ce petit passage.



Avril 1935


Livio était nu couché sur le dos. Son sexe en érection se dressait contre son ventre. Le gland à moitié décapuchonné laissait voir le méat qui s’entrouvrait comme un poisson qui respire. Il m’excitait, cette bite que j’allais m’offrir, et qui allait s’enfoncer en moi me remplissait déjà en entier. J’approchai mon sexe de son visage, et je plaquai ma vulve contre sa bouche, pressant mon sexe contre ses lèvres. D’un coup de langue, il ouvrit mes lèvres, trouvant l’entrée du vagin et les replis des chairs cachant mon clitoris. Sa bouche se perdit dans les replis de peau de ma vulve, sa langue remontait sur le clitoris, s’enroulait autour puis redescendait en s’enfonçant dans l’ouverture de mon vagin, m’arrachant des gémissements de plaisir.


Soudain, la porte s’ouvrit brutalement, et Lenny entra avec Lucas. Celle-ci regarda son frère en érection et sa cousine Diane.

Alors Livio me saisit, me retourna sous lui, renversée sur le dos, les jupes bien remontées. Ma nudité, bien étalée de la ceinture aux genoux, offrait un charmant spectacle, bien propre à exciter mon cousin Lucas. Tout cela était pour inspirer l’amour et le désir de baisage.

Saisissant sa verge, il l’agita du haut en bas dans ma vulve, puis l’ayant trempée quelques fois dans la cyprine de mon vagin, il me pilonna violemment devant sa sœur, puis changeant d’ouverture, d’une poussée il l’inséra dans ma rosette anale, l’enfonçant en quelques poussées au fond de mon rectum.

Il s’agitait avec puissance, m’ouvrant complètement au diamètre de sa verge, limant les parois de mon anus.

Je n’attendais que d’être remplie, et une vague de chaleur monta dans le bas de mon ventre que je sentais devenir chaud et humide et beaucoup plus sensible.

À ce moment-là, mes yeux se révulsèrent et je sentis comme une urgence à être remplie.


Le va-et-vient de mon adorable cousin me rendit folle et il ne put se retenir longtemps, et je jouis rapidement, acceptant les giclées de sperme entre mes fesses.


C’est là que je remarquai Lenny et mon frère qui nous regardaient, et je ne réalisai même pas que Livio changeait d’orifice. D’une poussée, il investit mon vagin trempé. Il me tringla avec une telle vélocité que je me tordis et me pâmai. La cyprine me trempait ! C’était un délire de gestes lascifs et de sauts, où l’ardeur passionnée nous gagnait de plus en plus. On s’attrapait à bras-le-corps pour se baiser sur la bouche, se proposer mille tendresses.

On aurait dit que Livio s’excitait encore plus sous les yeux de son cousin et de sa sœur. Ma main trouva la fente entre ses fesses, et forçant son anus d’un doigt vigoureux, je lui enfonçai mon majeur dans le rectum. Il se redressa en gémissant pendant que j’agitais celui-ci dans ses fesses. Je n’arrêtai que lorsque je sentis un orgasme le submerger à nouveau.

Livio avait trouvé dans la bibliothèque d’un grand-oncle qui était médecin, un petit opuscule sur les déviances de la sexualité, qui parlait notamment de la sodomie, et de sa pratique en temps de guerre, évitant ainsi aux femmes de tomber enceintes. Il avait voulu mettre en pratique et essayer avec moi cette nouvelle ouverture aux plaisirs. Et… j’avais adoré !


Laurie s’arrêta en me regardant…



Nous n’avions pas la chance de voir nos cousins toutes les semaines, par contre le contact entre cousines était plus facile, nous allions en effet au même collège.

Lenny passait régulièrement à la maison, et souvent une promenade nous permettait de nous retrouver seules.

Les contacts dans les dortoirs étaient évidemment interdits, et les filles devaient dormir avec les bras au-dessus des draps… évitant ainsi la possibilité de se toucher.

Souvent en pleine nature, Lenny, un peu sevrée de ses charnelles habitudes, s’affolait ; elle quittait sa robe, et, en petit jupon, sans corset, elle me présentait ses petits seins, pour que je les tète. Elle s’accroupissait à cheval sur mes cuisses pour me branler en se branlant elle-même, clitoris contre clitoris. Je la suppliai de se laisser gougnotter, elle se jetait alors en soixante-neuf sur moi pour ne rien perdre de son ivresse sensuelle. Alors nos deux langues se mariaient, fonctionnant à merveille. On apercevait, au milieu des rondeurs blanches des fesses et des cuisses, les têtes qui émergeaient et se noyaient dans la fougue des ardentes caresses ; de longs soupirs, de profonds halètements s’entrecroisaient, les jupons et les chemises s’entortillaient, les lèvres se précipitaient sur les ouvertures, les fentes, humant, léchant : le plaisir ne cessait de s’accroître. Ah, quels délices de se sentir aussi amoureuses l’une de l’autre, et d’apprécier avec la même fièvre ces chairs secrètes, vibrant sous la passion, se magnifiant sous les désirs qui les enflammaient !

On se reconnaissait sœurs en volupté ! Lenny, cette petite mijaurée des années précédentes, qui s’indignait à l’idée qu’une langue se promènerait entre ses cuisses ou dans la fente de son cul, enfonçait maintenant la sienne au plus profond de mes fesses, criant qu’elle était heureuse de me faire une feuille de rose, et sa langue ne quittait l’anus que pour voltiger sur mon con, mon clitoris et l’entrée de mon vagin.



Alors me tournant vers elle et reprenant la conversation interrompue, je lui demandai dans sa langue maternelle :



Laurie se tourna vers moi :



Sa voix prenait des tonalités anxieuses qui rendaient compte de son stress et de ses envies. Alors elle se livrait encore plus :



Puis me fixant dans les yeux, elle continua :



Alors elle reprenait assez excitée :





***




Le réveil sonna soudainement !


Ouvrant les yeux, je me réveillai, les pensées confuses, des images plein les yeux. Ma femme me regarda en m’interrogeant :



Je ne crus pas bon de lui cacher mes pensées et mes rêves, on avait trop l’habitude de parler de cela.



Laurie sembla réfléchir…



Me regardant, elle me dit :



Rejetant la couverture, elle descendit doucement sa fine chemise de nuit et s’agenouilla devant moi. Saisissant ma main, elle la posa sur mon sexe en me fixant dans les yeux :



Surpris, lentement je saisis mon sexe, et prudemment, par de longs mouvements je commençai à me masturber devant ma femme. Je voyais qu’elle fixait mon érection et le gland qui surgissait lorsque le prépuce se retirait. Un peu gêné, je continuai quand même, trouvant excitant de la voir me regarder.

Puis posant sa main sur la mienne, elle accompagna un temps le va-et-vient. Je retirai ma main pour la laisser faire et elle continua la masturbation, enserrant le membre chaud entre ses doigts.

Elle recouvrait mon gland avec la fine peau du prépuce, s’arrêtant parfois pour le décalotter et le frotter entre son pouce et son index, répartissant le liquide suintant du méat sur la tête du gland jusqu’au gros bourrelet d’où se prolongeait la puissante tige de la verge. Elle dégagea ses seins du décolleté de sa combinaison, que je puisse profiter de leur vue, et elle en approcha leur pointe du gland érigé qu’elle frotta ainsi doucement.

Au bout d’un moment, placée ainsi à genoux avec le visage à quelques centimètres du sexe, je vis son envie de le gober. Elle arrêta la caresse et saisit le sexe dressé qu’elle présenta devant ses lèvres. Je la regardais et elle se retourna vers moi qui l’observais, fou d’excitation, et je lui fis un signe d’acquiescement. Alors elle commença par embrasser mon gland offert, à le lécher, à passer sa langue sur son pourtour.



Elle fit durer longtemps son attente, continuant à m’agacer de ses lèvres, de ses dents et de sa langue, avant de l’absorber enfin au plus profond de sa bouche, montant et descendant sur la hampe et le gland superbement dilaté. Elle se hissa un peu plus haut et plus verticalement et entreprit de me masturber avec sa gorge, au-delà de la luette, faisant pénétrer le gland profondément. Mes râles lui firent sentir les signes prémonitoires de l’orgasme, elle sentit le sexe se gonfler. Elle accéléra ses mouvements et bientôt j’éclatai dans sa bouche, répandant un flot de semence trop longtemps contenu. Elle m’avait ramené à la hauteur de son palais pour pouvoir respirer et s’appliquait à avaler tout le jus au fur et à mesure que le gland dégorgeait et rejetait le liquide chaud sur sa langue et contre ses joues.


Je ne l’avais pas quittée des yeux, synchronisant ma jouissance avec ses mouvements de gorge ingurgitant le sperme.

Elle m’embrassa sur la bouche de ses lèvres encore souillées des traces que j’y avais laissées en y déversant mon éjaculat chaud et gluant.


Puis elle se leva, satisfaite du plaisir donné, et fila dans la salle de bain où l’on entendit bientôt l’eau couler sous la douche.




***




Le lendemain, je mis du temps à retrouver mes idées. Donc, demain, Éric ne serait pas chez lui, et je savais que Laurie avait déjà téléphoné à sa sœur pour la prévenir que je viendrais achever la menuiserie.


J’avais bien des idées sur ce qu’il se passerait, mais comme toujours, s’il elle n’était pas en forme, elle pourrait refuser et ne pas accepter ce que je voulais essayer avec elle.

Le matin, mon épouse m’avait regardé en souriant :



J’avais bien réfléchi, et l’idée de lui faire connaître la sodomie ne m’avait pas quitté. De violentes érections m’avaient perturbé, mais je ne voulais pas me caresser de façon à garder toutes mes forces pour cette journée.

Laurie le soir m’avait bombardé de questions, et heureusement elle m’avait bien drivé parce que je me rendais compte que je ne savais pas trop comment m’y prendre pour sodomiser ma belle-sœur la première fois !

Enfin ! Cela ne devait pas être beaucoup plus difficile que de lui faire l’amour ! Beaucoup de douceur, de la patience, de la prudence, me disait ma femme au vu de ma longueur et de l’épaisseur du gland qui aurait du mal à passer si elle était étroite…


Je retrouvais bien ma petite femme, qui sans complexe m’expliquait comment enculer ma belle-sœur et, euh… sa sœur ! Elle avait l’art de m’exciter ! Il faut dire qu’elle avait une sérieuse avance avec Éric, et j’étais certain que la sodomie ne lui posait plus de problèmes ! Demain soir, elle me poserait un tas de questions pour savoir si je m’étais bien débrouillé ! Mais je savais que Laurie lui raconterait tout !

J’allais retrouver ce petit corps que j’adorais tant ! On aurait une journée ensemble et j’espérais qu’elle aussi aurait le plaisir de me retrouver et de se laisser aller à nouveau !




***




7 h, Lise était déjà levée !



Elle me regarda en riant :



Voilà ! j’étais bon pour la journée ! Et mon placard là-dedans, il fallait aussi qu’il avance ! Mais pour le moment, il était loin de mes pensées !


J’avais l’impression que je n’y arriverais jamais… je ne roulais pas vite ! Pourtant je devais y parvenir ! Ma belle-sœur m’attendait ! Mais j’avais l’impression que cette voiture n’avançait pas.

Finalement, je dus freiner, la maison se présentait devant moi.

J’étais déjà en érection, les vers de Piron dans son chapitre des cordeliers sur le vit résonnaient en moi et me firent sourire :


Quel maître vit ! c’est mieux qu’un vit de carme

Grosseur, longueur, il a tout amplement.

Qu’on doit bien foutre avec tel instrument,

Et qu’en un con l’on doit faire vacarme.

Parmi les vits elle serait générale

Si l’on devait en former une armée,

Et l’on verrait ce sceptre monacal

En peu de temps digne de renommée.


Fermant la voiture, j’approchai de la maison et d’une poussée de la main, j’ouvris la porte !



Assez grande, mince, cheveux bruns, Laurie avait des petits yeux qui pétillaient toujours quand elle vous regardait, un peu comme si elle attendait une réponse à une question qu’elle n’avait pas posée.

Elle conservait un corps bien proportionné qu’elle savait entretenir avec une collection de petits flacons multicolores parfaitement alignés dans sa salle de bain.

Les petites rides qui se développaient aux coins de ses yeux quand elle souriait en inclinant légèrement la tête lui donnaient un adorable petit air coquin. Enfin, Daniel l’aimait bien, cette belle-sœur, sœur cadette de sa femme.

Et puis cette petite femme était toujours de bonne humeur. Enjouée, elle vous faisait fondre rien qu’avec un sourire. Daniel avait toujours été attiré par elle. Elle dégageait quelque chose de libre, de chantant, tout en étant très réservée. Elle se livrait peu, ou alors par demi-mots et sous-entendus.




***




Laurie s’approchant de moi glissa un bras autour de mon cou, et me fixa dans les yeux :



Puis, glissant les doigts sur mon pantalon et me frôlant à travers l’étoffe :



Je n’osais pas imaginer la scène… Ma belle-sœur regardant sa sœur faire l’amour avec son mari ! Elle partit à la cuisine me chercher un bon café.

Elle revint et me regarda bizarrement. Elle tournait autour de moi, voulant m’expliquer par geste ce qu’elle désirait. Et ses gestes se rapprochaient de moi, me frôlaient.



Et elle se plaça derrière moi. Ses mains envahirent mon bassin, je les sentais partout…



Elle attrapa ma ceinture et tira violemment dessus pour me rapprocher d’elle. Puis je sentis qu’elle ouvrait celle-ci, puis lentement la tirette de la braguette de mon pantalon. Avec une infinie douceur, elle baissa celui-ci.



Je sentis une envie folle se développer… Elle venait d’exprimer ce que j’avais envie de lui révéler depuis longtemps.



Je sentis à peine le pantalon glisser le long de mes jambes. Ma chemise déboutonnée tomba également.

Puis sans bouger, elle me regarda longtemps, me fixant, essayant de découvrir ce que je pensais. Pour le moment, celui qui pensait était plus bas que mon cerveau… et je le sentais s’étirer, se développer, prendre ses dimensions, et Laurie suivait l’augmentation de sa taille dans mes yeux.

Il se déployait, se fortifiait, manifestait son impatience devant cette femme, il se déballait, je sentais le gland s’avancer, repousser le prépuce…

Lorsque Laurie évalua la situation à son avantage, toujours en me fixant, elle glissa deux doigts de chaque côté du boxer et d’une poussée le glissa vers le bas. Il tomba sur le pantalon.

Un air froid saisit soudain mon sexe et mes bourses, et sous ses doigts ces douces petites choses se rétractèrent violemment comme de petits escargots dans leur coquille.

Laurie derrière moi commentait ses impressions !



Elle approcha ses lèvres des miennes et son baiser me fit tressaillir. Pendant que sa langue se glissait dans ma bouche, sa main se glissa sous mes testicules en les empoignant, les palpant et les attirant à elle…



Je n’eus pas l’occasion d’achever ma phrase, elle saisit mon sexe de son autre main et pressa cette induration entre ses doigts en me susurrant :



Elle me branla sur quelques centimètres seulement, je respirais de plus en plus vite et de plus en plus fort. Je sentais ses doigts m’enserrer.


J’avais envie de lui dire : « Oui, c’est ça, continue, ma petite salope ». Mon sexe grossissait et devenait de plus en plus raide. Finalement, ces mots sortirent de ma bouche :



Laurie sentait le petit mouvement de mes fesses se contracter à chacun de ses mouvements à elle. Elle sentait les testicules durs, très serrés.





***




J’adorais entendre Daniel se laisser aller.

On a beau avoir été bien éduquée, quand la tension monte dans le corps, c’est lui qui parle et qui commande !

Je souriais en entendant ses paroles, il me traitait de salope, de garce ! Je serrais la bite de mon beau-frère, je l’avais pratiquement à ma merci. Je me sentais puissante, tellement puissante. Cette fois, je n’avais pas eu besoin de me masturber devant lui, ou de me déshabiller. Je l’avais excité juste à ma manière à moi, et là, je le branlais comme je l’aimais. Cela faisait des années que j’attendais cela, que j’en rêvais. J’allais passer à l’étape finale, à présent. Et tant pis s’il trouvait ça trop fort… Que trouverait-il à y redire, d’ailleurs ?


Alors, sans lâcher son mandrin, je me plaçai devant lui, plantai mes yeux dans les siens. Puis, d’un geste rapide, je l’engloutis d’un coup, très loin, pratiquement dans le fond de ma gorge et plaquai son pubis contre mes joues. Un doigt dans ma vulve, je recueillis ma cyprine puis en frôlant la rosette entre ses fesses, je lui introduisis la première phalange de mon majeur dans l’anus.

Il eut un violent sursaut ! Plaisir, étonnement ou un peu de douleur ? Il se crispa et je sentis ses muscles enserrer mon doigt.



Laurie sentait Daniel perdre pied. Tout son corps à lui était parcouru de grands frissons. Il avait perdu sa superbe. Il n’était plus capable de dire quoi que ce soit de sensé. Il n’était plus capable non plus de tenir solidement sur ses jambes. Elle le sentait vaciller. Elle ne se concentrait plus vraiment sur ce qu’elle faisait. Elle savait que son orgasme à lui ne tarderait pas, qu’au point où il en était, cela prendrait encore une ou deux minutes, maximum, s’il tenait jusque-là…



Puis Laurie enfonça lentement toute la longueur de son doigt et l’agita doucement et le sortant doucement elle caressa la prostate en ayant soin de ne pas déclencher son orgasme. Elle se redressa et, retirant son doigt, lui demanda de patienter un moment.


Daniel reprenait ses sens, cette pratique amoureuse lui était totalement inconnue. Son anus brûlait de cette pénétration. Il ferma les yeux, redécouvrant le plaisir puissant du doigt de sa belle-sœur.

Lorsqu’il rouvrit les yeux. Elle se tenait là, devant lui, à contre-jour. Et ce qu’il vit tout d’abord, ce sont ses épaules bien charpentées, ses hanches larges révélant son sexe, son ventre, ses longues cuisses, ses yeux qui, même s’il n’était pas possible d’en distinguer la couleur puisqu’elle était juste « une ombre », brillaient d’un éclat gourmand. Son pubis noir bien dessiné contrastait avec la clarté de sa peau. Les voiles de ses petites lèvres franchissaient la frontière de son sexe, fripées comme une rose ancienne.

Puis, elle se tourna légèrement, comme pour se présenter à lui de profil. Et c’est là qu’il distingua ses petits seins dont les tétons dardaient, et surtout, surtout, quelque chose dont il n’aurait jamais imaginé la jeune femme se munir…

Lui qui aimait les sous-vêtements blancs, il fut presque choqué de ce que Laurie portait. Une culotte noire. Pas un string, non. Une vraie culotte, mais « améliorée ». Un anneau d’environ cinq centimètres était intégré sur le devant du sous-vêtement et dans celui-ci, un jouet noir, d’une vingtaine de centimètres de long, ne laissait aucun doute sur l’usage qui pourrait en être fait. Cela réveilla vraiment l’homme… Qu’avait donc prévu cette petite vicieuse ?



Je la regardai. Je ne connaissais pas ce côté de Laurie ! Quelle perverse ! Rien qu’à m’imaginer être pénétré par ce pénis en silicone alors qu’elle s’occuperait certainement de moi d’un autre côté avec ses mains me fit bander encore plus. Et la connaissant, je savais qu’elle raconterait tout à sa sœur avec moult détails !



Alors élevant le ton :



Je m’agenouillai, sentant la punition proche si je n’obéissais pas.



Laurie attendit un moment et c’est d’un doigt très sûr qu’elle lui enduisit de gel la rosette anale et commença à titiller son anus avec son majeur. Elle était très douce, mais insistante. Elle n’allait pas trop loin dans l’orifice de l’homme, mais c’était assez pour qu’il se dilate de manière tout à fait spontanée et convaincante ! L’intromission s’annonçait idéalement.

Insistante, elle fouillait ce fourreau étroit de son doigt, découvrant l’intimité de son beau-frère.

Laurie regarda le gode fixé à son pubis, trouvant dommage qu’il ne soit pas vivant pour posséder vraiment sa victime, et ressentir en elle les vibrations du plaisir.

Elle voulait commencer par pénétrer Daniel en levrette, pour qu’il se sente vraiment embroché, et puis elle changerait de position… Avec la levrette, il est certain qu’elle ne devrait pas faire de grands mouvements pour s’enfoncer à fond.

Lentement, elle imaginait la matraque dans son cul, enserrée. Captif de ce petit passage étroit… profond, cette dague en silicone flexible suivrait les courbes de l’anus et s’enfoncerait au maximum dans le rectum.


Laurie sourit à Daniel et il fit pareil. Ses premiers mouvements à elle furent légers. Elle avait posé le gode contre la rosette, agaçant les plissements du sphincter par de légères poussées. Daniel avait protesté :



Alors, d’une poussée plus forte, elle força le gland sur la rosette de son beau-frère qui poussa un long gémissement.



Par petites poussées, elle pressait le gode dans le sillon des fesses, alors d’un coup l’anus accepta l’extrémité épaisse du pénis.



Laurie saisit les hanches de son beau-frère et effectua de lents va-et-vient pas très profonds, juste de quoi agacer l’entrée. Elle n’avait qu’une envie, celle d’entendre son beau-frère lui demander de l’enculer plus profond. Daniel était vierge de cet endroit, sauf parfois un doigt s’y perdait ! Lise lui avait raconté qu’il n’avait encore jamais sodomisé une fille, même pas sa femme. Ses autres conquêtes se montraient en général moins hardies et plus conventionnelles. Juste un doigt, pas très loin, pas très rapide, pas une véritable insertion et surtout pas ce genre de jouet… Là, il ondulait : ses jolies fesses se contractaient au rythme des aller-retour du « pilon » de Laurie.

La sensation était tout de même dérangeante, intrusive, mais très excitante. Une vraie queue aurait été plus douce, moins dure, se serait mieux adaptée à son anatomie !

Il commença à gémir doucement, essayant d’échapper à la poussée du pal. Mais ce n’était pas ça que la jeune femme attendait… Elle voulait qu’il soit si excité qu’il soit incapable de parler ou de gémir.

Elle voulait le faire réagir, lui faire sentir le ressenti d’une fille enculée ! Rien que des cris et des mots crus. Elle voulait le faire sortir de son beau langage, lui infliger quelque chose qu’il ne connaîtrait sans doute plus d’ici longtemps… être « la seule dispensatrice de ce plaisir à la limite de la douleur ». Qu’il ressente le moment où le gode dispenserait doucement le plaisir pour le mener à l’orgasme !



Elle n’allait pas continuer de s’occuper de lui de cette manière. Elle n’aimait pas cette position. Elle voulait se coller à lui, comme quand elle s’occupait d’une demoiselle. Il se releva donc. Elle plaqua sa poitrine et son ventre inexistant contre le dos de l’homme en lui attrapant les tétons elle les pinça. Alors elle renfonça l’appendice dans l’anus de son beau-frère d’un coup. Il sursauta. Cette « surprise » lui arracha un petit cri de douleur.



Mais, les mouvements reprirent. Daniel sentait le gode s’enfoncer entre ses fesses, il était taraudé de manière de plus en plus violente, et doucement la légère douleur se changeait en plaisir.



Une sensation de possession, de chaleur douce, pas agressive, un sentiment de bien-être se répandit dans son fondement. À nouveau, il soupira. Laurie de sa main gauche, lui empoigna le sexe et commença à le branler…



Daniel avait l’impression d’être un privilégié, de s’autoriser un plaisir que d’autres s’interdisaient.

L’idée de se faire pénétrer n’était pas facile. Il avait l’impression de devenir homo.

La sodomie est encore pour certains une pratique transgressive. Mais ce petit goût d’interdit a une saveur particulièrement appréciable !


Possédé par l’arrière et masturbé par l’avant, il haletait. Elle savait vraiment s’y prendre. Son ventre à elle, collé au bas de son dos, ses doigts titillant le téton de l’homme et sa main gauche le masturbant. Il y avait tellement de sollicitations de part et d’autre de son corps qu’il sentit l’orgasme se précipiter. Il ahanait. Comme elle l’avait tant désiré, il perdait toute contenance.

Sa respiration s’accélérait sans qu’il ne fasse d’efforts, de grosses bouffées de chaleur et une envie de pousser des cris de jouissance incontrôlés.



C’était sorti tout seul de la gorge de Laurie. Ce serait trop facile pour lui. Il ne fallait pas que les choses se passent ainsi.

Laurie d’un ample mouvement de hanches rentrait et ressortait le gode des fesses de son beau-frère. Le gel facilitait la pénétration, et à chaque mouvement elle voyait le phallus en silicone s’enfoncer un peu plus.

Daniel avait l’impression de vie à l’intérieur de lui, les longues poussées lui arrachaient des gémissements de plaisir, et Laurie excitée forçait chaque fois un peu plus, donnant à chacun de ses mouvements un sentiment de force et de puissance.

Laurie d’une dernière poussée enfonça profondément la verge en silicone en lui. Par petits coups, elle l’introduisait de plus en plus loin, fouillant son intimité…



Elle se détacha de lui. Il était complètement perdu. Elle n’allait tout de même pas le laisser dans cet état d’excitation ? Elle n’allait pas le laisser débander sans rien faire ? Ah non…



Ayant dégrafé le gode, et tout en gardant sa fameuse culotte noire, elle se coucha sur le dos. Comment allait-il s’y prendre pour… Elle écarta le tissu, lui dévoilant son intimité. Elle était mouillée, trempée, même. Ses lèvres étaient gonflées et très rouges. Daniel d’un mouvement de poignet arracha la culotte, et forçant l’écart de ses cuisses n’eut aucun mal à faire entrer son sexe dans celui de la jeune femme. Sa queue violait sa chair, plongeait dans la lézarde chaude de la vulve.


La jeune femme haletait de plus en plus vite, et après un moment, il la sentit se raidir enfin de tous ses membres, et jouir à fond soufflant comme une forge, tout en crispant une main dans ses cheveux, avec des paroles incompréhensibles

Laurie avait besoin que quelque chose pénètre sa chair, force ses parois. Elle n’était plus qu’un sexe gonflé et palpitant qui se contracte, se relâche et se contracte encore.


Il fallait qu’elle sente le gland de Daniel repousser les parois et se frayer un passage jusqu’au fond, être pleine, entièrement remplie.

Elle voulait cette chair musclée dans son bas-ventre qui épouse les formes de son vagin, comme si chaque chose devait trouver sa place. D’un mouvement de hanches, il remonta vers le fond, jusqu’au bout, et sentit le vagin l’enserrer. Il commença alors à aller et venir en elle, pendant qu’elle l’entourait de ses jambes et les nouait au-dessus de ses fesses. Il sentait les rides de son vagin contre le bourrelet de son gland, celles qui le faisaient comme voyager en carrosse sur une route bien empierrée, et de plus en plus fort Laurie accueillait en elle ses secousses avec de petits cris de surprise.


Il la pilonna, encore et encore, lui arrachant des cris de femme violée. Puis, brusquement, il sortit du vagin et visant le sphincter anal, il enfonça son gland d’une poussée à travers celui-ci. Celui-ci s’enfonça sans difficulté. Daniel s’arrêta, laissant à Laurie le temps de s’habituer. S’abaissant, il commença à la dévorer de petits baisers le long de la bouche.



Laurie s’appuya sur ses coudes et, redressant le buste, fixa le début du sexe fiché entre ses fesses.

Alors Daniel enficha lentement celui-ci dans l’anus de sa belle-sœur, dont les yeux allaient de son visage à l’ouverture anale qu’il remplit complètement.

Laurie gémit sous la poussée du gros gland et retint un petit cri lorsque le phallus s’installa dans son derrière :



Mais Daniel était bien installé, il sentait les muscles qui l’enserraient et qui se contractaient autour de la godille qu’il venait d’insérer dans le rectum de Laurie.



Celle-ci par des mouvements du bassin tenta d’accepter le mieux qu’elle pouvait ce mandrin de chair qui lui défonçait les fesses, mais son beau-frère la regardant droit dans les yeux continua à enfouir sa verge de plus en plus loin, s’enfonçant dans le rectum étroit, cherchant l’endroit où se répandre et dégorger son sperme.

Et puis, d’un coup, Laurie se sentit venir… C’est vrai qu’il mettait du cœur et de l’énergie à l’ouvrage, mais il fut étonné de l’intensité du plaisir qu’elle manifestait à présent. Sa tête roulait de gauche à droite, ses doigts s’activaient sur son clitoris en érection, dur comme un petit caillou. Pour que Daniel se sente bien enserré, elle contractait au maximum ses fesses. Le fait d’être aussi enveloppé augmenta son l’excitation et la dureté de son membre. Sauvagement, il lui empoigna les seins.



Laurie écoutait les vulgarités qu’il lui chuchotait à l’oreille tout en se masturbant le clitoris. Elle regardait son sexe ouvert, et plus bas l’anus serré autour du pénis qui coulissait régulièrement.

Elle pleurait tant l’afflux de sensations était vif. Elle dodelinait de la tête, disait oui, puis non. Daniel aimait la voir perdre tout contrôle. Cela le rendait fou, ivre de désir pour cette petite chose fragile, mais si déterminée et si forte, finalement. Et puis, et surtout, il avait envie de voir ses yeux saphir se voiler, sa poitrine se soulever de plus en plus vite.



Daniel dut la retenir, l’empêcher de faire sortir son sexe de son anus, et continua de la pilonner pour prolonger son orgasme. Il sentit son sexe se raidir dans la gaine chaude de Laurie quand le doigt de sa belle-sœur pénétra son anus, puis les pulsations violentes de son orgasme giclèrent son sperme par saccades, épais et abondant dans le rectum de sa belle-sœur.

Laurie se laissa glisser sur les draps, les fesses en l’air :



Daniel regardait le ventre, le sexe de Laurie et l’anus d’où s’écoulait le sperme chaud. Il se pencha, prit un peu de la mouille coulant de son vagin pour la mélanger au sperme qui sourdait de l’anus. Puis il attira sa bouche contre la sienne, mélangeant leur langue dans leurs sécrétions intimes.


Alors Laurie lui déclara en le regardant :



Puis continuant plus doucement et prenant la main de Daniel :





***




Pour connaître les précédentes aventures de cette famille, lire : « Le Placard (1) », « Le Placard (2) », « Le Placard (3) », « La tour génoise - Épisode 1 », « La tour génoise - Épisode 2 », « La tour génoise - Épisode 3 »