n° 21130 | Fiche technique | 24134 caractères | 24134 3989 Temps de lecture estimé : 14 mn |
08/09/22 |
Résumé: Un couple, l’homme est travesti par sa femme, la féminisation va de plus en plus loin… | ||||
Critères: fh couple hsoumis fdomine lingerie hféminisé travesti caresses rasage cunnilingu hdanus hsodo -dominatio -travesti | ||||
Auteur : natachatrv69 Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Week-end entre femmes Chapitre 01 | Épisode suivant |
Vendredi, 11 h 45, quelques dossiers à boucler et je serai enfin en week-end. J’ai prévu de le passer avec ma femme et mes enfants. Je ferai les courses en ce vendredi après-midi, ça nous laissera plus de temps libre pour ce week-end…
Mon portable vibre, un SMS. Je jette rapidement un œil dessus, c’est ma femme, sans doute pour me souhaiter une bonne journée… Je le lirai plus tard, pour l’instant il faut absolument que je boucle mes dossiers pour pouvoir partir dès midi si possible.
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Ouf ! Voilà, tous les dossiers en instances sont finalisés et je vais enfin pouvoir profiter de ma journée. Voyons ce que me voulait ma femme tout à l’heure…
Mon chéri, rentre vite à la maison, tant pis pour les courses, mais ce week-end, je sors avec Natacha…
En lisant ces lignes sur l’écran de mon smartphone, une chaleur envahit mon ventre. Natacha, c’est moi, mon double féminin que ma femme fait parfois ressortir… Je vais donc passer le week-end en Natacha, il faut absolument que je rentre, ma femme aime la perfection et si elle veut passer le week-end avec mon double féminin, il faut que je sois épilée, et maquillée. Elle ne tolérera aucun manquement. Je dois être la plus féminine possible. J’hésite entre l’excitation la plus totale et la crainte, car lors des dernières fois où Natacha était là, ma femme commençait à me dominer. C’était nouveau pour nous deux.
Arrivé chez moi, je trouve sur la table de la cuisine un petit mot me disant que ma femme avait envoyé nos enfants en garde chez ses parents, qu’ensuite elle ferait du shopping et qu’elle serait à la maison à 20 h. Elle me précise aussi que Natacha devra être prête de la tête aux pieds et qu’elle avait prévu ses vêtements dans notre chambre. Une fois dans la chambre, je contemple la tenue que m’a prévue ma chère et tendre épouse.
Ce soir (ce week-end ?) je porterai une guêpière-corset noire et rouge avec des bas noirs. Ma femme m’a prévu un string noir également et des escarpins aux semelles rouges (imitation d’une marque célèbre… mais douze centimètres, quand même !!), « Ma » perruque au carré brune, des faux seins et par-dessus tout cela, mon épouse m’a préparé une robe, dite de soirée, rouge… il y a également un petit paquet cadeau… un mot se trouve dessus : « à n’ouvrir qu’une fois Natacha prête ». Bien évidemment, même si je suis tenté, je respecterai cette directive.
Il ne me reste plus qu’à me préparer : d’abord, me faire couler un bon bain bien chaud, préparer la crème dépilatoire, sortir mon maquillage, mes faux ongles, mes cils factices… ne rien oublier, être parfaite pour la femme que j’aime par-dessus tout… J’ai du temps devant moi, mais pas trop…
Une fois le bain coulé, je me glisse dedans avec volupté et ferme les yeux… me remémorant comment Natacha est née…
Notre couple s’engageait vers la voie « routine », nous nous aimions, bien évidemment, mais entre les enfants qui grandissaient et le boulot, notre vie intime, telle la peau de chagrin, se réduisait de plus en plus. Un soir, alors que nous faisions l’amour et que je remerciais ma femme de s’être apprêtée sexy avec de la lingerie, elle me regarda fixement et me dit :
- — Si tu savais le temps que je passe à me préparer pour te satisfaire !
Je me souviens avoir souri, elle n’apprécia pas mon sourire et me dit le plus sérieusement du monde que la semaine suivante, elle enverrait nos enfants chez ses parents de sorte à voir combien de temps je mettrais à me préparer en femme fatale.
Je lui répondis :
- — N’importe quoi ! Je suis un homme, je n’ai pas à faire ce genre de trucs !
- — Tu vois, tu as peur, comme tous les hommes… Ça mettrait pourtant du piment dans nos relations… Tu sais que j’aimerais faire l’amour à une femme… Tu ne voudrais pas être cette femme ? Autrement je te trompe avec Béatrice !
Béatrice, sa meilleure amie, son amie d’enfance, une femme superbe, 1,71 m de sex-appeal, malheureusement, pour les hommes : lesbienne…
- — …
- — Tu vois, tu ne dis rien. Allez, s’il te plaît, la semaine prochaine, laisse-moi te travestir, on rigolera bien, et je te promets que j’accepterai d’être sodomisée… ça fait longtemps et je sais bien que tu adores cela…
Cette dernière promesse finissait de me convaincre. Allez, pourquoi pas une fois… ?
Voilà comment tout a commencé il y a maintenant quatre ou cinq ans, et trois à quatre fois par an je deviens Natacha. Au fil des années, mon travestissement s’est amélioré, notre vie sexuelle s’est également relancée et j’ai découvert, quand Natacha est présente, du plaisir à me maquiller, à me féminiser, et à me faire sodomiser par ma femme à l’aide d’un gode-ceinture que nous avons acheté. Un bon psy aurait sans doute vu là un certain dédoublement de personnalité, mais quand je suis Natacha, Marc, le consultant, disparaît totalement sous le mascara.
De me remémorer mes débuts, j’ai une érection. Je ne peux m’en occuper de suite, devant d’abord m’épiler intégralement. La crème dépilatoire fait son effet et, lorsque je me rince, la baignoire est pleine de poils et moi je n’en ai plus un. Hélène, ma femme sera contente… reste à me préparer.
Une fois sortie du bain, il me faut coller mes faux seins, puis je passe la guêpière-corset et me rends compte que le régime-cantine n’est pas le bon, car j’ai du mal à la fermer correctement… Après quelques minutes, je réussis néanmoins, je me sens cintrée dans cette guêpière et, justement, j’adore cela. Tendre mes bas sur mes jambes toutes douces ne fait qu’accentuer mon érection et, cette dernière étant trop forte, je ne peux décemment pas passer mon string. Je me décide donc à me masturber lentement. Mon éjaculation vient rapidement et mon sexe reprend sa taille normale, c’est-à-dire : petite… Un petit escargot qui prend presque naturellement sa place dans le string.
Reste l’opération maquillage, mais avant de me lancer, il me reste la perruque à ajuster… Déjà, devant le miroir de la salle de bain, je ne ressemble plus trop à un homme, mais pas encore à une femme. Depuis les années, j’ai acquis une certaine aisance pour me maquiller et la pose des faux cils n’est qu’une formalité… Je finis par un rouge à lèvres rouge sang, de la même couleur que les faux ongles longs que j’ai collés. Je suis presque prête. Je me regarde à nouveau et vois une belle femme un peu carrée des épaules, mais terriblement sexy dans sa guêpière, ses bas parfaitement ajustés, son maquillage soigné. Oh, évidemment, un œil expert verrait bien que cette femme n’en est pas tout à fait une…
Il ne reste que ma robe à passer quand je me souviens du paquet que ma femme m’a laissé sur notre lit. Je file le chercher, l’ouvre, et découvre un plug anal, avec un bijou au bout et ces mots de ma femme…
Je veux que tu l’enfiles et que tu le gardes jusqu’à mon arrivée… Ne cherche pas la vaseline, je l’ai emportée avec moi, débrouille-toi pour te l’enfoncer à sec…
Je mets un peu de temps à l’introduire dans mon fondement, je ne suis pas habituée, sans lubrifiant, et mon petit trou peine à s’élargir et à accepter complètement ce plug. Sensation nouvelle pour moi, car si je suis habituée à avoir un gode qui coulisse bien dans mes fesses, avoir cet objet en permanence me perturbe au début.
Je remets mon string, enfile ma robe et mes escarpins… Je suis fin prête, il ne me reste qu’à attendre mon épouse…
J’ai deux heures et demie devant moi, je vois alors que ma femme m’a envoyé un SMS pendant que je faisais renaître Natacha… Je dois mettre la table pour une personne et préparer à manger. Tous les ingrédients sont dans le frigidaire.
Je me mets au travail, la cuisine étant un passe-temps que j’apprécie. Par contre, je m’inquiète un peu de ne mettre le couvert que pour une personne. Lors de nos soirées, Natacha est chaude sexuellement, mais nous n’avons pas de rapports de soumission. Je sens qu’Hélène veut expérimenter un peu ce côté-là, mais je ne suis pas certaine d’être prête à ça… bref, on verrait bien ce soir.
Le dîner est vite prêt et je prépare également l’apéritif, ma femme ayant eu la bonne idée de mettre du champagne au frais. Je commence à m’habituer au plug, trouvant cette présence plutôt agréable, et me doutant bien que mon anus sera dilaté si ma femme veut me sodomiser… car Natacha s’est toujours fait sodomiser depuis qu’elle existe.
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Vingt heures précises. On sonne à la porte… j’espère que c’est ma femme, car personne ne connaît Natacha. Je file à la porte d’entrée, mes talons claquent sur le carrelage, un coup d’œil à l’œilleton, c’est elle, ouf !
Je lui ouvre,
Je dépose les quatre paquets venant de marques de prêt-à-porter, ainsi qu’un sac venant d’une boutique de lingerie de luxe, et un autre sans aucune indication avec un petit paquet à l’intérieur.
Je m’exécute, Hélène baisse mon string. Elle me félicite d’avoir en moi le plug, et me flatte les bourses… Elle sort alors l’appareil photo de son sac et commence à me prendre en photo !
Je file faire couler le bain et entends de la chambre Hélène qui me hèle :
Elle me montre un corset en cuir ou simili, avec une paire de bottes aux talons aiguilles de quatorze centimètres, au moins !
Je suis un peu décontenancée par son ton, mais je ne suis pas totalement surprise, je sens bien depuis quelque temps qu’elle veut dominer Natacha pendant nos jeux… J’attends avec un peu d’appréhension la suite des évènements…
J’obtempère, la sèche et lui passe son nouveau corset. Je l’aide à le serrer… elle est superbe, nue avec son corset… je sens mon excitation monter… mon string en dentelle devient trop étroit.
L’ordre claque dans la salle de bains… je me mets à genoux devant elle et glisse ma langue dans son intimité à la recherche de son bouton d’amour. Je lèche, déguste son nectar, m’attarde sur ses lèvres et m’applique du mieux que je peux. Mon sexe est en totale érection… une bosse déforme ma robe…
Quand je reviens dans la salle de bains avec les bottes, Hélène a enfilé ses bas, ils sont attachés à son corset, elle a remonté ses cheveux en arrière et s’est fait une queue de cheval, lui donnant un air autoritaire que je ne lui connaissais pas…
Je l’aide à enfiler ses bottes. Perchée sur ses quatorze centimètres, son corset, ses bas, elle me fait presque frissonner, d’autant plus qu’elle a surligné ses yeux d’un mascara noir…
Interloquée, je me regarde dans la glace… je me trouve plutôt féminine… j’ai réussi mon maquillage… ah zut… j’ai oublié les boucles d’oreilles et le collier de perles qu’elle aime me voir porter…
Je me dirige vers la boîte à bijoux. Ma femme, goguenarde, me regarde m’apprêter. Voilà, c’est fait.
Hélène se met alors à califourchon sur moi, me donnant son sexe à lécher. Elle soulève ma robe, baisse mon string en dentelle et commence à me sucer. Elle fait jouer sa langue sur mon gland, remonte le long de ma tige… et de sa main, fait jouer le plug que j’ai toujours dans les fesses. C’est trop bon… je sens le plaisir monter en moi, je ne sais si c’est sa langue ou les mouvements du plug, mais je ne peux me retenir. J’en informe ma femme qui accélère les mouvements du plug et serre fort mon gland… je jouis dans un râle et dans sa bouche… elle aime avaler…
Il ne faut pas longtemps pour qu’il retrouve sa taille minimale, et c’est alors que madame Hélène sort d’un des sacs une petite boîte. Elle l’ouvre en me disant :
Je me laisse encager. C’est clair que je ne pourrai plus bander avec ça ! J’ai toujours le plug dans mes fesses, je suis habillée en femme… j’ai l’impression de perdre pied…
Elle remet délicatement mon string en place, réajuste ma robe, et en me regardant droit dans les yeux :
Je prends alors place entre ses jambes et j’enfouis ma langue dans sa grotte, toujours à la recherche de son bouton d’amour…
Drôle de position ! Je suis allongée, la tête entre les jambes de ma femme, mes bras en l’air cherchant ses seins. Je les caresse, joue avec les tétons… Je sens sa respiration s’accélérer, elle resserre les cuisses sur mon visage.
Une fois la jouissance passée, elle me repousse.
Je pars dans la cuisine, juchée sur mes talons aiguilles, je sens ma queue encagée et ce plug dans mes fesses, j’ai une chaleur dans le ventre, je ne sais pas encore si c’est de l’humiliation ou de l’excitation, un peu des deux peut-être.
Je débouche la bouteille de champagne, en verse deux coupes et demande à madame Hélène où je dois les servir.
C’est la première fois que ma femme me domine comme cela. D’habitude, tout est centré sur le sexe, nous nous suçons, je la prends, elle me sodomise, mais là… c’est différent, je me sens perdu.
J’apporte le repas à ma chérie et elle me demande de passer sous la table pour que, pendant qu’elle mange, je la lèche une nouvelle fois. Me voici à quatre pattes sous la table à la lécher. Je l’entends commenter le repas que je lui ai préparé.
J’ai la bouche remplie de cyprine… je lèche avec ardeur. J’adore lécher ma femme…
Une fois la table débarrassée, la vaisselle au lave-vaisselle, je rejoins ma femme dans la chambre. Elle est allongée sur le lit, elle a mis sur elle notre gode-ceinture, elle va me sodomiser…
Harnachée ainsi, elle me fait plus penser à une maîtresse dominatrice qu’à ma femme.
Je n’ai d’autre choix que de prendre ce phallus artificiel dans ma bouche. C’est la première fois et j’essaie de le sucer du mieux que je peux, en y mettant beaucoup de salive.
Une vraie queue ? Non, aucune envie ! J’aime bien me travestir, me faire sodomiser par un gode, mais une vraie queue… non…
Je m’installe à quatre pattes sur le lit. Me retrouvant face à la psyché, je me vois, ma femme à quatre pattes, attendant d’être prise. Elle me retire le plug… et presque aussitôt, je sens le gland du gode qui se fraie un passage dans mes fesses. Si le plug m’a bien dilaté, le gode, plus gros, finit de me remplir. J’aimerais bander, mais ma queue, emprisonnée dans sa cage, ne peut se déployer comme elle le souhaiterait.
Ma femme commence alors de lents va-et-vient, puis elle accélère en me traitant de petite salope soumise, de gouine… Je sens en moi une grosse chaleur, j’aime sentir ce gode dans mes fesses et de ne pas bander m’ouvre de nouvelles sensations.
Une décharge électrique, comme partie de mon ventre, me parcourt tout le corps, et tandis que ma femme continue de me pilonner, je jouis comme cela ne m’est jamais arrivé, sans éjaculer, mon sexe enfermé, j’ai l’impression que mon corps éclate en mille morceaux. Je crois que, l’espace d’une petite seconde, je perds connaissance, et m’écroule sur le lit. Je sens que ma femme se retire de mes fesses, elle vient me caresser en me disant qu’elle m’aime, en me demandant si j’ai aimé…
Sur le lit, elle s’installe sur le dos et m’ouvre ses cuisses.
Elle éclate alors de rire.
Je n’ai jamais été aussi humilié(e ?) de ma vie. J’ai envie de pleurer, mais accepte ce jeu de travestissement, alors je passe le gode-ceinture, m’en harnache. Une fois équipée, elle me prend en photo une fois de plus. Je ne sais comment je vais faire. Je pénètre ma femme et commence à donner des coups de reins, comme lorsque je la pénètre « naturellement ». Elle me demande d’accélérer le rythme… et continue de me prendre en photo… pour son blog… Soudain, elle m’indique qu’elle va venir, me prend dans ses bras et jouit longuement… Nous nous embrassons à bouche que voilà, nos langues violent nos bouches…
Nous sommes sur le lit, épuisées par nos efforts, ma femme me caresse amoureusement les bourses…
Une fois dans la salle de bains, ma femme m’offre un petit sac, un paquet cadeau, je l’ouvre. J’y découvre une superbe nuisette violette et son string assorti… C’est la première fois que ma femme me fait un cadeau féminin, mes vêtements et chaussures ayant toujours été acquis ensemble…
Elle me prend alors pour m’embrasser à pleine bouche…
Elle me tend le plug… je vais l’avoir toute la nuit !
Je file dans ma chambre et, épuisée, je commence à m’endormir, en nuisette avec un string, encagé, un plug dans le cul. J’avoue que j’ai éprouvé des plaisirs jamais ressentis encore, mais que me réserve ma femme pour demain ? Je suis à moitié endormie quand elle me rejoint, se love contre moi, et me souhaite une belle nuit. Sa main trouve naturellement sa place entre mes cuisses. Et nous nous endormons, amoureux…