n° 21185 | Fiche technique | 17297 caractères | 17297Temps de lecture estimé : 11 mn | 29/09/22 |
Résumé: Après le vendredi soir… la matinée du samedi. | ||||
Critères: ff fbi couple hsoumis fdomine travesti -dominatio -travesti | ||||
Auteur : natachatrv69 Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Week-end entre femmes Chapitre 02 | Fin provisoire |
Résumé de l’épisode précédent :
Un couple décide de passer un week-end entre femmes… l'homme est féminisé par son épouse…
bip bip bip bip… Ah, zut… J’ai laissé mon réveil, et nous sommes samedi…
Ma femme vient contre moi langoureusement…
Il faut que je me lève, je jette un œil sur le radio-réveil, 7 h ! Je n’ai pas beaucoup de temps. J’aurais préféré dormir un peu plus, mais ma chère et tendre a, a priori, un programme pour m’occuper toute la journée… je me lève difficilement, toujours pluggée, encagée, en nuisette, bas… Je file dans la salle de bain, et devant le miroir, je vois que la nuit n’a pas amélioré ma féminité, loin de là, mes joues sont bleues, mon maquillage a coulé… vite ! Une douche !
Que vois-je derrière moi, un corset bleu nuit et noir qui fait porte-jarretelles, avec une nouvelle paire d’escarpins, je n’ai jamais eu d’aussi grands talons… Déjà 7 h 15, je me déshabille vite, et file sous la douche… Je réfléchis à la journée, que m’avait prévu ma femme, aujourd’hui ? Une soirée entre filles c’est une chose… Mais elle a parlé d’un week-end !
Une fois la douche finie, je suis déjà mieux réveillé, je dois me remaquiller, me reperruquer et surtout enfiler ce corset qui fait porte-jarretelles, enfiler mes bas…
De me voir avec ce corset, devant le miroir, fait monter une chaleur dans mon ventre, mais je ne peux avoir d’érection avec cette maudite cage… frustration, frustration… je finis de me pomponner, j’enfile mes nouveaux escarpins… un peu justes en taille, je vais souffrir des pieds, mais c’est surtout la hauteur des talons qui m’inquiète.
Je file dans la cuisine, préparer le thé de madame Hélène ainsi que ses toasts, toastés, pas grillés, m’a-t-elle bien précisé, je pose la confiture, les toasts, le thé sur le plateau et je file dans la chambre, lui apporter son petit déjeuner, je me rapproche de la chambre et j’ai l’impression qu’elle parle à quelqu’un, non ça doit être la TV, je manque à chaque à pas de renverser le plateau.
Je rentre dans la chambre, et je manque défaillir quand j’entends ma femme au téléphone avec son amie Béatrice
Là, en entendant cela…mon cœur, s’arrête de battre, j’en suis sûr.
Je pose le plateau sur le lit de colère, et fil dans la cuisine, c’est bon le jeu a assez duré, se travestir, se féminiser, oui avec plaisir, mais dans le secret de notre couple, je ne veux pas être présentée, même à sa meilleure amie ! C’est bon stop, stop, je file dans la salle de bain, je vais prendre une bonne douche, quitter ces habits féminins, et fin de week-end sexy !
Entendant l’eau couler dans la baignoire, Hélène, vient de me rejoindre dans la salle de bains, je vais pouvoir avoir une franche explication avec elle.
Une fois dans la chambre, ma femme, Hélène, me fit m’installer dans notre lit, et me confia…
Oui, je connaissais déjà cette partie, Beatrice, orpheline l’année du bac, et héritière d’un capital immobilier, de quelques boutiques de fringues, et maintenant directrice d’une web agency, Beatrice, 1,72 m de sex-appeal, femme super sexy, quelle que soit sa tenue, sa coiffure, elle respirait le chic So sexy, brune cheveux mi-longs, parfois coiffés en queue de cheval, un corps qui paraît parfait, je l’avais déjà vue en maillot de bain, et…. oui superbe femme… mais (pour les hommes, le maïs) lesbienne et célibataire, nous nous moquions parfois gentiment en lui demandant quand elle nous présentera enfin une amie stable… elle souriait chaque fois, lorsque ma femme me l’avait présentée, j’avais été à la fois sous le charme de son physique et également de son intelligence, bref, la meilleure amie de ma femme était devenue également la marraine des enfants, elle venait souvent chez nous, et pas une semaine sans que ma femme ne l’appelle, bref deux sœurs ou presque, ou plus….
Ma femme, avec sa meilleure amie… je suis sous le choc…
Je suis complètement abasourdi, oui, Bea, elle est belle et j’ai fantasmé sur cette femme, mélange de Pénélope Cruz et de Monica Belluci… mais quand même !
J’en suis là de mes pensées quand l’interphone se met à sonner
Encore abasourdi, je file sur mes escarpins vers l’entrée, je décroche l’interphone et oui, effectivement, c’est Bea…
Ma voix est résignée, comme moi. je suis en corset, talons aiguilles, encagée, pluggée, maquillée, perruquée, pomponnée comme une femme et je vais devoir ouvrir la porte à la meilleure amie de ma femme, la meilleure amie de notre couple, dans cette tenue, et cette femme est aussi la maîtresse de ma femme… c’est pas possible, je vais me réveiller…. Sur ce, la sonnette d’entrée retentit. Je file ouvrir, et je me trouve face à Bea, toujours aussi belle, en tailleur gris, chemisier blanc, bas noir et talons aiguilles, les cheveux attachés en queue de cheval…
Je m’efface et la laisse rentrer… ma femme sort du couloir à ce moment et tombe littéralement dans ses bras, et l’embrasse à pleine bouche tout en en me fixant des yeux…
Je m’avance vers la chambre, que vais-je encore découvrir ? J’entends ma femme et son amie, sa maîtresse plutôt, chuchoter, puis rire… et pousser quelques soupirs que j’imagine suite à un baiser, une caresse.
Sur le lit, je trouve une tenue complète de soubrette, avec la coiffe qui va bien, pffffff… au point où j’en suis, j’ai l’impression de sombrer, d’être résignée. Moi, un homme, Marc, que reste-t-il de mes attributs masculins ? Un escargot encagé…
Une fois habillé(e) en soubrette, ma coiffe ajustée, je me rends dans le salon où j’entends des soupirs de plus en plus marqués, je ne suis pas plus surpris que cela en voyant ma femme à califourchon sur les jambes de Bea l’embrassant en pleine bouche… ça m’exciterait même de voir ma femme hypra sexy faire l’amour a sa copine aussi sexy. Mais cette maudite cage…
Bea se reprend de suite en me voyant.
Et ma femme de répondre :
Je m’exécute et je vais dans la cuisine faire chauffer de l’eau, préparer le service à café et quelques minutes plus tard je l’apporte sur un plateau, marcher avec des talons de 12 et porter un plateau n’est pas chose aisée ! Je dépose le plateau sur la table basse et m’apprête à m’asseoir sur le Chesterfield en face le canapé où se trouve ma femme et son amante, quand ma femme, d’un ton cinglant !
Je me tiens donc debout, devant le canapé, Bea, sers le café pour ma femme, lui donne sa tasse et se rassoit dans le canapé en écartant les jambes de façon obscène, afin que je puisse voir son entrecuisse… a priori la culotte qu’elle porte est blanche…
La voix de ma femme me sort de mes pensées…
Bea me regarde droit dans les yeux et me dit, m’ordonne :
Jamais depuis que je la connais je ne l’avais entendu parler de manière aussi obscène…
Je m’exécute, me mets à genou devant elle et commence à baisser son Tanga, à caresser ses jambes, ce sont des bas autofixants…une fois son tanga enlever, je découvre un sexe parfaitement entretenu, un ticket de métro, je commence à lécher… je m’aperçois que son sexe est déjà bien humide… je sens mon sexe qui voudrait grandir mais qui ne peut pas…
Je n’ai aucune envie d’arrêter ! Ma femme, elle, à côté de sa copine, lui caresse les seins, l’embrasse… je sens l’embrasement général… après quelques minutes, je sens que Bea se crispe… elle jouit… elle plaque mon visage sur son sexe…
Une fois l’orgasme passé, Bea desserre la pression de ses cuisses et me libère le visage…
J’arrive près de ma femme qui m’embrasse à pleine bouche, voulant goûter la cyprine de sa maîtresse…
Je me mets à genou comme ordonné, et je commence à lécher le sexe de mon épouse… je m’aperçois que Bea, remise de ses émotions, passe derrière moi et commence à relever ma robe de soubrette… je la sens qui joue avec le plug que je porte depuis hier… elle le retire soudainement, et je sens quelque chose de plus large, plus gros, qui veut rentrer dans mon fondement….
Détends-toi Natacha… j’ai toujours rêvé de sodomiser un homme, ou un travesti… le plug t’a bien préparé…
Je ne peux pas répondre, ma bouche étant occupée avec les lèvres intimes et le clito d’Hélène, mais j’essaie de bouger des fesses pour permettre la pénétration du gode… tout d’un coup, je sens le gode glisser entièrement en moi… je n’ai jamais été remplie comme ça… Béa commence de lents va-et-vient en faisant coulisser au maximum le gode qui me semble très long…
Après quelques minutes, j’entends Béa dire que de me voir remplie, de me prendre les fesses, ça l’excite et qu’elle sent un nouvel orgasme qui arrive…. Hélène, elle me supplie de continuer à lécher son bouton… qu’elle aussi va jouir si je continue, j’en profite pour, avec mon index, la pénétrer cela finit de l’exciter et de la faire jouir… je ne suis pas en reste et malgré ma cage de chasteté, je sens que j’éjacule sans érection… Bea, une fois la sodomie terminée me demande de me retourner et de lécher le gode qui vient de me faire jouir… je suis totalement désinhibé, et je commence à lécher, sucer ce gode, jamais je n’aurais pensé lécher un gode… Hélène voyant cela me lâche.
Je suis assez interloqué par cette remarque, jamais je n’ai pensé à sucer un homme.
Hélène me demande de me relever, d’arrêter de sucer le gode, et de relever ma robe pour m’enlever ma cage…
En relevant ma robe, mes maîtresses d’un jour s’aperçoivent que j’ai éjaculé et mon jus intime a inondé mon string et ma cage est souillée…
Bea, commence alors à me sucer et à nettoyer ma queue, qui est remplie de sperme…
Voyant cela, Hélène m’insulte et me traite de lope…
Une fois de plus humiliée, je ne sais quoi dire, comment réagir. Et contre toute attente, c’est Bea qui prend ma défense.
Je commence par débarrasser le plateau avec les tasses à café, j’entends ma femme et Bea rigoler dans la salle de bains et j’entends leurs talons hauts claquer sur le carrelage du couloir.
Je les regarde passer toutes les deux, sexy comme jamais, ma femme en jupe tailleur crayon, escarpins de 10 cm au moins chemisier qui fait saillir sa poitrine et elle qui d’habitude porte un maquillage discret, là c’est rouge vif sur les lèvres, cils démesurés… et Béa, elle s’est changée depuis son arrivée, elle porte une robe noire fendue sur le côté, tellement fendue que l’on devine que ce n’est pas des collants qu’elle porte, tout cela sur des escarpins à semelle rouge, et la connaissant bien ce sont des vrais !
Fin de l’épisode 2… à suivre…