n° 21159 | Fiche technique | 33518 caractères | 33518Temps de lecture estimé : 20 mn | 21/09/22 |
Résumé: Un matin pas comme les autres, Jérôme et Delphine sont désormais en couple et se lancent un défi orienté sur l’exhibition. | ||||
Critères: voisins poilu(e)s essayage voir exhib ffontaine facial fellation délire -humour | ||||
Auteur : lapinlapine Envoi mini-message |
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Résumé de l’épisode précédent :
Après des mois d’abstinence à cause d’un stupide accident de VTT, Jérôme, plombier de métier toujours prêt à rendre service, tente de rééduquer sa libido grâce à la prise de gélules innovantes. Son sexe a considérablement pris du volume depuis ce nouveau traitement et cela va devenir très handicapant. Pile au moment où, enfin, il pouvait s’adonner à un plaisir solitaire salvateur, sa nouvelle voisine, Delphine, le sollicite pour un dégât des eaux. Fortement attirés l’un envers l’autre, à la suite d’une succession de moments d’exhibitions lors de cet incident, les deux amants sont aux anges grâce à une nuit de sexe d’anthologie.
Delphine vient de sortir de l’appartement de Jérôme, et ce matin, elle est certainement la plus heureuse des femmes. Elle a juste eu le temps de baiser ce matin et peine à redescendre dans la réalité du quotidien.
Vêtue d’une petite robe d’été légèrement décolletée, elle se rend à la maternelle, son lieu de travail. Au volant de sa Corsa, elle roule toutes vitres ouvertes. L’air chaud en ce matin du 3 juillet s’engouffre dans l’habitacle et fait virevolter sa petite robe. Elle se dit que finalement, avoir relevé ce défi proposé juste avant de partir est une bonne chose car effectivement, être totalement nue sous cette robe est finalement un délice. Elle ressent du plaisir à recevoir les caresses de cet air chaud sur sa peau. C’est bien la première fois qu’elle ose une telle chose, lorsqu’elle y repense, elle avait trouvé ça vraiment trop déplacé, surtout pour aller au travail. Mais elle joue le jeu et tout compte fait, se sentir nue sans l’être réellement est pas mal excitant. S’exhiber, ça elle connaît, mettant cette pratique en scène lors de ses essayages de vêtements sur sa chaîne YouTube, mais elle floute systématiquement ses parties intimes lorsqu’elles sont trop visibles lors du montage, jamais elle n’oserait se dévoiler en public.
Toute à ses pensées et concentrée sur sa conduite, elle sourit lorsqu’en virant dans une rue sur la droite, l’air puissant qui s’engouffre dans sa petite Corsa fait gonfler sa robe. En baissant sa tête, elle découvre ses seins dans son décolleté. Heureusement que personne ne peut la voir à cet instant. Puis subitement, c’est le bas de sa robe qui se met à se soulever sur le haut de ses cuisses. Elle fait mine de replacer sa robe mais découvre que sa touffe brune est totalement dévoilée. Elle suspend son geste, prenant plaisir à se découvrir ainsi, tout en conduisant, totalement impudique.
La toison à l’air, elle reçoit un texto de son homme.
Comment te sens-tu dans ta robe ?
Profitant d’un arrêt à un feu rouge, elle saisit son téléphone et ose prendre en photo sa toison dévoilée par le bas de sa robe relevée. Elle envoie la photo tout en réenclenchant une vitesse, lorsqu’une minute plus tard, son téléphone sonne. C’est Amandine sa copine de toujours qui vient sans doute prendre quelques nouvelles. Il est vrai qu’elles s’appellent tous les vendredis. Mais un doute l’envahit. Le cœur au bord des lèvres, elle espère ne pas avoir fait une mauvaise manipulation et a bien envoyé la photo au bon destinataire. Elle est tétanisée par cette pensée. Hésitante, elle accepte la communication grâce à la connexion Bluetooth de sa voiture.
Delphine est dépitée et enrage contre elle. Elle tape sur son volant, totalement désemparée. Son manque d’attention au moment de l’envoi vient de la trahir, elle essaie de se justifier.
Delphine lui raconte sa rencontre avec son plombier de voisin, sans oublier de préciser au passage à sa meilleure copine qu’il est encore mieux équipé qu’un acteur porno et surtout, qu’il sait s’en servir.
Delphine se souvient de cette fois-là, alors qu’elle était restée dormir chez eux une nuit après un retour de soirée. Elle s’était levée de la chambre d’amis pour aller pisser au beau milieu de la nuit, et avait vu Fred dans le couloir sortant de leur chambre, le pénis tendu à l’horizontale, très allongé. Elle avait soupçonné qu’ils venaient de baiser tous les deux et qu’il devait sans doute aller se rincer la queue. Fred avait été gêné de se présenter ainsi devant Delphine et s’était confondu en excuses, mais elle, elle avait été émoustillée de le voir ainsi tendu à l’époque.
Amandine hurle lorsqu’elle entend cette précision.
La sonnerie de l’arrivée d’un message retentit. Delphine attend le prochain feu rouge pour en prendre connaissance. Elle découvre les deux seins siliconés de sa copine totalement à l’air.
Amandine a toujours été délurée, et ce depuis leur rencontre au collège. Delphine est toujours heureuse de l’entendre la secouer ainsi et c’est sans doute un peu grâce à elle qu’elle se dévergonde peu à peu.
Elle arrive à la maternelle et semble tout à coup moins enjouée par cette nouvelle, elle sait qu’elle va devoir la jouer fine pour ne pas décevoir Amandine, ni contrarier Jérôme.
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Au même moment, Jérôme se dirige vers son premier chantier situé à l’autre bout de la ville, dans sa vieille Renault Express qu’il a équipée lui-même de divers rangements. Il repense à son début de matinée avec Delphine, leur partie de jambes en l’air fut si intense qu’il a hâte d’être à ce soir pour remettre ça. Il l’imagine dans sa petite robe sachant qu’elle se trouve à poil dessous et il se demande comment elle va pouvoir gérer sa journée et éviter les dévoilages intempestifs. Il faut dire que le risque n’est pas très élevé car hormis des enfants en bas âges, elle ne risque pas de se montrer à des adultes. Mais quand même. Il décide de lui envoyer un texto.
En arrivant sur le parking de sa première intervention de la journée, il prend conscience de sa tenue et il n’en mène pas large. Il se concentre avant de sortir de son Express et prend une grande inspiration. Cette combinaison de travail est pourtant banale car elle fait partie de celles qu’il porte au quotidien pour son activité, mais la porter sans rien dessous est une autre histoire. Un défi est un défi.
Il se dirige vers l’accueil de l’entreprise dans laquelle il doit intervenir lorsqu’il reçoit la réponse de Delphine à la suite de son texto. Sur son écran, la photo de sa chatte à l’air libre avec le bas de sa robe relevée.
Figure-toi que, juste avant, j’ai envoyé cette photo à Amandine par erreur ! Je te raconterais ! Tu aimes ?
Il voit parfaitement qu’elle est assise sur le siège de sa voiture et sent immédiatement une érection venir. C’est bien le moment ! se dit-il.
L’hôtesse d’accueil, une quadragénaire, relève son regard sur lui pile lorsqu’il franchit la porte. Le visage de la femme se fige, sa bouche s’entrouvre et ses joues se mettent à rougir. Il ne se démonte pourtant pas, devant assumer leur jeu d’exhibition décidé le matin avec Delphine.
Son regard est fixé sur son entrejambe et ne semble pas avoir la capacité de s’en détacher. Elle marmonne une réponse.
Mais de quoi elle parle celle-là ? Tourneboulé par la photo envoyée de Delphine, il ne maîtrise pas totalement ses gestes. Tremblant, il n’arrive pas à ouvrir l’icône des mails sur son téléphone.
Elle saisit le téléphone d’une façon autoritaire et au lieu de poser son doigt sur l’icône des mails, elle le pose sur celui d’à côté, ouvrant la messagerie. Là, elle découvre la photo de la chatte de Delphine.
La zone technique se trouve en fait à deux pas de l’accueil. En repartant vers son bureau, la demoiselle ne cesse de jeter des coups d’œil peu discrets sur le devant de la combinaison. Cela amuse Jérôme de regarder sa réaction toute gênée. Il se sent malgré lui dans la peau d’un exhibitionniste.
Alors qu’il s’affaire à réparer le problème de pression dans le local, il entend la femme de l’accueil murmurer au téléphone avec une de ses collègues.
Après une bonne demi-heure, les gobelets de café se sont accumulés sur la petite étagère du petit local. Des va-et-vient successifs d’employées s’affairant au bien-être de leur plombier préféré.
À sa pause repas, il s’installe assis contre un chêne centenaire et commence à avaler son sandwich. Il consulte ses mails sur sa tablette tactile et remarque que Zazabelle lui a envoyé un message et est d’ailleurs connectée sur le tchat.
Il hésite puis, curieux de voir enfin le visage de son amie d’internet, il se décide. Après tout, ce n’est que du virtuel et cela pourrait être rigolo d’avoir son ressenti. Il prend en photo le devant de sa combinaison et la lui envoie.
Isabelle referme son ordinateur portable, des papillons plein la tête. Son dernier compliment sur elle l’a bouleversée. Installée dans son canapé, elle reprend ses esprits après avoir vu la photo que Jérôme lui a envoyée. Depuis qu’ils communiquent voici plus d’un an, une vraie amitié est née, mêlant partages de leur vie personnelle et professionnelle, ainsi que des dialogues bien plus orientés sur le sexe. Elle n’aurait jamais pensé qu’elle puisse autant se dévoiler de façon intime, même sans avoir recours aux échanges de photos, avec un mec. Cependant et paradoxalement, maintenant qu’elle peut contempler en gros plan ses attributs, elle en veut plus. Le fait de le savoir avec une autre la rend malade. Elle le considère bien plus qu’un ami internet à ses yeux. Combien de fois s’est-elle masturbée en pensant à ces scènes torrides parfaitement décrites à l’écrit ? Elle a toujours été comme ça, lorsqu’un mec qui lui plaît n’est plus disponible, elle se met en chasse pour le conquérir. Excitée comme jamais de découvrir la forme de cette queue moulée dans cette combinaison de travail, elle est prise d’une envie subite de se donner du plaisir. Cependant, l’heure de prendre son service à l’hôpital pour travailler vient de sonner.
Une heure plus tard, au 5e étage de l’hôpital d’Annecy dans l’aile ouest, elle pousse un chariot de soin, vêtue de sa tenue blanche composée d’une veste et d’un pantalon. Dessous, personne ne peut imaginer qu’elle est totalement nue elle aussi, mais avec un plug enfoncé dans son anus.
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Il est 18 h, Delphine n’a pas vu passer sa dernière journée, car la voilà enfin en vacances d’été. Pour sa première fois ainsi, elle a apprécié être nue sous sa robe légère. Hormis la remarque de la petite Émilie sur son absence de culotte lorsqu’elle s’est accroupie un instant devant elle, elle ne nota rien de particulier.
Elle arrive devant son immeuble les bras chargés d’un gros carton qu’elle est allée récupérer à la poste. Il n’est pas lourd et elle sait ce qu’il semble contenir. Cela tombe bien, elle était justement d’humeur à cela ce soir. Elle ne remarque pas la vieille Renault Express de Jérôme dans la rue, il est fort probable qu’il soit encore accaparé sur un de ses chantiers.
Elle emprunte l’escalier qui mène à son étage et se souvient de l’épisode de la veille au soir : eux deux se retrouvant nus alors que la lumière venait de s’éteindre soudainement. Un moment érotique dont elle se souviendra longtemps.
Une fois chez elle, elle s’affale dans son petit canapé tout affaissé et lui envoie un texto.
Voilà, message envoyé et agrémenté d’un émoticône en forme de cœur rouge.
Delphine commence de plus en plus à ressentir un manque indescriptible envers lui. Cela faisait très longtemps qu’elle n’avait pas été dans cet état-là. Si cette sensation s’appelle coup de foudre, elle est certaine d’avoir été touchée par le plus gros des voltages. Son cœur s’emballe chaque fois qu’elle pense à lui. Ses mains sont moites, ses jambes flageolent, elle semble ne rien maîtriser de son corps. Elle devient folle à l’idée que ce sentiment qui la parcourt n’est peut-être pas réciproque.
Elle doit se changer les idées et sans attendre, elle ouvre le carton telle une petite fille qui le ferait le jour de Noël, avide de découvrir son premier cadeau. Elle ne sait jamais à l’avance ce que ses marques partenaires lui envoient, mais cela est généralement tourné autour de maillots de bain « dernière tendance », voir des prototypes, ainsi que des robes et autres débardeurs. Avec son nombre croissant d’abonnés sur son réseau social, elle commence à avoir des sollicitations intéressantes. Elle déballe le contenu sur son canapé, évalue chaque pièce, fait un premier tri en s’imaginant les porter devant sa caméra. À chaque tournage, elle innove, jouant avec son corps et son environnement. Une des vidéos qui lui a valu de très bonnes vues était celle faite dans sa salle de bain, essayant chaque maillot sec, puis se douchant avec, afin de donner son rendu une fois mouillé. Idée bête mais qui finalement fut plébiscitée par la majorité des internautes trouvant l’idée très bonne, d’autant que lors du montage effectué, elle eut la malice de ne pas forcément flouter certaines parties de son intimité parfois visible furtivement. Elle s’était d’ailleurs étonnée à ce moment-là d’avoir des envies d’exhibitions qu’elle n’avait pas jusque-là, jamais n’eut le courage de faire. Le tri terminé, elle s’emploie à sortir son matériel et son ordinateur.
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18 h 30, Jérôme a terminé sa journée. Celle-ci s’est finalement bien passée. Sans sous-vêtements dans sa combinaison, il s’est rapidement habitué à cette nouvelle sensation et surtout aux regards des autres. Ce sont certainement ceux des hommes sur lui qui l’ont le plus gêné mais il les a vite ignorés. Les femmes, elles, ont quasiment toutes apprécié, cela l’a réconforté et il ressent comme un sentiment de victoire sur lui-même, car, souvenez-vous, il revient de très loin. Il se dit qu’il en doit une belle à Zazabelle qui a bien fait de lui conseiller ces fameuses gélules miracles. Il arrive désormais à bien mieux contrôler ses érections et surtout, elles sont nettement plus longues.
Il finit par se garer enfin, mais comme toujours, trop loin de l’entrée de l’immeuble. Il enrage de devoir porter son matériel qui semble peser une tonne de jour en jour, et se dit qu’il a vraiment besoin de vacances. Il ne cesse de penser à la proposition lancée par Zazabelle, il est vraiment tenté et impatient de pouvoir enfin la rencontrer. Mais il doit la jouer fine car il n’est pas certain que Delphine acceptera. Il a le sentiment de jouer un double jeu. Il n’a pas répondu au message de Delphine qu’elle lui a envoyé il y a maintenant une bonne demi-heure, songeant à la meilleure façon de le lui annoncer.
Arrivé dans son appartement, il file sous la douche et en ressort vêtu d’un bermuda et d’un t-shirt avant de rejoindre Delphine.
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Dans sa salle de bain, elle en est à son troisième essayage. Elle s’est parfaitement organisée pour faire rentrer son trépied et son matériel d’éclairage. Au fur et à mesure, elle a investi dans du matériel et deviendrait presque une pro. Ce qu’elle essaie en ce moment lui donne des envies d’exhibition et elle joue avec ce petit maillot de bain devant sa caméra. Cela commence sérieusement à l’exciter, jouant ici ou là avec son corps plus ou moins dévoilé. Elle pourra flouter certaines parties qu’elle jugera trop osées lors du montage final. Elle aimerait que Jérôme soit son caméraman, là, tout de suite. À cette pensée, une secousse d’excitation l’électrise.
Sous le jet d’eau, le maillot de bain une-pièce noué derrière le cou se détend avec le poids de l’eau. Le bas se met à bâiller légèrement et en tirant vers le haut pour le réajuster, ses poils pubiens se mettent à dépasser par les côtés. Elle ne s’en rend pas compte sur le moment et elle continue sa présentation. Elle réajuste le haut du maillot dans la foulée car elle sent qu’un de ses seins est sur le point d’apparaître. Voulant bien faire, elle le décale trop sur l’autre côté révélant de ce fait son autre mamelon quasiment en entier. Là, elle se confond dans un « oups ! » d’excuse, puis continue sa présentation en s’adressant à sa communauté.
Soudain, il lui semble entendre sonner à la porte. Elle stoppe le jet d’eau et tend l’oreille. Elle se dirige vers la porte dans son maillot de bain deux-pièces dégoulinant d’eau, et l’entrouvre, ne laissant dépasser que sa tête au cas où ce ne serait pas Jérôme.
Son cœur s’emballe et bizarrement elle est tout intimidée.
Le maillot désormais détendu, elle essaie de se couvrir avec ses bras mais cela est peine perdue. Ses petits seins et sa touffe brune apparaissent sur les côtés. Elle se rassure lorsqu’elle voit son regard se poser sur elle et il semble apprécier.
Delphine, toute guillerette de l’avoir auprès d’elle, l’attrape par la main et l’entraîne dans la salle de bain, ses deux seins sortis totalement et ballottant sur les côtés du maillot.
Sans aucune pudeur devant lui, elle se met nue et enfile le nouveau maillot de bain. Elle se met sous le jet d’eau et commence son laïus. Avec l’eau, le maillot devient légèrement transparent, ce qui ne déplaît pas à Jérôme qui n’en rate pas une miette. Il joue son rôle de caméraman, cadrant la scène avec la caméra qui enregistre. Delphine se retrouve rapidement impudique dans ce maillot blanc.
Elle est trop excitée et elle n’en peut plus. Elle saisit sa main et l’entraîne sous la douche tout habillée. Elle l’embrasse avec une envie non dissimulée.
Il se déshabille tant bien que mal à cause de l’effet collant de l’eau imbibant ses vêtements. Il exhibe son pénis en totale érection, excité par ce qu’il vient de voir de Delphine. En le regardant, elle ne peut empêcher un sourire admirateur.
Delphine accroupie, suce comme jamais le chibre énorme. Lorsqu’elle juge enfin qu’il est en état de la pénétrer, elle hésite un instant, appréhendant la douleur qu’elle va s’infliger à introduire le gourdin hors norme dans son vagin. Elle saisit la queue tendue puis lentement se l’introduit en gémissant de douleur, mais il faut aussi l’avouer, d’excitation.
Bien entendu, dans le ton qu’il a utilisé, Delphine ne se sent pas du tout agressée ni insultée, bien au contraire. Ce « salope » est un compliment.
Jérôme s’active et y met du cœur à l’ouvrage. Il commence à bien cerner ses sensations avec son membre totalement transformé. Ce sentiment de complexe qu’il éprouvait jusqu’alors disparaît peu à peu, ressentant même de la fierté d’avoir un sexe aussi impressionnant et surtout, aussi performant. Rien que pour ce miracle, il en doit une belle à Zazabelle qui lui avait conseillé les fameuses gélules miracles.
Delphine est au bord de la jouissance et espère jouir en femme fontaine.
Jérôme la bouscule dans toute la salle de bain. Elle se rappe le dos par les assauts particulièrement virils et répétés contre la mosaïque murale de la douche. Tous ses produits de beauté tombent les uns après les autres au sol, comme si une tornade venait de dévaster la zone. Elle est littéralement allongée sur le lave-linge qui est en mode lavage et atteint rapidement un état qui lui fait tourner la tête et l’étourdit un instant. Elle hurle de plaisir, sentant ses sécrétions vaginales gicler pendant qu’il continue de la pénétrer.
La réponse autoritaire ne se fait pas attendre.
Il se retire et invite Delphine à se mettre à genou, elle saisit avec gourmandise l’énorme verge qu’elle introduit dans sa bouche. Son vagin dégoulinant de ses sécrétions, elle continue de se doigter afin de continuer sa libération alors que sa bouche se délecte de cette queue tant convoitée. Son goût n’est pas désagréable car légèrement salé et mentholé. Elle caresse, palpe et malaxe en même temps les deux grosses bourses qui pendouillent lourdement. Elle les pétrit pour tenter d’accélérer la libération du jus qu’elle espère concentré. Elle sent le gland gonfler peu à peu dans sa bouche, la tige du pénis se durcit encore davantage. Les bruits de sussions sur le gland, mêlés à sa propre masturbation résonnent dans la salle de bain. D’un coup, le liquide épais et blanchâtre tant attendu se répand par grosses saccades de jets visqueux dans sa gorge. Les jets ne s’arrêtent pas à tel point que sa bouche ne peut tout absorber, le sperme se met à dégouliner par ses lèvres. Jérôme râle de plaisir tel un cerf bramant au milieu d’une forêt. Elle ressort finalement la queue qui lui arrose plusieurs fois le visage.
Après quelques minutes, ils s’effondrent tous les deux sur le sol carrelé et trempé.
Installés peu après dans le petit canapé, ils dégustent une bonne pizza. Jérôme se lance.
Delphine s’étonne d’avoir pu lui dire cela. Elle a bien senti que Jérôme était tiraillé par cette envie de rencontrer son amie et aussi de l’avoir auprès de lui. Elle pense avoir pris la bonne décision et espère ne pas devoir le regretter…