n° 21161 | Fiche technique | 68885 caractères | 68885 11337 Temps de lecture estimé : 39 mn |
22/09/22 |
Résumé: Leur lieu de vacances est décidé. Zazabelle sera du voyage mais Jérôme et elle sont à mille lieux de savoir où ils vont atterrir. | ||||
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Auteur : lapinlapine Envoi mini-message |
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Résumé de l’épisode précédent :
Delphine et Jérôme ont passé un cap. Après avoir réussi leur défi de s'exhiber, ils se décident à partir enfin en vacances.
Deux semaines sont passées, c’est le jour du départ. Ils prennent la route du sud dans la petite Corsa de Delphine. Au volant, elle est vêtue d’une petite robe, de petites sandales à paillettes et d’un chapeau de paille assez large. Toutes vitres ouvertes, ils écoutent de la musique dont le volume couvre les brouhahas de l’air qui s’engouffre dans la voiture.
Delphine, surprise par cette question, doit la jouer fine.
En fin d’après-midi, ils arrivent enfin. La région valait le déplacement, car le cadre est superbe. Là, juste en bas, le lac d’Esparron qui traverse les gorges du Verdon s’étend à perte de vue. Le lieu est superbe. Des balades en canoé sont possibles et à titre gracieux pourvu que vous soyez clients du complexe. Il y a même des vélos en location.
Tout sourire à la vue de cet endroit idyllique, ils se prennent la main. Delphine n’en mène tout de même pas large et redoute la réaction de Jérôme lorsqu’il découvrira que ce lieu est naturiste. Devant l’accueil, Delphine envoie un texto à sa copine Amandine pour l’avertir de leur arrivée et ils rentrent dans le local.
La réceptionniste est une jolie jeune femme d’une petite vingtaine d’années. Sans doute une étudiante travaillant ici pour la saison. Elle est blonde aux cheveux longs avec des yeux bleus azur. Elle porte un petit débardeur à fines bretelles sans soutien-gorge. Elle leur explique qu’elle joue également le rôle de serveuse dans le petit restaurant-snack situé à côté du terrain multisport. Cette demoiselle est vraiment très jolie et très accueillante. Elle a rapidement remarqué qu’elle avait affaire à des novices, donc elle leur explique les règles de nudité à respecter partout dans une zone matérialisée au marqueur rouge sur le plan détaillé du parc. À cet instant-là, Jérôme tousse d’incompréhension.
Au même moment, un couple arrivant derrière eux les interpelle.
Surpris, ils se retournent. Une jolie trentenaire blonde aux cheveux attachés en queue de cheval tenant dans sa main son mari ou son conjoint. La fille porte un paréo très léger et un peu transparent, et le type un petit short de training, torse nu. Delphine reprend ses esprits et, toute souriante, fait les présentations.
Jérôme leur adresse un sourire de circonstance, mais ne comprend toujours pas ce qu’il est en train de vivre. Amandine s’approche de lui et l’enlace comme un « hug » à l’américaine comme s’ils se connaissaient de longue date. Il sent les seins très fermes d’Amandine se plaquer contre son torse. Puis c’est au tour de Fred de lui jouer le même cinéma. Jérôme attire Delphine un peu à l’écart et lui demande des explications, les yeux écarquillés de constater qu’Amandine est cul nu, dos à eux.
Le moment tant redouté par Delphine est arrivé. Elle déglutit douloureusement.
Il s’est approché de l’oreille de Delphine afin que ses murmures puissent être parfaitement audibles.
Amandine s’approche d’eux et comprend la panique qui commence à s’installer. Elle constate que Delphine n’a rien dit à son nouveau petit copain et elle tente de dédramatiser la situation.
Bras dessus bras dessous, Amandine et Delphine les devancent, lui et Fred. Amandine, cul nu sous son paréo, indique qu’à partir de cette ligne rouge sur le sol, les vêtements ne sont plus admis. Pour eux, étant donné qu’ils sont de nouveaux arrivants, ils sont exceptionnellement exemptés. Amandine et Fred, eux, retirent leurs vêtements, ils se retrouvent donc totalement nus et poursuivent leurs explications. Jérôme lutte pour ne pas trop reluquer les fesses nues d’Amandine qui sont juste devant lui.
Delphine et Jérôme ont pris possession de leur mobile home et Amandine et Fred ont eu la bonne idée de les laisser passer leur première soirée d’adaptation. Une fois seuls, ils se mettent nus et, étant ensemble, cette formalité est simplifiée. Jérôme est cependant inquiet et stressé à l’idée de devoir tenter de contrôler ses érections qui arrivent parfois de façon intempestive. Comme un sixième sens, Delphine ressent son trouble et tente de me rassurer.
Trois heures plus tôt, Isabelle ne cesse de regarder sa montre. Elle déteste être en retard. Elle finit par quitter son poste à l’hôpital et file rapidement se changer dans les vestiaires. Elle prend soin de s’assurer que personne ne rôde dans les parages lorsqu’elle retire sa blouse, puis son pantalon blanc typique des infirmières. Elle enfile un tee-shirt assez ample sous les bras, dévoilant parfois son soutien-gorge bleu dans l’échancrure. Encore une fois, elle s’est enfilé un plug anal ce matin et le conserve bien au chaud dans son fondement. Elle enfile son petit bermuda en jean qu’elle apprécie particulièrement, car lui dévoile la naissance de ses fesses, conservant dessous son string ficelle assorti à son soutien-gorge. Sa grosse valise déjà mise dans le coffre de sa voiture depuis le matin même, la voilà prête à partir pour les gorges du Verdon, lieu que lui a indiqué Jérôme.
À moins de trente kilomètres du camping, elle s’impatiente d’arriver enfin et de faire la rencontre de Jérôme. Depuis qu’il lui a révélé sa relation naissante avec Delphine, elle s’est mise en tête de tenter de le conquérir. C’est sa manière à elle de se mettre en mode « chasse à l’homme ». Les mecs faciles, ce n’est pas excitant. Elle a eu le temps de prendre soin d’elle, elle est rasée totalement, et de très près, exposée au soleil tous les jours avec son nouveau maillot de bain deux-pièces lui allant à ravir, elle a pris pas mal de couleurs et est prête à faire sa belle sur la plage.
En arrivant à son tour sur le parking du camping, elle est agréablement surprise par le paysage grandiose. Le soleil a déjà entamé sa phase finale du coucher, donnant un ciel orangé du plus bel effet. Elle envoie un texto à Jérôme pour lui indiquer qu’elle est enfin arrivée.
Le mobile home est rangé et prêt à accueillir Zazabelle, ils profitent de leur terrasse en regardant le coucher de soleil en attendant son arrivée. Un texto lui arrive enfin.
Isabelle aperçoit au loin un homme arriver dans sa direction. Au premier abord, il a l’air mignon, mais est-ce bien Jérôme ? De lui, elle n’a vu qu’une photo du devant de sa combinaison de travail particulièrement bien remplie. Celui qui s’approche est châtain, les cheveux très courts, 1,80 m avec une silhouette assez athlétique sans trop de muscles, rasé de près et habillé en tee-shirt et en short. Ses espadrilles aux pieds dénotent avec le personnage, mais cela lui va bien après tout.
Plus que quelques mètres, elle en est maintenant certaine, c’est bien lui.
Ce premier contact la rassure. Il a une voix apaisante et son sourire ravageur. Elle sent son léger parfum subtil lorsqu’il s’approche d’elle pour lui faire une bise. Il lui prend sa valise et sur le trajet les menant à l’accueil, il s’arrête en se retournant vers elle.
Isabelle reste bouche bée. Elle ne s’attendait vraiment pas à cette nouvelle. À cet instant, elle aimerait prendre ses jambes à son cou et s’enfuir le plus vite possible de ce cauchemar. Cependant, elle est en mission pour elle-même et elle ne compte pas abandonner au premier obstacle. Elle déglutit et prend son courage à deux mains.
Ils continuent leur progression vers le mobile home tout en croisant ici et là, des hommes, des femmes, des couples, des vieux et des plus vieilles, ainsi que des familles entières. Isabelle est surprise et ne sait plus où donner de la tête. Jérôme lui murmure.
Sur le trajet, il lui explique les règles de nudité à bien respecter partout dans le camping. Piscine, terrains de sport et restaurant compris. Elle est surprise qu’au final, même dans les lieux improbables, la nudité soit de mise. Elle se demande vraiment si elle osera pratiquer un sport totalement à poil, elle qui a des seins un peu volumineux. À la ligne rouge, il s’arrête et lui explique qu’à partir d’ici la nudité est de mise.
Isabelle sait qu’elle doit se reprendre et ravaler son stress si elle veut le conquérir. Elle doit lui montrer qu’elle est courageuse et n’a pas froid aux yeux.
Jérôme ouvre la porte, Delphine qui était installée sur la terrasse les rejoint, totalement nue.
Elle regarde le corps de sa rivale et la trouve jolie, mais différente d’elle. Brune, les cheveux au carré mi-longs, elle est un peu plus grande qu’elle. Ses seins sont plus petits et un peu affaissés. Ses aréoles sont brunes et assez petites et ses tétons un peu pointus. Ses jambes sont très longues et elle remarque la forme en V de sa toison brune peu fournie qui dévoile légèrement sa fente au travers. Elle se doute bien que lorsque Delphine se rapproche de lui à cet instant, c’est pour le but de marquer son territoire. C’est normal et elle reste fair-play. Delphine claque dans ses mains soudainement.
Isabelle se décide rapidement et tout en continuant leur discussion, elle commence à retirer ses vêtements le plus naturellement possible.
Son débardeur puis son soutien-gorge tombent rapidement au sol. Jérôme l’observe du coin de l’œil et sans être un spécialiste, il estime que ses seins, ressemblant à deux jolis melons parfaitement naturels, les aréoles moyennes, couleur peau assez claire, il estime que ses seins doivent faire un bonnet C ou D.
Lorsqu’Isa provoque la chute de son bermuda en jean, elle prend soudainement conscience d’un oubli majeur et il est trop tard pour s’arrêter. Elle retire son string en espérant que son plug anal ne sera pas visible. Étant dos à elle, Jérôme remarque l’absence totale de poil sur sa chatte et son petit trou lorsqu’elle se penche en avant. Là, il découvre le plug inséré dans son anus. Il n’en croit pas ses yeux se rappelant les discussions parfois érotiques qu’ils ont eues quelques fois sur internet, Isa lui avouant aimer s’en insérer dans son fondement.
Lorsqu’elle se retourne, son regard parcourt son corps nu qui ne cesse de se fixer sur son membre très allongé. Depuis le temps qu’elle se l’était imaginé dans sa tête, elle est comblée de découvrir un tel engin. Pour ne pas le mettre mal à l’aise, elle détourne le regard et fait comme si cette situation était normale.
Delphine lit l’admiration dans les yeux d’Isa et décide d’accélérer les choses.
Chaussée de ses sandalettes à paillettes pour l’une et de ses tongs pour l’autre, les filles discutent côte à côte en devançant Jérôme qui essaie de ne pas regarder leurs culs qui le précèdent. La tentation est pourtant bien trop forte pour ne pas en profiter, alors il admire le mouvement harmonieux de ces fesses qui se dandinent. Celui d’Isa, qu’il découvre enfin, montre deux jolis globes un peu plus ronds que ceux de Delphine et qui semblent plus fermes. Isa a pris soin de retirer son plug anal discrètement avant de partir, prétextant devoir aller aux toilettes. Cela le fait sourire et il tente par tous les moyens de contrôler un début d’érection au plus mauvais moment, car ils arrivent au petit restaurant.
Il ne passe donc pas inaperçu avec son pénis allongé et pendouillant dans tous les sens, tel le pendule d’une armoire comtoise qui se balance d’une cuisse à l’autre. Cependant, les gens attablés ne prêtent pas attention à eux, ni même à lui. Lorsqu’ils prennent place, Amandine sourit à Delphine d’un air approbateur.
Isa acquiesce tout en regardant Delphine et Jérôme afin de connaître également leur expérience.
À cet instant, l’hôtesse d’accueil du camping qui a changé de casquette et de tenue s’approche de leur table. Totalement nue, elle leur distribue les cartes des menus. Le regard des trois nouveaux arrivants se pose de concert sur son magnifique corps menu, avec des seins moyens aux aréoles rose foncé, des mamelons assez bombés et des tétons aplatis. Sa toison blonde est un peu broussailleuse et au travers des poils blonds, ses petites lèvres dépassent des grandes. Cette demoiselle vraiment très jolie.
Amandine est affalée un peu en arrière sur sa chaise en toile et semble particulièrement à l’aise avec sa nudité. Isa s’interroge sur le pourquoi d’une telle envie de pratiquer le naturisme.
Delphine hoche de la tête, captivée par le récit.
Delphine rajoute.
L’hôtesse s’approche à cet instant pour prendre leurs commandes et se poste entre Isa et Jérôme. Là, elle marque un temps de réaction et semble hésitante, voire gênée, lorsque son regard se pose sur le sexe de Jérôme. Elle leur annonce finalement fièrement et avec un large sourire les suggestions et, toute guillerette, leur conseille :
Ils se regardent et sont pris d’un fou rire révélateur qui entraîne également la jeune serveuse. Amandine poursuit son histoire passionnante.
La serveuse semble intéressée par ce qu’elle entend de l’histoire d’Amandine et reste un peu à l’écart, tenant une carafe d’eau dans sa main.
La serveuse se rapproche et tout en posant la carafe d’eau sur la table, elle complimente Amandine pour son courage lui révélant que pour elle, le naturisme était une façon de vivre de ses parents depuis sa naissance. Bien plus facile donc pour elle à pratiquer.
Le repas terminé, Amandine et Fred leur souhaitent une bonne nuit et ils retournent tous les trois à leur mobile home.
Confortablement installés dans des transats molletonnés, ils profitent de la chaleur du soir. Seule une petite ampoule les éclaire. Il est vraiment très agréable de rester nu ainsi et assez rapidement la conversation dévie sur l’histoire d’Amandine qu’ils ont trouvée très excitante finalement. À leur tour, les filles se racontent leurs anecdotes et semblent parfaitement s’entendre. Tout en les écoutant discuter, Jérôme les observe, mais n’insiste pas sur leur intimité pour ne pas reprovoquer un début d’érection jusqu’alors parfaitement maîtrisée. Mais cela est sans compter ce qu’Isa s’apprête à faire.
Depuis quelques minutes, alors qu’elles continuent à se dévoiler, une guêpe leur tourne autour et s’approche dangereusement du sexe de Jérôme. Sans vraiment le vouloir, car concentrée à sa narration et surtout par réflexe, Isa fait mine de balayer de la main la vilaine bestiole et s’approchant de trop près de son pénis, sa main le heurte à plusieurs reprises tels des va-et-vient qui le projettent dans tous les sens, comme elle l’aurait fait pour nettoyer une saleté dessus. Le mouvement de celui-ci est assez comique, car très assoupli et malgré tout assez allongé, il finit par se dresser par à-coups. Lui qui était fier de le laisser sagement posé sur le haut de ma cuisse, le voilà qu’il se met à bander.
Isa se confond en excuses.
Il n’a pas le temps de dire le moindre mot que la voilà partie comme une furie. Elle s’en veut de peut-être l’avoir condamné à mort, allez savoir ! Lorsqu’elle revient quelques secondes après, ses seins se secouent dans tous les sens. Elle se met accroupie à côté de lui, les yeux remplis d’admiration par ce qu’elle voit. Son pénis est désormais au garde-à-vous d’une longueur spectaculaire.
Il s’exécute sous le regard de Delphine qui est morte de rire intérieurement. Elle est vraiment bien, cette Isa, tout compte fait.
Arrive le moment de l’organisation pour les nuits à venir. Delphine propose.
Étant enfermés dans leur mobile home, rien ne pouvait les empêcher de se rhabiller, mais se sentant finalement à leur aise, nus, cette pensée ne leur est même pas venue.
Au milieu de la nuit, Isabelle, allongée dans le lit quelle trouve particulièrement peu confortable, se réveille doucement avec une envie terrible de pisser. Ce n’est pas seulement une impression, mais le matelas s’affaisse bien dans son centre et, de ce fait, elle se retrouve inexorablement en contact avec le corps de Delphine. Pour elle, ressentir le corps d’une autre aussi proche la trouble. Elle n’a jamais dormi nue avec une autre fille. Elle regarde Delphine qui a pris plus de la moitié du lit et qui dort profondément le drap posé sur son ventre, ses petits seins parfaitement visibles. Elle les trouve jolis, ses petits nichons.
En deux enjambées, elle se retrouve dans la pièce de vie. Le sol grince sous ses pas, mais cela ne réveille pas Jérôme. Sa respiration régulière se fait entendre. Elle remarque dans l’obscurité que son drap ne le recouvre plus totalement et que son pénis au repos repose lourdement sur le haut d’une de ses cuisses. Elle en est certaine, si Delphine n’avait pas été avec eux dans ce mobile home, elle se serait jetée goulûment dessus. Décidément, elle apprécie vraiment le naturisme.
Les w.c. se trouvent dans la petite salle de bain faisant face à la chambre et tout proche du canapé où il dort. La proximité étant quasi immédiate, Isa ne souhaite pas allumer la lumière pour ne pas réveiller tout le monde. Elle laisse donc l’unique rideau censé fermer la salle de bain ouvert en grand. Le rideau du salon entrouvert laisse passer la lumière du réverbère. Une fois assise sur la cuvette, elle constate qu’elle peut être vue aussi bien par lui que par Delphine. C’est tout de même très gênant, mais excitant à la fois une telle situation engageant son intimité.
Avant de lâcher son urine, elle les observe attentivement une dernière fois, afin de déceler le moindre regard sur elle. Leurs têtes sont pourtant tournées vers elle et elle hésite à écarter ses cuisses, exhibition dont elle a rêvé tant de fois. Elle en meurt d’envie pour voir ce que ça fait et intérieurement, elle en viendrait à espérer qu’un d’eux puisse la mater. Elle se décide et écarte largement les cuisses de façon très provocatrice puis elle se met à uriner. Le jet qui jaillit siffle et est très audible, elle n’avait pas pensé à ce détail. Cela la trouble, mais cela ne lui déplaît pas du tout, bien au contraire. Elle prend confiance en elle et aimerait vraiment qu’ils puissent la mater maintenant.
Elle se souvient de la fois où elle avait surpris son frère pisser devant elle lorsqu’ils étaient allés se balader en forêt, il y a quelques années. Se pensant masquée par un buisson, elle avait tout vu. Il avait sorti sa queue toute molle par sa braguette et avait tiré sur le prépuce afin de dévoiler le gland. Cette vision avait été très excitante et très troublante à l’époque, car c’était la première fois qu’elle voyait une queue en vrai. Ils étaient dans leur période d’adolescence et cela l’avait marquée. Elle se rappela que cette période fut le commencement de ses envies d’exhibitions et de voyeurisme avec son propre frère, mais cela est une tout autre histoire.
Reprenant ses esprits et revenant à l’instant présent, elle écarte ses grandes lèvres très largement. L’intérieur de son vagin doit être visible à présent. Elle s’exhibe pour la première fois ainsi et trouve ce moment d’une intense excitation. Déçue, elle constate qu’il dort toujours, mais elle est presque certaine que Delphine, elle, a ouvert les yeux et la regarde désormais. Alors, faisant mine de rien, elle continue son petit jeu d’exhibition. Elle essuie lentement sa chatte à plusieurs reprises en passant bien sur son clitoris à la fin. Là, elle ressent une forte excitation qui la saisit. Lorsqu’elle se couche enfin, Delphine lui sourit et lui murmure en lui tapotant une fesse.
Collées l’une contre l’autre, les deux nouvelles amies s’endorment ainsi.
Le lendemain, ce sont les rayons du soleil posés sur son visage qui réveillent Delphine. Le rideau avait mal été fermé. Elle se lève et prend l’initiative d’aller chercher du pain à la petite boulangerie du camping. La fraîcheur du matin la saisit, mais elle s’y habitue. Ses seins réagissent rapidement et ce brutal changement de température les fait pointer avec fermeté. Elle s’est rapidement faite à sa nudité et le fait de croiser des inconnus ne la dérange plus. Elle a d’ailleurs le sentiment que personne ne la regarde vraiment.
Arrivée à proximité de l’accueil du camping, elle remarque deux demoiselles qui semblent enregistrer une story sur leur téléphone portable. Elles sont encore tout habillées et semblent désorientées, rigolant entre elles sans arrêt. Leurs regards se croisent et les deux jeunes femmes s’approchent d’elle.
Delphine se dit que si ces deux tourterelles étaient amenées à croiser Jérôme, elles tourneraient de l’œil sans aucun doute.
Delphine s’exécute et filme dans la continuité de la vidéo qui n’a pas cessé d’enregistrer. Elle redonne ensuite l’appareil aux deux demoiselles devenues totalement nues. Elle leur sourit lorsqu’elles partent.
Dans le mobile home, Isabelle émerge aussi et se lève à son tour. Jérôme s’étire et ne semble pas avoir remarqué que son drap laissait dépasser le bout de son sexe en totale érection. Isabelle le remarque.
Il se confond en excuses, mais après tout, Isa n’est pas née de la dernière pluie et sait parfaitement que les hommes ont ce genre de réactions au réveil. Cela ne semble pas lui déplaire, bien au contraire, car elle ne cesse de jeter des coups d’œil dessus de façon régulière.
Au même moment, Delphine est de retour, les bras chargés de croissants et d’un pain frais. Jérôme les rejoint autour de la petite table ronde dans le salon, le membre raide. Les filles commencent à s’y habituer, mais pour Isa, c’est encore de la fascination.
Il lui montre du bout de l’index.
Delphine s’affaire à faire un peu de rangement pendant ce temps-là tandis qu’Isabelle rentre dans sa peau d’infirmière et en tant que professionnelle en médecine, elle se met à inspecter de près le pénis et constate la tension du frein en question.
Isa effleure avec délicatesse et avec précision le frein en question avec le bout de son index. Elle regarde avec des yeux écarquillés le membre tendu d’une taille qu’elle n’aurait jamais pu imaginer. Comment un tel baraquin peut-il pénétrer une petite chatte comme la sienne. Elle remarque qu’une petite goutte de sécrétion vient d’apparaître par le méat situé au sommet de son gland, signe d’une excitation évidente. Que donnerait-elle à cet instant pour le lui lécher ?
Delphine réapparaît sans avoir remarqué la proximité du visage d’Isa de la queue tendue. C’est le moment pour elle d’intervenir. Lui tapotant les fesses.
Cette zone bien moins fréquentée, car difficile d’accès, a été pour eux l’occasion idéale de s’habituer à leur nudité en plein jour, dans cet environnement de nature pure. Isa semble désormais très à l’aise et ne cesse d’exprimer la joie qu’elle ressent d’être ici, nue avec eux.
Courageux, Jérôme a été le seul à s’aventurer totalement dans l’eau. La sensation perçue sur tout son corps fut exquise et cela fait plusieurs heures qu’il ne bande pas, ce qui est très agréable et un véritable exploit.
En remontant par un autre chemin en fin d’après-midi, Amandine et Fred les rejoignent. En passant devant le terrain de volley, une famille avec trois adolescents se faisant des passes les interpelle.
Jérôme, forcément, ne passe pas inaperçu avec son balancier au repos, mais toujours volumineux. Les trois inconnus écarquillent les yeux lorsqu’ils remarquent la lourdeur des rebonds que fait celui-ci lorsqu’il court ou saute en l’air. La mère de famille est troublée et semble être fascinée par ce qu’elle voit de lui. Pour elle, cela ne fait aucun doute, il a sans doute eu recours à de la chirurgie esthétique. Elle-même en est une adepte, car elle s’est fait refaire les seins à deux reprises, certes un 90 E, ça se remarque, mais c’est surtout la taille de ses deux pastèques ultra-fermes qui fascine la gent masculine en général.
Isa émet une petite réticence et murmure :
Amandine empoigne le bras d’Isa et tout en pénétrant sur le terrain :
Durant toute la partie, les protubérances mammaires et autres membres génitaux se sont secoués, baladés, remués, dandinés dans tous les sens. Cela donnait un rythme animé à la piètre partie indigne qui se jouait là.
Le soir venu, ils décidèrent de rester au mobile home. Inconfortablement installés dans le canapé en skaï, ils tentent de trouver un programme intéressant à la télé. En zappant sur la 6, c’est le film « La petite Lili » avec Ludivine Sagnier qui est choisi.
Jérôme se tortille contre l’accoudoir depuis une petite demi-heure. Celui-ci lui compresse les côtes.
Isa, elle, installée entre lui et Delphine, commence à ressentir des crampes depuis une petite demi-heure. Cependant pour rien au monde elle ne voudrait laisser sa place. Son attirance envers Jérôme est pour elle une évidence. Il est drôle, attentionné et a un physique très excitant. Elle ne cesse de regarder du coin de l’œil le pénis qui se tend lentement et par à-coups. Intriguée par ce qu’elle voit, elle s’interroge sur la raison d’une telle montée d’excitation de sa part. Il est vrai que ce film montre souvent l’actrice vedette totalement nue et pourtant, pour elle, cela ne justifie pas un début d’érection. Cela n’est pas pour lui déplaire, bien au contraire, elle est fascinée. À moins que ce soit le contact de son sein tout contre son bras, car étant aussi serrés, leur contact est permanent. En temps normal, elle se serait précipitée pour détacher ce contact avec son sein, mais là, bien au contraire, elle est excitée par cette proximité. Tout son corps se réveille et elle sent ses tétons pointer.
Au même moment, à l’autre bout du camping, Chloé vient de terminer son service. Ses parents qui possèdent le camping ne seront pas au lit avant au moins deux bonnes heures, le temps pour eux de finaliser le nettoyage du restaurant. Comme à son habitude, elle aime déambuler dans les allées du camping à la nuit tombée. Elle aime observer discrètement ce qui se passe derrière les fenêtres souvent entrouvertes. Il est rare que des choses intéressantes se passent ici. Elle a repéré un jeune couple arrivé ce matin, mais malheureusement, ils sont dans une tente et cette dernière est hermétiquement fermée. Une fois, sa meilleure, elle avait été témoin d’une partie de jambes en l’air entre un couple dans un mobile home. Elle avait tout vu et c’était la première fois qu’elle s’était masturbée dehors, en les regardant. Depuis, elle aimerait revivre cet instant, s’avouant à elle-même une forte tendance au voyeurisme.
Revenant à l’instant présent, elle s’arrête devant la porte-fenêtre du mobile home n° 11, celui des deux nanas et du mec qui, elle se souvient maintenant, avait une bite hors normes au restaurant. Tout le monde avait rigolé lorsqu’elle avait annoncé le menu du jour. Ça, pour une saucisse de Morteau, je n’étais pas loin de la vérité ! Quelle bite il avait, ce type ! se dit-elle. Discrètement, alors que la porte est entrouverte et les rideaux pas totalement fermés, elle observe les trois pensionnaires affalés dans le canapé en skaï, debout sur la terrasse. Là, elle peut également entendre leurs conversations.
Isa ne se laisse pas prier. Elle imagine qu’elle devrait avoir le visage à quelques centimètres de la queue encore molle, mais très allongée sur le côté. Elle se relève donc afin de leur permettre de se décaler. Ce faisant, et heureusement, ils n’ont pas remarqué la tache de cyprine posée à l’endroit où elle était assise. Elle voit Jérôme s’installer pile dessus.
Isa devient rouge pivoine.
Isa se réinstalle, honteuse d’avoir souillé le canapé avec sa propre mouille et surtout, qu’il l’ait remarquée. Cependant, le savoir en contact avec ses sécrétions l’excite énormément. La voilà désormais bien mieux ainsi, sa tête posée au niveau de son nombril. Le bras de Jérôme encore relevé, elle prend l’initiative de le poser pile sous ses deux melons légèrement aplatis. Impossible pour elle d’être mieux installée. Si le paradis existe, elle ne doit pas être très loin.
Delphine, elle, a pu se décaler de l’accoudoir et a désormais les fesses d’Isa sur ses cuisses et une vue imprenable sur sa chatte lisse. Finalement, chacun est totalement satisfait de cette nouvelle réorganisation. Elle n’est pourtant pas lesbienne, mais avec Amandine, elles ont souvent joué à des jeux érotiques ensemble, mais cela aussi est une autre histoire. Avec l’épisode de la nuit précédente, Isa s’était exhibée sur la cuvette des toilettes, une certaine complicité est bien présente entre elles.
Cela fait quelques minutes qu’ils font mine de regarder le film qui se joue dans la télé. À ce stade, personne ne pourrait décrire ce qu’il se passe réellement dans le scénario, chacun observant discrètement son voisin.
Isa se fout éperdument du film. Que donnerait-elle à cet instant pour rentrer en contact avec la queue ? Elle n’est pourtant pas loin du tout. Mou et très allongé, il est orienté sur le côté et posé sur sa cuisse gauche. Elle s’imagine que si la queue se mettait droite, et donc en érection, là, à coup sûr, son visage rentrerait en son contact. Elle en viendrait même à espérer que l’actrice s’affiche totalement à poil de face ou joue une scène torride pour faire accélérer le processus. Ses yeux rivés sur le membre, elle patiente et l’observe. Après quelques secondes, elle a l’idée de repositionner ses cheveux mi-longs. Il est probable que leur contact fasse peut-être réagir le pénis. Elle le fait à plusieurs reprises afin de taper un plus juste sur le gland à moitié visible sous le prépuce.
Ce petit jeu excite Isa dont les battements du cœur se sont emballés. Ses mains sont moites et elle tremblote un peu, comme parcourue de frissons. Elle en rage de ne pas avoir réussi sa manœuvre. Bande, mais bande, bon Dieu ! se dit-elle.
La douceur des cheveux sur son sexe est très agréable. Il regarde le visage d’Isa et en détaille chaque centimètre. Il remarque qu’ayant sa tête tournée vers la télé et ses cheveux relevés, il distingue un petit tatouage représentant une petite licorne. Il ignorait qu’elle en eut un. Ayant peut-être raté d’autres tatouages ailleurs, ses yeux se mettent à glisser sur son corps. Isa est vraiment très jolie et différente de Delphine. En regardant ses seins, il se rend compte qu’ils sont la quasi-copie de ceux de l’actrice. Et dire qu’il a le bras posé pile sous les deux melons. Il fait tout son possible pour ne pas provoquer une érection subite. Il réalise que la tête d’Isa ne se trouve finalement qu’à quelques centimètres de son pénis. Il prie alors tous les Dieux pour ne pas bander, car, quelle honte ce serait pour lui, et surtout, comment réagirait Delphine ?
Cette dernière n’est pas vraiment concentrée par ce qui se joue sur l’écran, mais plutôt ce qui se passe autour d’elle. Elle prend conscience que dans sa position, Isa n’est qu’à quelques centimètres de la bite de son Jérôme et elle imagine ce qu’elle peut ressentir à cet instant. Pour elle, il est impossible qu’Isa reste de marbre face à une telle situation de proximité. Elle n’avait pas tort de penser cela, car fixant la chatte de sa voisine posée juste là, devant ses yeux, elle distingue de la cyprine luire entre ses grandes lèvres rasées. Cette vision lui provoque à elle aussi, une montée d’excitation.
À ce stade-là, tous les trois sont comme des adolescents à la découverte du corps de l’autre, intimidés, tétanisés, ils tentent de se contrôler, ne sachant comment réagir. Chacun a une envie folle de rentrer en contact plus prononcé avec les parties intimes de l’autre. Leurs cœurs se sont emballés, battant à l’unisson.
Isa se décide et lance les premières grandes manœuvres. Elle fait mine de se tortiller sur elle-même et de façon un peu maladroite, mais il faut l’avouer très heureuse, elle positionne sa main gauche tout contre les testicules. Elle fait mine de ne pas avoir remarqué le contact du haut de ses doigts tout contre les bourses totalement lisses et douces comme une peau de bébé.
Jérôme voit cette main et ces doigts rentrer en contact avec ses boules. Cela lui provoque une accélération cardiaque indescriptible. Il est en apnée.
Delphine vient de poser son regard sur la main de sa voisine et la voit se poser à cet endroit. Ce geste lui paraît naturel et non maîtrisé. Elle s’imagine être à la place d’Isa à cet instant et en deviendrait presque jalouse.
Ce qu’Isa espérait tant commence à arriver peu à peu. Elle entend les battements du cœur de Jérôme s’emballer puis instantanément, elle regarde son pénis qui se met à sursauter lentement, par à-coups. En grossissant, et depuis sa position initiale, il entame sa trajectoire. Il rentre en contact avec son front que son gland qui se décalotte peu à peu et parcourt en se frottant telle une caresse. Il termine sa progression au contact de son nez. L’odeur de son pénis l’enivre. À cet instant, elle se sent mouiller comme jamais, le cœur au bord des lèvres. Plus d’un an qu’elle n’avait pas été en contact avec une bite. Elle n’ose plus bouger de peur que son excitation se remarque. Elle a toujours mouillé de façon assez abondante lorsqu’elle est vraiment excitée, mais là, elle espère juste que ses sécrétions vaginales ne couleront pas sur les cuisses de Delphine. Quelle honte ce serait.
Son pénis est désormais dressé. Jérôme est au bord de la syncope, n’ayant pas su ou pu maîtriser son érection. Il croise le regard d’Isa et lui émet un sourire de complaisance puis se tortille à son tour afin de tenter de décaler le pénis de son visage. Il craint tout simplement une mauvaise réaction de Delphine à cette situation très érotique. De plus, une mauvaise manœuvre risquerait de déplacer son pénis devant sa bouche. Isa pourrait mal le prendre, car cela pourrait porter à confusion.
Isa n’en peut plus. Elle voudrait tant prendre cette queue érigée dans sa main. Elle réfléchit au meilleur prétexte. Après quelques secondes, elle se décide et décale sa main, jusqu’alors toujours posée tout contre les testicules et la pose sur le pénis, le maintenant fermement sur le côté.
Jérôme est surpris et est au bord de la panique.
Delphine sait pertinemment que c’est l’effet contraire qui va se passer.
Ayant eu l’accord de Delphine, Isa repositionne un peu mieux sa main qui vient de se positionner au pire endroit possible pour lui, directement sur son gland totalement décalotté à l’extrême. Elle se souvient certainement de ses aveux lors d’une de leurs discussions sur internet sur la sensibilité très importante qu’il a à ce niveau précis de son pénis. Il lui avoue que, systématiquement, depuis que son sexe a pris une nouvelle dimension due aux gélules miracles qu’elle-même lui avait conseillées, il éjaculait souvent de façon incontrôlée.
Delphine de son côté sourit. Elle ne peut pas en vouloir à Isa qui n’a jamais eu d’intention de lui chiper son Jérôme. À cet instant, elle s’étonne d’avoir des idées coquines de plus en plus présentes, car il faut qu’elle se l’admette, elle meurt d’envie d’une partie de jambes en l’air à trois. Le fait qu’elle s’amuse à tripoter sa queue correspond aux premiers préliminaires finalement.
Isabelle jubile. Elle tient enfin dans sa main cette queue tant convoitée depuis des mois. Sa phase de conquête avance parfaitement selon ses plans.
Continuant de plaquer le pénis tendu à l’extrême, elle est surprise et ravie de ressentir les sursauts caractéristiques d’une queue qui tente de forcer son érection. La force émise par cette queue est prodigieuse, c’est comme si elle voulait se libérer de son entrave. Isa savoure ce moment si érotique. Elle imagine quelle torture cela doit être pour lui. Elle prend un malin plaisir à faire durer ce supplice. Elle se sent mouiller comme jamais à cet instant et sent ses tétons pointer.
Sa main remue légèrement depuis quelques minutes, comme si elle frottait le gland avec sa paume. Elle souhaite vérifier ses dires et espère être récompensée par une éjaculation précoce. Elle a toujours été fascinée par les éjaculations masculines. Soudain, elle reprend ses esprits, car elle ressent des secousses dans sa main puis un liquide visqueux venir l’imbiber. Leurs regards se croisent, Jérôme lui fait comprendre discrètement de ne pas alerter Delphine.
Isa lui sourit et savoure ce moment unique de complicité avec lui et elle continue son manège, appliquant le même rythme, la main visqueuse de sperme. Elle le regarde à nouveau et tout en lui souriant, elle tente de le mettre aux supplices lorsque sa main se rapproche de sa bouche pour lécher sa paume dégoulinante de son sperme, puis la repositionne, entamant des gestes de va-et-vient sur toute la longueur de sa tige. Isa se lèche les babines avec gourmandise. Cette situation est si érotique qu’elle n’en peut plus, elle a tellement envie de le sucer, là, maintenant qu’elle a goûté son sperme. Le sien a un goût beaucoup moins amer et chloré que ceux de ses autres amants. Elle décèle une petite pointe salée et un léger goût de menthe qui n’est vraiment pas désagréable.
Delphine n’en rate pas une miette. Elle est excitée comme jamais et se sent mouiller abondamment. Elle ne peut s’empêcher de poser sa main droite sur le bas-ventre d’Isa et l’autre sur ses cuisses. D’instinct, Isa les écarte légèrement. Delphine contemple cette chatte qui s’entrouvre et luisante de cyprine. Elle n’a jamais été attirée par les femmes, mais là, la situation est vraiment particulière.
Le cœur d’Isa s’accélère lorsqu’elle sent les doigts de Delphine caresser son ventre et en même temps ses cuisses. Elle se concentre alors sur cette main gauche qui se dirige lentement vers sa fente. Elle se sait trempée comme jamais et elle ressent une sensation orgasmique exploser dans tout son être. Sa respiration s’accélère brutalement et elle ne peut empêcher un petit gémissement. Sans se maîtriser, elle écarte un peu plus ses cuisses. Elle se sent totalement vulnérable à cet instant.
Les deux mains de Delphine se rejoignent au même endroit. Les doigts de sa main gauche rentrent en contact avec le clitoris, tandis que ceux de son autre main s’imprègnent de cyprine abondante.
Isa se fige lorsqu’elle la voit porter ses doigts imbibés de ses sécrétions à sa bouche. Elle ne sait pas comment elle doit réagir.
Delphine refait la même manœuvre plusieurs fois et finit par la pénétrer avec deux de ses doigts.
Isa ne résiste plus. Les doigts de Delphine en elle, la queue dans sa main, c’en est trop. Elle se sent déjà sur le point de jouir, mais arrive à se contenir.
Elle se décale légèrement et oriente le gland devant sa bouche. Elle entreprend de le lécher dans un premier temps, puis elle finit rapidement par le mettre entièrement dans sa bouche. Encore imbibée de sperme, elle savoure son sperme qui effectivement a bien un goût très agréable.
Les filles tellement excitées n’en peuvent plus. Elles se sont rapidement mises d’accord, Isa sera à genoux entre les jambes de Jérôme, elle continuera de le sucer, pendant que ses fesses seront relevées, permettant à Delphine de lui lécher les deux orifices dévoilés.
Delphine s’applique comme pour elle-même. C’est la première fois qu’elle lèche une chatte et goûte une autre cyprine que la sienne.
Sur la terrasse, Chloé n’en croit pas ses yeux ni ses oreilles. Cela fait plusieurs minutes qu’elle s’est introduit trois doigts dans son vagin, au travers de son pubis broussailleux, caressant avec son autre main ses jolis seins moyens.
Jérôme, lui, caresse les cheveux d’Isa en lui donnant le rythme à adopter pour cette belle fellation qu’elle a entamée. Chacun est actif et concentré sur sa tâche et il ne peut s’empêcher d’encourager les filles à poursuivre ainsi.
Delphine s’interrompt et préfère immédiatement dissiper tout malentendu auprès d’Isa.
Rapidement, Isa n’en peut plus.
Chloé assiste à cette baise d’enfer. Elle voit le fameux Jérôme prendre en levrette cette Isabelle, pendant que Delphine, elle, se trouve le cul au-dessus du visage de sa copine qui lui lèche la chatte. Delphine se pelotant les seins généreusement. Chloé l’imite.
Delphine veut elle aussi sa part et décide de se mettre elle aussi dans la même position qu’Isa, le cul en l’air, juste à côté de sa comparse.
Chloé est au bord de la jouissance. Le visage crispé de Delphine lorsqu’il la pénètre dans son anus l’interpelle. Elle semble tellement souffrir, mais tellement y prendre de plaisir qu’elle active ses va-et-vient dans sa chatte. Qu’elle aimerait être à sa place à cet instant ! Elle qui n’a baisé que deux fois dans sa jeune vie.
Jérôme n’en peut plus et se crispe. Delphine le ressent et se dégage de son emprise.
La scène est comique, car les filles sont à genoux à côté de lui et attendent leur dû. Chloé écarquille les yeux. Toutes les deux le branlent avec frénésie, la queue se secouant dans tous les sens, leurs langues largement tendues attendant sa délivrance. Elle remarque que les deux filles ont introduit leurs doigts dans leurs chattes respectives, les « floc floc » caractéristiques se faisant entendre de plus en plus et couvrant les siens. Delphine se met à peloter les seins d’Isa en attendant.
Sentant venir sa jouissance, les yeux de Jérôme se posent sur la porte-fenêtre dont les rideaux n’étaient pas totalement fermés et il semble avoir vu la jeune serveuse qui se tient juste là, totalement nue. La lumière du salon étant allumée, il peut parfaitement la voir de face. Il ignore depuis combien de temps cette voyeuse les observe, mais elle les a sans doute entendus alors qu’elle faisait sa ronde. Elle ne semble pas avoir remarqué qu’il l’a vue, car elle continue à se peloter le sein droit, tout en caressant son clitoris au travers de son buisson blond.
Soudain, au même moment, sans doute par excès d’excitation à regarder cette voyeuse les observer, c’est une explosion de sperme qui suit. Les visages des filles reçoivent une première grosse partie, puis bouches grandes ouvertes, elles avalent un maximum du jus abondant. Elles continuent de le branler, les jets se succèdent. Isa qui tient le pénis dans sa main l’oriente tantôt sur son visage, tantôt sur celui de Delphine. Elles jubilent de plaisir, Isa en est même hystérique et se donne à fond pour séduire définitivement Jérôme. Elle espère qu’il la préférera, elle, dans les actes sexuels.
Chloé est au bord de l’implosion, Isa enfourne la queue imbibée de sperme dégoulinant dans sa bouche et l’enfonce même à fond dans sa gorge. Chloé jouit à plusieurs reprises et elle en redemande alors elle se réintroduit quatre doigts dans la chatte et se tire le téton droit afin d’imiter Delphine et elle n’est pas au bout de ses surprises.
Isa y met tout son cœur et le branle de façon acharnée, maltraitant le pénis rougi par les frottements. Les derniers jets finissent sur leurs seins. Isa est aux anges.
Toutes deux s’amusent à s’étaler mutuellement un maximum de la semence sur leurs corps. Toutes deux se pétrissent littéralement les seins sans ménagement.
Delphine, excitée comme jamais, veut leur montrer à quel point elle est excitée à cet instant. Elle s’assoit sur la table basse du salon, écarte très largement ses cuisses puis avec ses doigts, écarte ses lèvres afin de leur montrer son vagin rempli de cyprine dégoulinante. Isa, en état de transe, l’imite et toutes les deux exhibent leur intimité.
Chloé n’en croit pas ses yeux. Elle observe Delphine qui se doigtait jusque-là et tellement excitée elle est sur le point de jouir. Tout à coup, elle voit Delphine se cambrer, les pieds sur le sol, les cuisses écartées à son maximum, tous ses doigts en elle, elle finit par gicler de longs jets de liquide transparent ressemblant à de l’eau. Les jets se succèdent tel un geyser. Delphine râle et gémit bruyamment. Ses doigts alternent des va-et-vient dans sa chatte puis frottent rapidement son clitoris. À chaque fois qu’elle s’interrompt, les jets puissants et abondants sortent de ses entrailles. Elle en met partout.
Isa est stupéfaite et admirative de voir autant de liquide gicler à une telle distance. Elle voudrait l’imiter et se doigte elle aussi à un rythme effréné. Chloé n’en rate pas une miette n’osant plus cligner de l’œil depuis une bonne heure. Il ne manquerait plus qu’elle aussi se mette à inonder leur porte-fenêtre.
Isa supplie sa copine de l’initier.
Un nouveau jet surpuissant jaillit au même moment. Delphine s’écroule d’épuisement. Elle observe et admire Isa qui tente de l’imiter. Elle l’encourage à continuer puis prend l’initiative en introduisant ses doigts à elle. C’est maintenant Delphine qui branle Isa.
Isa gicle à son tour, elle en est hystérique de bonheur. Ses jets sont incontrôlés et imprécis. Elle arrose Delphine qui est sur la trajectoire. Elle semble avoir compris le mécanisme et s’amuse de plus belle à se vider elle-même, ayant introduit ses propres doigts.
Jérôme n’en croit pas ses yeux et les voit toutes les deux jouer comme des adolescentes. Il se dit qu’elles se sont bien trouvées, ces deux-là. Il regarde à nouveau la fenêtre, la serveuse n’en rate pas une miette et semble, elle aussi, vouloir en faire de même, car elle s’acharne sur son clitoris. Jérôme lui sourit.
Isa n’en finit plus de gicler et enfin, elle finit par s’écrouler sur le dos dans les flaques épaisses. Finalement, ils sont tous trois dans un état pitoyable, le mobile home aussi. La jeune serveuse a fini par filer, sans doute ira-t-elle achever de se finir une fois rentrée chez elle.
Les filles se relèvent, dégoulinant de substances difficiles à identifier.
Ils finissent par se coucher peu après, épuisés et vidés dans leurs lits respectifs. Et dire que la semaine ne fait que commencer…