n° 21196 | Fiche technique | 12564 caractères | 12564 2160 Temps de lecture estimé : 9 mn |
02/10/22 |
Résumé: C’est l’anniversaire de Giulia et c’est le jour où elle se livre. Y aura-t-il un cadeau ? | ||||
Critères: fff fhh grp voir exhib fmast hmast intermast fellation cunnilingu pénétratio sandwich fdanus -totalsexe | ||||
Auteur : Ambre D'Anot (Ambre D’Anot) Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
Une équipe d'employés d'un hôtel du sud vit au 3e étage de l'hôtel. Petit à petit tout le monde se livre entre souvenirs et actions.
Deux jours sont passés depuis la dernière journée de révélations. Le boulot a accaparé la petite troupe et, crevés, il a fallu recharger les batteries !
Tout le monde s’est retrouvé ce soir-là, heureux, dans leur tenue maintenant favorite, à poil, dans les fauteuils du salon du troisième étage. Par on ne sait quelle alchimie, ce fut Giulia qui décida de se raconter ce soir. Elle démarra, lovée sur un coin de la banquette en chien de fusil, offrant son postérieur à la vue de tout le monde tel l’odalisque de Ingres (mais dans l’autre sens) et un limoncello glacé à sa bouche.
Zoé, en bonne prêtresse des alcools, la resservit et refit une tournée générale, faisant de la bouteille un objet sans intérêt !
Puis elle fila jusqu’à Giulia pour lui claquer quatre bises sur les joues, lui rouler un patin baveux et lui dire :
Et elle lui planta délicatement son index dans le fondement. Giulia gémit légèrement, puis Perrine se retira, humant son doigt, et alla s’asseoir dans un fauteuil. Giulia pouvait commencer.
L’an passé, j’étais en couple avec une fille assez dominatrice, mais toujours dans la recherche de mon plaisir. Donc, le jour de mon anniversaire, elle m’emmène en voiture sans que je sache où on va. Arrivées sur la route de Digne, les maisons s’espacent quand soudain elle ralentit, prend un chemin sur la droite et on arrive devant une grille mal fermée d’une usine désaffectée. Là, elle me donne des consignes sur ce que je dois faire. Je la dévisage, subjuguée par son audace, car en plus on était en plein jour, et j’étais à la fois surexcitée et pas rassurée. J’avais une boule dans le ventre. Je la regarde, puis je sors de la voiture en lui laissant mon sac à main, et en prenant le foulard qu’elle me tend. Je marche vers la porte du hangar rouillé. Je rentre dans une salle vide. Il y a quelques poteaux qui ne soutiennent plus rien, des fenêtres d’un étage qui n’existe plus et des gravats partout au sol. J’avance jusqu’à une fenêtre de la pièce. Là, je mets le foulard sur mes yeux, le noue derrière ma tête et fais quelques tours sur moi-même.
Puis j’attends. Je compte jusqu’à cent dans ma tête. Il y a un silence complet, je n’y vois plus rien. Comme demandé. Alors je remonte ma petite robe jusqu’à mon pubis, et je passe mes mains dans mon petit slip blanc, et le fais descendre jusqu’aux genoux. J’attends un peu, puis je recommence à bien remonter le tissu dévoilant ma chatte à je ne sais qui, et peut-être personne. Puis, comme rien ne se passe, je descends doucement ma main droite vers mon intimité, passe un doigt sur mon bouton, caresse ma vulve, jouant avec, l’écartant, rapprochant mes lèvres, pressant l’ensemble à m’en faire frissonner. Cela dure un bon moment, on n’entend rien sinon quelques soupirs qui m’échappent, quand soudain, J’entends des pas. Qui vient ? Qui me voit ? Qui me veut ? Filles, garçons ? Combien ? Que va-t-il se passer ?
Je finis de me déshabiller, je mouille comme jamais à l’idée qu’on me regarde. Puis je tourne sur moi-même, écartant mes fesses en me penchant. Je n’avais jamais fait ça. C’est génial cette impression d’être ainsi offerte sans que personne ne m’ait touchée. Puis soudain, c’est trop fort, je me retrouve avec un doigt planté dans mon anus. Le fait qu’il y a quelqu’un qui me regarde décuple mes sensations. Je me relève et tourne sur moi-même, la main gauche toujours plantée dans mes fesses pour soutenir mon doigt inquisiteur, et je m’astique ma perle d’amour de plus en plus vite.
C’est à ce moment-là que je sens un souffle dans mon dos, une main sur ma fesse droite et de délicats bisous sur mon épaule. Je reconnais son parfum qui la trahit, mais me réconforte de sa présence. Cette douceur est enivrante.
De sa main, aux avant-postes de mon postérieur, elle repousse mon doigt planté en moi pour le remplacer par un des siens, doigt qui s’immisce bien plus loin et se veut inquisiteur, tournoyant aussi lentement qu’il effectue des aller-retour pour se mettre à l’unisson avec les mouvements de ma main droite sur ma féminité. J’accélère, elle accélère, je ralentis, elle ralentit, et petit à petit elle prend le contrôle du rythme et c’est moi qui me plie au sien. Pendant ce temps, sa bouche aspire littéralement mon cou, sa main gauche titille mon téton gauche qui me procure des décharges électriques dans les reins. Je ne tente même pas de partir, à mon tour, en exploration, je suis tout ouïe à mon plaisir qui monte inexorablement et j’imagine une assemblée me regardant. Cette image est le déclencheur d’une série de soubresauts précédant un tsunami intérieur violent, puissant, plein de répliques qui petit à petit s’éteignent.
Je pose ma tête en arrière sur son épaule et je reprends petit à petit mon souffle. Je sens qu’elle me détache le foulard doucement, pour ne pas m’éblouir. Mon cœur bat la chamade : que vais-je découvrir ? L’image de l’entrepôt me revient, je tourne la tête. Vide. Il n’y a qu’elle et moi. C’est fou. Mon imagination m’a emmenée loin. Je me retourne, ses yeux brillent, je l’embrasse, doucement, plein de tendresse…
Un petit silence dans le grenier pour laisser Giulia revenir de ses souvenirs et Perrine prit la parole.
Petit à petit l’idée germa dans toutes les têtes. Nora se leva et alla dans sa chambre, son petit cul se dandinant ne laissant pas indifférents ceux qui s’y attardèrent, puis elle revint avec un foulard mauve qu’elle tendit à Perrine, laquelle s’empressa de lever Giulia, de lui bander les yeux et de la faire tourner un peu.
Doucement, Yan s’approcha, de sa main droite levée, s’en empara délicatement et entreprit de lui sucer, lécher, absorber les doigts un par un. Puis il lécha savamment sa paume, son avant-bras, comme s’il cherchait à le peindre de sa salive.
Vincent se leva à son tour et entreprit la même démarche avec le bras gauche. L’un et l’autre se regardèrent pour synchroniser leurs gestes, remontant jusqu’aux aisselles et redescendant doucement. Personne ne pouvait ignorer l’érection que cette incursion intime a provoquée chez les deux garçons.
Nora s’approcha à son tour de Vincent, puis entreprit lentement de s’approprier le téton gauche de Giulia qui semblait la provoquer, tout en ne manquant pas de poser nonchalamment sa main sur le mât dressé de Vincent et de le caresser doucement.
Pendant ce temps, Zoé se leva doucement et s’en alla vers sa chambre.
Marie Sophie s’avança, s’agenouilla devant sa colocataire de chambre, sembla humer les effluves de son coquillage avant d’agripper ses deux fesses et de se plonger avec délectation dans l’entrejambe convoité. Giulia, à ce moment, émit un grand soupir en relevant la tête.
Wendy sembla chercher sa place, puis prit le symétrique de Nora, n’oubliant pas au passage de flatter la queue de Yan qui ne semblait qu’attendre ça. D’emblée, il ondula du bassin pour signifier qu’il avait envie de plus, ce que Wendy ne lui refusa pas en empoignant son sexe pour une masturbation douce mais énergique. Ayant ajusté son mouvement, elle pencha la tête vers le doux sein qui n’attendait qu’elle.
Perrine contempla le tableau avant de s’approcher de son visage et de laisser courir sa langue, du cou jusqu’aux oreilles, du nez à la bouche.
Zoé revint harnachée d’un gode-ceinture d’une taille raisonnable. La cerise sur le gâteau ! Celle qui adorait tant l’anal allait être prise pendant qu’on lui ferait subir les plus subtiles des caresses, partout sur son corps. Sur le coup, à l’exception de Perrine qui avait vu, les autres n’imaginèrent pas encore ce qui allait se passer. Zoé s’agenouilla et sa langue vint à la rencontre de celle de Marie Sophie, par-dessous le compas de Giulia. Puis elle remonta pour préparer son antre secret, enfin pas si secret que ça dans le groupe ! Giulia gémit encore plus et se dandina doucement. Zoé se releva et vint buter le gland de son engin sur la rosette de la belle. Celle-ci, d’emblée, se fit accueillante, aidée par sa propriétaire qui ne demandait que cela, et, progressivement, le sexe mauve du gode s’enfonça dans le fondement avec autant de délectation que ceux de Yan et Vincent l’autre soir dans celui de Zoé.
Nora adopta le fonctionnement de Wendy et branla allègrement Vincent qui prit un peu d’attention pour Giulia. Mais celle-ci le rappela à l’ordre en lui mettant deux doigts dans la bouche.
Nora et Wendy réussirent à ne pas perdre le nord, partagées entre un sein de Giulia et une bite à branler, surtout que maintenant, Marie Sophie, ayant réalisé qu’elle avait deux petits culs à sa portée, s’affaira à leur faire subir à leur tour les délices de doigts sodomites.
Et ce qui devait arriver arriva, Giulia se déversa en râles continus, se tournant, cherchant une pénétration plus profonde des léchouilles plus osées, cherchant les bouches de ses seins, criant, entraînant les garçons puis Wendy et Nora. Perrine se pencha vers Vincent et lui engoba le gland le temps qu’il se déverse dans sa bouche. Puis elle retourna embrasser Giulia et la nourrir de ce sperme tout chaud. Marie Sophie, alors que les filles avaient déculé, se frotta violemment l’entrejambe en lapant le jus qui sortait du vagin de Giulia. Son orgasme fut peut-être le plus fort en intensité, tant elle s’était lâchée.
Zoé se déharnacha de son sexe factice, se disant que c’était bien joli tout ça, mais que… quand Vincent arriva derrière elle toujours bandé, et la pris en levrette, s’agrippant à ses fesses avec vigueur, et elle put à son tour se lâcher de tout son saoul dans un moment de félicité complet. C’était sans compter Yan qui se rappelait bien ce qu’ils pouvaient faire tous les trois. Il s’approcha devant Zoé, l’embrassa en cherchant son bouton. Vincent comprit comment cela finirait et s’allongea sur le canapé, près de Giulia qui n’en perdait pas une miette. Alors, Zoé s’empala sur son dard et écarta les jambes. Yan vint s’aventurer dans son antre accueillant et tous les deux s’accordèrent aussitôt devant une Giulia subjuguée. Celle-ci s’enhardit à glisser une main sous les fesses de Zoé, puis s’approcha de son anus et enserra le sexe du garçon avant de plonger un doigt dans l’anus, disputant la place avec un gland et un prépuce. C’en fut trop pour Zoé et elle se lâcha, les yeux fermés, dans un feulement long et doux. Yan sortit et éjacula sur sa toison. Puis elle sentit Vincent se répandre en elle, et elle soupira de bonheur. Quelle soirée !
Doucement, sortie d’on ne sait quelle bouche, la chanson « joyeux anniversaire » fut démarrée, reprise par tous, la bouche fermée, le sourire aux lèvres, chacun cherchant les yeux de tous pour y trouver de l’émotion.