n° 21489 | Fiche technique | 13715 caractères | 13715 2425 Temps de lecture estimé : 10 mn |
29/01/23 |
Résumé: Ils sont voyeurs, exhibitionnistes, et aiment le plaisir sans tabou. | ||||
Critères: f h fh ff ffh grp fbi hbi travail voir exhib intermast fellation cunnilingu anulingus hdanus -totalsexe | ||||
Auteur : Ambre D'Anot (Ambre D’Anot) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Chambres sous les toits Chapitre 08 / 09 | Fin provisoire |
Résumé des épisodes précédents :
Un groupe d’employés d’un hôtel se retrouvent le soir au troisième étage pour des confessions/voyeurs/exhib.
Notre hôtel a été laissé à l’abandon quelques mois le temps de gérer quelques problèmes de santé. Ce n’est pas très grave, le temps s’y écoule à sa vitesse qui n’est pas celle de l’auteure. Donc, nous retrouvons nos protagonistes dans leur troisième étage, leur lieu de vie après le travail dans cet hôtel de la Côte d’Azur. Ils sont voyeurs, exhibitionnistes, et aiment le plaisir sans tabou. Tour à tour, ils confient au groupe une de leurs aventures qu’ils n’ont jamais révélée à quiconque, faute d’écoute adéquate et bienveillante. Ce soir, c’est Vincent qui s’y colle.
Ce soir, il fait chaud, très chaud au troisième étage. Les pauvres Velux ouverts peinent à amener un courant d’air qui serait bienvenu. Tout le monde évolue dans le plus simple appareil, comme toujours, entre la douche et le salon où quelques rafraîchissements donnent l’illusion de fraîcheur. Petit à petit, chacun se cale dans un fauteuil ou sur une banquette, voire se cale sur les jambes de quelqu’un assis confortablement. Perrine arrive comme une trombe comme à l’accoutumée, verrouille la porte pour éviter… on ne sait jamais, et quitte son microshort et son débardeur, laissant apparaître son corps délicieusement juvénile et bronzé.
Vincent s’est mis seul dans un fauteuil crapaud et regarde l’assemblée en songeant. « C’est quand même fou, cette aventure ! », songe-t-il. « Ce groupe est exceptionnel. Dire qu’à la fin de la saison il va éclater, quel dommage. Pas de jalousie, pas de dispute. Une connivence sexuelle de plus en plus forte. Au début, chacun se faisait plaisir en profitant du spectacle des autres. Maintenant, les mains vont et viennent sur des corps amis, rejointes parfois par des langues ou des sexes. J’ai beaucoup exploré ma propre sexualité, mon regard sur les autres durant ces quelques semaines. »
Puis, Vincent sent que tout le monde semble l’attendre. Nora se caresse machinalement les tétons, ce qui provoque une légère demi-molle de Yann, Perrine explore sa vulve en léchant parfois ses doigts (pour mouiller ou pour goûter ? Elle seule le sait). D’autres ont les mains légèrement baladeuses sur quelques surfaces de corps dont ils sont ou non propriétaires.
Nous sommes partis en camping avec un groupe d’enfants. J’étais assez content du groupe des six animateurs que nous étions, vu qu’il y avait Clémence, la douce Clémence, aussi belle qu’inaccessible et qui me faisait soupirer, mais qui semblait m’ignorer. Et il y avait mon pote David avec qui j’avais postulé pour cette colo, et dont je partageais la chambre ; et du coup la tente, et quelques habitudes. Le premier soir, après avoir couché les enfants et profité d’un léger cinquième repas (tradition de colo), on est allé se coucher de bonheur, car la journée avait été crevante, et le lendemain on partait en rando montagne, de très bonne heure. Bref, on se couche quand on « frappe » à la tente.
- — C’est Clémence, je peux entrer ?
- — Oui, répond David, aussi étonné que moi.
Elle ouvre la fermeture éclair et rentre sa tête dans la tente avec son joli sourire.
- — Je crois que Jérémy et Lucie ont besoin de notre tente sans moi, vous pouvez m’accueillir ?
- — Bien sûr, dis-je rapidement, abasourdi d’avoir Clémence qui proposait naturellement de dormir avec nous.
Elle finit d’ouvrir, jette son duvet à ma droite et entre. Puis elle nous gratifie d’un joli effeuillage de son jean et de son tee-shirt, ce qui nous fait découvrir son joli slip noir et qu’elle n’a pas de soutif. Autant dire que la gaule s’est réveillée au quart de tour. Puis la belle se glisse comme ça dans son duvet, échange deux ou trois mots avec nous avant de sombrer dans un sommeil ponctué d’une belle respiration régulière. Je n’ai pas débandé depuis son arrivée et je n’en reviens pas. Clémence dort à côté de moi. Peut-être qu’on va réussir à être plus proches. En tout cas, c’est pleine lune dehors et je peux la voir dormir, ce qui me rend tout chose.
En attendant, ma main droite descend vers ma tige que j’ai rarement vue aussi grosse, longue et sensible. Je regarde Clémence qui s’est endormie, la tête tournée vers moi, mais un peu en dessous ce qui me permet de vérifier qu’elle dort sans bouger. Puis je jette un œil à David qui a déjà commencé à se palucher, comme à l’accoutumée dans la chambre. Il a sorti sa queue sans doute pour éviter le bruit du frottement dans le duvet. Elle est toujours aussi belle. Je le vois replacer son prépuce sur le gland et l’étirer doucement, faisant saillir son champignon avant de recommencer, inlassablement. Alors, je me risque à en faire autant, toujours pour éviter de faire du bruit. Mes yeux vont de la bite de mon pote au visage de la belle, endormi tel un bébé.
Et je m’astique, silencieusement, avec un bonheur absolu les yeux fermés. Soudain, je sens quelque chose de chaud sur mon sexe. J’ouvre les yeux et je vois David en train de me sucer. Jamais on n’avait fait ça tous les deux. J’avais souvent fantasmé sur cette possibilité surtout que sa bite m’attirait. Mais alors là, et avec Clémence à côté ! Quelle histoire ! Mais putain que c’est bon ! Je referme les yeux un moment. Quand je les rouvre, c’est pour me glacer les sens. Clémence a les yeux ouverts et regarde David me sucer. J’ai failli tout arrêter quand je me suis aperçu qu’elle avait rabattu son duvet et que sa main droite bougeait rapidement sous sa culotte. Et là, du coup, ça m’a excité encore plus, et David a dû le sentir, car il a ralenti la cadence pour ne pas que je vienne de suite. Il ne pouvait pas voir que Clémence était réveillée du fait de sa position, la tête tournée vers la porte de la tente. Du coup, je voyais ses balloches se balader et sa queue battre la mesure d’une symphonie en rut majeur. Je me dis que puisqu’il me faisait l’honneur de me pomper, je pouvais en profiter pour poser enfin une main sur son sexe.
Ce que je fais. Et je m’aperçois que Clémence a jeté un œil discret vers ce nouveau théâtre des opérations, et d’un geste sans équivoque, elle s’est planté quelques doigts dans la chatte. J’entends un léger feulement venant de ma droite, preuve que la belle en profite. J’aurai bien envie, avec ma main droite, de tenter l’aventure auprès d’elle, mais j’ai peur de rompre le charme et je m’abstiens.
On continue comme cela un certain temps et je sens que je ne vais pas tarder à venir. Dois-je prévenir David ? Je risque d’effrayer Clémence. Je risque le tout pour le tout et laisse faire. Soudain, pour moi c’est le nirvana total, et aujourd’hui encore je me demande comment j’ai pu contrôler le fait de ne pas crier, gémir. Je vois tour à tour la bouche de David s’entrouvrir, mon sperme couler, Clémence trembler de tout son corps en accélérant les mouvements de ses doigts. Je vois à cet instant qu’elle se pince le téton gauche, et David à son tour se contracte et laisse échapper un flot de sperme dont une partie se déverse sur son duvet. Puis c’est l’accalmie. Clémence se détend et toujours la main dans la culotte, se retourne vers la toile de tente. David n’a rien vu, mais me regarde et me fait un clin d’œil content de notre petite aventure.
Vincent s’arrête pour se resservir un peu de ce délicieux rosé du Var bien frais, et en profite pour regarder ce qui se passe. Nora et Wendy se tripotent la chatte chacune dans leur coin, doucement, ne perdant pas une miette de ce qui se passe dans la salle. Zoé, les quatre fers en l’air, se laisse lécher par la petite Perrine, très attentive à contenter tous ses sens, du clitoris à l’anus. De sa main droite elle se flatte le minou, et comme elle est à genoux devant Zoé, Vincent à un gros plan sur son anus qui semble en avoir vu d’autres. Marie-Sophie est occupée à goûter les couilles de Yan, lequel suce un des seins de Giulia, comme si sa vie en dépendait. Giulia se détache du groupe, s’approche de Vincent et commente à haute voix.
Puis elle bouge les jambes de Vincent sur le fauteuil comme si c’était un fauteuil d’auscultation gynécologique, et entreprend une feuille de rose qui fait hésiter Vincent sur sa capacité à continuer. Mais Nora intervient.
Vincent se décide à continuer.
Le lendemain matin, en me réveillant grâce à mon téléphone, je m’aperçois que Clémence a déjà quitté la tente. Du coup, je secoue David et lui raconte ce que j’ai vu.
- — J’espère qu’elle ne va pas clamer ce qu’elle a vu sur les toits, c’est un peu intime et je ne sais pas si j’ai envie de mettre cela sur la place publique.
- — Bah, t’inquiète, avec ce que j’ai vu…
- — Oui, mais elle ne le sait pas.
Et là, je me dis qu’effectivement, ce n’est pas clair. À ce moment-là, Clémence revient dans la tente avec son sac à dos et nous apostrophe.
- — Alors, les gars, bien dormis après votre spectacle d’hier soir ?
Franco !
- — Ben oui, je lui réponds, quoiqu’un peu excité par ta main dans ta culotte !
- — Je savais que tu me regardais, et ça m’a excitée grave. Quoique, ta bite dans la bouche de David… Hmmm ! Vous faites ça depuis longtemps ?
- — Non, dit David, c’était une première, mais il y en aura d’autres. T’es toujours avec nous ce soir ?
- — Ben, vu ce que j’ai vu dans la tente de Lucie en allant chercher mon sac, c’est clair. En même temps, je ne raterais la suite, ce soir, pour rien au monde !
- — OK, lui dis-je en la regardant dans les yeux. Mais, pas de slip, ce soir ! OK ?
- — Carrément. Je montre, vous regardez, vous montrez, je regarde… Mais pas touche ou je m’en vais !
- — Ça marche ! Vivement ce soir, conclut David.
Et la semaine s’est écoulée comme ça. On ne l’a jamais touchée, mais elle s’est branlée pour nous, la lampe de poche en mode projo, gratifiant son anus d’un doigt inquisiteur, à l’affût de nos branlettes respectives. David m’a sucé tous les soirs, mais moi je n’ai pas passé le cap. Aujourd’hui, je le regrette. Avec Clémence, il n’y a pas eu d’équivoque. Mon bonheur, c’est que le deuxième mois, nous avons été en binôme, elle et moi, dans la colo, et on a passé de bons moments, même sans David.
En tout cas, t’es sacrément réactif avec ton cul ! ajouta Giulia, toujours docte sur le sujet. Puis, elle enfonça son doigt dans le petit trou, et provoqua un gémissement de Vincent qui était loin d’être de douleur.
Toujours clash, elle lui demande :
Marie-Sophie se fige.
Et elle se glisse jusqu’à la chatte de Nora et la gratifie d’une petite léchouille, qu’elle va ensuite faire à Perrine, anus compris, juste pour le fun, juste pour une texture, une odeur, une sensation fugace.
Yan s’approche de son camarade de chambre quand Vincent sent en lui une angoisse face à ce qui va se passer.
Un silence se fait, les mains actives s’arrêtent. Tous attendent et réfléchissent, mais déjà comprennent.
Puis, se tournant vers les autres :
Zoé attrape Yan qui n’a pas débandé et décide de lui faire oublier le cul de Vincent en lui proposant le sien, ce qui ravit le garçon, qui s’applique à plein de douceur à son égard.
Giulia, en fine psychologue anale, reprend sa feuille de rose, bientôt suivie d’un doigt plus qu’inquisiteur à la recherche de la prostate cachée. Pour ne pas être en reste, Perrine se lance dans une savante fellation dont elle a le secret. Mais, trouvant que c’était injuste que Vincent ait tout et elle rien, elle fait glisser sa jambe par-dessus le corps du garçon et lui applique sa petite chatte sur la bouche ce qui est au goût de Vincent. Wendy n’a pas bougé de sa place. Elle est toujours aux premières loges : la suite royale. Elle s’offre un petit solo dont elle a le secret alimenté par la vision du doigt de Giulia, de la bite de Vincent qui entre et ressort, on ne sait comment, de cette petite bouche. Et en regardant à la ronde, elle s’aperçoit que Giulia a elle aussi entrepris un solo de mandoline des plus véloces.
Plus loin, elle aperçoit sa Nora et Marie-Sophie en ciseaux, s’appliquant à toucher leurs vulves trempées, doucement.
Aujourd’hui, les nombreux cris et orgasmes s’échapperont dans un fondu au noir, noir comme la nuit qui vous laissera imaginer le dénouement.