n° 21203 | Fiche technique | 55321 caractères | 55321Temps de lecture estimé : 30 mn | 05/10/22 |
Résumé: Grâce à mon ami Antoine, je suis convié à une soirée très spéciale. | ||||
Critères: fh grp inconnu jardin fsoumise sm attache piercing init -coupfoudr | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Un gentil texte situé dans le milieu BDSM. Bonne lecture : )
Grâce à mon ami Antoine, je suis convié à une soirée très spéciale. C’est dans sa voiture que j’arrive sur place, une ferme au carré, avec cour intérieure pavée, un grand classique dans la région. Tout de suite, nous sommes dans le bain, étant accueillis par une femme quasiment nue, vêtue à la BDSM, c’est-à-dire un serre-taille laissant ses seins à découvert, des bas et des talons aiguilles. Je constate vite qu’elle a aussi un collier autour du cou, et des mini-haltères qui lui transpercent ses tétons à l’horizontale.
Assez estomaqué, je me tourne vers Antoine :
Après avoir ôté nos manteaux que nous avons remis à celle qui vient de nous accueillir, une autre hôtesse (dés)habillée de la même façon nous guide. Je constate que les fesses qui ondulent sous mon nez sont ornées d’un rosebud plutôt conséquent doté d’un bout diamanté, un spectacle que je peux qualifier d’envoûtant. Je murmure pour moi-même :
À ma grande surprise, nous arrivons dans un grand jardin dans lequel la température est très clémente, malgré le fait que nous soyons début décembre. Je lève les yeux pour constater qu’une structure métallique trône au-dessus de ma tête, une grande serre.
Nous suivons notre guide le long de diverses courtes allées végétales. Chemin faisant, Antoine m’explique :
Mon voisin explique sobrement :
Déambuler dans ce jardin baroque me semble étrange, mais agréable. Je ne m’attendais pas à mettre les pieds dans ce genre de lieu. Pour ma part, j’imaginais plutôt une grande salle de château ou une cave voûtée, genre Donjon et Dragon. Comme quoi nous sommes imprégnés à notre insu par des poncifs.
Nous débouchons sur une sorte de clairière. En levant furtivement le nez, je constate que nous sommes presque au centre du jardin. Mais mon attention est vite captivée par les quatre croix de Saint-André réparties en cercle, et surtout par les quatre soumises qui y sont attachées, et qui ne cachent pas grand-chose de leur anatomie. Elles sont toutes habillées de la même façon, comme les deux autres soumises que j’ai déjà croisées, mis à part que le serre-taille est légèrement différent.
Planté au centre des quatre croix, un grand senior aux cheveux très blancs, chiquement habillé d’un smoking sombre, nous accueille :
Notre guide reste à l’entrée de la clairière, les mains sagement derrière son dos. Une posture d’attente, si mes souvenirs sont bons. S’inclinant légèrement, Antoine répond le premier :
J’enchaîne, tout en désignant les soumises du regard :
Rivée à une croix, une fleur attire beaucoup mon regard, une brune piquante avec des mignonnes formes pleines. J’ai toujours incliné vers les femmes un peu replètes, les meilleurs à mon goût. Notre hôte s’approche de nous, puis il me dévisage sereinement :
Légèrement amusé, je confirme :
Je réponds franchement :
Il pose sa main dans mon dos et me pousse vers une sorte d’arche végétale :
Je sens que les choses sérieuses vont commencer dans très peu de temps…
Ça fait maintenant un bon quart d’heure que les deux hommes s’amusent avec les soumises en croix. Je suis surpris de voir qu’Antoine n’est pas un débutant. Il sait manier les cravaches, les martinets et d’autres instruments dont j’ignore le nom exact. Je suis en train de constater leur efficacité, et surtout la manière dont on les utilise.
Visiblement, plaisir et douleur se marient. À condition que cette douleur soit appliquée avec doigté, ce qui n’est pas donné à tout le monde. Je noircis mon bloc-notes, bonne pioche en venant ici. J’ai bien commencé à lire quelques ouvrages et exploré le web, mais je sens, je sais, qu’en moins d’une soirée ici, j’en apprendrai beaucoup plus qu’en plusieurs mois de recherche.
Soudain, Garten s’approche de moi et me dit :
Mon hôte tapote sur mon épaule :
Nous nous taisons tous les deux. Je regarde les soumises attachées aux croix, la plupart sont en train de récupérer de leurs diverses avanies, mais je ne vois aucune crainte sur leurs visages. Oui, tout ceci est un jeu, un jeu spécial, mais un jeu quand même.
Cette proposition me tire de mes pensées. Je m’étonne :
D’une voix neutre, mais légèrement ironique, mon voisin demande :
Il remet entre mes mains un martinet composé de nombreuses lanières dont le contact semble fort soyeux quand j’y plonge les doigts. « Pourquoi pas » est la réflexion que je me fais, surtout que si je manipule la chose avec un minimum de délicatesse, ce sera proche de la caresse.
Je regarde mon interlocuteur :
Spontanément, je me tourne vers la brune qui m’avait tapé dans l’œil quand je suis arrivé ici. Beau bout de femme, ni trop grande, ni trop petite, avec un mignon visage, une belle poitrine, et plein d’autres choses encore. Autant que ce soit avec elle que je m’amuse.
La soumise attachée à la croix me sourit d’une étrange manière. Je n’arrive pas à déchiffrer ce message muet, je sens que j’ai bien du retard dans ce domaine. Pourtant, je pensais ne pas être trop mauvais, mais aujourd’hui est un jour spécial durant lequel je découvre que derrière la porte que j’ai entrouverte, il existe carrément un autre paysage et non une simple pièce.
Je commence à caresser les seins dénudés du bout des lanières, je constate que ses tétons annelés s’érigent un peu. Puis m’enhardissant un peu, je cingle les deux masses sans trop forcer la dose. Une bouffée de chaleur monte en moi, en voyant les monts de chair osciller sous les coups que je leur inflige.
Après quelques instants, je change de jeu. Avec le manche, je remonte un premier sein pour l’élever plus haut, puis je le laisse retomber. Celui-ci vibre d’une agréable façon quand il se plaque sur le corps entravé. Je passe à l’autre. Spectacle émoustillant que je répète plusieurs fois.
Délaissant le martinet, je pelote à présent les deux masses molles, je joue aussi avec les tétons et surtout les anneaux qui sont rivés dedans. Quel magnifique jouet que j’ai là en main !
Puis, je recommence à flageller cette brunette trop attirante, sans toutefois devenir cruel. Mais cette fois-ci, je ne me limite pas qu’à sa poitrine, j’inclus son pubis dénudé et aussi ses lèvres offertes. Je sens que je glisse sur une mauvaise pente. Alors je décide d’arrêter.
Je rends le martinet au Maître des lieux. Il s’en empare puis le tend à Antoine qui le garde en main.
Puis Garten s’adresse à notre guide féminin qui est resté immobile jusqu’à maintenant :
Le maître du lieu lui désigne une autre jeune femme attachée sur la croix de Saint-André, dont le corps est zébré de fines traces rouges :
Elle s’exécute aussitôt avec application. Il ne faut pas longtemps pour que certains gémissements sortent de la bouche de la suppliciée. Durant ce temps, avec une certaine désinvolture, Antoine donne du martinet sur les seins de la femme en croix, mais aussi sur les fesses de la lécheuse. Je vois bien qu’il s’agit nettement plus de caresses piquantes que de vraies tortures.
La femme sur la croix est en train de jouir sous la langue de sa consœur. Curieusement, Antoine cingle maintenant plus fortement la poitrine malmenée par les lanières. Je constate avec un certain étonnement que ça semble accentuer la jouissance de la suppliciée.
Garten se penche vers moi :
Agitée au plus haut point, la soumise se débat, toujours entravée sur sa croix, sa jouissance est très intense, tel un feu ardent qui la ravage. Elle pousse plein de petits cris rauques, ses membres sont assaillis de tremblements dantesques, j’assiste là à un plaisir très puissant. Un peu dépité, je me dis que je n’ai jamais réussi à faire jouir une femme de cette façon si intense.
Le corps de la soumise s’affaisse sur la croix, ses bras sont tendus au maximum. Elle respire de façon chaotique. Antoine s’absente momentanément, puis il revient avec une fine couverture et aussi un tapis de gymnastique qu’il étend devant la croix. Il s’approche de la soumise pour la détacher et la déposer sur le tapis bleu. Enfin, il pose la couverture sur le corps à moitié endormi.
Je m’approche de Garten pour lui demander à voix basse :
Mon hôte me confirme :
Durant ce temps, Antoine s’occupe un peu des trois autres soumises en croix. Puis il revient auprès de la quatrième qui a fini d’émerger de sa jouissance. Il regarde Dorothée dont la bouche est restée luisante de cyprine et lui dit :
La soumise au sol répond faiblement en écho :
Peu après, les deux soumises régalent les spectateurs en effectuant un splendide soixante-neuf. Enchevêtrées l’une dans l’autre, elles s’appliquent du mieux qu’elles peuvent, leurs langues, leurs lèvres, leurs mains offrant plein de plaisir. Et il est visible qu’elles ne simulent pas.
Je me penche vers notre hôte :
L’ancien sourit :
Des gémissements montent des deux corps féminins emboîtés.
Intrigué, je demande :
J’émets une objection :
La réponse tombe, ferme, assurée :
Puis, oubliant les soumises qui sont en train de se donner réciproquement du plaisir, il se lance dans la liste de quelques souvenirs marquants. Je prends des notes, des tas de notes, je sens que j’aurais beaucoup de bonnes matières pour mon scénario. Parfois, je jette un rapide coup d’œil vers la brunette. Décidément, cette femme me plaît.
Un peu plus tard, les soumises en ont fini entre elles, elles se reposent. Garten continue l’évocation de divers faits afin de me donner un bon panorama. Je constate qu’Antoine est en train de détacher les autres soumises. Je continue de noircir mon bloc-notes, y stockant une moisson d’informations de première main. Durant ce temps, Antoine est en train de se faire sucer par les deux soumises. Je n’imaginais pas mon ami dans pareil rôle…
Un peu plus tard, Garten m’annonce :
Je consulte fugacement Antoine du regard. Toujours entrepris par les deux soumises qui se partagent sa verge, il me fait signe que tout est OK, que je peux faire confiance. Mon hôte se tourne alors vers l’une des soumises restées debout :
C’est alors que je découvre que la fameuse brune piquante et replète, avec des mignonnes formes bien pleines, avec qui j’ai un peu joué, s’appelle Clothilde. Oui, qu’elle soit ma guide durant cette étrange soirée m’arrange bien !
Clothilde m’entraîne un peu plus loin, dans un endroit où nous nous isolons. Je profite de la balade pour admirer le côté pile qui vaut largement le côté face. Elle a un beau petit cul, quoiqu’ici, l’adjectif « petit » est plutôt affectif que physique. Une fois de plus, comme avec les autres soumises du jardin, ce postérieur est orné d’un rosebud conséquent. Je vais finir par croire que le BDSM est fortement teinté d’anal, mais je crois comprendre le pourquoi du comment de ces bijoux.
Arrivé au bon endroit, je constate que le lieu n’a pas usurpé son nom, nous sommes entourés de tulipes. Un banc de pierre muni de coussins nous attend, ainsi qu’une potence avec un crochet. Nous nous asseyons, chacun de nous à chaque bout. Je peux contempler à mon saoul la soumise qui m’a été dévolue.
C’est elle qui entame la conversation, mais pas sur le sujet attendu :
Ça se voit à ce point-là ? Il est vrai que les femmes sont plus perspicaces que les hommes, bien que je soupçonne Garten d’avoir deviné lui aussi :
Elle se met à rire, et j’aime son rire. Je suis mal parti pour rester pragmatique. Ça fait peut-être partie de la partie Com du Maître de ces lieux, qui sait. Néanmoins, je griffonne quelques lignes sur mon bloc-notes. Si je peux joindre l’utile à l’agréable, je suis partant !
Ah zut, c’était trop beau ! Voyant ma tête, très égayée, Clothilde sourit :
Il faut que je me ressaisisse :
Je me dis que, décidément, ce choix n’est pas aléatoire… Nous discutons durant quelques minutes. Elle m’explique son parcours, comment elle est devenue l’une des soumises de Maître Garten, le plaisir qu’elle y prend, les épreuves qu’elle réussit les unes après les autres, cette lente élévation dans l’obéissance de plus en plus inconditionnelle.
Puis, je passe à des choses plus personnelles :
À ma grande surprise, elle écarte largement les jambes pour me révéler sans entrave son sexe glabre ainsi que ses lèvres intimes toutes lisses qu’elle écarte sans complexe ni pudeur :
Profitant de la vue, je compte rapidement :
Depuis tout à l’heure, je note fébrilement tout ce qu’elle me raconte. Si j’avais su, je serais venu avec un dictaphone ! C’est alors que je réalise que mon smartphone possède cette fonction, mais que je ne m’en suis jamais servi ! Tant pis, je continue avec l’ancienne méthode du papier-crayon.
Je regarde attentivement les sept anneaux qu’elle offre à ma vue : les deux de ses tétons et les autres de son sexe. Clothilde s’amuse même avec eux, tirant dessus et étirant de ce fait ses lèvres. Un spectacle à la fois singulier et torride. Honnêtement, j’ai du mal à choisir entre le haut et le bas. Je suis tiré de ma rêverie par le son de sa voix :
Elle se moque gentiment :
Je me gratte la tête :
Elle s’étonne :
Surprise par le genre, elle questionne :
Amusée, elle répond d’un ton léger :
Elle m’adresse un sourire égayé :
Assez surpris par cette proposition, je cligne des yeux :
La réponse tombe, logique :
Je ne cherche pas à comprendre. On m’offre un billet de loto gagnant, je prends :
Je me penche sur cette poitrine si tentante. Puis j’embrasse délicatement un premier téton. Le contraste entre la chair tendre et l’anneau métallique est étrange, mais intéressant. Je comprends fort bien que certains puissent en être fous !
Je me régale avec ces tétons, avec ces seins. J’adore les lécher, les croquer, les palper. Je me sens redevenir un bébé, c’est régressif, mais tellement bon. J’ai sous les doigts et sous les lèvres une femme à mon entière disposition. Je sais que c’est une situation un peu limite, mais j’ai la nette impression que Clothilde est consentante, parce que c’est moi, et non pas parce que je suis un nouveau maître, chose que je ne suis pas.
Peut-être que c’est une façon de me dédouaner…
Glissant sur une pente savonneuse, je continue à régresser, à savourer cette poitrine aux tétons ornés, ces deux masses douces et molles. Non seulement c’est savoureux, mais ça sent si bon ! Oui, je régresse sévèrement ! il faut que je me ressaisisse !
Je m’écarte de ces lolos trop tentateurs, en soupirant :
Elle me sourit :
Je proteste :
Ma voisine ne répond rien, je crois même voir dans son regard quelque chose de différent, de plus personnel. Peut-être que je me fais des illusions. Mais je sais qu’il me faut tout savoir sur elle, aussi bien d’un point de vue professionnel que d’un point de vue personnel. À moi de savoir mener ma barque, bien que l’objet de mon désir soit perspicace.
Je continue de noter bien des choses, mais Clothilde s’amuse à se défiler dès que j’essaye une approche plus personnelle. Je sens confusément que je suis la souris et elle la chatte. Au pire, je reviendrais chez moi avec une documentation de première main, ce qui me sera fort utile ces prochains jours. Mais j’aurais aimé joindre l’utile à l’agréable.
Clothilde me propose :
Facile à dire, je suis un néophyte dans toute sa splendeur, et le BDSM n’a jamais été l’un de mes fantasmes, même si j’ai parfois rêvé d’avoir une femme à mon entière disposition. Un peu crispé, je réponds :
Amusé, je lâche :
Clothilde continue :
La réponse tombe, évidente :
Une fois qu’elle est devant moi, je positionne mes deux mains pour former un T majuscule :
Une soumise quasiment nue devant soi, on en profite quand même un peu, je suppose. Alors je m’empare de ses deux lourds lolos avec lesquels je joue quelques instants, avant de passer aux anneaux rivés dans ses tétons. Puis je descends plus bas, pour venir toucher un à un les autres anneaux qui décorent son sexe.
La riposte arrive aussitôt :
Elle se met à rire :
Elle se retourne. Comme elle est debout et moi assis, ses fesses me sont mieux présentées. De plus, elle porte des hauts talons, ça me facilite encore plus les choses. Je caresse ses fesses toutes douces, me disant que, chez Clothilde, l’envers vaut l’endroit.
Mais voilà, quelque chose d’inhabituel pour moi m’intrigue :
Une fois de plus, l’explication arrive :
Clothilde continue son éclaircissement :
Je viens de donner une petite fessée sur ce beau cul rebondi. La fesse vibre sous l’impact, le rosebud tremble un peu, accrochant la lumière. Beau spectacle !
Alors je me laisse aller à fesser ce beau popotin, à faire vibrer les deux masses sous les tapettes non méchantes que je lui inflige. C’est très voluptueux de faire rougir petit à petit deux fesses charnues. Je sens confusément qu’en pareille circonstance, certaines personnes glisseraient vite sur la pente et deviendraient des tortionnaires. De plus, je ne tiens pas à faire vraiment mal à cette femme qui m’attire férocement !
Ah quel beau cul tout rouge ! Je reconnais qu’il y a quelque chose de… de… ah zut, comment exprimer ce genre de chose ? Je vais me contenter du vocable « excitant » en attendant. N’y tenant plus, je couvre de baisers ces deux fesses toutes chaudes. Clothilde émet une remarque :
Elle se met à rire :
Je baise à nouveau ce splendide popotin :
Je continue mon alternance de baisers et de caresses sur son popotin toujours rougi. Se laissant toujours faire, Clothilde me demande :
La réponse arrive, directe :
J’essaye de remettre les pièces du puzzle dans le bon ordre. J’ai une soumise sous la main, je dois jouer au Maître avec elle. Celle-ci sait que je la désire, et elle vient de me dire que je lui plais aussi. Dans un contexte normal, je saurais quoi faire, invitation au restau, petits cadeaux et tout le tralala. Mais là, je nage dans le brouillard.
Je ne peux quand même pas lui demander de…
Eh si… pourquoi pas ? Ne suis-je pas le Maître ? À moi d’ordonner correctement :
Dieu que c’est bon d’avoir sous la main une femme qui obéit sans complexe à vos souhaits sexuels ! Je savais que les soumises existaient, mais j’ignorais à quel point c’était si… si… si bon ! J’en perds mes mots et mes synonymes !
Obéissante, Clothilde s’abaisse pour s’asseoir sur moi. J’en profite pour capturer la base de ma verge et la diriger au mieux vers sa porte de Jade qui est disponible, contrairement à celle d’Ébène. Mon gland vient cogner ses lèvres intimes.
Sans aucune hésitation, la soumise remue du bassin, faisant en sorte que mon gland s’introduise entre ses deux replis percés d’anneaux. Je constate que son entrée est humide, ce qui va simplifier bien des choses.
Ma tige entre peu à peu. Ça me fait un effet fou ! Clothilde se sert de moi comme d’une chaise. Mon vit disparaît lentement sans problème dans ses profondeurs humides. J’apprécie chaque seconde, c’est extrêmement bon !
Je serre les dents, il ne faudrait pas que j’éjacule trop vite ! Maintenant, Clothilde est assise sur ma verge qui est bien enfoncée en elle, bien au chaud. De temps à autre, je sens les anneaux titiller ma colonne. Tandis qu’elle me tourne le dos, reposant contre mon torse, je malaxe sensuellement ses seins, jouant parfois avec les anneaux rivés dans ses tétons. La tête en arrière sur mon épaule, ma soumise d’un soir pose sa joue contre la mienne :
Elle marque une légère pause, puis elle ajoute :
Je continue de la caresser lentement, suavement, profitant de ses formes, de ses courbes pleines. Je murmure à son oreille que je mordille délicatement :
Elle se met à rire doucement :
Je l’embrasse dans le cou, elle frissonne. Malaxant toujours ses belles masses, je continue mon murmure :
Elle marque un petit temps d’arrêt avant de me répondre :
Tandis qu’une main descend vers son pubis, m’étant attardé auparavant sur son ventre, plus haut, je pince un téton :
Elle se met à rire doucement :
Sans lâcher son sein, mes autres doigts taquinent ses anneaux plus bas et aussi son clitoris. Ses lèvres intimes sont très humides, une bonne prémisse ! Elle tourne un peu son visage vers le mien :
Continuant à remuer son bassin autour de mon pieu de chair enfoncé en elle, Clothilde s’exclame franchement :
Je me tais quelques instants, sans oublier de la masturber, puis je reprends :
Tant pis si je n’ai pas de préservatif, j’ai trop envie de la souiller de mon sperme, de la remplir, de la faire déborder, d’être ignoblement possessif, qu’elle soit complètement à moi ! J’ai déjà éprouvé des fortes pulsions pour une femme, mais ici, ça dépasse mon entendement !
De son côté, Clothilde semble s’abandonner, elle aussi, aidée par mes doigts qui virevoltent dans son intimité. J’adorerais l’entendre jouir, mais je sais qu’une femme demande plus de temps, et moi, je suis au bord du gouffre.
Mon esprit déraille peu à peu, tandis que je la pistonne de plus en plus vite. Encore heureux que Clothilde ne soit pas trop lourde, de plus, elle m’aide en accompagnant mes mouvements saccadés. Je soupèse son sein, je tire son anneau pour tracter la masse mammaire, plein de mini-folies possessives et dominatrices.
En sueur, Clothilde halène de plus en plus, ce qui fait monter encore plus le curseur de mon désir vers les cimes. Elle s’abandonne contre moi, cuisses largement ouvertes tandis que je perfore sans relâche son intimité.
Pour parler crûment, une baise assez hard ! Du moins pour moi…
Soudain, un geyser jaillit, intense, dantesque ! J’implose littéralement, me vidant complètement, tandis que divers petits cris résonnent en même temps que je râle de plaisir. Je décolle en vrille jusqu’au firmament pour sombrer ensuite dans un long tunnel de nuages blancs.
Puis la petite mort, cet état suspendu, flottant, apaisant…
Se reposer sur un banc après avoir joui n’est pas le meilleur endroit. Mais je ne vais pas renier ce que je viens de vivre. Clothilde et moi sommes assis l’un à côté de l’autre, l’un contre l’autre, en train de nous faire un câlin.
Flottant sur mon petit nuage, je me laisse aller :
À ces mots, je proteste :
Je soupire bruyamment :
Clothilde me regarde droit dans les yeux, elle me scrute, puis elle finit par dire avec un sourire amusé et éclatant :
Spontanément, je l’embrasse. Ce qui doit être à son goût, car elle ne me repousse pas.
Toujours assise sur moi, mais autrement, son visage près du mien, ses seins écrasés contre mon torse, ses jambes gainées autour de mes lombes, tandis que je la fais tressaillir sur mes genoux, afin de mieux m’enfouir dans son intimité, elle me confie :
Elle me gronde faussement :
Sans cesser de la faire tressaillir, du bout des doigts, je touche son rosebud :
Je m’empare de ses fesses pour mieux augmenter mon mouvement de va-et-vient :
Je soupire :
Elle m’adresse un large sourire :
Elle frotte délibérément ses seins, ses tétons et ses anneaux contre ma poitrine :
Ses lèvres s’approchent des miennes. Elle murmure :
Puis elle m’embrasse sensuellement, et je peux vous certifier que c’est bien le baiser d’une femme et pas celui d’une soumise…