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n° 21232Fiche technique32050 caractères32050
Temps de lecture estimé : 19 mn
20/10/22
Résumé:  Une conversation entre deux amies très proches. L’une raconte à l’autre son escapade en compagnie d’une coquine chez une troisième à l’occasion de la Saint-Jean.
Critères:  fff jeunes inconnu gymnastiqu douche voir exhib noculotte odeurs caresses uro -lesbos -voyeur
Auteur : Dyonisia  (Rêves et autofictions… souvenirs et confidences…)      Envoi mini-message

Série : Amantes de Saint Jean

Chapitre 01 / 03
Amantes de Saint Jean – 1/3

Deux amies de longue date, dans la plénitude et la liberté de leur quarantaine assumée, entretiennent leur relation affective par de longs échanges réguliers et souvent égayés de plaisirs partagés. Les progrès des moyens de communication ont facilité et enrichi au fil du temps leurs conversations sans toutefois leur faire oublier le charme et le romantisme des messages écrits, attendus et lus. En toute sincérité, ces deux épistolières se confient leurs souvenirs, leurs espoirs et leurs rêves en s’abandonnant chacune à la loyauté de l’autre. Il arrive régulièrement que leurs conversations se prolongent tard dans la nuit et, parfois, que leurs fantasmes réciproques les entraînent hors de la raison.


Ce soir-là, Aline appelait Chantal.


(NB : j’ai essayé, en ôtant certaines scories, de retranscrire au mieux une conversation téléphonique. Désolée que le style et le vocabulaire en pâtissent trop souvent.)


________




(Elles rient)



Oui, j’ai passé une après-midi très agréable et une soirée qui s’est bien prolongée ! Laurence m’avait répondu qu’elle serait heureuse que je vienne avec Charlotte. Donc nous sommes parties pour Nice en fin de matinée, mais par le train. Je me méfiais des embouteillages du week-end. Par précaution aussi, au cas où l’après-midi aurait été trop arrosée ! Et puis un train… parfois, ça se rate…


Nous avions décidé de voyager léger : sandalettes et robes d’été, il faisait chaud malgré un peu de vent, un chandail pour le soir, et seins libres, tant pis pour la silhouette. Eh oui, même Charlotte ! Si, si ! Elle a glissé son soutien-gorge dans son sac. Du coup on a envisagé que les culottes l’y rejoignent.


Elle s’est bien dévergondée, n’est-ce pas ? Ma mauvaise influence sans doute… Mais finalement, on a été sages, dans le train. Nous n’étions pas vêtues très court – la minijupe, ce n’est plus de notre âge, hélas ! – robe ample pour Charlotte, robe boutonnée devant pour moi.



Bref, arrivées à Nice, petite promenade pieds nus sur la plage. Le sable est chaud, mais les galets c’est pire, et c’est ce qu’il y a le plus. Ils ont apporté du sable autour des accès. Ce n’est pas mieux !


On a déjeuné d’un repas frugal – pas pour le prix je dois dire – et d’un rosé bien frais. Il faisait si chaud… Tellement que, après un tour aux toilettes pour la décence, le sac à main de Charlotte s’est retrouvé chargé de quelques grammes de plus de lingeries.


Nouvelle balade en lisière des vagues pour digérer, les plats et l’addition, en profitant du soleil, les fesses libres sous le tissu. C’est fou ce que ça peut rafraîchir un courant d’air entre les cuisses. Mais alors, attention au vent ! Et au bord de la mer, il y en a toujours un peu, surtout quand on se met à courir… Parce que, à musarder tant et si bien, on a réussi à se mettre en retard pour le rendez-vous. La touche, à trottiner en tenant le bas de sa robe !


Heureusement, on a vite trouvé un taxi. N’empêche qu’on est arrivées bien au-delà de l’heure fixée. Laurence était un peu chagrin de ne pas nous avoir accueillies plus tôt. Elle aurait sûrement aimé avoir plus de temps pour papoter avec nous, comme j’espérais qu’elle puisse faire connaissance avec Charlotte entre deux séances. Là, la précédente était terminée depuis longtemps et ses dernières participantes – des oisives qui se piquent de danse – quittaient le vestiaire.

Mais au fond, c’était peut-être mieux. Charlotte s’est amusée de l’odeur ambiante qui lui rappelait celle des vestiaires de femmes du club de gym qu’elle fréquente de temps à autre. Nous avons plaisanté sur cette similitude de remugles caractéristiques et la glace a été vite rompue.



Charlotte et moi nous sommes faites discrètes dans un coin de la salle pendant que ces demoiselles se mettaient en tenue. Elles se sont déshabillées en nous tournant le dos, mais difficile de ne pas voir leurs fesses, bien rondes, bien musclées, adorablement fermes, sans parler de petits abricots furtivement entrevus lorsqu’elles se penchaient.



Charlotte ne pouvait pas manquer de s’en apercevoir, bien sûr, quand les filles faisaient leurs étirements et les exercices à la barre, avec positions habituelles, grands écarts, etc. Là, on voit bien s’il y a culotte ou pas. Ça l’a amusée plus que choquée, preuve qu’elle évolue bien. Mais elle était quand même un peu troublée. Ses yeux brillants le trahissaient.


Elle se tenait courbée en avant pour essayer de cacher les tétons de sa jolie poitrine libre sous le tissu de la robe. Mais quand on s’est levées à la pause, là c’était plus difficile à dissimuler… pour moi aussi d’ailleurs. Laurence, elle, ne s’est pas offusquée pour si peu en nous rejoignant !


Tu me diras qu’entre filles, ce n’est pas gênant si les tétons veulent percer le tissu. Sauf que nous étions la cible des regards curieux de la jeunesse et que ces demoiselles étaient loin d’être des oies blanches. Leurs messes basses et leurs mimiques ironiques disaient assez qu’elles n’étaient pas dupes des émotions qu’elles avaient suscitées. Certaines, qui me connaissaient depuis la générale où j’avais aidé leur maîtresse de ballet, devaient aussi informer leurs camarades de ma proximité avec elle.


La présence d’une autre « vieille » les intriguait sans doute plus, car elles observaient Charlotte avec une attention évidente, au point que ma chérie n’osait plus bouger et gardait ses genoux étroitement serrés. Pour Laurence, un tel embarras devant une curiosité bien compréhensible paraissait étonnant.



Elle a annoncé au groupe qu’elle abrégeait la séance en raison de la Fête de la musique et d’une dernière mise au point nécessaire avant la représentation du gala de fin d’année. Libre à chacune de partir ou de participer à la répétition du ballet. La majorité a sauté sur l’aubaine, bien sûr, sauf les deux que j’avais vues l’autre fois.


Comme à leur arrivée, nous avons eu droit au même rapide strip-tease de celles qui se changeaient, un peu moins pudiques, peut-être, la surprise passée, et aux mêmes charmants aperçus de leurs anatomies. J’ai observé Charlotte. Elle a baissé les yeux, mais n’a pu s’empêcher de les relever… La tentation du voyeurisme l’avait saisie, je crois, même si elle faisait mine de s’en défendre.


D’ailleurs, je suppose que Laurence a fait la même déduction que moi. Elle a dit aux deux perfectionnistes d’aller prendre une douche avant la répet « pour ne pas surajouter de la sueur à l’ancienne » en leur recommandant de « bien nettoyer partout ».



C’est une douche très spartiate. Tu dois avoir connu : juste une stalle, sans bac ni rideau, écoulement au sol. Une douche à l’italienne, très en vogue dans les vestiaires jeunesse et sports, qui n’a pas de cloison non plus pour la séparer du reste du vestiaire. Tout est à l’économie, quoi !


On continuait à parler, mais Charlotte était un peu distraite, bouche bée même, en voyant les mains fourrager entre les cuisses. Manifestement, le spectacle ne lui déplaisait pas. Pourtant, ces demoiselles ne se dévergondaient pas, chacune s’occupait de sa propre chatte. À moins que notre présence soit la cause de cette sagesse. Va savoir !


Quoi qu’il en soit, vers 17 heures 30, trois autres filles que je connaissais aussi depuis la générale d’avril sont arrivées. L’une d’elles était même celle que j’avais aidée à raser sa minette : Marie, dont j’avais gardé le souvenir sur le mouchoir en papier imprégné de ses humeurs. Tu dois te le rappeler ? Elles ont été un peu interloquées de nous voir, et ma « protégée » m’a fait un petit bonjour timide.



Laurence a profité que la cabine était libre pour prendre une douche à son tour pendant que les filles se préparaient. Elle n’a pas fait de manière, évidemment, et s’est prestement dépouillée de son académique avant de traverser la pièce avec grâce, nous laissant admirer son beau corps de jeune femme. Ses danseuses sont habituées. Moi, j’étais ravie. Et Charlotte… trop surprise pour détourner son regard ! D’autant que, tu le sais, Laurence est superbement faite.


En passant, elle a confirmé aux gamines la tenue du jour : coque et collants chair. J’ai vu Marie faire la grimace : cette fois, elle avait oublié sa coque ! J’ai dû expliquer à Charlotte à quoi servaient ces accessoires qu’elle voyait les filles placer sur leur motte, que c’était pour avoir toute la même forme stylisée et pour éviter que les lèvres se voient sous les collants.



Tu te souviens que Laurence avait appris d’emblée que Charlotte faisait de la gym, et elle savait déjà que j’ai fait un peu de danse dans ma jeunesse. Alors, en enfilant son collant, elle nous a proposé de suivre le mouvement avec la troupe puisqu’elles étaient si peu nombreuses. Je me suis empressée de lui dire que ç’aurait été avec plaisir, mais que nous étions vêtues… très léger !


Après ce qu’elle avait vu du haut, elle nous pensait en culotte. Quand elle a compris ce que je voulais dire, ça l’a fait éclater de rire. Charlotte trouvait la chose moins amusante : toujours ce petit reste de bourgeoise BCBG ! Moi, j’avoue que j’hésitais. Mais Laurence est une fille pleine de ressources.


Elle nous a dit qu’elle avait toujours un collant en réserve, au cas où l’une de ses têtes en l’air oublierait le sien et qu’elle pouvait le prêter à Charlotte. Pour moi, elle a un peu bafouillé pour me dire qu’elle en avait un à elle, ici, et que, si ça ne me gênait pas, elle me le prêtait aussi.


Difficile, donc, de refuser l’invitation sans passer pour des godiches, trop coincées ou trop hautaines pour se mêler aux filles.



Donc nous allions nous retrouver, non pas en académique, ma chérie, mais en collants à partir de la taille, et en haut, rien ! Comme Laurence et les autres : toutes topless !


Ben oui, tu sais bien : certaines de ses chorégraphies ont été conçues dans l’esprit d’une nudité complète, mais elle a trouvé ce moyen terme pour les faire exécuter sans problème : collants chair et buste nu. C’était plus ça qui me gênait que l’imprégnation du gousset, d’ailleurs. À cause de mes jolis lolos qui allaient ballotter, tiens !



Ça s’étire bien, certes, et ça moule d’autant mieux les mottes, dont, j’ai honte de le dire, les épilations n’étaient pas à jour. Un retour au hammam était programmé, mais nous n’avions pas encore pu y aller toutes les deux. Donc, pas une forêt vierge, mais bien loin du désert ! Et rien pour atténuer les ombres révélatrices. Je t’assure que sans coque – ça, elle n’en avait pas en stock – la moule et la broussaille se disputaient l’honneur de s’exposer !


Bonne occasion pour Laurence, tu me diras, de faire remarquer combien une bonne épilation et une coque étaient de rigueur pour une représentation convenable. Un poil (!) embarrassant pour nous, comme pour celle qui se trouvait dans la même situation, broussaille en moins.


Je dois te dire que nous nous sommes senties au centre de l’attention : ces filles ont l’habitude de se voir nues, et Laurence, vu la faible différence d’âge, c’est un peu comme leur grande sœur. Mais nous… C’étaient des femmes qui pouvaient avoir l’âge de leur mère qu’elles détaillaient, et la jeune Marie n’était pas la dernière à nous scruter !



Quoi qu’il en soit, Laurence, en nous faisant participer aux échauffements et aux exercices habituels, s’est crue obligée de corriger nos positions comme pour les autres. Pas de différence, sauf qu’elle a dû nous aider plus que les autres pour tirer sur nos muscles, bien remonter les jambes, et nous étirer à la barre. Nous étions un peu rouillées !


Évidemment, il y a des corrections qui réclament que la main se pose à des endroits où, quand il y a une coque, ça ne pose pas de problème. Mais sans… Par exemple, quand elle vérifie si les adducteurs forcent trop ou pas assez, la main frôle peu ou prou la vulve.


Avec une grosse motte comme Charlotte et moi, ça arrive forcément. L’ennui de l’absence de coque, c’est que si tu te retrouves excitée, difficile d’éviter que ça se voie sous le collant. Tes formes apparaissent un peu plus, surtout pour Charlotte avec son gros bouton. Ne ris pas : il faisait une petite bosse mignonne, un peu cachée par les boucles du buisson, mais de plus en plus visible.


Et quand Laurence te prend le buste pour te redresser, les seins aussi sont plus ou moins caressés. Alors, quand ils sont nus, des tétons qui pointent… ça se remarque plus ! Charlotte s’est d’abord rendu compte de l’effet en me voyant. Mais à la barre, devant le miroir, elle a eu la révélation de ce que, elle, elle montrait !


Quoique là, à bien regarder, tous les tétons étaient pointés. Ce qui est normal, et même nécessaire, car comme dit Laurence : « si les pointes ne sont pas durcies, c’est moche. »



Ici, en tout cas, pas de bourge – sauf un petit reste chez Charlotte –, mais cinq paires d’yeux qui fixaient les entailles des deux invitées pendant leurs exercices à la barre. Une sixième paire, aussi, car Laurence était bien obligée de nous observer, hein, pour corriger nos défauts. Je ne dirais pas que les cinq filles avaient toutes des penchants goudou, mais je sais qu’il y avait huit femmes troublées, quel que soit leur âge ou leur rôle dans la scène !



Mais, à la vérité, toutes ces jeunettes étaient curieuses de voir le corps de deux femmes mûres, et Laurence était contente de voir un autre corps plus âgé que le sien – elle nous l’a confessé le soir, quand nous étions entre nous – tandis que Charlotte était surtout préoccupée de savoir sa grosse foune observée par des femmes plus jeunes. Moi, c’était mes seins ballottants qui me gênaient, mais bon, je m’y suis faite en me disant qu’on n’a plus leur âge ! Et puis la danse, c’est aussi accepter son corps et le montrer.


Une fois les exercices terminés, Charlotte et moi avons un peu suivi la chorégraphie, juste pour voir qu’elle est assez compliquée. Ensuite, nous avons laissé Laurence à sa répétition, sinon nous l’aurions trop perturbée. Sauf que cette coquine nous a conseillé de continuer le travail à la barre, face à face pour nous corriger mutuellement. Ce qui ne changeait pas grand-chose vis-à-vis des autres, parce qu’avec le miroir… Je suppose qu’elle a voulu nous taquiner parce qu’elle savait que nous étions amantes.


Cette exhibition a tout de même duré une heure, au total. Assez pour humecter convenablement le collant de réserve et raviver l’imprégnation de l’autre, et les rendre, disons, légèrement odorants tous les deux. Mais nous n’étions probablement pas les seules : Laurence a mouillé sa coque, elle nous l’a montrée, après. Et ma « protégée » avait une marque non équivoque au niveau des lèvres. De là à penser que les autres filles étaient dans le même état, ça me paraît logique.



Après une pause, elle reprit :



Ce soir-là, en réalité, il y avait huit filles en sueur, voire certaines – toutes ? – qui avait carrément mouillé. Donc, quand nous nous sommes toutes dépouillées des collants à la fin du cours, l’odeur du vestiaire de Laurence est devenue carrément plus dense. Si ce n’était pas le parfum de la dame en rut, c’était en tout cas celui de femmes bien émues ! J’aurais aimé aller respirer les particularités de chacune, mais ç’aurait été déplacé…


Tu penses bien que nous avons laissé la priorité de la douche aux plus jeunes, pour qu’elles s’en aillent vite et nous laissent tranquilles. Nous trois avons attendu nues malgré la transpiration. Laurence nous a donné des serviettes et nous nous sommes seulement essuyées en regardant ces demoiselles passer sous la douche deux par deux, et Marie toute seule, la pauvre.



Néanmoins, pour nous regarder ainsi, elles devaient, sinon être attirées, au moins contenter un désir inavoué, voire attiser un fantasme, qui pour certaines se concrétisera peut-être. Nous avons discuté plus tard avec Laurence de cet intérêt plutôt féminin pour la danse. Elle pense qu’il y a toujours en plus une attirance lesbienne sous-jacente, et refoulée la plupart du temps.


C’est vrai que c’est très sensuel, surtout la danse classique. La moderne aussi, d’ailleurs, les mouvements sont même plus expressifs. En général, ils sont sublimés par une figure hétéro, mais comme quatre-vingt-dix pour cent des danseurs mâles sont supposés homos… Pour les filles, Laurence, qui est en plein dedans, supposait que la moitié des professionnelles est sans doute lesbienne, et la majorité des autres bisexuelles.


Tu te souviens que mes puces avaient réuni plusieurs de leurs copines de Fac. Deux étaient gouinettes avérées, une ou deux bi, et parmi les autres, quelques flirts avec une fille « pour voir », peut-être concluants, mais a priori sans suite. Des tendances lesbiennes non assumées, comme le dit Laurence.


Elle-même, c’était ça : plus lesbienne dans le fantasme que dans les faits. Jusqu’à la nuit passée chez elle, elle n’avait eu que des relations plus ou moins équivoques avec des collègues de son âge.



Je l’ai arrosée de gel douche d’autorité, y compris entre les cuisses malgré ses protestations. Elle était trop troublée et un peu dépassée pour refuser autrement qu’en minaudant de se laisser ensuite savonner les seins et le ventre malgré la présence de Laurence qui venait de nous rejoindre. Mais à ce moment-là…



Du coup, Charlotte qui se retenait n’a plus pu tenir et s’est mise à pisser jambes serrées. On l’a traitée, gentiment, de cochonne, et on lui a dit que sa pudeur était trop stupide entre nous. Elle a fini par l’admettre, et s’ouvrir la chatte comme nous : en écartant les cuisses et en tirant sur les lèvres.


À trois dans la cabine, ça n’a pas loupé : on s’est éclaboussées mutuellement de pipi. Mais avec l’eau qui coulait, ce n’était pas bien grave.



Tu sais que celui de Laurence est naturellement très visible, pas disproportionné de taille, mais le nez en dehors de sa cachette au moindre tiraillement. Charlotte a un très gros clito, mais un capuchon en rapport. Le bourgeon n’éclot que s’il est excité – ce qui en l’occurrence était le cas – et quand Charlotte s’est finalement écarté la vulve pour son pipi, il était immanquable. Les deux ont pu comparer leur morphologie. Ça rapproche ! Et ça fait venir des idées.


Laurence m’a demandé du regard si elle pouvait savonner Charlotte, elle aussi. J’ai pensé que le dos c’était mieux pour commencer, c’est plus anodin. Je me suis occupée de la partie face et Laurence de la partie pile. Encore un peu coincée, quand même, ma Charlotte. Les mains de Laurence sur ses fesses, ça allait, un doigt dans le sillon, non. Elle l’a repoussé avant qu’il touche l’anus.


Pourtant je lui caressais les seins, le ventre, et enfin le minou, les mains coquines toutes douces de gel douche. Ses tétons étaient tout durs et son ventre se creusait. Quand j’ai touché ses lèvres, gonflées, hypersensibles, je n’ai pas pu résister au plaisir de lui masser la chatte. Les doigts me démangeaient d’aller plus loin. J’aurais voulu en replier un pour le glisser doucement dans sa fente.


Mais c’était trop tôt, elle s’est crispée. Je me suis contentée de presser ses nymphes et son clito. Elle a eu un début d’orgasme, sans pouvoir s’abandonner vraiment devant Laurence.



Mais tu peux faire ce que tu veux, il n’y a pas beaucoup de place, à trois dans ce genre de douche. Alors, quand je me suis penchée en avant pour que Charlotte me savonne entre les fesses, nos têtes se sont rapprochées avec Laurence. Juste assez pour que nos bouches se frôlent et s’accordent un baiser. Un premier baiser lèvres à lèvres, pas trop long car je ne savais pas ce qu’en dirait ma Charlotte.




À suivre