n° 21249 | Fiche technique | 19449 caractères | 19449Temps de lecture estimé : 14 mn | 28/10/22 |
Résumé: Yves est invité chez les deux jeunes femmes. Ophélie va regretter (ou pas?) son mensonge. | ||||
Critères: fh ffh hplusag vacances fsoumise fdomine fellation cunnilingu préservati pénétratio fsodo hgode hsodo -totalsexe -dominatio | ||||
Auteur : Rincop (De lecteur, j’ai eu envie de devenir auteur) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Sidonie et Ophélie Chapitre 04 / 06 | Épisode suivant |
Résumé des épisodes précédents :
À l'occasion d'une sortie à vélo, Yves, jeune retraité, rencontre deux jeunes femmes. Des liens se nouent, en particulier avec Ophélie qui ment à Sidonie.
Après le départ d’Ophélie, je me sens un peu triste, mais cette fois-ci je reprends vite le dessus. Sorties vélo avec les copains, visites d’expos, concerts, lectures… Mes journées sont bien occupées. Et puis j’échange régulièrement avec elle par téléphone ou mail.
Jusqu’à ce mail de Sidonie fin novembre :
- — Yves, que fais-tu pour les fêtes de fin d’année ? Si tu le veux, nous t’invitons pour la Saint-Sylvestre.
Je suis déjà invité pour Noël par un de mes fils en Allemagne, je me dis que je pourrai bien faire une étape à Sens sur le chemin du retour. Je réponds immédiatement :
- — Merci beaucoup pour l’invitation, c’est avec plaisir que je passerai le Premier de l’an avec vous.
- — Tu pourrais arriver 2-3 jours avant et ne repartir que le 3 ou 4 janvier, ainsi nous aurons davantage de temps pour nous voir.
- — Encore merci, et donc, à bientôt.
Nous fixons ensuite plus précisément les dates. J’arriverai le 29 pour ne repartir que le 4. Sans trop y penser, je commence malgré tout à compter les jours.
Après un agréable séjour en Allemagne, arrive enfin la date. J’ai pris soin d’apporter trois bouteilles de champagne, du chinon et du foie gras. Avant d’arriver chez elles, je leur achète également un beau bouquet pour chacune.
Je sonne avec les bras chargés, l’accueil est des plus sympathiques. C’est Ophélie qui ouvre.
Et elles me font une bise, chacune sur une joue.
Après le dîner, nous nous installons au salon. Sidonie s’assied à côté de moi et me passe un bras autour du cou. Nous échangeons alors un baiser. La soirée se poursuit et nous parlons de tout et de rien… Puis vient l’heure de se coucher.
Elle me prend alors par la main et m’entraîne vers leur chambre. Ophélie nous suit. Sidonie m’allonge sur le lit et nous nous câlinons. Puis elle s’arrête.
Elle commence à me déshabiller, j’en fais de même, et nous nous retrouvons rapidement nus allongés sur le lit. J’avais un peu oublié la beauté de la poitrine de Sidonie !
D’un ton un peu autoritaire :
Je me lance sans me faire prier davantage et au bout de dix minutes je la sens jouir. Elle s’accorde alors un peu de répit, puis, toujours avec un ton autoritaire :
Ophélie vient alors m’habiller avec un préservatif. Sidonie me fait m’allonger sur elle et nous entamons un missionnaire. Sidonie part rapidement dans un premier puis un second et enfin un troisième orgasme que je partage en remplissant la capote.
Le temps de reprendre ses esprits, puis :
Ensuite, elle lui attache les mains dans le dos.
Ophélie partie, je ne me sens vraiment pas à l’aise.
Dix minutes après, nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
Le lendemain matin, c’est Ophélie qui nous réveille.
Dix minutes après, nous sommes à table, puis Sidonie va prendre sa douche.
Sur ce, Sidonie ressort de la salle de bain, ce qui met fin à notre conversation.
Comme elles travaillent, je profite de la journée pour visiter Sens, sa cathédrale et le parc du moulin à Tan. Je veille à rentrer suffisamment tôt pour préparer le dîner. Après celui-ci, nous passons la soirée à discuter, évoquer nos souvenirs de vacances. Vers 23 h, j’annonce que je vais me coucher.
Le 31 au matin, lorsque je les entends, je me lève à mon tour pour partager le petit-déjeuner.
En effet, vers 16 h elles sont de retour et le frigo est bien plein. Nous grignotons un morceau dans l’attente du réveillon. Celui-ci se passe agréablement et nous dégustons huîtres, foie gras, pintade chaponnée, le tout bien arrosé, et pour clôturer un Paris-Brest confectionné par Sidonie.
À minuit :
Et elles me font chacune un bisou sur la bouche.
Ce n’est plus trop de mon âge, mais bon, j’ai accepté l’invitation donc je vais aller jusqu’au bout ! Elles ressortent de la salle de bain maquillées, pomponnées et habillées de robes moulantes, sans oublier les talons (très) hauts. Elles sont loin mes deux cyclistes de l’été dernier ! À l’entrée du dancing, un gros malabar fait le service d’ordre, il vient de refuser deux personnes.
La soirée est déjà entamée, après que nous nous sommes installés à une table, j’observe un peu. Le public est très mélangé et va de vingt à environ soixante ans. Sur la piste, il y a de tout : des couples hétéros, des couples féminins et même des couples masculins…
Je n’ai jamais trop aimé, et puis ce n’est plus trop de mon âge, mais parti pour parti…
Cela commence par quelques rocks puis du disco et s’enchaîne avec des slows. Sidonie me prend par la main et nous dansons. À la fin du troisième :
Quant à elle, je la vois s’approcher d’une jeune femme blonde, et elle se met à danser avec elle, leurs deux corps collés. C’était le dernier slow, avec Ophélie nous décidons d’aller nous asseoir. La bouteille de champagne nous attend dans un seau. Mais Sidonie a disparu.
En effet, dix minutes plus tard, un homme s’assied à notre table.
Pendant cinq minutes, échanges de banalités, puis :
Dix minutes plus tard, le serveur nous apporte un petit mot.
« Commencez le champagne sans moi, je vous rejoins un peu plus tard, Sidonie. »
Le serveur ouvre la bouteille et nous sert deux coupes. Nous voilà seuls pour quelque temps et je passe ma main sous sa robe.
Alors que je passe ma main entre le tissu et la peau, elle me la retire et la pose sur sa robe.
Nous trinquons et continuons à discuter. Une bonne demi-heure plus tard, Sidonie nous rejoint.
La nuit se poursuit, et lorsque nous rentrons il est cinq heures. Chacun se couche rapidement.
Je me lève vers midi, et prépare café, thé, tartines ainsi que des fruits. Une heure après, je vois apparaître Ophélie.
Nous nous embrassons, et nos langues se mêlent. Je commence alors à lui caresser les seins à travers son T-shirt.
Une heure plus tard, Sidonie émerge à son tour.
Sidonie m’embrasse à son tour…
Arrive le soir, petit dîner léger après lequel nous décidons d’aller nous coucher. Sidonie s’empare de liens.
Sidonie m’entraîne dans leur chambre, je me permets de dire.
Sidonie rentre tout de suite en action, et me caresse sur tout le corps. J’ai rapidement une belle érection. Elle m’équipe d’un préservatif et me chevauche (décidément, elle aime bien cette position). J’entame des va-et-vient.
Elle alterne les vitesses, prenant bien soin de ralentir lorsqu’elle sent que je vais venir.
Je lui caresse alors les seins.
Elle part dans plusieurs orgasmes successifs, mais en évitant que je vienne. À un moment d’inattention de sa part, je jouis à mon tour en poussant un grand cri. J’ai tellement attendu ! Elle s’affale sur moi et nous nous caressons. Un moment, j’approche mes doigts de sa rosette et lui glisse à l’oreille.
Elle me regarde droit dans les yeux et semble réfléchir.
T’es un drôle de vicelard, mais finalement pourquoi pas ? En effet d’autant que je ne veux pas mourir idiote et qu’Ophélie m’en a dit le plus grand bien. Mais…
J’avoue que je n’avais pas du tout envisagé les choses comme cela, alors je tente de « biaiser ».
Et elle m’embrasse. Nous nous endormons rapidement dans les bras l’un de l’autre.
Le lendemain, visite de Villeneuve-sur-Yonne. À un moment où nous nous trouvons seuls, Sidonie me demande.
Elle rigole.
J’y avais pensé une partie de la nuit, et les fesses rebondies de Sidonie me faisaient tellement envie. Et puis je risquais quoi à essayer ?
Le soir, elle nous entraîne tous les trois dans la chambre, Sidonie déclare :
Elle sort alors un gode double du placard et en enlève la partie « interne ». À sa vue, je commence à regretter d’avoir dit « oui », il fait 24 cm (je l’ai appris plus tard) avec un diamètre en conséquence… Elle équipe alors Ophélie.
Je m’installe à quatre pattes sur le lit et Ophélie se positionne. Elle commence par m’enduire l’anus de lubrifiant puis insère un puis deux puis trois doigts. Étranges sensations, mais ce n’est pas désagréable pour autant. Par contre lorsqu’elle commence à insérer le gode, la douleur se fait sentir et augmente lorsqu’elle avance davantage. Je ne peux me retenir de pousser un cri de douleur. Elle s’arrête alors. Après quelques minutes, elle poursuit son intromission. Le plus dur doit être fait, car la douleur s’estompe peu à peu. Un moment, je sens son ventre contre mes fesses. Elle est arrivée au bout ! Elle commence de lents va-et-vient et je commence à ressentir une sensation entre douleur et plaisir. J’ahane, alors Ophélie accélère peu à peu.
À mon grand étonnement, Ophélie se retire.
Elle se met alors debout et me re-pénètre d’un seul coup. La douleur est vive ! S’aidant de tout son corps, elle accélère le rythme pour atteindre une belle vitesse. Je sens des ondes de plaisir parcourir la « zone » puis l’ensemble de mon corps. Je pousse un nouveau cri, mais de jouissance cette fois-ci. Je laisse même échapper du liquide séminal. Ma verge se retrouve complètement flasque. Ophélie continue puis au bout de dix minutes.
Je profite de cette « pause » pour reprendre mes esprits. Quand Ophélie revient.
Elle me prend alors en bouche, mais elle n’est pas très douée et puis je ne me sens pas en état. Au bout d’un quart d’heure, il ne se passe rien.
Ophélie redouble d’efforts, mais… toujours rien.
Entièrement nue, Ophélie se met debout, les jambes écartées et les bras à l’horizontale. Sidonie sort du placard un « bâillon-boule » et un martinet. Après avoir équipé Ophélie du bâillon, elle commence à donner des coups de martinet sur ses fesses. Bien que je me souvienne de ce que m’avait dit Ophélie : « Je crains que tu n’aies encore rien vu, tâche de ne pas être surpris à l’avenir, et quoi qu’il arrive, sache que je suis d’accord… » Je dis :
Et celle-ci acquiesce de la tête. Les coups reprennent sur les fesses, puis les seins, les cuisses et même le sexe ! Le corps d’Ophélie est bien rouge. Sidonie s’arrête et enlève le bâillon.
Ophélie reprend ses sucements, mais toujours sans effet.
Mais toujours rien.
Sidonie sort un autre martinet du placard. Celui-ci a des lanières plus fines et plus longues. Les coups recommencent et laissent des marques. Je vois une larme couler des yeux d’Ophélie. Au bout de peut-être vingt-cinq ou trente coups, Sidonie s’arrête.
Je reste avec Sidonie.
Je me rends dans la chambre d’ami et trouve Ophélie en pleurs. Je la prends dans mes bras.
J’ai de la peine à trouver le sommeil en repensant à toute cette scène et aussi à ce qu’a pu me dire Ophélie. Quelle étrange relation… !
Le lendemain, dernier jour avant le départ. Ophélie porte des meurtrissures, mais pas à la hauteur des coups reçus. À un moment où nous sommes seuls :
La conversation est interrompue par l’arrivée de Sidonie.
Le soir.
Cette fois-ci, je bande sans aucune difficulté. Ma relation avec Sidonie est sans enthousiasme, et bien que j’éjacule (elle est vraiment serrée), je ne ressens guère de jouissance. Pourtant, elle déclare :
Le lendemain, je me lève tôt pour partir. Quand elle me fait la bise, Ophélie me glisse à l’oreille.
Dans la voiture, je suis triste et songeur en me remémorant tout ce que j’ai vécu…
(À suivre)