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Temps de lecture estimé : 41 mn
28/04/23
Présentation:  La suite de la relation entre Yves et Ophélie.
Résumé:  Ophélie vient s’installer chez Yves. Elle prend des libertés et un jeu de domination se met en place. Il ne se termine pas comme on pourrait le penser…
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Auteur : Rincop      Envoi mini-message

Série : Sidonie et Ophélie

Chapitre 05 / 06
Ophélie déménage

Résumé des épisodes précédents :

En ballade à vélo, Yves rencontre Sidonie et Ophélie. Elles viennent passer quelques jours chez lui puis ils partent en vacances ensemble. À l’occasion des fêtes de fin d’année, Yves a découvert une nouvelle facette de la relation des deux jeunes femmes.




Une fois arrivé chez moi, je repense à tout ce que j’ai vécu à Sens. Leur relation est vraiment particulière. Je n’aurais jamais pu l’imaginer lorsque je les avais rencontrées et même ensuite en partageant deux semaines avec elles.


Les semaines passent, nous n’avons que quelques contacts par mails ou SMS, c’est comme si quelque chose était cassé. Quelle n’est pas ma surprise lorsqu’un mois et demi plus tard mon téléphone sonne et que le numéro d’Ophélie s’affiche !



À ma grande surprise, les deux semaines passent rapidement, mais il est vrai que j’avais prévu beaucoup de choses. Le matin du jeudi, un petit SMS :


Bien arrivée, à demain soir, je t’embrasse.


Finalement à sa demande, je vais chercher Ophélie en fin d’après-midi.



Et Ophélie raconte :


Aurélia (la femme de Paul) m’avait invitée à déjeuner. Ses enfants étant à la cantine ce jour-là pour leur « socialisation ». Elle m’a rapidement fait des confidences.


  • — Oh, tu sais, ici je suis surtout la mère des enfants de Paul, parfois sa potiche pour des soirées, et « sa pute » deux fois par semaine, le plus souvent le lundi et le jeudi. Mais en échange, j’ai tout le confort nécessaire et un avenir à peu près garanti, il cotise tous les mois pour me constituer une rente.
  • — Sa pute ?
  • — Oui, il ne me fait pas l’amour, il me baise. Il a l’air de faire peu de cas de mon plaisir, du moins qu’il ait le sien, et pour cela il ne recule devant aucune voie… Quand j’ai mes règles, il se contente de deux et le plus souvent cela est bâclé en moins d’une demi-heure. J’aimerais tant qu’il me montre un peu de tendresse, comme tu as su le faire sous la douche.

Elle m’a alors enlacée et embrassée. Rapidement, elle s’est mise à me caresser puis m’a entraînée jusque dans la chambre. J’ai alors mis tout mon savoir-faire en œuvre, et nous avons passé deux heures délicieuses. Après que nous nous soyons douchées et rhabillées, elle m’a dit :


  • — Merci pour ce moment, mais méfie-toi, je pense qu’il a des vues sur toi, et il est capable de te vouloir en échange du poste.
  • — Mais c’est monstrueux.

Elle a haussé les épaules.


  • — Oh, tu ne seras pas la première. Moi, de toute façon je ferme les yeux.

Elle est alors allée chercher ses enfants à l’école. Paul est arrivé peu de temps après son retour. En soirée, il a demandé à Aurélia de nous laisser seuls afin que nous préparions l’entretien du lendemain. En fait de préparation, il est rapidement devenu entreprenant, alors je lui ai dit :


  • — Non, Paul, je ne paie pas d’avance.

Il a eu un sourire, et m’a répondu :


  • — Je comprends, mais j’espère que vous saurez m’être redevable après.

Pour autant, il n’avait pas l’air trop content. Il a pourtant plus été un allié qu’un adversaire le lendemain lors de l’entretien.



Après le dîner et un début de soirée passé à deviser, nous décidons d’aller nous coucher, Ophélie se sentant un peu fatiguée.



Nous nous savonnons mutuellement, j’ai rapidement une belle érection.



Elle me prend par la main et m’entraîne dans la chambre. Une fois allongés, nous nous cajolons et elle me glisse à l’oreille.



Cinq ou six minutes après :



Ophélie poursuit et enfonce même sa bouche un peu plus loin. Elle a un petit haut-le-cœur lorsque j’éjacule, mais me garde en bouche. Elle reçoit ensuite trois autres jets.



Je l’entends déglutir, puis elle vient m’embrasser. Sa langue force ma bouche, et je sens du sperme se mêler à nos salives.



Malgré tous ses efforts, elle ne parvint pas à me « remettre en forme ». Nous finîmes par nous endormir dans les bras l’un de l’autre, non sans qu’elle m’ait dit :



Au réveil, je suis seul dans le lit. Ophélie m’attend dans la cuisine.



La journée se passe bien. Le temps étant magnifique, nous décidons d’aller à la piscine. Nous prenons les forfaits « espace détente ». Après une demi-heure de natation, nous nous rendons au hammam. Il y a beaucoup de monde. Après le cérémonial « savon noir-douche », nous décidons d’essayer le sauna. Là, personne !



Elle quitte elle aussi son maillot. Après dix minutes, un autre couple rentre. Lui, environ trente-cinq ans, elle, une grande blonde pulpeuse un peu plus jeune. Nous nous recouvrons de nos serviettes.



Et ils enlèvent eux aussi leurs maillots. Je peux alors admirer tout à loisir les beaux seins de la femme. Ophélie, elle, semble plus intéressée par le sexe entièrement épilé de monsieur… Encore dix minutes et nous sortons, toujours nus, pour aller plonger dans le bassin d’eau froide. Deux minutes après, l’autre couple nous rejoint. L’homme dit alors :



Nous nous enveloppons de nos serviettes et prenons les maillots à la main. Le spa est déjà occupé par deux jeunes femmes d’une vingtaine d’années. Sans hésiter, après avoir dit bonjour, l’autre couple quitte leurs serviettes et rentre nu dans l’eau. Suivant leur exemple, sous le regard un peu surpris des deux femmes, nous faisons de même. L’une d’elles demande :



Pour autant, elles gardent leurs maillots, sans nous lancer parfois des regards envieux. Peu après, elles partent.



L’homme s’adresse alors à nous



Dix minutes après, en ayant pris soin de remettre les maillots, nous sommes à nouveau au hammam. Surprise, personne ! Sans nous concerter, nous voilà à nouveau nus. Nous nous rendons compte que nous avions bâclé la première séance. L’autre couple prend du temps pour passer de pièce en pièce. Arrivés dans la plus chaude :



Et l’homme s’allonge sur le ventre. Sa compagne l’enduit alors de savon noir et le masse sur tout le corps.



Je subis alors un délicieux tourment. Au bout de dix minutes.



Et l’homme se couche sur le dos. Je fais de même. Suivant l’exemple de la jeune femme, Ophélie commence par me masser le torse, puis l’abdomen, le pubis enfin les cuisses et les jambes. C’est vraiment très agréable. Ensuite, elle remonte à mon sexe et commence à le masturber. Je lui retire sa main. Notre acolyte poursuit, elle, et « son homme » révèle rapidement une puissante érection. Elle s’allonge alors sur lui.



Elle s’allonge sur son compagnon et le masse avec tout son corps. Ophélie n’ose en faire autant, mais nous regardons attentivement, un peu voyeurs. Nous voyons même que notre voisine masse le pénis avec sa vulve, un moment elle se retire brusquement en arrière et nous pouvons constater que du sperme coule sur le ventre de son ami. La jeune femme nous regarde et dit avec un clin d’œil :



Puis son compagnon :



Elles s’allongent alors toutes deux sur le ventre. À mon tour, je suis l’exemple de mon voisin, et administre le meilleur massage possible à Ophélie en passant par le cou (longuement), le dos, les fesses puis les jambes. Un soin particulier est accordé aux pieds. Ensuite, c’est au côté face d’en profiter. À nouveau, nous passons du temps sur le cou, mais aussi les seins. Nous passons un peu plus rapidement sur les autres parties du corps. Pour finir, mon voisin remonte sur la vulve, je fais de même et toujours en suivant l’exemple, j’introduis un, puis deux, puis trois doigts dans le vagin. Ophélie ne tarde pas à jouir, sa voisine met un peu plus de temps. Elles restent toutes deux dans un état second pendant au moins dix minutes. Nous, les hommes, en profitons pour nous rincer de tout le savon noir. Une fois nos deux charmantes compagnes remises, nous nous rendons aux vestiaires. L’homme demande :



Nous nous retrouvons au bar de la piscine et faisons les présentations. Lui, Guillaume, trente-cinq ans, cadre bancaire, et elle, Sandra, vingt-quatre ans, qui termine ses études de médecine. Nous nous présentons aussi, sans mentir ni rien cacher. Puis Ophélie demande :



Sandra se lance dans une longue explication. Pour aider à financer ses études, elle avait trouvé un travail dans un salon de massage asiatique, ouvert aux hommes et aux femmes, dans lequel elle faisait le ménage et préparait les cabines. Une des masseuses de l’établissement s’est prise d’amitié pour elle et lui a proposé de l’initier. Après une année elle en savait assez pour « se lancer ». Avec l’accord de la patronne, elle débuta par des « massages à quatre mains », puis en solo.


Un jour, l’une des masseuses étant malade, la patronne lui demanda si elle se sentait capable de faire un « body-body ». Sans réfléchir, elle répondit que oui. Son amie lui avait montré quelques fois, et lui avait bien précisé que dans ce cas, il ne fallait surtout pas de pénétration, mais que les sexes devaient se toucher en fin de séance pour arriver à la plénitude du client (ou de la cliente). Le client était ressorti ravi. Elle a été embauchée comme masseuse.



Sandra devenait intarissable



Et elle l’embrasse.



Après cette longue confession, la conversation porta sur tout et rien, mais Ophélie dit qu’elle n’était pas près de reprendre la pilule. Au retour, dans la voiture, elle me précisa qu’elle avait arrêté de la prendre après son dernier séjour à la maison. Qu’elle ne l’avait pas reprise juste pour le week-end qui « tombait bien », mais que du coup, après ce qu’avait dit Sandra, nous nous abstiendrions. Le soir, allongés dans le même lit, nous nous endormîmes rapidement, la piscine et ses « à-côtés » nous avaient bien fatigués.


Déjà dimanche, le dernier jour de la présence d’Ophélie ! Après une grasse matinée et quelques courses, nous consacrons l’après-midi à une virée à vélo, comme au « bon vieux temps ».


Après le dîner, une exception, un bon film à la télévision. Nous allons nous coucher vers 23 heures, et alors que je suis encore debout, Ophélie me dit en s’agenouillant :



Elle me prend alors en bouche et l’érection arrive rapidement. Elle va de plus en plus loin, m’avale entièrement. Je sens que je suis au fond ! Elle a un petit haut-le-cœur et s’avance encore, je suis rendu dans sa gorge ! Elle fait quelques va-et-vient puis se retire.



Elle s’allonge sur le lit et laisse pendre sa tête en dehors du matelas et ouvre grand la bouche. Je comprends le message et m’y engouffre. Debout, je lui baise alors littéralement la bouche. Ses yeux pleurent et elle bave abondamment, je suis vraiment loin, mais elle agrippe mes fesses de ses deux mains. Je ne tarde pas à éjaculer.



Elle m’allonge sur le dos et vient placer son sexe sur ma bouche. Je me lance dans un long et ardent cunni jusqu’à ce qu’elle explose, avec un grand cri, dans un puissant orgasme.



Nous nous endormons blottis dans les bras l’un de l’autre.

Lundi 8 heures, j’entends un réveil sonner. Le week-end est bien fini !



Je descends lancer la cafetière et nous nous retrouvons dans la salle de bain pour une dernière douche ensemble. À 9 h 40, nous sommes à la gare, les adieux sont un peu difficiles.



Elle passe ses bras autour de mon cou et m’embrasse langoureusement. Le train entre en gare…


Trois semaines plus tard, elle m’appelle



Celui-ci spécifiait que nous disposions chacun d’une chambre et d’une salle de bain pour notre usage personnel, les autres pièces étant partagées. Que ce n’était qu’un contrat de location qui n’engageait en aucun cas à une vie commune. Ophélie prenait en charge le gaz et l’internet et s’engageait à me verser 400 € par mois. Je devais lui donner trois mois de préavis si je devais mettre fin à sa location. Je fis ajouter que chacun était libre de recevoir qui il voulait dans le respect de la vie de l’autre. Ainsi les choses étaient claires.


Ophélie me demanda si je pouvais venir la chercher en voiture, car elle avait pas mal de choses à transporter. Ce fut avec plaisir que je lui répondis oui. Le jour du déménagement, je reçus un accueil assez froid de la part de Sidonie. Pour autant, au moment du départ, elle m’embrassa de bon cœur puis elles tombèrent en pleurs dans les bras l’une de l’autre. Après dix bonnes minutes d’effusions, nous partîmes enfin. Dans la voiture, Ophélie pleura encore quelque temps.



À l’arrivée, nous commençons par décharger ses nombreuses valises et paquets, puis elle prend possession de sa chambre (et de sa salle de bain, c’est important pour une femme). Après le dîner, elle sort des papiers, ce sont les contrats de location en deux exemplaires !



Elle sort ensuite 400 € de sa poche



En fait, elle monte dans ma chambre. Les retrouvailles sont voluptueuses à souhait.


La vie à deux s’installe, en fait, nous partageons toujours la même chambre. Mais au bout de deux semaines, Ophélie me demande de retourner dans la mienne.



Le vendredi suivant, je la trouve au lit avec une grosse culotte.



Je la caresse sur tout le corps, et je la sens se détendre, elle pousse même des soupirs de satisfaction.



Et elle m’administre une « gorge profonde » magistrale. Elle a l’air, pour mon plus grand plaisir, d’y prendre goût.


Deux semaines après, elle me dit :



Et elle me tend la boîte.



C’est vrai qu’elle avait vraiment envie, nos étreintes durent plus d’une heure, et Ophélie s’arrête à chaque fois que je vais venir. Elle varie les positions. Je la sens jouir plusieurs fois. Nous terminons en levrette et là elle ne me sent pas venir. Je remplis la capote dans un grand râle et nous nous affaissons. Je me retire immédiatement.



Elle me regarde la retirer avec un sourire amusé.



Elle me prend dans ses bras et nous nous endormons tout en nous embrassant.


La vie suit son cours, Ophélie s’est acheté une petite voiture électrique « pour avoir son indépendance et ne dépendre de personne ». Sandra et elle ont repris contact, elles sortent souvent ensemble le samedi et parfois le soir en semaine. Certains samedis soir, je dors seul, mais je suis très content de la voir heureuse et épanouie. Et puis je me dis que nous ne sommes pas un « vrai couple » et que si elle trouvait l’âme sœur, ce serait vraiment bien pour elle.


Au cours d’une de nos rares soirées télé, nous tombons en zappant sur une émission sur la sexualité des Français. Des couples témoignent et certains révèlent utiliser des « sextoys ». Cela nous a bien émoustillés et Ophélie me demande de dormir avec elle. Une fois couchés :



Dès le samedi matin suivant, Ophélie m’emmène dans un « sex shop ».



Nous arrivons devant l’entrée, je ne suis pas très à l’aise, Ophélie, elle, est tout à fait détendue. Elle pousse la porte et entre. Je la suis.



Nous déambulons entre les rayons, il y en a vraiment pour tous les goûts !



La femme nous rejoint.



Nous lui indiquons notre choix.



Elle est vaste et spacieuse et équipée d’un tabouret haut.



À mon grand étonnement, la vendeuse reste avec nous dans la cabine, et je vois Ophélie retirer, sans aucune gêne, son tee-shirt et son soutien-gorge. Pendant ce temps, la femme enfile des gants en latex.



Tout en parlant, elle a attaché les pinces aux seins d’Ophélie !



Et elle joint le geste à la parole ! Ophélie pousse un petit cri, aussi bien de surprise que de douleur.



La femme pince alors un téton et y applique une pince.



Et toujours sans demander, elle joint le geste à la parole.



Elle prend le 150 grammes et l’ajoute au premier.



Ophélie hésite un peu puis s’exécute. Elle grimace un peu, mais c’est vrai que son sein est vraiment tiré vers le bas.



Et sans attendre ma réponse, elle me tend un poids. Je vois que c’est le plus gros de ceux qui restent.



250 grammes ! Le sein est vraiment tiré vers le bas !

Tout en laissant les pinces en place, elle nous montre les différents modèles « d’écarteur à sexe ». Ophélie commente :



Sans aucune pudeur, Ophélie retire sa jupe. Elle n’a rien en dessous ! La voilà entièrement nue, sauf ses chaussures, avec des pinces aux seins…



Le lieu est bien humide… Lorsque je tends la sangle, la pince du bas se détache. Ophélie grimace.



Ophélie se retrouve avec le vagin largement ouvert. Quel sublime spectacle ! Je sens un début d’érection que j’ai bien du mal à contrôler.



Elle les enlève et se rhabille.



Dix minutes plus tard, elle me rejoint. Arrivée à la maison, elle fait l’inventaire de son sac.



Et elle me tend un petit paquet emballé d’un papier cadeau.



Je déballe et je vois écrit « cage de chasteté », j’ouvre la boîte et l’objet apparaît dans toute sa splendeur, dans un beau métal inoxydable.



Celui-ci est vite expédié, et Ophélie prend les choses en main et la notice. Elle la lit à voix haute.



Elle m’entraîne dans sa salle de bain, et sort une paire de ciseaux et une boîte de bandes de cire. Elle coupe les poils un peu courts, puis applique une première bande. Lorsqu’elle tire, quelle douleur ! Mais je serre les dents et essaye de ne rien montrer. La « torture » dure une bonne vingtaine de minutes, bien que cela fasse de moins en moins mal. Tout est épilé, verge, pubis, et même les testicules.



Elle applique une lotion et masse légèrement. L’effet est immédiat, j’ai une belle érection…



Et elle passe soudainement à l’eau froide. L’effet est assez rapide, et je reviens à un état normal. Ophélie reprend la notice.



Elle me prend par la taille, et je fais de même. Nous nous promenons comme deux amoureux.



Plus tard, alors que nous sommes dans un chemin désert.



Elle prend ma main et la glisse sous sa jupe. En effet, elle a les fesses nues. Nous nous promenons ainsi quelque temps et je la caresse. Je sens un début d’érection, mais celle-ci est bloquée. Je commence à comprendre ce qu’implique la cage…


Le soir, nous nous couchons assez tôt. Ophélie dit en sortant les différents objets.



Je m’exécute, puis nous passons à l’écarteur.



Je me lance, et elle ne tarde pas à jouir.



Elle l’enduit de lubrifiant et l’introduit dans son vagin toujours grand ouvert.



J’hésite un peu puis prends position. Il est vrai que la première expérience n’avait pas été désagréable. Je sens le gode s’introduire peu à peu. Elle le ressort et remet du lubrifiant. Cette fois-ci, elle va jusqu’au fond et accélère progressivement. Je sens d’agréables sensations envahir tout mon corps. Elle s’arrête à nouveau.



Elle me pince les tétons et y place les pinces à sein. Je regrette bien d’avoir mis 250 grammes ! Elle reprend la sodomie, et y va cette fois-ci de bon cœur. Au bout de vingt minutes, elle s’arrête. Elle enlève tous les accessoires et vient se lover dans mes bras.



Et elle se lance dans un profond baiser. Nous finissons par nous endormir. Au milieu de la nuit, un début d’érection me réveille et j’ai un peu de peine à me rendormir. Le dimanche matin, je me réveille tôt, et je descends préparer le petit-déjeuner. Une demi-heure plus tard, Ophélie me rejoint.



Elle s’accroche à mon cou et m’embrasse tendrement. Puis la vie reprend son cours. Petit tour au marché le matin, et balade à vélo l’après-midi. Le soir, chacun dans sa chambre, et je n’ose demander à nouveau à Ophélie de me retirer la cage. La semaine se passe délicatement pour moi, aucune érection possible, pas possible de se toucher et uriner assis… Je commence à bien comprendre les contraintes de « l’objet ». Enfin, arrive le vendredi soir. Après le dîner et une soirée lecture, Ophélie m’entraîne enfin dans sa chambre.



En effet, j’ai vite une belle érection. Ophélie se place alors dans la position de l’Andromaque. Elle a mis son écarteur.



Je vois qu’elle a préparé 300 grammes. Elle y prend goût ! Elle commence alors de lents va-et-vient, puis accélère. Alors que je « vais venir », elle s’arrête et se retire. Je perds un peu de sperme. Au bout d’une minute, elle recommence. Et ainsi de suite plusieurs fois. Au bout d’environ vingt minutes, elle se retire.



La nuit du samedi fut grandiose. Je me déchaînai et Ophélie aussi. Je pus même lui refaire l’amour après avoir déjà éjaculé.



J’attends avec impatience le vendredi suivant. Lorsque nous nous couchons, je constate qu’Ophélie porte une culotte.



Deux semaines de cage, c’est long, c’est très long. Mais Ophélie tient parole et me libère. Elle débute par une longue fellation. Puis je la sodomise (elle m’a rappelé que c’est la « mauvaise période »). Je finis dans un grand râle, tellement le plaisir est intense. La semaine suivante elle a à nouveau très envie, et nous utilisons un préservatif. Je lui fais remarquer que cela pourrait bien correspondre à son ovulation.



Le rythme s’installe ainsi, cage du dimanche soir au vendredi et « libération » le week-end. Parfois, que pour une seule journée si Ophélie est de sortie. Je finis par m’habituer et à ne même plus la sentir.

Arrive le week-end de Pâques, Ophélie m’annonce qu’elle va aller rendre visite à Sidonie.



Une fois qu’elle est partie, je me rends compte qu’elle m’a laissé la cage. Bah, ça fera deux semaines, j’ai déjà connu… Elle rentre comme prévu le mardi soir.



Arrive enfin le week-end, et dès le vendredi, Ophélie m’invite à partager son lit. Mais je constate qu’elle a ses règles bien qu’elle ait gardé un long tee-shirt.



Elle me prend alors en bouche jusqu’à obtenir une belle érection. Elle pose alors une cordelette équipée d’un nœud coulant à la base de ma verge et commence à me masturber. Elle ne lésine pas sur le lubrifiant ! Alors que je vais venir, elle cesse et serre le nœud coulant. Elle recommence l’opération de nombreuses fois en m’introduisant par moments un doigt dans l’anus. Parfois, un peu de sperme s’échappe. Au bout d’une heure, mon érection cesse, sans que j’aie vraiment éjaculé.



Elle enlève son tee-shirt et je vois des marques sur tout son dos, ses fesses, mais aussi l’intérieur des cuisses et le pubis.



Les trois semaines passent relativement vite, et arrive enfin le week-end de la « libération ». Nos étreintes sont somptueuses et, à mon grand étonnement, je retrouve une nouvelle érection après avoir déjà joui.



Je ne me fais pas prier davantage et nous connaissons un deuxième puissant orgasme.



Les deux week-ends prolongés sont vraiment délicieux, aussi bien au lit que pour les sorties diverses et les bons moments partagés. Le soir du deuxième lundi, Ophélie me repose la cage.



Pendant sa rando, Ophélie m’appelle de temps à autre. Elle envoie aussi quelques photos, de paysages, de villages, ou plus intimes comme celle intitulée « Nous deux en baignade » sur laquelle elles sont nues dans un petit lac. Arrive enfin son retour.

Dans la voiture



Dîner sympa, elle me raconte pas mal d’anecdotes de sa rando. Vers neuf heures et demie, elle monte se coucher, non sans m’avoir longuement embrassé et m’avoir dit :



Celui-ci arrive enfin, mais Ophélie m’annonce :



C’est chacun dans sa chambre. Le week-end suivant, même chose. J’en arrive à cinq semaines de « cage » ininterrompues. Je le lui fais remarquer.



Cela ne m’étonne pas qu’elle soit fatiguée, en effet, elle sort plusieurs fois dans la semaine et rentre souvent tard… Deux semaines plus tard, elle m’invite enfin à partager mon lit et me libère de ma cage. Alors que je commence à la pénétrer, elle se retire brusquement.



Et elle sort le gode double…


Le lendemain matin, j’ai le droit à ma séance d’épilation et le soir est bien long à arriver. Après le dîner, elle m’entraîne rapidement dans ma chambre. Je constate qu’elle a un flacon dans la main.



Elle commence alors, c’est un peu frustrant au début, après une si longue attente, de ne se faire masser que le dos, mais cela devient somptueux lorsqu’elle passe au côté « face ». Elle a eu un excellent professeur ! Déjà, ses caresses sur le torse me tirent des soupirs qui se transforment en gémissements lorsqu’elle arrive plus bas. Elle s’allonge enfin sur moi et me masse de tout son corps. Je sens ses seins me masser sur ton mon corps, même mon pénis ! Elle finit en massant ce dernier avec sa vulve, mais sans pénétration, ce qui ne m’empêche pas de jouir intensément et de me répandre sur mon ventre.



Elle s’occupe alors de me remettre en forme, et nous refaisons l’amour une deuxième et même une troisième fois !



Lorsqu’elle ferme le cadenas le lendemain, je ne connais pas la durée… Dans la journée, je reçois un coup de fil. C’est Paul.



Lorsqu’Ophélie rentre, je lui annonce la nouvelle.



Arrive le vendredi soir. Ophélie m’annonce :



Le dernier jour de juin, un vendredi, Ophélie me libère. Je pars le lendemain. Elle doit me rejoindre pour le 14 juillet et rester jusqu’à la fin du mois. Cela lui fera presque deux semaines et demie. Pour fêter cela, nous passons une nuit torride. Sur l’oreiller, elle me demande :



Deux semaines tout seul, finalement, ce n’est pas si mal. Je reprends peu à peu de vieilles habitudes, surtout de ne pas avoir d’horaires. Ophélie me rejoint dès le 13 au soir. Je nous ai préparé un dîner de circonstance avec fruits de mer et vin blanc. Après celui-ci, direction le lit. Nous nous enlaçons et Ophélie me dit :



Je ne me le fais pas dire deux fois et nous nous endormons après de somptueuses étreintes.

Sans nous concerter, nous nous retrouvons le lendemain à la plage naturiste.



Lorsque nous remontons à nos serviettes, Ophélie me dit :



La conversation dure un peu, Ophélie me fait un petit signe et je les vois aller se baigner tous les trois. Ils s’éloignent assez loin, et ont l’air de bien s’entendre. Au retour, ils s’amusent ensemble au ballon, puis à un jeu de raquettes, et puis à nouveau baignade. Pour ma part, j’ai retrouvé une vieille connaissance et nous avons bien des choses à nous raconter. L’après-midi continue de se dérouler de la même façon sauf qu’Ophélie est venue chercher sa serviette pour s’installer avec ses deux compagnons. Lorsqu’elle voit que je plie bagage, elle me rejoint, et nous rentrons ensemble. Arrivée, Ophélie me dit :



Le soir, nous refaisons l’amour, mais toujours avec capote, car c’est la mauvaise période. Retour à la plage le lendemain, en chemin, je lui montre où se trouve le restaurant.



À la plage, elle rejoint directement ses deux nouveaux amis, ils s’entendent vraiment bien. Au retour, elle m’annonce qu’elle a accepté l’invitation. Elle prend une douche rapide puis enfile une petite robe.



Le lendemain, elle rentre vers dix heures.



Et elle me tombe dans les bras en pleurs.



Lorsque nous arrivons à la plage, ils sont déjà là. Elle va leur dire bonjour et revient s’installer à côté de moi. Un peu plus tard, ils viennent l’inviter à se baigner. Elle accepte après me les avoir présentés. La baignade dure longtemps et ils s’éloignent pas mal. Ils s’adonnent à nouveau à quelques jeux puis Ophélie vient me rejoindre.



Le lendemain matin, elle prend son vélo pour aller faire les boutiques. Elle revient à plus de midi.



Elle me montre une robe.



Ni une ni deux, elle enlève celle qu’elle porte, et se retrouve nue… avant d’enfiler la nouvelle. Celle-ci lui va vraiment à ravir. Elle lui colle au corps, avec une taille cintrée et s’arrêtant à mi-cuisse, mettant en valeur ses formes. J’émets un sifflement.



Arrivée à la plage, elle ne met pas longtemps avant d’aller rejoindre ses deux nouveaux amis. Ils passent l’après-midi ensemble. Lorsqu’elle me rejoint, elle m’annonce qu’ils l’ont à nouveau invitée et qu’elle a accepté, mais pour le lendemain. Me disant :



Bon dîner, bien arrosé, puis nous discutons de tout, de rien, je fais un peu traîner les choses… Elle finit par me demander si nous allons nous coucher.



Je l’enlace et l’entraîne dans la chambre et la jette presque sur le lit. Je lui fais subir tous les « outrages » sans pause ni répit, jouant au mâle dominateur. Elle finit par crier grâce, mais j’enchaîne avec une dernière sodomie.



Elle me tourne alors le dos et s’endort.


Le lendemain, je m’apprête à passer la nuit seul, et je ne me trompe pas. Vers 10 heures, Ophélie m’appelle :



Je m’y rends volontairement assez tard. Dès que j’arrive, Ophélie vient me voir.



Au fond de moi, je suis un peu jaloux et commence à me demander si je n’ai pas fait une grosse « connerie ». Les jours suivants, je ne la vois même pas à la plage, mais reçois des SMS pour m’assurer que tout va bien. Au bout de quatre jours, Ophélie revient.



Et elle passe ses bras autour de mon cou et se lance dans un très long baiser.



Et un sourire éclaire son visage.

Le soir, pas de câlin, ni le lendemain. Ophélie m’annonce que pour se punir de sa « débauche », elle a décidé d’être abstinente pendant trois mois.



Elle tint parole.