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n° 21250Fiche technique20398 caractères20398
Temps de lecture estimé : 15 mn
29/10/22
Résumé:  Un jeune élu conservateur fête son élection avec sa femme. Leur conversation les amène de fil en aiguille à un défi qui ne le laissera pas indifférent.
Critères:  fh couple hsoumis fdomine vengeance hféminisé anulingus hdanus hgode hsodo attache bondage yeuxbandés init -initiatiq
Auteur : Cvices&delices            Envoi mini-message
Une éducation à refaire

Le serveur essuya la dernière goutte de vin perlant sur le goulot de la bouteille après avoir copieusement rempli les verres de Marc et Sophie.



Sophie dodelina de la tête de gauche à droite en le fixant droit dans les yeux.



Le ciel semblait être tombé sur la tête de Marc qui attrapa son verre et avala une grande gorgée du grand cru qu’il contenait. Sophie en fit de même.



Marc réfléchit un instant. Il était taraudé entre son héritage culturel et familial de famille traditionnelle bourgeoise catholique et la puissance du désir qui s’animait à l’énoncé de cette proposition dont il ne savait juger si elle était indécente ou pas. Du moins pour lui. C’est que tout pétrit de tradition, il se savait habité de fantasmes que la bonne morale réprouvait mais que la consommation de porno avait longuement façonnés pendant son adolescence. Après tout, elle ne pouvait rien lui faire vivre de si terrible.



Un large sourire de triomphe apparu sur le visage de Sophie.



Ce à quoi elle répondit en passant une main discrètement sous sa jupe jusqu’à passer ses doigts dans la fente humide de son sexe, qu’elle tendit et déposa ensuite sur les lèvres de son homme.



Après quoi, elle étala un mince filet de mouille sur les lèvres de Marc avant de lécher le reste.




xxxx



En route, Sophie se tortillait sur le siège arrière du taxi, toute excitée à l’idée de ce qu’elle allait faire vivre à son « gentil » macho de mari.



La berline noire se déporta sur la droite et vint se stationner le long du trottoir illuminé par les enseignes. Sophie tira la poignée et s’extirpa de la voiture.



Marc regarda la vitrine un brin inquiet.



Marc n’eut pas le temps de répliquer qu’elle claquait la porte et pénétrait comme une fusée dans le magasin. Marc essaya de voir ce qu’elle faisait à travers la vitre. Elle paraissait en pleine discussion avec une vendeuse. Il aurait donné cher pour connaître le détail de leur conversation lorsqu’il les vit toutes deux partir dans un fou rire. Tout cela ne lui disait rien qui vaille. Puis il la vit disparaître derrière quelques instants avant de revenir avec quelque chose dans les mains. En deux temps trois mouvements, elle régla son achat et revint dans la voiture, prenant soin de dissimuler le volume et la forme de l’objet dissimulé dans le sac opaque.



Le taxi mit une dizaine de minutes pour rejoindre le pied de leur immeuble. Une fois dans le hall, Sophie plongea la main dans le sac et en tira quelque chose.



Avant que Marc ait pu répondre, elle lui passa un large bandeau de soie noir autour de la tête qui le plongea dans l’obscurité totale. Elle prit une de ses mains et le guida jusqu’à l’ascenseur. Une fois dans la cabine, elle pressa le bouton du 7e étage et vint se coller à lui pour lui murmurer à l’oreille :



Marc sentit que l’excitation de sa femme le gagnait progressivement et chassait son anxiété.



Et de joindre le geste à la parole, elle remonta sa jupe, saisit l’élastique de sa culotte sur ses hanches et la fit glisser le long de ses jambes. Elle se baissa en gardant la tête droite pour attraper son dessous au sol et s’arrêta, le visage à la hauteur du sexe de Marc.



Elle posa ses lèvres sur la verge gonflée par-dessus le tissu du pantalon, les entrouvrit et fit mine de la saisir dans sa bouche avant de se redresser totalement.



Marc était en feu et son désir monta d’un cran lorsqu’il sentit les effluves puissants du sexe de sa femme qui venait de presser sa culotte trempée roulée en boule sous son nez.



Et elle glissa la petite culotte de soie dans sa bouche et tartina le bas de son visage avec.



Elle le guida jusqu’au palier, ouvrit la porte de leur appartement et le fit entrer. Une fois dans l’entrée, elle s’écarta un instant pour contempler la vue de Marc, debout, aveugle et déboussolé. Elle vint se placer derrière lui tel un félin et fit tomber son manteau et sa veste au sol. Elle passa ses bras de part et d’autre de son torse et défit un à un les boutons de sa chemise qui partit rejoindre le reste des vêtements sur le tapis de l’entrée. Elle se plaqua contre le dos nu de Marc dont l’érection déformait fortement son pantalon. Elle remonta ses mains et vint planter ses ongles dans les pectoraux de son mari avant de labourer lentement l’épiderme jusqu’à son nombril.



Marc resta silencieux, haletant, focalisé sur ses sensations tactiles, sur les sons et les odeurs. Elle défit sa ceinture puis le bouton de son pantalon et passa une main dessous. Ses doigts caressèrent la verge durcie encore prisonnière du boxer puis la pétrirent d’un coup.



Marc tenta de se retourner pour lui faire face mais Sophie remonta son autre main autour de sa gorge et serra subtilement.



Elle massa de plus belle la verge et les testicules de Marc par-dessus le boxer, provoquant des spasmes de plaisir chez lui. Il était à deux doigts de jouir. Elle retira sa main.



Ses mains vinrent saisir les deux poignets de Marc qu’elle tira derrière son dos avant de plonger sa main dans le sac d’accessoires achetés au lovestore. Elle en tira une épaisse cordelette noire qu’elle vint nouer fermement autour des poignets.



Marc profita d’avoir les mains dans le dos pour tenter de plonger ses doigts entre les cuisses de Sophie toujours plaquée derrière lui. Elle laissa ses mains s’immiscer entre ses cuisses et trouver le chemin de sa toison finement taillée et ruisselante de mouille. L’index de Marc pénétrant sa fente lui arracha un gémissement suivi d’un autre lorsque la pulpe de son doigt trouva son clitoris gonflé.



Elle se laissa fouiller quelques secondes avant de s’éloigner et plonger à nouveau la main dans le sac aux mystères. Marc entendit comme un tintement et une odeur de cuir neuf avant de sentir un contact rêche autour de son cou. Sophie était en train de lui passer un épais collier orné d’un anneau et d’une chaînette dont elle tenait l’obscurité.



Marc, en mâle alpha qu’il était, était aussi excité que déboussolé devant sa femme transformée en maîtresse autoritaire. Il sentit la tension sur la chaîne se répercuter sur sa nuque et suivit la direction impulsée. Aveugle, il tentait de deviner la pièce vers laquelle elle était en train de le diriger. Il comprit en quelques instants qu’elle le conduisait vers la chambre. Elle le guida vers le grand lit trônant au centre de la pièce et le fit s’allonger à plat ventre. Marc sentit Sophie s’affairer à lui ôter ses chaussures, ses chaussettes et son pantalon, lui laissant uniquement son boxer.



Elle le fit reculer au bord du lit jusqu’à se retrouver les genoux par terre et le buste allongé sur le lit, la « croupe » offerte.



Marc l’entendit se diriger vers un coin de la pièce, ouvrir puis refermer un tiroir et revenir vers lui. Il sentit ses doigts tirer sur le tissu de son boxer, suivi de la sensation froide du métal sur ses fesses.



En quelques instants, le boxer s’était réduit à une mince bande de tissu entre les fesses de Marc, fente tendue par son sexe dressé vers l’avant.


Le bruit devenu caractéristique du sac en plastique se fit de nouveau entendre, suivi de sons que Marc ne parvint pas à identifier. Puis il sentit la chaleur du corps de Sophie derrière lui à nouveau. Elle se pencha et vint s’allonger sur son dos, la bouche presque au creux d’une oreille.



Il sentit la bouche de Sophie se poser dans sa nuque et descendre lentement l’échine de son dos en même temps qu’une de ses mains remontait l’arrière des cuisses de Marc en griffant précautionneusement sa peau de ses ongles acérés. Les lèvres chaudes de la jeune femme arrièrent sur l’élastique du sous-vêtement martyrisé en même temps que la main griffue vint soupeser et pétrir les couilles pendantes. Marc sentit les doigts malaxer ses testicules et venir chatouiller sa queue dressée, tout en glissant un à un ses doigts sous le tissu. Marc sentit un ongle se planter légèrement sur son périnée et remonter doucement vers le sillon de ses fesses. Il se raidit aussitôt.



Marc inspira profondément, son attention tout entière focalisée sur ce doigt se dirigeant vers son anus. Sophie écarta la mince bande de tissu et savoura la vue du petit bourgeon brun tapis entre les fesses de son partenaire. L’idée de dépuceler Marc l’excitait au plus haut point. Elle ne put se retenir de glisser une main entre ses cuisses pour se caresser en même temps que l’ongle au bout de son index parvint à l’orée de l’anus. Marc sentit son excitation bondir d’un cran supplémentaire, chamboulé par le plaisir procuré par la sensation de cet ongle qui labourait le fond de son sillon fessier et de l’extrême sensibilité de cette zone qu’il avait toujours voulu préserver de toute « violation ».



Elle retira ses doigts luisants de mouille d’entre ses cuisses pour venir en enduire la petite fleur brune largement éveillée. La pulpe de son doigt glissa sur les petits plis en dessinant des cercles concentriques. Puis elle vint poser ses lèvres en haut du sillon fessier de son homme et commença à le dévaler, alternant les petits baisers et les petits coups de langue de manière à ce que Marc perçoive la lente progression de la bouche de sa compagne vers son intimité. Elle en profita pour arracher ce qui restait des lambeaux de boxer et vint saisir de son autre main la verge au bord de l’explosion pour commencer à lent mouvement de va-et-vient synchronisé avec la progression de sa bouche. Le pouls de Marc s’accéléra brutalement. Son corps entravé et ses yeux bandés ne lui laissaient pas d’autre option que de subir les insupportables caresses de sa femme qui venait de l’amener au bord d’un orgasme dont il sentait qu’il atteindrait des cimes jusqu’alors inégalées.


La main de Sophie s’arrêta au moment où sa langue se planta au centre de la rose et commença à tenter de l’ouvrir doucement. Elle sentait le sang battre furieusement dans la queue de son homme et jouait à serrer puis desserrer selon qu’elle le sentait approcher du point de non-retour. Il la sentit d’écarter un peu avant de revenir. Il eut d’un coup la sensation d’un liquide froid et visqueux qui coulait entre ses fesses, suivie d’une forme ferme et oblongue presser l’entrée de son fondement. Il se crispa.



Marc se sentit s’ouvrir lentement à mesure que la forme le pénétrait. Sophie poussa doucement ses hanches ornées d’un harnais de cuir noir rehaussé d'un gode de silicone noir de taille modeste. Elle fit lentement pénétrer l’extrémité à travers la couronne de chair jusqu’à ce qu’elle sente les fesses de son compagnon contre son bassin. Elle savoura la vue de son homme à genoux devant elle, allongé la face contre le lit, les mains liées dans le dos et un gode planté entre les fesses. Elle découvrait ce sentiment d’être la maîtresse du plaisir, celle qui prend, de la vulnérabilité de son homme qui lui était offert et du pouvoir qu’elle avait de lui donner du plaisir. Elle commença à onduler doucement le bassin d’avant en arrière, attrapant les hanches de Marc. Passé la douleur relative de l’intromission, Marc commença à sentir une boule de chaleur naître au creux de son ventre. Chaque mouvement de bassin de Sophie lui semblait faire grossir cette boule qui gagna son périnée puis son ventre avant de s’étendre. Il commença à sentir son anus se contracter de manière incontrôlée autour du membre synthétique qui allait et venait en lui, puis les contractions laissèrent place à des spasmes et une respiration saccadée. Il sentit monter du fond de ses entrailles une onde de plaisir à mesure que Sophie accélérait, et il fut terrassé une première fois par un orgasme qui lui arracha un puissant gémissement. Puis une deuxième onde plus forte encore le foudroya, suivie d’une troisième. Sophie sentit le corps de son partenaire luisant de sueur se tendre à chaque nouvelle décharge de plaisir. Elle se pencha sur son dos pour partager ce plaisir intense qui le submergeait et vint saisir sa queue au paroxysme de l’excitation. Elle fit simultanément jouer son bassin et sa main dans un ballet synchronisé qui fit hurler Marc de plaisir en même temps qu’il déchargeait de longs et puissants jets de foutre dans la main de Sophie qui attendit le dernier spasme pour s’immobiliser.


Marc s’affala épuisé par les ondes successives de ce plaisir jusque-là inconnu pendant que Sophie se retira précautionneusement de lui et vint se blottir contre sa peau chaude après avoir défait ses liens et son bandeau.