n° 21259 | Fiche technique | 30383 caractères | 30383 4921 Temps de lecture estimé : 17 mn |
02/11/22 |
Résumé: Martin a été transcendé par la balade en voiture en compagnie de Marie-Claude pour l’emmener à ses examens. Il pleut et Martin repense avec nostalgie à ce qu’il a découvert. Mais comment la remercier ? | ||||
Critères: fh fplusag jeunes poilu(e)s strip odeurs pied hmast caresses intermast cunnilingu préservati pénétratio init -initiatiq -diffage | ||||
Auteur : Cvices&delices Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Marie-Claude Chapitre 03 / 05 | Épisode suivant |
Résumé des épisodes précédents : Marie-Claude, belle brune à la trentaine a emménagé à côté de chez Martin, étudiant à l’université et encore bien inexpérimenté avec les femmes. Après avoir assisté clandestinement à une séance de bronzette voluptueuse dans son jardin et s’être fait conduire à ses examens de manière brûlante par la belle, notre héros brise l’ennui d’un dimanche pluvieux avec la petite culotte laissée par la belle.
Assis à son bureau, Martin regardait par la fenêtre, le regard comme perdu en direction de la silhouette de la maison de Marie-Claude à travers le dense rideau de pluie qui s’abattait au-dehors. Le souvenir de la course de l’autre matin avec elle, enserrés dans la petite coque de la mini rouge, restait gravé dans son esprit. D’un geste, il ouvrit le tiroir du haut de son bureau et en sortit une petite boîte en carton dont il extirpa une boule d’étoffe soyeuse. Il la porta à ses narines pour en respirer les derniers effluves du parfum capiteux et puissant qui s’en dégageait. Martin avait traité comme une relique la culotte largement imbibée de mouille que lui avait laissée Marie-Claude après l’avoir déposé devant la fac pour passer ses examens. Il l’avait serrée et malaxée de sa main libre dans sa poche pendant toute la semaine de partiels et elle avait été la pièce maîtresse de ses séances de masturbation nocturne. Deux semaines étaient passées, mais le triangle d’étoffe n’avait que peu perdu de son pouvoir hypnotique, tout autant olfactif que fantasmatique.
Il déposa la petite boule noire devant lui et l’étira de manière à retrouver la forme triangulaire caractéristique. Ses pupilles se dilatèrent devant la beauté du sous-vêtement offert à son regard. Il détailla la finesse des dentelles, laissant courir son doigt sur les fines coutures périphériques. La pulpe de ses doigts parcourait l’étoffe comme s’il était en train de caresser les hanches d’une femme, avec légèreté et excitation. Les bouts de ses doigts caressaient avec révérence ce tissu qui avait été en contact avec le sexe de sa voisine, et qui s’était imprégné de son parfum et de sa liqueur intime. Martin retourna le sous-vêtement pour en ausculter une nouvelle fois l’intérieur. Il scruta avec soin la fine doublure à l’entrejambe, légèrement colorée par les usages du temps. Les yeux rivés dessus, il porta l’ensemble contre son nez et ferma les yeux pour concentrer toute son attention sur le seul et unique sens de son odorat. Il inspira profondément plusieurs fois pour saturer sa cavité nasale de chaque molécule de parfum, cherchant à les identifier une à une. À mesure que le parfum de la vulve de Marie-Claude l’envahissait, son esprit sombrait doucement dans les sensations de ses doigts plongés dans la fente humide de la jeune femme qui lui avait ouvert toutes grandes les portes de sa jouissance. Il pressa plus fort la petite culotte entre ses doigts comme pour en extraire davantage de senteurs qu’il essayait de capter à coup de grandes inspirations. Rendu ivre, il ouvrit la bouche et se mit à goûter du bout de la langue le tissu à la recherche du goût déjà presque effacé par le temps de ce sexe de femme. N’y résistant plus, Martin défit rapidement sa ceinture et baissa juste le nécessaire de son pantalon et de son boxer pour empoigner sa queue déjà portée à l’état de bambou, et en quelques va-et-vient fermes il se fit jouir avec force alors que sa main libre finissait de plaquer la culotte sur son visage.
Le boxer et les cuisses encore maculés de son sperme, Martin reprit ses esprits et attrapa un kleenex dans la boîte posée sur son bureau et tenta de nettoyer les filets de sperme qui maculaient sa verge déjà recroquevillée entre ses cuisses.
Il faut que je la revoie, pensa-t-il dans un élan d’énergie.
Il ouvrit un autre tiroir de son bureau et en sortit un bloc de papier blanc qu’il posa devant lui, juste à côté de la petite culotte froissée. Il saisit son stylo plume dont il tira sur le bouchon chromé et posa la pointe de la plume sur la page immaculée :
Madame,
Je ne sais comment vous remercier pour ces instants inoubliables que vous m’avez fait vivre l’autre matin, en m’emmenant à mes examens à l’université. Je sais que je ne suis pas très bavard, mais comme vous avez dû le sentir, je ne suis pas très expérimenté avec les filles malheureusement. En fait, je n’avais jamais touché le corps d’une femme avant vous. Vous avez dû rire de me voir jouir si vite et j’en suis sincèrement désolé.
La petite culotte que vous m’avez laissée ne m’a pas quitté une seconde et je ne doute pas qu’elle soit, avec vous, la principale raison de ma réussite à ces examens. J’imagine que vous souhaitez la récupérer. Dites-moi quand vous préférez que je vous la rapporte.
Votre bien dévoué voisin, et admirateur transi,
Martin
N’y tenant plus, Martin jeta un œil par la fenêtre pour voir si Marie-Claude était chez elle, mais aucun signe ne trahissait la présence de la belle à son domicile. Il plia la lettre en deux et la glissa dans une enveloppe avant d’attraper une veste et de traverser sa chambre en direction de la porte. En quelques instants, il se retrouva dans la rue et parcourut la vingtaine de mètres qui le séparaient des entrées des deux maisons. Il s’arrêta devant le portillon et scruta chaque ouvrant pour tenter d’y déceler une présence qu’il espérait plus que tout. Le cœur battant la chamade, il dut se rendre à l’évidence : Marie-Claude n’était pas chez elle. Déçu, il allait glisser l’enveloppe dans la fente de la boîte aux lettres lorsqu’une voix dans son dos le fit sursauter :
Martin se retourna et faillit tomber en se retrouvant nez à nez avec les yeux bruns de Marie-Claude, debout en face de lui.
Martin cherchant ses mots baissa les yeux sur la lettre déjà à moitié trempée qu’il tenait dans la main.
Elle fit tinter les clefs dans la serrure et ouvrit la porte avant de s’engouffrer à l’intérieur. Martin, tétanisé, resta immobile quelques secondes sur le pas avant de retrouver un peu de consistance pour suivre son hôtesse.
Une fois à l’intérieur, il détailla rapidement l’endroit. De grandes bibliothèques encombrées de livres de toutes sortes et des meubles de style nordiques donnaient à la pièce principale un caractère chaleureux. En faisant quelques pas supplémentaires, il s’aperçut que les tableaux encadrés aux murs étaient en fait des photos en noir et blanc de nus. Et tout portait à croire qu’il s’agissait d’elle.
Martin s’approcha d’une des photos pour tenter de la détailler. L’image ressemblait à un enchevêtrement de formes organiques qui faisaient penser à ces chiens dont la peau dessinait des bourrelets épais.
Martin resta muet.
Marie-Claude se dirigea vers la salle de bain attenante au salon tout en veillant à laisser la porte largement ouverte derrière elle. Elle commença par ôter son pull en grosses mailles trempées, laissant apparaître un maillot de corps blanc rendu presque transparent par l’humidité. Le regard de Martin quitta l’image grossie de la vulve monochrome pour suivre le chemin de la jeune femme, se tordant le cou pour tenter de l’apercevoir se déshabiller. Marie-Claude attrapa une serviette dont elle entoura ses longs cheveux bruns lissés par la pluie au-dessus de sa tête pour les sécher, bombant le buste et faisant apparaître la pointe de ses seins nus à travers son haut. Martin l’observait se cambrer et agiter ses mains autour de chacune de ses mèches, faisant ondoyer sa poitrine menue. Ses yeux détouraient sa silhouette, épousant le galbe de ses fesses charnues sous son jean. La jeune femme laissa retomber sa chevelure ébouriffée sur ses épaules et dans son dos, puis vint croiser les bras devant elle et attraper le bas de son débardeur qu’elle fit remonter au-dessus de sa tête d’un geste. Martin resta figé devant la cambrure de son dos ambré et se demandait jusqu’où allait aller l’effeuillage.
Martin rougit de se sentir ainsi mis à nu dans son intimité.
Martin, interpellé par les mots, se mit à penser aux femmes qu’il connaissait et à se demander lesquelles pouvaient bien se masturber, lorsqu’il reposa les yeux sur Marie-Claude, il réalisa qu’elle avait ôté son jean et se tenait debout face à lui en petite culotte. Son cerveau se figea comme tout le reste de son corps, ce que ne manqua pas de remarquer la jeune femme. Elle sentit la tendresse l’envahir. Ce jeune homme débutait sa vie et il avait tant à apprendre sur tout, mais avant tout sur les femmes, si tant est qu’il ne se découvre pas une attirance aussi pour son propre sexe un jour. Elle se tourna et saisit un peignoir de soie noir orné de roses rouges qu’elle enfila avant de nouer la ceinture sur ses hanches.
Elle se dirigea vers la petite cuisine ouverte jouxtant le salon et chargea deux capsules dans la machine. Martin la regarda se déhancher, cherchant ses formes sous les plis amples du peignoir. Une minute plus tard, elle se retourna avec deux mugs fumant dans les mains et revint vers lui. Martin allait s’asseoir dans un des fauteuils, mais Marie-Claude le reprit.
Elle s’assit dans toute la profondeur de l’assise, tirant sur les pans du peignoir de manière à dévoiler ses jambes jusqu’à mi-cuisses.
Marie-Claude exultait de le voir rougir jusqu’au bout des oreilles de ce qu’il n’osait prononcer.
Marie-Claude resta silencieuse, ses deux iris noisette figés dans ceux de Martin qui fut pris d’une violente bouffée de chaleur d’être ainsi scanné par une femme, par cette femme qui le dévorait du regard. Bien qu’habillé, jamais il ne s’était senti aussi nu. C’est comme si elle lisait dans son esprit. Elle se redressa, s’avança plus au bord du sofa et se rapprocha de lui, jouant habilement du croisement de ses jambes pour accentuer son malaise.
Martin écoutait religieusement.
Le sang avait déjà cessé d’irriguer le cerveau de Martin pour venir remplir les corps caverneux de sa verge qui avait déjà atteint un niveau de dureté plus qu’appréciable.
Marie-Claude se tourna, appuya sa tête sur l’accoudoir opposé à l’extrémité où se trouvait Martin et vint poser ses jambes nues sur ses genoux.
Martin s’exécuta, ouvrit les mains et les posa doucement sur le dessus des pieds de la jeune femme. Immédiatement, il sentit la chaleur de son corps sous ses paumes et sous la pulpe de ses doigts.
Marie-Claude sentit une boule de chaleur naître au creux de son sexe au contact de la peau du jeune homme sur son corps.
Sur quoi elle étendit une main qu’elle posa sur la sienne et la guida dans l’exécution de petites volutes qui tantôt montaient vers sa cuisse et tantôt redescendaient vers son pied.
Les mains du jeune homme prirent de la hardiesse et commencèrent leur ballet de manière plus autonome.
Peu à peu, sentant la confiance gagner le jeune homme, elle laissa ses bras reposer le long de son corps, posant nonchalamment une main sur la cuisse de Martin comme un aiguillon pour plus tard. La main du garçon serpenta doucement autour du genou avant d’entamer l’intérieur doux et moelleux du creux des cuisses de Marie-Claude qui entrouvrit un peu plus les jambes comme une invitation.
De son autre main, Martin tira lentement sur un des tenants du nœud qui maintenait les pans du peignoir qui, une fois libéré, glissa de chaque côté du corps alangui de la jeune femme, offrant à son regard gourmand la beauté des mamelons dressés vers le plafond par le désir.
Une main toujours affairée à éveiller la moiteur au creux du sexe de Marie-Claude par de lentes caresses qui tardaient à atteindre les lèvres déjà gorgées de sang et luisantes d’un filet de mouille qui se perdait entre ses fesses, Martin approcha son visage du buste de la jeune femme. Il s’arrêta à quelques centimètres du premier sein et se figea, ce qui surprit la belle étendue qui s’était préparée au contact sur sa chair.
Elle bomba le torse pour essayer de gagner le dernier interstice qui la séparait de la bouche du garçon, mais il recula d’autant. Sans y réfléchir, il se mit à souffler doucement sur la pointe durcie du mamelon, puis à dessiner des arabesques concentriques sur toute l’étendue du sein. Ce différé était insupportable et la chaleur au creux des reins de Marie-Claude s’étendait maintenant à tout son corps et gagnait chaque parcelle de sa peau qui devenait sensible à la plus petite stimulation, au plus petit courant d’air.
Pendant que le souffle de Martin gravissait lentement l’autre sein, sa main remonta doucement l’intérieur des cuisses largement ouvertes et effleura une des petites lèvres luisantes, avant de poursuivre au creux de l’aine et sur la hanche. Cet effleurement provoqua une décharge dans le corps de Marie-Claude qui mouilla de plus belle et dut se mettre à serrer ses cuisses l’une contre l’autre pour pétrir elle-même sa vulve suppliante d’être ouverte.
Il alternait les baisers bouche fermée avec des baisers langoureux, la bouche pleinement ouverte et la langue goûtant l’épiderme salé de sueur. Le cops voluptueux allongé sous ses yeux commençait à onduler et gémir sous les mouvements coordonnés de sa main jouant à courir de l’intérieur des cuisses à la peau, douce, du petit ventre douillet ; jouant à s’approcher chaque fois plus près sans jamais toucher le sexe dégoulinant de la jeune femme ; et sa bouche parvint enfin à la cime d’un mamelon dressé et ivre d’attendre d’être sucé. Une première libération arracha un gémissement plus fort au contact des lèvres qui avalaient et suçaient le téton goulûment, le léchait puis le suçait de plus belle.
De son côté, l’autre main osa un premier contact en effleurant le duvet du mont de vénus au droit de la fente largement ouverte du sexe de Marie-Claude. Le deuxième passage pénétra plus en profondeurs dans l’épaisse toison sombre. Le troisième écarta franchement les poils drus pour venir parcourir le sillon, s’attardant sur le capuchon du clitoris déjà dressé.
Mue par une sorte d’instinct ancestral, la bouche de Martin commença à dévaler doucement la peau moite du ventre qui palpitait au rythme de la respiration rapide de la jeune femme.
Les mains de Marie-Claude se relevèrent pour venir se poser sur la tête du garçon arrivé en haut de la dernière colline le séparant du Saint des Saints. Ses doigts se perdirent dans la chevelure du jeune homme et pressèrent son visage de descendre davantage. Martin savoura de retrouver ce parfum qui l’avait enivré l’autre matin. Il figea son visage à quelques centimètres du sexe offert sous ses yeux.
Comme il l’avait fait avec la poitrine, Martin commença par souffler doucement. Le souffle sur la chair détrempée provoqua une sensation de fraîcheur autant qu’une douce caresse qui électrisa le corps de la jeune femme qui accentua la pression sur la tête du garçon pour qu’il abrège son agonie. Loin de se laisser précipiter, il commença par déposer de légers baisers tout autour des lèvres et de la vulve, passant au-dessus du clitoris, redescendant puis remontant, se rapprochant chaque fois un peu plus du cœur. Puis sa bouche se posa à l’orée d’une des grandes lèvres et commença à la remonter lentement. Chaque baiser provoquait le ruissellement d’un nouveau filet de mouille qui venait maculer la bouche et le visage de Martin et savourait ce goût devenu familier en si peu de temps. La bouche parcourut le dernier centimètre et vint se poser sur le clitoris, encore à moitié recouvert de son capuchon. Il entrouvrit les lèvres pour laisser sa langue se déployer et venir se poser à l’entrée du vagin et remonter doucement le sillon béant. L’esprit de Marie-Claude explosa dans sa boîte crânienne lorsque la langue termina sa course sur le clitoris dressé. Sentant le corps de la jeune femme se tendre, Martin aspira le clitoris tout entier dans sa bouche en même temps que le plat de sa langue entama un rapide va-et-vient dessus. Cette combinaison diabolique provoqua un orgasme fulgurant en quelques secondes. Fort de sa trouvaille, Martin recommença de plus belle, ce qui provoqua un nouvel orgasme plus puissant que le premier, arrachant un hurlement à l’heureuse victime. Le troisième orgasme surprit Martin par le puissant jet liquide qui jaillit dans sa bouche. La surprise de l’instant passé, il accentua la prise de ses mains sur les hanches de la belle et engagea un quatrième assaut qui dépassa encore en intensité le précédent et provoqua le relâchement soudain de Marie-Claude, à moitié sonnée.
Martin releva la tête et savoura le spectacle du corps nu désarticulé par la jouissance de cette femme magnifique devant lui. Son regard parcourut les contours gironds de ses cuisses charnues, se regroupant dans ce triangle sombre tapi au creux de ces hanches voluptueuses qui poursuivaient sur la lente respiration ventrale, chaque sein s’étalant librement. Jamais femme ne lui parut plus belle qu’à cet instant. Elle ouvrit doucement les yeux.
Un peu gauche et gagné par une anxiété soudaine, il défit son pantalon et son boxer, libérant son sexe si dressé que son prépuce avait déjà roulé sur la muqueuse tendue de son gland. À genoux sur le sofa au-dessus d’elle, elle tendit la main vers une petite boîte de noyer vernis, posée sur la table basse, et en sortit un petit étui aluminisé qu’elle déchira.
Elle sortit le petit opercule de latex qu’elle plaça sur la verge triomphante de jeune homme avant de la dérouler précautionneusement.
Elle sentit le poids du corps de Martin peser sur le sien et le sexe dressé venir pousser entre ses cuisses. D’une main experte, elle saisit la verge qu’elle guida en elle jusqu’à ce qu’elle l’ait entièrement pénétrée. Martin savoura la sensation nouvelle de son membre enserré dans ce vagin accueillant et chaud. Tous deux restèrent un instant immobiles. Martin voulut commencer à aller et venir, mais elle posa ses mains sur ses fesses et le retint planté en elle.
Martin se figea et se concentra. Il commença à ressentir le sexe de Marie-Claude serrer puis relâcher sa verge comme un cœur qui bat. Il la sentait l’aspirer en elle, le presser.
Se sentant au bord de la jouissance, il ralentit sa respiration et sentit la vague de l’orgasme s’éloigner doucement.
Il commença à bouger ses hanches et à faire aller et venir son sexe en elle, guettant ses réactions, écoutant son souffle et lisant son plaisir dans la contraction de ses doigts dans son dos et sur ses fesses qu’elle pétrissait en cadence.
Martin se laissait totalement guider par elle, adaptant la vitesse et la profondeur de ses coups de reins sur la respiration haletante et à l’intensité des ongles de la belle qui commençaient à labourer son dos.
Le garçon accéléra, laissant son corps agir de lui-même, cherchant à plonger sa queue chaque fois plus loin et plus fort entre les reins de sa partenaire, jusqu’à ce qu’il sente quelque chose se contracter avec intensité au bas de son ventre et une décharge de plaisir irradier son corps en même temps qu’il se sentait se vider entre les cuisses de la jeune femme. Puis il s’affala sur elle, épuisé. La tête lovée au creux de son épaule.
Elle déposa un baiser sur son front et le serra dans ses bras comme s’il était redevenu un petit enfant.
Martin respira lentement.
Marie-Claude se mit à rire.