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Temps de lecture estimé : 12 mn
26/10/22
Résumé:  Cela fait quelques mois que Marie-Claude s’est installée à côté de chez Martin et que le premier contact a eu lieu. Un évènement va donner un nouvel élan à leurs rapports.
Critères:  fh fplusag poilu(e)s voiture amour ffontaine caresses intermast fellation init -initiatiq
Auteur : Cvices&delices            Envoi mini-message

Série : Marie-Claude

Chapitre 02 / 05
Mauvaise Conduite

Résumé de l’épisode précédent :

Marie-Claude vient d’emménager à côté de chez les parents de Martin, un jeune étudiant qui rentre en première année de fac. Après l’avoir maté de loin, le premier contact se fait alors que la belle profite d’une séance de bronzette dans son jardin pour se donner du plaisir, sous le regard-espion du jeune homme qui finit par se faire surprendre.







Martin ouvrit les yeux, à demi paniqué.



Le sommeil avait fini par venir à bout de lui après sa quatrième séance masturbatoire bien au-delà d’une heure du matin.



Cela n’aurait posé aucun problème un autre jour, mais pas ce matin de semaine de partiels de fin de premier trimestre. Martin s’extirpa de son lit d’un bond et fila nu comme un ver sous la douche dont il n’attendit même pas la première goutte d’eau chaude. En moins de cinq minutes, il était lavé et habillé et claquait déjà la porte de chez lui pour foncer vers l’arrêt de bus au bout de la rue. Son pouls s’accéléra en voyant le bus en train de repartir quelque deux cents mètres devant lui. Il inspira profondément et partit dans un sprint désespéré, malheureusement inutile.



Martin s’écroula sur le banc à côté de l’arrêt, submergé par un profond désespoir, sachant que le prochain bus ne passerait pas avant une demi-heure et que le jeu des changements le ferait arriver au moins une heure en retard à ses examens.



Martin, après s’être relevé, était en train de prendre la direction de la gare à quelque cinq kilomètres de là lorsqu’un coup de klaxon le fit sursauter. Il tourna la tête et vit une Mini rouge rubis s’arrêter à sa hauteur. La vitre passagère s’abaissa.



En une fraction de seconde, l’esprit de Martin passa de la résignation à la stupéfaction. Marie-Claude, sa voisine, l’objet de ses fantasmes, la créature qu’il espionnait avec frénésie autant que convoitise depuis des mois était là, assise au volant de sa voiture, ses yeux plantés dans les siens.



Le cerveau de Martin mit trois secondes à traiter l’information : lui, monter juste à côté d’elle, dans cette voiture.



Reprenant ses esprits, il épaula son sac de cours, saisit la poignée de la portière qu’il ouvrit d’un coup et se glissa sur le siège en cuir noir.



À peine eut-il enfoncé la bouche de la ceinture dans l’encoche qu’il sentit la voiture accélérer dans un crissement de pneus. Quelques minutes passèrent et Martin s’enfonça un peu dans son siège à mesure qu’il se relâchait. Il n’osait tourner la tête ni même un œil vers Marie-Claude, trop gêné de cette proximité directe, surtout après qu’il ne se soit fait surprendre en train de la mâter dans le jardin, caché dans son buisson, surtout que depuis, il s’était fait surprendre plus d’une fois à l’observer depuis la fenêtre de sa chambre.

Martin osa malgré tout jeter un regard discret sur la tenue de sa chauffeuse du jour. Marie-Claude avait fait le choix d’une tenue sobre et aguicheuse à la fois, malgré le froid devenu mordant en ce début décembre. Ses yeux se posèrent sur le genou moulé par ce qui devait être un collant sombre, avant de remonter le galbe de la cuisse qui se perdait sous l’épaisse maille d’une robe pull bordeaux. Cette proximité induite par l’espace étriqué de la voiture commençait à lui monter à la tête. Il sentait sa main gauche sur sa cuisse se crisper, comme mue d’une envie propre de franchir la dizaine de centimètres de la boîte de vitesse entre eux pour venir épouser le galbe parfait de cette jambe si proche, antichambre de l’antre moite qu’il avait entraperçue à distance l’été dernier. La voix de Marie-Claude le tira de sa rêverie.



Martin se tassa dans son siège, rouge écarlate.



Martin reste coi.



Martin ne savait plus où se mettre et se tortillait sur son siège.



Cette remarque redonna un peu de confiance à Martin qui aurait voulu disparaître sous le siège de la voiture s’il avait pu. La décontraction de la jeune femme qui venait le chercher dans ses retranchements le déboussolait totalement. Et Marie-Claude le percevait totalement. Elle en jouait même. Les yeux rivés sur la route, elle profita d’un changement de vitesse pour faire remonter innocemment sa robe sur ses cuisses. La chose n’échappa pas au regard affûté de Martin qui entraperçut immédiatement le liseré de dentelle noire apparaître à la frontière de la maille de laine, ce qui fit monter sa tension d’un cran en même temps qu’il sentait son sexe s’éveiller dans son caleçon.

Avec un savoir-faire certain, la jeune femme passa la main dans ses cheveux qu’elle ramena sur son épaule droite, offrant pleinement sa nuque au regard du garçon.



Martin s’étrangla alors que la robe de Marie-Claude était encore remontée de quelques centimètres sur ses cuisses ambrées. En dépit de ses efforts, il parvenait à peine à dissimuler ses yeux braqués sur l’entrecuisse serré à portée de main. Il cherchait à profiter des mouvements à chaque débrayage et embrayage pour entrapercevoir les prémices de l’étoffe de la petite culotte qui restait pour le moment terrée dans son antre de laine.



Marie-Claude se délectait. Elle jouait avec lui comme un chat avec une petite souris grise. Elle décida de monter d’un cran et se pencha pour attraper quelque chose dans la boîte à gant côté passager. Elle fit un large mouvement de buste qui eut pour effet de mettre sa nuque dégagée et parfumée à portée de lèvre de Martin en même temps qu’elle fit mine de prendre appui sur sa cuisse pour atteindre le fond du rangement. Le résultat fut immédiat. Martin se retrouva avec une érection monumentale sous son pantalon en toile, ce que Marie-Claude constata elle-même en se reculant, laissant sa main droite glisser nonchalamment le long de la cuisse du jeune homme en effleurant la bosse marquée.



Elle-même se prenait au jeu et sentir les yeux de garçons courir sur les quelques parties de son corps visibles avec envie commençait à l’émoustiller terriblement.



Elle attrapa sa main gauche qu’elle vint poser sur son genou droit.



Et de joindre le geste à la parole, elle fit glisser les doigts de Martin sur la face antérieure de sa cuisse. Il sentit le contact soyeux du bas sous la pulpe de ses doigts. N’osant regarder pleinement, il était focalisé sur les sensations tactiles. Ses doigts et son esprit goûtaient chacune des nouvelles sensations, tout en contenant une excitation qui devenait insupportable. Les cinq doigts pulsaient lentement à l’unisson à mesure qu’ils s’aventuraient sur l’épiderme. Marie-Claude retira sa main pour laisser celle du garçon faire son exploration seule. Les mouvements à tâtons, l’hésitation et la lenteur avec laquelle il la touchait commençaient à l’électriser si bien qu’elle peinait à rester concentrée sur la conduite. Elle sentait son sexe passer du picotement à l’humidité, puis de l’humidité à la franche inondation. D’un côté, son sexe commençait à supplier que ces doigts novices viennent le fouiller, et d’un autre, elle voulait faire durer ce moment suspendu, avec cette main caressante et hésitante qui approche puis s’éloigne. Elle écarta franchement les cuisses pour inviter le jeune homme à poursuivre son exploration.

Martin vit les cuisses s’ouvrir et la robe remonter davantage en offrant à son regard le triangle d’étoffe, objet de ses convoitises. La vue du triangle de soie noire bombé provoqua la brusque montée d’une bouffée de chaleur en même temps qu’une tension accrue dans sa queue tendue.



Martin défit les petites agrafes qui tenaient le bas et le fit rouler jusqu’aux genoux avant de faire remonter ses doigts le long de la chair douce. Il avait passé tant de soirée à se masturber en fantasmant de pouvoir toucher un sexe de femme et il était là, pratiquement au bout de ses doigts. Sa main remonta telle une araignée de volupté, chaque phalange avançant, glissant, caressant, centimètre après centimètre, dessinant des arabesques et des volutes sur la chair. Marie-Claude mouillait, ruisselait même… puis eut une première décharge de plaisir lorsque les doigts de Martin se posèrent sur la soie de sa culotte détrempée.



Martin se concentra sur ce qu’il sentait sous la pulpe de ses doigts, cette humidité glissante qui s’accentuait à mesure qu’il appuyait ses caresses. La deuxième chose qu’il perçut fut le parfum musqué qui envahit l’habitacle. Les effluves du sexe de Marie-Claude l’enivraient totalement, décuplaient sa propre excitation.

D’un geste, Marie-Claude glissa une de ses mains dans sa culotte, enduisit ses doigts de sa mouille qu’elle goûta avant de la déposer sur les lèvres de Martin.



Le cerveau de Martin était totalement éparpillé entre la découverte de ses doigts perdus entre les cuisses de la jeune femme, des senteurs étourdissantes de ce sexe de femme embrasé et surtout de ce goût de femme, unique et indescriptible, et dont il sut immédiatement qu’il ne pourrait plus jamais s’en passer.

Une sorte d’instinct primaire, animal et antique, parut prendre possession de lui et avec une hardiesse qui les surprit tous deux, sa main s’enhardit à venir pétrir la chair gonflée du sexe de Marie-Claude par-dessus la soie détrempée. Ses doigts sentirent le tissu se creuser à mesure qu’ils pénétrèrent la fente déjà largement ouverte sous l’épaisse toison pubienne, ce qui arracha un gémissement à Marie-Claude.



Alors d’un geste, Martin écarta le sous-vêtement pour accéder pleinement au sexe de la jeune femme. Ses doigts se perdirent d’abord dans l’épaisse toison brune qui, bien que dense, était étonnamment douce. Puis ses doigts découvrirent la merveilleuse géographie du mont de vénus bombé d’abord, pour le dévaler et ouvrir délicatement les grandes puis les petites lèvres.


Elle, de son côté, goûtait chaque mouvement explorateur, ses doigts parcourant la chair détrempée de ses lèvres ourlées, glissant tantôt à la périphérie, tantôt sillonnant le fond du sillon de sa vulve et découvrant l’orée de son vagin. Un premier passage involontaire de l’index du garçon sur son clitoris dressé provoqua immédiatement un premier orgasme foudroyant. Faisant immédiatement le lien entre son geste et le plaisir qui venait de terrasser sa chauffeuse, Martin concentra ses attentions à ce petit bourgeon avec qui il venait de faire connaissance. Il fit jouer la pulpe de son doigt pour dégager le petit capuchon et dessiner des petits cercles qui provoquèrent immédiatement un nouvel orgasme qui contraint Marie-Claude à s’arrêter sur le bas-côté. Ivre de désir et emporté par le sentiment de pouvoir donner autant de plaisir à cette femme qui lui offrait son intimité, il répéta une nouvelle fois les mouvements qui venaient par deux fois de propulser la jeune femme aux cimes du plaisir, ce qui provoqua un nouvel orgasme, plus puissant, en même temps qu’il sentit un jet chaud couler et inonder sa main.

Marie-Claude resta la tête en arrière de longs instants, immobile, épuisée.



Martin ne répondit pas, figé, la main enserrée entre les cuisses chaudes et trempées. Reprenant ses esprits, elle baissa les yeux et constata la bosse monumentale qui déformait l’entrejambes du jeune homme et l’état de tension dans lequel il se trouvait encore.



Et d’un geste sûr, elle dénoua la ceinture, ouvrit le pantalon qu’elle fit glisser sur ses cuisses avec son caleçon pour libérer la verge turgescente et prête à exploser.



Et avec assurance, elle se pencha vers son gland sur lequel le prépuce avait déjà roulé tant son érection était intense. Elle posa doucement ses lèvres sur le bout de son gland, ce qui fit presque exploser les battements cardiaques du jeune homme. Sentant qu’il était déjà au bord de l’orgasme, elle le fit glisser entre ses lèvres puis sur sa langue brûlante en même temps que ses mains accompagnaient le mouvement sur le long de la verge. Elle n’eut pas le temps de faire un deuxième va-et-vient qu’elle sentit le premier jet de sperme fuser et venir se perdre au fond de sa gorge, immédiatement suivit d’un deuxième, puis d’un troisième, la verge pulsant comme un cœur à chaque nouvelle décharge. Marie-Claude les avala jusqu’à la dernière giclée et libéra la queue déjà à moitié ramollie en l’accompagnant de ses lèvres. Voyant une dernière goutte ruisseler sur le méat du prépuce refermé, elle vint le recueillir du bout du doigt.



Martin secoua la tête.

Elle posa son doigt maculé du fluide blanchâtre sur ses lèvres qu’elle entrouvrit, doigt qu’il lécha docilement.



Martin haussa les épaules.



Suite à quoi elle se pencha vers lui pour poser ses lèvres sur les siennes et l’embrasser, mélangeant sa langue à la sienne encore nappée de son jus.

Puis, reprenant ses esprits, elle remit le contact.



La voiture reprit sa route, chacun des deux restant silencieux tout le reste du trajet.

Arrivé devant la grille de l’université, Martin ouvrit la portière. Au moment où il allait s’éloigna, Marie-Claude l’interpella.



Ce à quoi elle se tortilla et fit glisser sa culotte de sous sa robe et le long de ses jambes avant de la rouler en boule et de la lui tendre.



Martin vit la voiture rouge s’éloigner, encore ivre de ce qu’il venait de vivre et déjà impatient de connaître la suite.