n° 21273 | Fiche technique | 16398 caractères | 16398 2754 Temps de lecture estimé : 10 mn |
08/11/22 |
Résumé: Une opportunité professionnelle peut parfois réserver des surprises. | ||||
Critères: fh hplusag candaul exhib fellation -extraconj | ||||
Auteur : Descanso Envoi mini-message |
Ce texte sans prétention est mon premier, il est une suite possible de « Patou d’un coup… » et de « Le lendemain - Gerry raconte » de Lexdepenny, deux textes écrits gentiment par Lex après quelques échanges d’idées, surtout pour le premier.
Je suis arrivée à l’âge que l’on appelle celui de l’épanouissement chez la femme : 42 ans. Je pense que je les porte bien : mon mètre soixante-dix, mes yeux bleus encadrés par mes cheveux blonds plaisent encore à mon Vincent qui voudrait que j’en joue beaucoup plus. En effet, je me concentre beaucoup sur mon travail aujourd’hui, mon statut d’épouse et les nombreuses années passées ensemble ont le paradoxe de m’inhiber avec lui.
En cette période de crise sanitaire où chacun est limité dans ces mouvements, il n’est pas évident de trouver des motifs légitimes pour voyager. Mon implication professionnelle vient d’être récompensée par une promotion que je dois valider par une formation de sept jours en Irlande ; même si on m’accorde le droit à ce voyage, je n’ai aucun moyen d’hébergement sur place. Frustrée de cette situation, une idée a germé dans mon esprit, un épisode somme toute « coquin » m’a fait me souvenir d’un contact possible dans ce pays : une rencontre exceptionnelle de 24 h qui avait déclenché bien des émotions. Mon cerveau a remonté à la surface Gerry, un homme mûr d’une élégance et d’un magnétisme quasi incontrôlable pour moi.
L’idée me paraît bonne et très sympathique mais je souhaiterais qu’elle soit partagée. Le soir au repas, je mets le sujet sur la table :
Vincent saisit aussitôt son portable :
Après quelques secondes de recherche, le verdict tombe :
Je rosis, Vincent prend ça pour de la gêne, alors que ce sont surtout les images dans ma tête.
Je saute sur l’occasion :
Je ne suis pas spécialement à l’aise dans mon approche, mais je sais que mon époux a toujours ses idées d’exhibition, de partage… il aime savoir que je plais. Quoiqu’il arrive, si je venais à le lui raconter, il n’en serait que récompensé.
Il cherche dans ses contacts, il appelle ! 35 min plus tard tout est calé, Gerry est ravi de nous porter assistance comme nous l’avions fait. Il m’offre l’hébergement et sa qualité de guide, le rendez-vous est pris pour dans cinq jours à l’aéroport.
**********
Je suis reçu comme une business girl par Gerry qui arbore ce sourire ravageur, quelle élégance chez cet homme ! Il a vraiment quelque chose qui me fascine,
Nous arrivons chez lui : une très jolie maison agréable avec un petit jardin soigné. Il me désigne une chambre pour déposer mes affaires et me fait faire le tour du propriétaire. Après un café et quelques échanges d’amabilités sans aucune allusion (merci), je vais me rafraîchir.
Je profite de la douche, même si le voyage n’a pas duré si longtemps, j’avais vraiment envie de me rafraîchir. Je ne sais pas si cela vient du fait d’être hors de mon espace ou si c’est la présence de Gerry toute proche, mais mes mains s’égarent un peu sur mon corps. Je me caresse les seins qui sont doux et réactifs, même si mon homme me dit les adorer, je les voudrais un peu plus volumineux. Mes mains descendent sur mon ventre, inexorablement je descends vers mon sexe. Mes doigts entrent en contact avec ma toison toute douce. Même si je suis seule, je rougis d’un coup, je le sens sur mes joues.
Je regarde dans le miroir face à la douche, et je vois ce triangle de poil que j’ai laissé pousser depuis quelques jours, en fait, depuis cette idée un peu folle que j’ai eue de me faire héberger par Gerry. La veille de mon départ, au lieu de laisser un duvet sur mon mont de vénus un peu délaissé ces derniers temps, je l’ai taillé en triangle et rasé pas trop court, cela donne un côté presque vintage, comme on dit. Et si le rouge me monte au visage, c’est parce que j’ai fait cela en pensant faire plaisir à mon hôte… même s’il n’est pas certain qu’il se passe des choses coquines durant cette semaine.
Je finis ma douche sur un filet d’eau froide et reprends quelque peu mes esprits.
Nous passons une soirée agréable à parler de Vincent, mais aussi de la passion de Gerry pour le cyclisme et de ma future formation. Gerry n’oublie pas de me complimenter à plusieurs reprises, de ma réussite professionnelle, mais également de mes charmes qui, selon lui, se sont révélés encore plus avec le temps. Il m’explique que demain il me déposera dans le quartier d’affaires, et que si demain soir je ne suis pas trop fatiguée, il me fera découvrir un petit restaurant agréable.
Je passe une bonne nuit reposante.
Le lendemain, une première journée de formation digne de ce nom, énormément de nouvelles informations, une pause éclair et beaucoup de rythme.
Lorsque Gerry me retrouve au pied du bâtiment, je suis rincée, on passe chez lui.
Même si je sens une pointe de déception chez Gerry, il me sourit gentiment :
Il est déjà 19 h 30, la douche me fait du bien. En sortant, je m’enroule dans une grande serviette et me rends dans ma chambre. Un petit message d’outre-Manche qui m’interroge sur la formation et me demande d’être gentille avec mon hôte, suivi d’une émoticône.
Je lui réponds et lui précise que la soirée sera consacrée au repos.
Vu l’heure, je décide de me mettre à l’aise : j’enfile un shorty qui moule assez mes fesses, j’avoue ; un petit haut à bretelle en soie noire (mon pyjama en fait) ; et j’enfile une veste de laine qui m’arrive à mi-cuisse. Mes jambes sont nues et la veste à bouton offre un décolleté raisonnable.
Je retourne au salon où Gerry m’attend, l’ambiance est feutrée et très agréable. Je lui demande si ma tenue décontractée ne le dérange pas. Au vu de son regard, pas du tout ! Il ajoute que je fais comme chez moi et que tout dépend de moi.
Nous buvons un petit verre, assis dans un confortable fauteuil profond qui me fait révéler encore plus mes cuisses. Gerry me confie sa joie de me recevoir, et me réitère les propos de notre première rencontre sur l’effet que je dois avoir sur la gent masculine. Je rougis, je ne sais pourquoi mais mon ventre et ma tête sont dans un état second avec cet homme. Je me souviens de la fin du texto de Vincent : « sois gentille !!! »
Je m’absente un instant pendant que Gerry va chercher un plateau-repas. À mon retour, des plats et une bonne bouteille de vin trônent sur la table basse.
À son regard, je crois que mon hôte s’est rendu compte que j’ai défait deux boutons de mon gilet, mais cela reste discret ! Je suis contente de l’effet et lui réserve la surprise pour dans un instant. En effet, invitée à me servir, je me penche sur la table, le décolleté s’ouvre largement. Gerry ne peut que constater que le petit haut a disparu également. Il a une vue imprenable sur ma poitrine, mes seins me font presque mal tellement mon excitation les tend. Même si j’ai toujours aimé jouer un peu, je l’ai souvent fait au sein même du couple. J’ai du mal à comprendre comment le magnétisme de cet homme me pousse à ce genre de comportement, mais, quel plaisir ! Comme je lui avais avoué après notre première rencontre, je préfère le côté « garce provocatrice » que salope soumise, même si cela peut amener quasiment aux mêmes risques de débordements,
Je sens le rouge à mes joues, je ne sais même pas pourquoi j’ai répondu ça ! Gerry pose un regard réconfortant et enjoué sur moi, il me remercie de cette confidence et ne se prive pas de profiter du spectacle pendant le reste du repas.
Après un petit dessert, je le remercie de ce moment et m’apprête à me lever pour aller me coucher. Sur un ton qui me surprend :
Un feu né dans mon ventre, je suis autant excitée que tétanisée, presque honteuse de mon idée.
Les mots sortent presque seuls de ma bouche :
Des images d’ordinateur me viennent de suite à l’esprit, c’est alors que je me rappelle à quel point il avait apprécié la fellation avant son départ. Je suis attirée, comme aimantée, je pose un baiser sur ses lèvres. Je sens ses mains sur mes épaules et sans aucune résistance je m’agenouille devant lui, j’ouvre son pantalon et retrouve ce sexe soigné et encore bien joli pour un homme de son âge.
Après quelques caresses, toute son énergie se concentre dans son pénis qui vient de se transformer en une « bite » bien ferme. Je sens mon shorty s’humidifier, mes seins se tendent, ma bouche est inexorablement attirée par ce gland ! Je me mets à le lécher, le sucer. Je le prends en bouche, il est bon, long et doux. Je me vois en gilet et me dis que je peux faire mieux… je retire la veste et me retrouve les seins fièrement tendus vers Gerry. Mon cul bombe le shorty.
Je sens la vigueur monter dans sa bite, et là je me souviens que je lui avais offert presque involontairement l’opportunité de jouir dans ma bouche, ce qui avait été une première et une dernière pour moi. Je le sors de ma bouche et le branle en lui caressant les bourses. Je le reprends en bouche et le pompe comme une affamée. J’expose mes seins au maximum, et le sentant sur le point de non-retour, je le branle à nouveau en voulant le faire jouir sur mes seins.
Sans autres mots, il jouit sur mes seins. Malgré sa condition de gentleman, je sens plusieurs jets copieux s’abattre sur ma poitrine, je suis surprise de cette quantité quand même. À cet instant, je suis fière de moi, un peu honteuse, pas du tout souillée, mais honorée d’avoir fait jouir cet homme de telle manière.
Je sens de la tendresse dans son regard, heureux de sa jouissance, j’ai le sentiment d’être encore plus femme, ou devrais-je dire « amante » devant cet homme.
Il m’a percé à jour, il a compris que je suis venue aussi pour sortir de ma zone de confort.
Mes yeux sont plongés dans les siens. Donner du plaisir à l’autre en se lâchant… Quelle sensation !
Je saisis une serviette en papier sur la table et j’essuie ma poitrine rapidement. Je me relève, Gerry embrasse mes seins et en pince même un, cela m’électrise.
Un doux baiser et nous regagnons nos chambres respectives.
Arrivée dans ma chambre, je me détends quelques instants sur mon lit, en shorty, torse nu, mais je dois avouer que d’avoir fait jouir Gerry m’a donné envie de jouir aussi. Ma main glisse sous mon shorty, la sensation de ma toison inhabituelle me transporte, je sens mes lèvres s’humidifier. Je me mets à penser à mon mari, un doigt vient glisser à l’entrée de ma petite chatte… Me revient soudainement un souvenir, je saisis mon téléphone et j’appelle mon chéri en visio.
Il est assis sur le canapé de notre salon, Je cadre mon visage au début, je lui envoie un gros bisou et lui annonce que je voudrais lui faire une surprise. Ses yeux s’illuminent. J’éloigne doucement le téléphone, ce qui agrandit le cadre, mon torse nu lui apparaît… je vois ses yeux s’écarquiller. Contente de l’effet que ça lui fait (je le connais), je cale le téléphone contre un coussin et, sans plus de commentaire, j’entame une masturbation dont nous avons le secret, nous, les femmes. Il a le droit de voir ma toison, je me laisse aller jusqu’au plaisir, mon corps fait de petites convulsions. Pour le taquiner à fond, sans plus de détails, je lui souhaite une belle nuit et l’embrasse juste avant de couper.
Je me lève pour aller me brosser les dents. Apparemment, ma porte de chambre est restée entrouverte, mais il n’y a pas de bruit, Gerry doit déjà dormir.
Dans la salle de bain je m’empare de ma brosse à dents, et, ô stupeur ! Dans le miroir je constate que si j’avais bien essuyé mes seins, j’avais oublié la base du cou où il reste une traînée blanchâtre… J’espère que Vincent ne l’a pas vu quand même !
Au moment de me coucher, je reçois un petit message de mon chéri :
Merci ma beauté, quel magnifique spectacle j’ai pu apprécier. Profite de ton séjour, je le vois bien commencé.
P.S. N’oublie pas de faire un brin de toilette avant de t’endormir.
Bisous
Au moment de m’endormir, je suis partagée entre honte, surprise, envie et jouissance. Je dois reconnaître que le désir et le plaisir de me livrer à mon hôte sont puissants dans mon esprit…
À suivre, peut-être…