n° 21422 | Fiche technique | 62138 caractères | 62138 10861 Temps de lecture estimé : 37 mn |
10/01/23 |
Résumé: Chloé fait partie des personnages périphériques de cette série. Elle a souhaité se mettre en avant afin de nous exprimer ses sentiments profonds envers Jérôme. Elle nous fera part, en toute intimité, de son histoire à elle. | ||||
Critères: f fh grossexe hépilé fépilée vacances exhib nudisme ffontaine fmast hmast caresses intermast rasage facial fellation confession -initiat | ||||
Auteur : lapinlapine Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Histoire d'eau d'un plombier de métier Chapitre 05 / 05 | FIN de la série |
Résumé des épisodes précédents :
Jérôme, plombier de métier a vu son sexe changer de volume après la prise de gélules expérimentales et à la suite d’un grave accident de VTT. Il a fait la rencontre de Delphine et ils ont choisi de parfaire leur rencontre en osant passer un séjour dans un camping naturiste. Le couple n’est pas passé inaperçu.
Je m’appelle Chloé, j’ai 22 ans. Je profite de l’occasion qui m’est offerte pour me présenter à vous.
J’ai fait de courtes apparitions dans l’épisode précédent « Vive le naturisme » dans la série « Histoire d’eau d’un plombier de métier ». Je jouais un des rôles secondaires dans cet épisode qui s’est déroulé il y a plus de deux ans maintenant. Rappelez-vous, j’étais la jeune serveuse ! Je suis certaine que si vous avez lu la fin de cet épisode, j’ai sans doute pu vous émoustiller. Avant de vous raconter ce que je viens de vivre avec Jérôme tout à l’heure, j’aimerais revenir à mon enfance, ainsi vous cernerez un peu mieux ma personnalité.
Mon histoire commence réellement à l’âge de 7 ans. C’est ma grand-mère qui m’a élevée après le décès de mes parents dans un stupide accident de voiture, un type bourré leur avait grillé la priorité. Ma grand-mère avait toujours été autoritaire, même avant leur décès, et l’était devenue encore bien davantage après. Sans doute n’avait-elle pas accepté la disparition aussi brutale de son fils, mais quoi qu’il en fût, j’avais le sentiment qu’elle défoulait sa colère sur moi. De ce fait, mon refuge à moi se trouvait étrangement dans mes études, ma scolarité s’étant faite dans une école catholique assez stricte. Là-bas, on m’enseigna les bonnes manières et surtout à se la fermer.
Vous pensez bien que cette période-là de ma vie n’est pas celle que je souhaite vous faire partager.
À l’âge de 14 ans, la vieille mégère décéda à son tour et je suis devenue le dernier membre de ma famille. Je fus donc placée dans un foyer, en l’attente d’une famille d’accueil. À cette époque, j’étais introvertie et je n’avais pas confiance en moi. Après une période d’adaptation un peu lente, j’ai fini par me faire deux copines de mon âge qui m’ont fait sortir peu à peu de ma coquille. Je me souviens que là-bas les douches des filles étaient quasiment toutes communes, sauf quelques cabines individuelles qui étaient réservées aux femmes qui nous encadraient. Prendre votre douche en commun avec d’autres filles n’a pas été évident au début, surtout quand on a été élevée comme moi dans le fait de respecter l’intimité de son corps. Le foyer n’est pas du tout l’endroit idéal pour les personnes pudiques comme moi, car sous les douches communes, l’intimité justement n’existe pas. De plus à 14 ans c’est l’âge où on s’intéresse au corps de l’autre, où on se compare. Curieuse de nature, j’observais mes camarades discrètement du coin de l’œil. Certaines de mes copines avaient de petits seins et d’autres de bien plus développés. Moi j’étais dans la moyenne, je faisais un 85B un peu en poire. Au niveau pilosité, j’étais l’une de celles qui en avaient le plus sur le pubis, autant qu’Amélia, ma copine d’origine portugaise. C’est à cette période que j’ai commencé à m’épiler partiellement après avoir subi pas mal de moqueries d’autres filles.
L’année d’après, à l’âge de 15 ans, j’étais tombée amoureuse d’un garçon qui lui aussi était placé dans le même foyer. Les garçons étaient logés dans une aile opposée de celle des filles, mais venaient nous voir à la nuit tombée en faisant le mur. Mon amoureux s’appelait Arthur et il était un peu plus âgé que moi. C’est avec lui que j’ai découvert le sexe, c’est lui qui m’a dépucelée. Cela n’a pas duré bien longtemps entre nous et c’était tant mieux, car je ne garde pas un bon souvenir de cette relation avec lui. Il a quitté peu après le foyer sans donner de nouvelles. Même si Arthur m’avait initiée au sexe, je n’étais pas plus douée et expérimentée que ça. Malgré un sentiment d’inachevé, j’avais dans l’idée que le sexe devait quand même être une bonne chose.
Par la suite, je fus enfin placée dans une famille d’accueil pour la première fois de ma vie : Les Martineau. C’est véritablement chez eux que je me suis totalement libérée. Ils habitaient dans la forêt de Rambouillet, dans une jolie ferme rénovée. La famille était composée de Nathalie, la mère, Marc, le père, et Benoit, Ben, le fils qui avait un an de plus que moi. Au début de mon intégration chez eux, ce ne fut pas facile pour moi. Il m’avait fallu pas mal de jours d’adaptation. Ce qui m’avait aidé, c’était la gentillesse de Ben avec moi et son côté de tout prendre en dérision, rien n’était vraiment important à ses yeux. Il était vraiment cool et surtout vraiment très mignon avec son look de skateur ou de surfeur australien. C’était le genre de garçon à porter des jeans baggy troués et il portait constamment un petit bonnet qui lui donnait un look de voyou. Je me souviens surtout de ces soirées passées avec lui à l’étage de leur maison. Là-haut, c’était notre domaine et ses parents ne montaient jamais. Nous avions nos deux chambres et une salle de bain commune pour tous les deux. Cette période a été l’une des plus érotiques que j’ai vécues. D’ailleurs, il y a une anecdote qui me revient, il faut tout de même que je vous raconte ce qui s’est passé un de ces soirs-là.
Après plusieurs semaines d’intégration dans cette nouvelle famille, Ben et moi nous entendions à merveille, à tel point que nous avions décidé de sceller comme un pacte entre nous en nous considérant comme frère et sœur. Lorsqu’il m’avait annoncé ça, j’étais la plus heureuse des filles. Puis, un des soirs qui suivirent cet acte de fraternité, je faisais comme très souvent, un peu d’étirement de type yoga en bas dans le salon afin d’avoir un peu plus de place pour mes exercices.
Ce soir-là, après ma séance d’exercices, je remontais l’escalier qui menait à nos chambres quand j’ai vu Ben se diriger vers la salle de bain avec ses affaires dans les mains. Il s’est retourné pour me regarder arriver et il n’a pas remarqué qu’il avait fait tomber un slip par terre. Pensant qu’il s’en apercevrait, j’ai laissé courir et il s’est enfermé dans la salle de bain pendant que je filais dans ma chambre me changer. À cette période, j’étais toujours un peu pudique et malgré le fait que je portais des leggings pour mes exercices, je n’étais toujours pas très à l’aise à l’idée de déambuler dans toute la maison avec un bas aussi moulant. Pourtant ce soir-là, j’avais dans l’idée de tenter une approche plus complice avec lui, car il m’attirait tout de même beaucoup ce beau mec. Dans mon esprit, il était clair qu’on garderait cette distance fraternelle, d’autant qu’il sortait avec une nana qui était assez quelconque par ailleurs. Les planètes étaient donc parfaitement alignées pour que rien ne puisse jamais arriver entre nous, cependant, vous commencez à me cerner, quand j’ai quelque chose en tête je ne l’ai pas ailleurs et moi je m’étais mise au défi de savoir si j’aurais pu séduire un garçon comme lui. Je l’avais croisé quasiment tous les soirs en boxer ou en slip et à chaque fois cela se finissait en séance de masturbation dans mon lit. Il y a de quoi devenir dingue, n’est-ce pas ?
Ma stratégie était simple. Faire preuve de courage en usant de mes charmes, alors j’ai décidé de changer radicalement ma façon de m’habiller pour la nuit. Au diable mes chemises de nuit informes, j’avais opté pour une solution radicale : Petit haut genre Marcel qui m’arrivait pile sous les fesses et super échancré sur le col ainsi que sous les bras. Le genre qui me révélait le côté de mes jolis seins bien ronds. Certes, ce genre de haut ne paye pas de mine au premier abord, mais croyez-moi, cela reste très efficace. En bas, j’avais opté pour un string-ficelle blanc assez échancré et dont le tissu du devant était très fin, voire un peu transparent, avec ma touffe brune apparente au travers. Certes, c’était risqué et il ne fallait pas avoir froid aux yeux pour porter un ensemble comme celui-là mais le tout bien ajusté, il n’y aurait pas de problème et puis je comptais bien rester debout de toute façon, il n’était pas question pour moi de venir m’exhiber aussi rapidement. Cela devait être une première étape, un petit plat de hors-d’œuvre.
Une fois prête, je l’attendis sagement devant ma porte pour aller me brosser les dents, simple prétexte pour le croiser. Je voulais voir son regard se poser sur mon corps et espérer y déceler un peu de convoitise de sa part. Dans cette tenue, je n’étais vraiment pas à l’aise, car le haut était vraiment léger et décolleté de partout. Rapidement, je me suis sérieusement demandé si le choix de cette tenue n’avait pas été un peu trop optimiste de ma part et si j’avais présumé de ma capacité à assumer une tenue pareille. Mon regard se posait ici et là, faisant monter mon inquiétude. Depuis l’encadrement de ma porte de chambre, je pouvais voir le bureau de Ben sur lequel un jeu de UNO était posé là. Puis en regardant le sol du couloir, j’ai remarqué que le fameux slip était toujours là, posé sur la moquette. Par curiosité, je me suis avancée puis l’ai ramassé. Il avait l’air tout à fait anodin, je l’ai regardé de près et j’ai senti qu’en jouant à tirer sur l’élastique, celui-ci restait tendu de façon anormale, le rendant pour le coup bien plus lâche. Bah après tout, il n’avait qu’à pas le faire tomber, et c’est pile à ce moment-là qu’il m’a interpellée derrière la porte de la salle de bain. Surprise, j’ai lâché le slip qui est retombé à mes pieds. Je me suis sentie immédiatement prise sur le fait dans cette tenue que je regrettais tellement d’avoir choisie. Je me suis concentrée afin de tenter de maîtriser la situation, car à cet instant rien ne me compromettait, j’avais sans doute réajusté cent fois mon haut.
Il entrouvrit légèrement sa porte, seule sa tête dépassait. Les battements de mon cœur se sont emballés. J’ai repris mes esprits et pour jouer un peu avec lui, je lui ai dit de venir le chercher lui-même. Magnanime et après de nombreuses supplications de sa part, j’ai fini par lui jeter le slip sur la tête pour jouer un peu, il rigola. J’étais tiraillée par l’envie de vite aller changer ma tenue, mais aussi par le fait d’oser aller jusqu’au bout de mon initiative de départ. J’avais alors décidé de rester bien sagement devant la porte de ma chambre. Il sortit de la salle de bain quelques secondes après et lorsqu’il s’approcha de moi, je crus manquer un battement de cœur. Je vis assez rapidement que son pénis était visible par le dessus, j’avais donc bien modifié la tension de son élastique de façon maladroite. Mon cœur se mit à battre à nouveau très fort à cet instant, car c’était la première fois que je voyais son anatomie et j’en oubliais complètement ma tenue. Cependant, j’étais quasiment certaine qu’il avait remarqué que quelque chose clochait, car il n’avait jamais mis aussi peu de temps à regagner sa chambre. Il a jeté un rapide regard furtif sur mon haut au passage et je ne sais pas pourquoi, sans doute la lecture de son regard sur moi, je me suis sentie en confiance. Évidemment, je ne voulais surtout pas risquer qu’il mette un autre slip ou un autre boxer, celui-là était parfait pour pouvoir le mater à ma guise, alors sans réfléchir je lui ai dit :
Je sais être convaincante parfois, et la vie étant faite d’opportunités, il ne fallait pas rater celle-là. Ayant vu le jeu posé sur son bureau, j’avais eu l’idée sans penser aux conséquences. Le brossage de mes dents pourrait attendre.
Je rentrais donc dans sa chambre sans attendre sa réponse et me jetai à genou sur son lit avec le jeu en main, en affichant mon plus beau sourire. Je me souviens que mes nichons avaient pas mal rebondi et je reconnais avoir accentué leurs mouvements. Dire que quelques minutes auparavant je regrettais de porter une telle tenue, à cet instant je me sentais être une vraie aguicheuse et je m’en foutais. Comment vouliez-vous qu’il refuse une telle proposition ? Une jolie nana comme moi, si enthousiaste et plus motivée que jamais de lui donner un nouveau regard sur ma personne. La nouvelle Chloé version 2.0 était dans la place avec un zeste d’exhibition en tête. Je fonçais tête baissée. J’ai vu que ses yeux s’étaient posés sur mes nichons comme deux radars laser dernier cri, du matériel de haute précision. J’étais certaine qu’il était ferré à cet instant, il ne pouvait plus s’échapper. Je l’invitais donc à venir me rejoindre, ce qu’il fit. Il semblait si gêné, il était à croquer. Il se mit lui aussi en tailleur les cuisses écartées et il tirait régulièrement sur le bas de son tee-shirt afin de se camoufler tant bien que mal. Que c’était ridicule et puéril de sa part, car son tee-shirt était bien trop court et il ne pouvait pas masquer le devant de son slip qui bâillait.
Je m’étais installée à mon tour en tailleur face à lui, cuisses tout écartées également, mais mon tee-shirt, lui, tombait nickel devant mon string. « Y aller crescendo », me suis-je dit. Les larges bretelles de mon haut glissaient constamment sur mes épaules, dévoilant ainsi le sillon d’entre mes seins dans le décolleté ainsi que le côté de ces derniers sous les bras par les échancrures. Dans un autre contexte, je n’aurais pas cessé de bien le réajuster au mieux, mais là, c’était tout le contraire. J’étais décidée à me dévoiler peu à peu et tant pis si un nichon pouvait apparaître. Je me sentais très sexy pour ma toute première fois et totalement désinhibée. La sœur rêvée !
La partie commença et forcément mes yeux se posaient régulièrement sur son entrejambe. Je voyais par le dessus le haut de son pénis qui était orienté sur le côté sous l’élastique qui bâillait. Je voyais aussi son prépuce dépasser un peu sur le haut. Cette vision me donnait des sensations dans mon string et lorsque je suis très excitée, je mouille souvent de façon assez importante, mais il faut que je le sois vraiment. Au fur et à mesure du jeu, des petites chamailleries ont commencé. On se tapotait les mains lors des pioches, on s’insultait gentiment lors des attaques et parfois, on se bousculait doucement avec nos mains. De plus en plus, j’osais me pencher davantage en avant pour piocher et ainsi lui dévoiler un peu de mon décolleté qu’évidemment, je ne réajustais pas. Après coup, je me rends compte comment il a su se maîtriser pour ne pas bander par ma faute. Vous allez me prendre pour une allumeuse et vous auriez bien raison.
À un moment de la partie, je me souviens l’avoir un peu agacé, car il n’arrêtait pas de perdre. Dans un petit accès de colère, il m’avait un peu repoussée de sa main contre une de mes épaules alors dénudées. Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête à cet instant-là, mais j’ai accentué mon mouvement de recul, comme dans le film Matrix dans lequel les personnages évitent les balles en restant en suspension, restant repliés en arrière, m’affalant sur le dos les cuisses restées en tailleur. J’ai toujours été très souple. Je ne me suis pas rendu compte sur le moment que le devant de mon string était devenu totalement visible et que mes poils bruns fournis de mon pubis, ainsi que ma fente épilée avaient été révélés en transparence, ce string n’ayant pas de double fond. Je pris conscience de ce que je lui avais dévoilé lorsque je me suis rassise. À l’intérieur de lui, ce devait être une explosion nucléaire.
La partie reprit ensuite et je vis que son pénis avait semblé avoir pris du volume dans son slip. Son membre semblait forcer contre le peu de tissus qui lui restait et était à deux doigts d’apparaître. Je me suis dit qu’un seul faux mouvement et il pouvait sortir de son logement. Mon souffle était si court et mon cœur battait si fort que j’ai eu peur qu’il l’entende, cela m’aurait trahie. Sans m’en rendre compte, j’avais crispé une de mes mains contre le tissu de son drap et je devais sans doute me mordiller la lèvre inférieure. J’étais si excitée que je sentais que je mouillais de façon importante. Deuxième grave erreur car, tout trempé, le devant de mon string risquait de devenir tout transparent sur ma touffe et devait sans doute mouler ma vulve. Il était trop tard pour regretter alors dans le feu de l’action et sur ce moment d’exhibition mutuelle, je forçais le destin et le poussa à un moment opportun du jeu mais assez fort exprès pour qu’il s’affale lui aussi comme je l’avais fait peu avant.
Toujours mettre un défi à relever, y a rien de tel !
Il le fit et joua le jeu parfaitement, en accentuant même le mouvement, c’était inespéré et il eut une excellente idée de faire ça. Ce que j’espérais arriva donc, car son pénis mi-mou, mi-dur sortit comme prévu et il ne s’en rendit même pas compte sur le moment. Je voyais son machin remuer librement avec son prépuce au bout en forme de bouton tout fripé, c’était adorable à regarder. Il ne bandait pas encore, signe que je n’avais sans doute pas été suffisamment loin avec lui mais sa bite avait pris de l’allure. Une aubaine, car Il resta comme je l’avais fait, allongé en arrière un petit moment en surjouant le fait qu’il avait réellement pris une balle dans le cœur. Je me suis évidemment bien gardé de lui dire que son truc dépassait et en ai profité pour le mater en me léchant les babines. Fair-play, je lui ai finalement offert mon aide pour l’aider à se redresser et il tira sur ma main pour se remettre assis. C’était un moment si érotique. Il avait la peau si fine sur le bout de son pénis que je devinais la forme de son gland dessous. Ça faisait tellement de temps que je n’avais pas revu de sexe de garçon ! Il croisa mon regard qui était posé sur son entrejambe et il tenta de réagir par excès de pudeur en le remettant dans son logement.
Il était si mal ! Et un petit mensonge n’a jamais fait de mal ! Il avait du mal à la remettre en place dans son petit slip puisqu’elle avait augmenté de volume, signe que cette situation l’émoustillait lui aussi. La vue de ma touffe au travers de mon string avait dû le titiller. Moi qui étais quelques jours avant cela la plus pudique des deux, me comparant à une none, je continuais à le provoquer gentiment.
« Bien voyons ! », me suis-je dit.
J’étais si tremblante intérieurement de vivre cette scène et d’oser lui dire tout ça. Il devait me percevoir avec un nouveau visage, celle d’une vraie petite peste dévergondée, ma tenue pouvait en témoigner. Malgré tout, il réussit à la remettre tant bien que mal dans toute sa longueur, sur le côté le long de l’élastique tendu de son slip. C’était un acte de bravoure voué à l’échec. Le pénis était toujours visible sur toute sa longueur mais malgré tout il tenait, un vrai miracle !
Puis, pendant que le jeu se poursuivait, j’ai osé aborder le sujet de sa relation avec sa petite copine. Il me raconta comment ils s’étaient rencontrés. Après quelques minutes, et après lui avoir demandé de me la décrire de plus en plus en détail, j’appris alors qu’elle se rasait la chatte totalement et que cela lui plaisait énormément comme à la majorité des garçons. Je notais cette information précieusement.
Pendant toute notre discussion, j’avais continué mon petit manège d’exhibition parfaitement anodin et parfaitement maîtrisé. Au bout d’une demi-heure, il avait pu voir mes tétons dépasser sur les côtés à plusieurs reprises de façon, bien entendue de façon tout à fait malencontreuse. Vous me connaissez, maintenant ! Mes seins étaient quasiment ceux que j’ai aujourd’hui. Je sais que ce genre de description est très attendue pour certains ou certaines, alors je m’y colle. Je fais un bon 85C, ronds, fermes mais remuants à la fois, avec une peau très blanche presque laiteuse. Pour aller encore plus dans les détails, j’ai pensé à me mesurer mes aréoles qui font quatre centimètres, pile. Leur pourtour est totalement lisse et de couleur marron très clair. Et pour finir, et là j’aurais vraiment fait le boulot, mes mamelons sont tout aplatis et mes tétons à peine bombés quand je suis en mode normal. Quand je suis excitée ou si j’ai froid, mes aréoles se contractent un peu et mes tétons se dressent comme deux petits bourgeons.
Vous avez un petit aperçu de ce que Ben avait pu voir de mes seins lors de notre partie de UNO.
Le devant de mon string était trempé de cyprine depuis presque une heure et j’avais une grosse crainte qu’une tache pût être visible. C’est alors que son pénis ressortit de son logement d’un coup. Le bougre, il avait su se maîtriser jusque-là, une belle performance ! Il se dressa assez rapidement et son prépuce se tendait et dévoilait son gland que je voyais tout luisant. Il était si excité le pauvre ! C’était toute une réaction en chaîne à laquelle j’assistais. Il était super gêné de bander devant moi et là je pouvais le comprendre, c’était la honte pour lui. Alors je pense avoir parfaitement bien réagi car je l’ai rassuré, yeux dans les yeux, et l’ai orienté sur le fait de prendre ce qui se passait en dérision.
Ma réaction quelque peu pressante et très focalisée sur le jeu avait fini par détourner son malaise et cette situation extrêmement délicate pour nous deux devint un moment tout à fait naturelle, voire banale. Après tout, avoir le machin à l’air et moi avoir la chatte trempée, c’est tout à fait normal n’est-ce pas ?
Évidemment, je profitais un maximum de cette occasion de mater sa bite à loisir durant la partie.
Flatter les attributs masculins est toujours une bonne stratégie d’encouragement.
À cet instant, je mourrais d’envie de savoir comment il me trouvait. J’avoue aujourd’hui que c’était sans doute ce soir-là que je me suis vraiment senti une véritable coquine avide de sexe. Moi qui déjà me masturbais si souvent avant, le sentiment de séduction et de ressentir autant d’excitation devenait comme une drogue. Je sentais que j’avais les aréoles contractées et mes tétons d’habitude tous plats étaient pointus et très durs à l’extrême. Ils se voyaient sous le tissu de mon haut. Avec la vision qu’il devait en plus d’avoir de ma chatte trempée dans mon petit string, il était impossible pour moi de cacher mon excitation. Telles étaient les conséquences du jeu auquel j’avais voulu jouer.
Puis le moment crucial arriva peu après. Je me suis levée pour aller pisser sans réajuster un seul instant mon haut en m’y rendant. J’ai apprécié sentir mes seins sortir ici ou là de mon haut lors de ma progression vers la salle de bain. Évidemment, Ben ne pouvait m’observer à ce moment-là. Une fois assise sur la cuvette des WC, le string baissé, j’ai vu qu’il était totalement trempé, et pas qu’un peu. J’avais la chatte inondée de cyprine. Ça m’a surpris d’avoir autant mouillé car ça coulait quand même un peu. Lorsque je l’ai remis, j’ai vu parfaitement ma chatte tout entière totalement transparente dans le miroir, comme si je ne portais rien du tout. Il l’avait donc vue lui aussi sans aucun doute. Je me suis sentie prise à mon propre piège, car j’avais mis la barre très haut et je n’avais pas pu contrôler mon excitation. Je me la suis essuyée comme je pouvais avec une serviette qui traînait là mais c’était peine perdue. Je pris conscience seulement à ce moment-là que j’avais été un peu trop loin et je ne voulais pas qu’il me perçoive comme une traînée ou une salope.
À mon retour dans sa chambre, je me sentais honteuse de lui avoir montré ce que je n’étais pas encore prête à lui montrer et j’avais pris la décision d’en rester là. Je me souviens avoir été obnubilée par le fait de réajuster mon haut sans cesse. J’étais donc sur le point d’en rester là et de retourner dans ma chambre lorsque les événements se sont précipités juste après. Je voyais Ben qui était penché en avant sur son lit et il semblait balayer son drap avec sa main pour retirer quelque chose. Pendant mon absence, il avait eu la sagesse d’échanger son slip ridicule par un boxer bien plus sage, toutefois moulant comme tous les boxers. Je me suis dit alors qu’on avait été en totale égalité tous les deux et que la fin de la partie avait été sifflée à mon plus grand soulagement.
Ma joie fut de très courte durée car là, j’ai vu la catastrophe pour moi. Il essayait simplement de retirer une tache sombre pile à l’endroit où j’étais assise avant. J’avais mouillé son drap avec ma mouille de chienne en chaleur. J’étais si mal de n’avoir pas su maîtriser mon excitation, alors je pris quelques secondes pour réagir et décidai d’assumer. Il avait une petite copine et il n’était donc pas naïf à ce point.
Il avait écarquillé les yeux, semblant sincère dans son incompréhension. Moi, j’étais rouge pivoine de honte. Comme on dit : les mouches avaient changé d’âne !
Je ressentais malgré tout un goût d’amertume de m’être trahie et de m’être laissée aller de la sorte.
Bien plus tard dans la nuit, alors que j’essayais de m’endormir, je ne cessais de revisionner cette soirée passée avec lui. J’essayais d’imaginer ce que Ben avait pu voir réellement de mon intimité, en espérant tout de même ne pas lui avoir révélé grand-chose finalement, car j’étais toujours ancrée dans mon amertume. Je tournais et me retournais dans mon lit et me suis décidée à me relever, voulant me rassurer et en avoir le cœur net. J’ai rallumé la lumière et me suis installée par terre devant mon miroir directement sur mon tapis de sol en tailleur et penchée en avant comme je l’avais fait durant la partie. Ce que je voulais lui montrer au début et ce que je craignis ensuite se révéla parfaitement visible. Mon décolleté dévoila mes nichons qui ballottaient dedans, ainsi que ma touffe brune par le devant du string devenu transparent. Cette vision fut pour moi désastreuse sur le coup, mais après mûre réflexion, je me suis trouvée mignonne et désirable. C’était bien ce que j’avais recherché à la base, non ?
Me voir ainsi dans le miroir m’a provoqué une nouvelle montée d’excitation et je me suis masturbée dans cette position, devant mon miroir, cuisses écartées en pensant à Ben qui avait peut-être, lui aussi, fini par se branler avant de s’endormir.
Ce soir-là a été un réel déclencheur dans notre complicité avec Ben et dans ma façon d’apprécier mon corps. J’aurais beaucoup d’autres anecdotes à vous raconter maintenant que j’assume pleinement mon côté exhibitionniste qui continua de façon mutuelle avec ses parents également sans aucun sentiment de perversité, bien au contraire. Cela explique en partie pourquoi j’ai accepté de les suivre lorsqu’ils ont décidé de racheter le camping naturiste il y a 3 ans.
J’avais donc 19 ans et c’était mon premier job. Ils n’étaient pas naturistes à la base mais la région et l’occasion de repartir sur un changement de vie les avaient convaincus. Ils m’avaient proposé de venir travailler avec eux en tenant la plupart du temps l’accueil. Là je serais habillée constamment, ce qui me rassurait. Ma deuxième mission consisterait à servir au restaurant, mais là, je devrais être totalement à poil, ce qui m’enchantait beaucoup moins, mais faute de rien d’autre, j’ai accepté. Je suis souvent partante pour vivre de nouvelles expériences.
Maintenant que vous avez cerné ma personnalité, il faut donc que je vous raconte maintenant ma journée d’hier et celle aujourd’hui en détail.
Jeudi 28 avril 2022, Après deux ans de fermeture pour cause de Covid, je suis retournée travailler au camping naturiste des Gorges du Verdon. J’ai fait le trajet en train, accompagnée de Gaspard mon jeune chat qui ne me quitte jamais. Les parents Martineau, Nathalie et Marc, donc, sont venus me récupérer à la gare avec leur voiture. Eux étaient déjà sur place au camping depuis plusieurs jours afin de finaliser tous les préparatifs pour le démarrage de la saison prévue le samedi 30. Une fois arrivée, j’ai pris possession de mon mobile home puis suis allée les aider pour également reprendre mes marques. J’étais vraiment heureuse de les revoir. Eux s’affairaient aux derniers préparatifs totalement nus, sans doute pour ne pas perdre de vue leur attachement à ce mode de vie. Leur nudité ne me gêne désormais plus du tout aujourd’hui, j’ai encore un peu de mal en public mais plus devant eux. La journée de vendredi fut dans la continuité de celle de la veille.
Samedi 30, hier donc, c’était le jour de la reprise officielle. Le temps était magnifique et les températures s’annonçaient très agréables pour toute la semaine. Je suis sortie de la douche en m’entourant le corps avec une serviette. Un de mes morceaux préférés provenant de ma playlist me donnait des envies de me trémousser, je battais le rythme de la musique avec ma tête. L’heure tournait et il fallait que je m’active, car je devais ouvrir le bureau d’accueil à 8 h 30. « Allez, va falloir remuer ton popotin ! » Pour ce matin-là, j’avais prévu d’enfiler une petite robe d’été à fines bretelles. Je pouvais garder des sous-vêtements dessous si je le voulais, mais hier, j’avais envie de rester à poil dessous. Me sentir nue sous une robe pouvait me mettre en condition. Je suis allée ensuite au bureau d’accueil.
J’ai accueilli les premiers arrivants et les ai accompagnés à chaque fois à leur mobile home. Lorsque des nouveaux arrivent, c’est le seul moment qu’ils ont de pouvoir rester encore habillés, le temps de déposer leurs bagages. Je leur indique les règles de nudité et leur parle du nouvel institut de beauté que j’ai en responsabilité, ainsi que des massages, soins du visage et des épilations que je propose également. Le tarif mis en place pour ces prestations m’est versé intégralement, c’est une façon de me donner une rémunération plus motivante. Le fait de pouvoir rester un maximum habillée m’arrange bien, vous l’aurez compris.
Au fur et à mesure que la journée passait, j’étais en stress car oui, c’était bien hier samedi qu’il devait arriver, mais je ne savais pas à quelle heure. Jérôme et Delphine se sont pointés vers 16 h, j’étais toute contente de les revoir, enfin, surtout lui. Des mois que je rêvais de lui et de son… enfin, vous savez quoi. Je les ai accompagnés eux aussi, forcément, tout en leur expliquant les règles de nudité qu’ils connaissaient bien évidemment, puis je leur ai parlé de l’institut de beauté. Je les ai laissés ensuite s’installer.
À 18 h, j’ai laissé ma place de l’accueil à Nathalie qui est restée nue pour prendre ce poste. Chacun fait comme il veut après tout. J’ai donc eu une heure de pause avant de reprendre mon service en tant que serveuse au restaurant, en tenue d’Eve bien évidemment. C’est toujours un moment que je redoute le plus car même si la philosophie du naturisme est orientée sur le bien-être de vivre nu en communauté, je sais que certains n’hésiteront pas à me reluquer et ce n’est pas toujours ceux que je voudrais.
Durant mon heure de pause, j’ai repensé à cette fameuse soirée où j’avais épié Jérôme, Delphine et leur copine dont j’ai oublié le prénom. Ça m’a rapidement chauffé. Depuis plus de deux ans, ces visions me reviennent sans cesse comme un fantasme que je voudrais réaliser, m’imaginant être avec elles afin de participer activement à cette nuit torride. Je les revois toutes les deux en train de jouir tout en éjaculant leur liquide de façon ininterrompue sous les assauts de la queue hors norme de Jérôme. Je me suis demandé s’il était toujours aussi sévèrement burné comme les garçons disent parfois. Difficile à dire sous le bermuda qu’il portait lors de leur arrivée.
Tout en repensant à cela, je suis en train d’introduire mon godemichet en mode vibrant dans la chatte, et ce coquin de Gaspard toujours aussi curieux qui vient de grimper à côté de moi sur le canapé ! Mon gode s’est activé dans ma chatte toute poisseuse, je suis en train de revivre ce moment comme s’il s’était passé hier. Gaspard vient de s’éloigner, car il a bien senti que mon attitude actuelle n’est pas de lui faire des papouilles, c’est intelligent ces bêtes-là ! Je retourne à mon récit.
18 h 40, il a fallu que je m’active pour prendre mon service du soir. Après ma petite séance de masturbation, je suis allée prendre rapidement une douche pour retirer mon odeur de chatte en chaleur puis je me suis rendue au restaurant totalement à poil. L’adaptation a été assez difficile au départ de me retrouver devant les Martineau puis devant les clients en tenue d’Eve. J’avais l’impression que tout le monde pouvait deviner que je m’étais donné du plaisir juste avant de venir. Hormis mes tétons encore érigés, il aurait été difficile de deviner.
19 h 30, Nathalie avait pris en charge Jérôme et Delphine pendant que je débarrassais une table. J’enrageais de ne pas avoir su être libre à ce moment-là. La personne qui installe des clients les assume jusqu’au bout, telle est la règle.
À la fin du service, le camping est devenu rapidement désert et j’adore déambuler dans la pénombre totalement nue, sentir l’air du soir parcourir mon corps. Hier soir, j’ai surtout fait ça pour continuer à m’habituer à être nue en public, comme une rééducation, et le fait que le camping soit désert à cette heure-là m’arrangeait aussi beaucoup. Je me suis dirigée vers le mobile home numéro 11, celui de Jérôme et Delphine. Là, je me suis arrêtée un instant pour tenter de les observer au travers de la fenêtre encore éclairée. Je n’ai vu que Delphine aller et venir ici et là.
Sur mon trajet retour, mon cœur s’est accéléré et je me suis sentie très mal à l’aise. Jérôme s’approchait face à moi avec son pénis aussi long et lourd que dans mes souvenirs. Il était encore un peu loin, mais je voyais très bien que sa trompe se balançait à un rythme régulier à chacun de ses pas comme un pendule. Ses couilles dessous pendaient également comme de jolis kiwis tous durs, mes souvenirs me sont revenus d’un coup comme des flashs successifs. J’allais donc à sa rencontre en bombant mon torse afin de faire ressortir mes nichons que j’ai laissés remuer volontairement sous mes pas. J’étais contente que mes tétons soient devenus rapidement tendus, signe que j’étais déjà tout excitée. Ma chatte avait dû s’ouvrir telle une fleur au printemps. La vision de cette queue me fit l’effet d’un raz de marée de plaisir et j’étais certaine qu’un engin pareil pourrait mettre au rebut mon gode favori. J’étais prête à courir vers lui et à me mettre à genoux là, au milieu du camping afin de le sucer goulûment. Quelles idées loufoques j’ai parfois !
Il s’arrêta à un mètre de moi.
Je ne reconnus plus ma voix tellement elle était chevrotante. Quelle gourde je devais être !
Vous vous rendez compte ? Il me trouvait jolie ! J’étais toute guillerette intérieurement et je voulais que ce moment reste suspendu. Comme une adolescente qui tombe amoureuse, j’ai dû incliner ma tête sur le côté en me mordillant la lèvre inférieure sans m’en rendre compte. J’ai penché ma tête vers le sol, ensuite, intimidée par ses compliments, j’ai remarqué alors qu’il était un peu poilu tout autour du sexe. Cela m’a donné une occasion de le garder auprès de moi et de continuer notre conversation.
J’étais si troublée par cette discussion qui s’engageait dans une direction que je craignais de prendre. Parler de son machin devant lui était pour moi gravir l’Everest, c’était le cas de le dire !
Quelle conne j’étais ! Je devais rouge pivoine mais dans l’obscurité il ne pouvait pas le remarquer. Il rigola, non par moquerie mais par la gêne que je lui transmettais.
Je suis retourné chez moi avec des papillons plein la tête et le sentiment d’avoir fait un pas de géant avec lui malgré mes multiples maladresses. Vous vous rendez compte ? Il m’a demandé de le tutoyer, comme si j’étais déjà rentrée dans son cercle intime. Je m’imaginais déjà en train de lui épiler le sexe, cette idée m’a provoqué à nouveau une poussée d’excitation. Je me doutais qu’hier soir j’aurais eu un mal fou à m’endormir et ça n’a pas loupé, car je me suis masturbée avec frénésie.
Ce matin, ça a été le même rituel pour moi. Après la douche, le séchage de mes cheveux, puis direction le bureau d’accueil. Je me suis organisée avec Nathalie et, à 9 h 50, j’attendais Jérôme dans le mobile home dédié aux soins. Pour une inauguration elle serait mémorable ! On tapa à la porte peu après. Mon cœur manqua un battement et ma respiration s’est accélérée. Il se tenait là, à poil forcément, dans le contre-jour du soleil qui m’éblouissait. Il entra en me saluant et resta debout au milieu de l’unique pièce qu’il détailla du regard. Dans un coin, j’ai mon petit bureau, et au milieu de la pièce sont mises côte à côte à un mètre de distance, deux tables de massage que j’utilise aussi pour les épilations du corps.
Nous n’avons pas beaucoup parlé, j’étais très tendue et stressée par la situation. C’était la toute première fois que j’allais épiler le sexe d’un homme et quel sexe, il y a de quoi perdre ses moyens !
Il a pris place sur l’une des tables et s’est allongé sur le dos. Son pénis était posé sur le côté gauche, donc de mon côté. Il était vraiment impressionnant, même au repos. Il semblait mou et lourd à la fois et il reposait en haut de sa cuisse. Je me suis approchée avec ma tondeuse à la main afin de dégrossir le plus gros sans trop approcher de son membre. Je me souviens qu’il a fait une petite plaisanterie.
« Tu parles que je ne vais pas te la couper », m’étais-je dit. J’avais une telle envie de le prendre dans ma main et le mettre dans ma bouche !
Cette allusion sonnait presque comme une invitation, mais je suis restée très concentrée par ce que je devais faire. J’ai commencé par lui tondre le haut du pubis puis le côté droit, là où son pénis n’était pas. J’ai passé délicatement la tondeuse sur ses boules, mais j’ai vite abandonné, car je les ai trouvées molles malgré leurs belles formes de beaux pruneaux bien mûrs. J’ai ensuite pris le pénis entre mes doigts pour l’orienter sur le côté opposé. Ce contact m’a bouleversée, car combien de fois j’avais rêvé de ce moment. J’ai trouvé son machin assez pesant mais sans plus et surtout, il était mou et se repliait en deux si je le prenais en son centre. C’était rigolo à voir. J’aurais aimé jouer avec son membre plus longtemps. J’ai envié Delphine d’avoir un tel jouet à sa disposition.
Je rajoutais à mon laïus :
Il rigola.
Il m’expliqua la raison d’un tel volume chez lui. Un accident de vélo, une abstinence prolongée, la prise de gélules véritablement miracles pendant des mois et voilà le résultat. Tout en l’écoutant, j’avais fini la partie tondeuse et j’avais commencé la partie application de la mousse à raser. Je passais le rasoir à main délicatement comme une vraie professionnelle. Au niveau de ses boules, j’ai eu plus de mal car étant molles, elles roulaient sous le rasoir. Régulièrement, je les prenais à pleine main pour les enduire de mousse à raser, comme si je les pétrissais. Je n’arrêtais pas de fixer sa queue qui était un peu plus allongée qu’au départ et je me demandais comment ce type-là ne bandait encore pas. Afin de tendre la peau de ses boules, j’ai opté pour le maintien de sa verge avec mon avant-bras gauche pendant que je rasais avec la main droite.
Après quelques minutes, le visage au plus près de ses couilles, j’étais vraiment excitée par la situation et la proximité. Je sentais ma chatte très humide depuis plus d’une demi-heure et j’avais de plus en plus d’idées cochonnes. Je me sentais de moins en moins gênée et davantage impudique. Quoique nue, il est difficile d’être encore plus impudique, mais imaginez-moi en train de me baisser afin de ramasser le couvercle du tube de mousse. Vous aurez un aperçu de ce que Jérôme a peut-être pu remarquer, surtout que je suis restée assez longtemps dans cette position aguicheuse, cela m’a rappelé ma soirée de UNO avec Ben.
Je lui ai essuyé ensuite le sexe en entier avec une lingette qui sentait bon le monoï et me suis remise dans la même position, mon avant-bras gauche posé sur son pénis que je maintenais assez fermement. J’avoue y avoir été peut-être un peu fort dans la pression. J’ai rasé avec un gel transparent le reste de poils cachés ici ou là sur ses couilles. J’ai remarqué alors que sa respiration semblait s’intensifier. Je me suis redressée et j’ai retiré mon bras prenant conscience que j’appuyais assez fortement. Son pénis s’était encore plus allongé et je voyais le gland tout décalotté. « Quelle merveille ! », me suis-je dit. On y était enfin !
Il a rompu ce silence de cathédrale qui régnait dans la pièce.
J’étais étrangement toute détendue, certainement par mon excès d’excitation. Je posais de temps en temps une main dessus afin de prétexter de fignoler dans un coin par ci ou par là. Elle était vraiment dure et très impressionnante. Puis, il a bien fallu que ça se termine.
Il se redressa et resta assis devant moi avec sa poutre toute raide.
Là, j’étais limite en transe tellement je rêvais de le voir se branler devant moi. Je me suis demandé comment ma cyprine n’avait pas encore coulé sur le sol tellement j’étais excitée.
Jérôme m’a souri, il a saisi sa queue dans sa main et il a commencé des va-et-vient lents et bien amples sur tout le long de sa tige. Je suis restée debout, totalement figée. Je le regardais s’activer sur sa queue énorme et j’étais déjà au bord de l’orgasme. Après plusieurs longues minutes, je me suis décidé à m’asseoir sur l’autre table de massage face à lui, j’étais aussi plus près.
« Menteuse, tu en rêves ! » me suis-je dit alors.
J’avais tellement rêvé de baiser cette queue et tenter de me faire gicler comme Delphine et l’autre nana ! Je m’étais entraînée plusieurs fois et parfois un petit jet était arrivé à jaillir. Je me dis aujourd’hui que l’excitation n’avait sans doute pas été suffisamment forte.
N’y tenant plus, j’ai posé ma main droite sur mon pubis et je l’ai dirigée vers mon bouton. Jérôme m’a souri pour m’encourager à poursuivre. Ma main gauche a saisi mon sein droit et je l’ai malaxé sans pudeur avec le sentiment d’être une grosse salope à cet instant. Mes tétons déjà étaient si durs et si sensibles que j’ai osé cracher un long filet de bave dessus. J’ai adoré jouer à les faire rouler sous mes doigts en tirant dessus. Le regard de Jérôme exprimait du plaisir à me regarder faire.
Je me sentais si excitante à ses yeux que j’ai continué à jouer avec mes nichons que j’ai pris dans mes deux mains les faisant remuer et secouer de façon très indécente et provocatrice.
Je n’arrêtais pas de jouer avec mes seins. Je les ai rapprochés l’un contre l’autre, les ai déformés, secoués tout en tirant sur les deux tétons en même temps à la limite de la douleur. J’ai tenté de soulever au maximum mes seins afin de me lécher les tétons que j’ai réussi à atteindre du bout de la langue. La sensation était géniale, ça m’a électrisée. J’ai même tapoté fortement mes mamelons en les faisant claquer sous mes doigts. Il semblait être surpris de me voir autant les maltraiter.
À cet instant, je voulais tout lui donner sans aucune retenue.
Sa voix avait changé, elle n’était plus aussi sereine et assurée. Elle était plus fébrile à cause de son souffle plus court.
J’ai abandonné mes seins et suis venue écarter mes grandes lèvres avec mes doigts afin de l’exhiber au maximum, j’étais décidée à lui montrer toute mon intimité intérieure. Je n’aurais jamais pensé que ma cyprine qui était encore prise au piège s’écoulerait autant le long de ma paroi vaginale et tomberait sur le sol. Cette vision était même pour moi orgasmique. J’étais totalement désinhibée, en roue libre, plus de frein, plus de tabous, Chloé à l’état d’excitation totale.
Je voyais que mon insistance le faisait hésiter. Il ne restait pas insensible à mes charmes et c’était déjà une petite victoire sur moi-même. Je me suis levée sans attendre son approbation. Je me suis approchée de lui et lui ai saisi sa queue dans ma main juste sous la sienne. On la branlait ensemble en rythme.
Je lui ai présenté mes seins et il n’a pas résisté à l’envie de les téter. Il les a pris dans ses mains, m’a pelotée et les a mis en bouche. La sensation était terrible. J’avais l’impression qu’il m’aspirait mes pointes. Elles étaient toutes sorties et hyper dures, super sensibles. Moi je le branlais sans ménagement. Je me suis penchée devant lui et l’ai mise dans ma bouche, elle était énorme. Je l’ai sucé un moment puis je me suis assise sur le bord de ma table de massage. J’ai écarté mes cuisses au maximum en relevant mes pieds en grand écart. Je me suis offerte à lui en lui présentant ma chatte que j’avais de nouveau écartée. Ma cyprine n’arrêtait pas de couler.
Il s’est mis debout et a entouré ses mains derrière moi afin de me tirer assez brutalement à lui. Il continuait à me lécher les nichons qui étaient en feu. Je sentais sa bite tout contre mon ventre que je continuais toujours à branler en veillant bien à passer ma main sur son gland. Rapidement, je l’ai orientée de façon à la présenter devant ma chatte. Je me suis approchée d’un coup de reins et je me suis pénétrée avec. Je crois avoir hurlé de plaisir. Elle me remplissait tout le vagin, la sensation était sublime. J’ai eu un orgasme terrible à ce moment-là tellement c’était intense. Tout s’est accéléré en moi, ma respiration et les battements de mon cœur faisaient un sprint, mon ventre était pris de secousses et tous mes muscles se sont crispés. Je crois avoir gémi sans retenue.
Il m’a bousculée contre la table de massage sans ménagement, sauvagement. Il me baisait littéralement comme un animal. Mes nichons se secouaient à chaque coup de reins violents. J’ai attrapé mes tétons et je les ai tirés à leur maximum une nouvelle fois, j’ai gémi de douleur et de plaisir en même temps. Je crois avoir eu un nouvel orgasme à cet instant.
Rapidement, il est sorti de moi et m’a présenté sa bite devant mon visage. Je l’ai sucée à nouveau et il a giclé de longs jets chauds de son foutre sur mon visage. J’en ai eu également dans la bouche sans le vouloir, c’était la première fois que je goûtais à de la semence. Ce n’est pas mauvais après tout.
Une fois qu’il s’est vidé, il est venu s’occuper de ma chatte qu’il a léchée avidement. Il s’est acharné dessus et n’a pas arrêté de me doigter profondément, j’avais la chatte en feu et toute poisseuse. Je sentais que ses doigts frottaient quelque part dans mon vagin une zone ultra-sensible qui m’a surprise et fait jouir comme jamais. Impossible de me retenir, j’ai giclé du liquide par saccades sur son visage sans interruption. Plus il continuait et plus je giclais, j’en ai mis partout dans la pièce unique. Après quelques minutes hors du temps, je me suis écroulée sur le sol, morte d’épuisement.
Je suis restée KO un petit moment, tout mon corps avait semblé jouir de plaisir. Mon corps était si sensible que je n’aurais pas supporté qu’on me touche. Pendant que je reprenais mes esprits lentement, il s’est nettoyé et est parti sans un mot et sans un regard. Après coup, je pense qu’il a bien fait.
Discrètement, je suis allée à mon mobile home pour reprendre mes esprits et surtout me prendre une longue douche, car je sentais la chatte à trois kilomètres et j’avais encore des résidus de son sperme sur mon visage et sur mes seins. Une fois propre et fraîche, j’ai repris ma lucidité et une partie des capacités de mon corps. Je me suis ensuite affalée dans le canapé et Gaspard est venu quémander ses caresses. Il a sauté sur le canapé à côté de moi et il est carrément venu sur mon ventre puis ses pattes sur mes seins qu’il pétrissait. Ce coquin de chat ronronnait comme à son habitude. Étrangement, je l’ai laissé faire car après tout, il avait mérité de me peloter lui aussi !
À l’heure où j’écris ces dernières lignes, j’ai revu Jérôme dans l’après-midi dans le camping. J’ai lu dans son regard et dans son sourire qu’il avait apprécié notre moment qui restera certainement le moment le plus intense que j’ai vécu.
J’ai tellement pris du plaisir à vous raconter ces anecdotes très personnelles que je viens de me faire jouir devant vous. Et ayant pris le goût à cela, il est probable que je revienne vous en raconter de nouvelles, qui sait !