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Temps de lecture estimé : 31 mn
17/01/23
Résumé:  Catherine essaie de convaincre son mari de recevoir son amante pour trouver un compromis.
Critères:  fh ff ffh hplusag fplusag extracon nympho amour voir exhib odeurs fmast hmast entreseins fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo -extraconj -bisex
Auteur : Femmophile      Envoi mini-message

Série : Catherine et son directeur

Chapitre 06 / 06
Ménage à trois sous conditions

Résumé des épisodes précédents :

Catherine tombe amoureuse d'une collègue et l'avoue à son mari, qu'elle ne veut pas quitter. Il faut trouver une solution pour cette sorte de faux ménage à trois.




Le dimanche en fin d’après-midi, Catherine raccompagna sa jeune et fougueuse amante à la gare la plus proche après un week-end de rêve que Cathy, malgré une appréhension certaine, avait trouvé enchanteur. Bien qu’elle ait connu de nombreuses et nombreux partenaires, elle n’avait pas souvenir que l’une ou l’autre n’ait jamais autant pris soin d’elle, ne se soit montré aussi tendre, ne lui ait fait l’amour avec une telle douceur pour la mener au plaisir partagé. Mais cela l’inquiétait, elle n’osait pas s’avouer que Catherine lui plaisait, qu’auprès d’elle elle se sentait en confiance, qu’elle était admirative de la classe naturelle de son aînée et de sa détermination. La notion d’avenir, chez Cathy, n’avait jamais été une préoccupation majeure, mais là, elle se rendait compte qu’il allait falloir envisager les choses autrement.


Comme prévu, Franck rentra en milieu de matinée le lundi. Il fut surpris de trouver sa femme à la maison, elle ne lui avait rien dit. Debout dans la cuisine, elle s’affairait à préparer un repas.



Franck relata brièvement cette escapade en terre britannique, les pubs, la foule du stade, le trajet interminable et la météo exécrable. Catherine, volontairement, lui tournait le dos. Sa jupe serrée moulait joliment son fessier charnu, et le joli top à bretelle qu’elle portait à même la peau en faisait une belle femme, élégante, éminemment désirable. Et elle voulait qu’on la désire, maintenant, tout de suite. !



Franck s’approcha d’elle pour s’enquérir de la tâche nécessitant son aide, au moment même où un geste volontairement maladroit de Catherine fit qu’un jet d’eau froide l’éclaboussa, mouillant son top. Elle se recula vivement, ce qui eut pour effet de provoquer un contact pour le moins appuyé entre ce que sa jupe cachait et le bas-ventre de l’époux venu à l’aide.

Ce dernier, par réflexe, tendit les mains pour éviter le choc, mains qui se retrouvèrent alors emplies par les jolis appas de Madame.



L’époux sollicité ne se fit pas prier et pelota sans vergogne le cul offert. Catherine, visiblement ravie, se cambra et recula encore pour frotter ses charmes contre son mari. Se faisant ingénue, elle tendit une main à la rencontre de l’entrejambe de son homme.



La tension sexuelle grandit rapidement. Franck retroussa délicatement la jupe sur les hanches de Catherine et n’y découvrit que les bas et les fesses nues de Madame.



Franck, excité comme jamais se déshabilla en un temps record et, le cœur battant la chamade, s’agenouilla entre les cuisses de sa superbe épouse qui le guida dans ses caresses buccales les plus osées. Se sentant sur le point de céder, Catherine intima :



Nul n’aurait pu résister à pareil appel, aussi Franck embrocha-t-il sa femme d’un seul coup et la baisa littéralement comme un soudard. L’orgasme les foudroya quasi instantanément.



Ils étaient tranquillement installés, buvant un verre pour récupérer de leurs ébats torrides. Catherine se dit que le moment était propice pour dissiper le mensonge, pour se libérer d’un poids insupportable, pour confirmer à son mari l’influence de la jeune collègue, mais sans en révéler entièrement les circonstances.



Ces arguments semblèrent faire effet sur le mâle offensé, devant bien admettre – sans l’avouer – que la « renaissance sexuelle » de sa femme lui plaisait beaucoup. Il sentit même, à ces évocations, une certaine raideur se propager en lui.



Long silence autour de la table, Franck et Catherine avaient le regard perdu, tout venait de basculer, alors les âmes devinrent instables, les certitudes se firent évanescentes, pour autant la vie se devait de continuer et il fallait l’organiser.



L’après-midi Catherine travailla depuis chez elle, mais eut toutes les peines du monde à se concentrer. Elle imaginait des scenarii pour présenter Cathy à Franck, mais redoutait la réaction imprévisible de sa chérie lorsqu’elle lui soumettrait l’idée.


Le lendemain, la journée de travail finie, Catherine rassembla tout son courage et se rendit dans l’antre de sa cicérone. C’est Cathy qui courut vers elle et se jeta dans ses bras, qui l’embrassa fougueusement avant que de lui murmurer timidement :



Peu habituée à pareille démonstration de la part de son initiatrice, Catherine se demanda ce que cachait cette inhabituelle effusion. Elle fut rassurée lorsque Cathy glissa une main sous sa jupe et protesta d’y trouver un sous-vêtement, si détrempé soit-il, sous lequel ses longs doigts fins prirent possession du fruit juteux.



La moiteur de son entrecuisse tint lieu de consentement. Il eut été incongru de décliner la sensuelle imploration tant le désir parlait pour elle, son souffle saccadé et ses joues rosies tenant lieu de mots. Debout, appuyée contre le bar, Cathy la caressa lentement, ménageant les chairs délicates pour mieux s’attarder sur les points sensibles, allant et venant dans la soyeuse gaine qui nappait ses doigts d’un abondant miel, étirant ici, pressant là, ses lèvres collées à l’oreille de Catherine pour amplifier encore la montée du plaisir :



Catherine ne put se retenir. La tête enfouie au creux de l’épaule de sa maîtresse pour ne pas hurler, elle émit un long gémissement rauque et glissa dans un orgasme profond, le corps agité de soubresauts incontrôlés, sa vulve gonflée déversant d’un coup son trop-plein de jouissance, son étroit conduit enserrant les phalanges qui en avaient franchi la porte. Cathy la tenait toujours serrée contre elle, sans bouger, pour lui permettre de récupérer après ce tsunami sensoriel qui venait de la submerger.



Catherine resta encore un petit moment immobile blottie contre le corps de sa bienfaitrice des sens, en appréciant la chaleur qui irradiait en elle, mais interdisant à ses mains d’en suivre l’excitant relief. Attendant la décroissance du désir qui la parcourait encore, elle réfléchit à la manière de lui relater sa discussion avec Franck.



Cathy hésita et l’embrassa, sans sa sensualité coutumière, mais Catherine s’y attendait.


Quelques jours passèrent, Catherine se morfondait de ne plus recevoir aucun signe de sa muse, mais n’osait pas la contacter. Puis, un matin, messagerie qui bipe :


« Tu me manques, Marie la Folle… passe au confessionnal cet après-midi après dix-sept heures.

Ton talisman


À l’heure dite, Catherine toqua discrètement à l’huis de la chapelle du plaisir. La porte s’ouvrit sur le bureau plongé dans une obscurité totale, Catherine entra, la porte se referma et la voix de Cathy s’éleva, douce, calme et apaisante.



1. C’est toi qui organises la rencontre, pas dans un lieu public, car ça risque d’être agité. Chez toi, je connais, c’est une possibilité.

2. Ton mari, il ne me traite pas de gouine ou de brouteuse, sinon je le massacre. Il reste poli et ne hausse pas le ton envers moi.

3. Il ne me touche surtout pas, même s’il pense que je suis la pire des salopes.

4. Tu es la seule responsable de ce qui se passe, tu te démerdes avec lui si ça dérape méchamment.

5. Si les choses tournent vraiment mal, tu me raccompagnes dès que je te le demande, sans discuter.

Ça te convient comme ça ? Tu sais, Marie, il faut vraiment que je tienne à toi et que je te fasse une sacrée confiance pour accepter ce que tu me proposes, sans vraiment savoir où on va. C’est dangereux, ma chérie, tu le sais… il y a gros à perdre, surtout pour toi…



La lumière s’alluma, aveuglant dans un premier temps Catherine qui ferma les yeux. Les rouvrant quelques secondes plus tard, elle crut avoir en face d’elle une autre femme que Cathy. Incroyablement belle et sexy, elle portait un tailleur mini-jupe gris perle et un chemisier blanc près du corps, un collier, des bas à motif et de discrètes chaussures assorties au tailleur. Une paire de lunettes complétait la parfaite caricature de la business-woman, objet de bien des fantasmes…



Catherine passa derrière sa belle et l’enlaça sensuellement, l’embrassant dans le cou, passant sa langue au creux de son oreille en lui disant combien elle la trouvait belle. Ses mains glissèrent jusqu’aux seins de sa maîtresse qu’elle empauma avant d’en pincer les tétons…



Catherine défit précautionneusement les boutons et libéra la superbe poitrine qu’elle lécha lentement, avant de faire de petits cercles autour des aréoles et de prendre entre ses lèvres les mamelons dardant sous sa langue, encouragée par les soupirs de Cathy.


Ivre de désir, elle se laissa tomber à genoux derrière son amoureuse, lui caressa les jambes du bout des doigts, attentive aux frissons qu’elle déclenchait chez sa proie sans abîmer ses bas… Ses mains remontèrent difficilement jusqu’aux fesses sous la jupe serrée, alors elle roula ce tissu gênant sur les hanches de sa victime et lui écarta un peu les jambes afin de laisser libre cours à son désir. Entre la culotte et la lisière des bas, elle se délecta en ronronnant de la tendre chair offerte qu’elle embrassa, mordilla, lécha, excitée par la tache qui grandissait à vue d’œil dans l’entrejambe de sa conquête. Sa langue effleura longuement le fin tissu humide protégeant encore le fruit mûr qu’elle convoitait, et qui dégorgeait son nectar généreusement, provoquant des gémissements de plaisir de plus en plus forts.


N’y tenant plus, elle fit glisser vers le bas ces quelques grammes de soie dissimulant l’objet de sa convoitise sur lequel elle se jeta. Ses mains écartèrent délicatement les globes charnus. Dévoilant l’adorable abricot, elle en ouvrit les chairs de sa langue, y traça d’une lenteur appliquée un sillon de bas en haut, avant de redescendre, se délectant au passage de l’hydromel odorant qui s’en écoulait, puis remonta lascivement jusqu’au petit œillet plissé pour l’enduire de liqueur, en lécher le pourtour, l’embrasser amoureusement, le forcer de sa langue puis reprendre en sens inverse ce parcours des saveurs du désir. Cathy était parcourue de tremblements, elle supplia son amante de ne pas la faire languir, de la conduire au plaisir.


Mais Catherine voulait encore sentir chez son initiatrice la lente montée du désir. Sensuelle, elle voulait l’exciter et décider, en patronne, quand elle la ferait basculer vers l’explosion tant attendue.


Sourde aux suppliques, la langue de Catherine reprit sa lente exploration, s’insinua sans pudeur dans la grotte suintante pour y recueillir à la source les fragrances féminines chargées de puissantes phéromones qui la stimulaient, avant de céder sa place à un doigt inquisiteur. Celui-ci remonta sans peine le flux épais tapissant les parois du lieu, se fit tantôt lascif tantôt curieux, se repliant parfois pour masser quelque renflement, jouant à faire semblant de se retirer pour s’immiscer plus loin encore, parfois immobilisé par les contractions de l’impatiente Cathy dans sa quête de la jouissance. Le doigt alors s’arrêtait, attendant qu’un nouvel afflux de nectar et le relâchement de la chatte impatiente lui permettent de reprendre ses jeux.


Cathy n’en pouvait plus. À plusieurs reprises, elle fut au bord de la jouissance, mais alors les caresses de Catherine s’arrêtaient, cruelles, lui refusant encore une fois de jouir sans retenue. Des sanglots dans la voix, elle implora son amante, la supplia d’arrêter de la torturer et de la libérer.



Catherine sourit intérieurement, fière d’être ainsi suppliée par son initiatrice pour laquelle le plaisir sexuel n’avait pourtant pas de secrets. Elle reprit ses caresses, soumettant sa complice à une insupportable attente. Son majeur toujours entièrement captif de la divine crevasse dont il explorait les points les plus sensibles, Catherine força de son index enduit l’étroit passage du sillon fessier, y imposant deux phalanges. Les deux doigts, séparés par une étroite membrane, se mirent alors en mouvement à l’unisson, alternant pénétration profonde et simulacre de retrait pour replonger ensuite jusqu’au bout des voies du plaisir. Moyennant quelques contorsions, la langue agile de l’amante attentionnée, danseuse gracile, offrit à l’encapuchonné un ballet de pointes effrénées, le poussant à se hisser fièrement hors de son gousset pour déclencher le final de cette chorégraphie du plaisir.


Les halètements rauques de Cathy se faisaient plus rapprochés, ils redoublèrent d’intensité lorsque la porte étroite subit l’assaut délicat d’un second doigt, écartant la fragile muqueuse qui accueillit entièrement ces deux complices en son tréfonds.


Dans un hurlement indescriptible, Cathy jouit enfin, le corps arqué, tous les muscles tendus, le souffle hors de contrôle, son sexe enfin libéré expulsant un flot de liqueur inondant la main et l’avant-bras de son amante, laquelle ne put résister, une fois sa main retirée, à plaquer sa bouche contre cette source magique pour contenir l’inondation.


Cathy se retint au bord du bureau, mais tomba à genoux, incapable de dire un mot, le cœur battant à tout rompre dans sa poitrine, cherchant à reprendre son souffle, le corps encore agité de spasmes et l’entrejambe en feu.


Catherine l’aida à se relever, lui remonta sa culotte et la fit s’asseoir dans le canapé, théâtre de leurs premières étreintes. Assise à califourchon sur les cuisses de sa muse, Catherine lui prit avec douceur le visage entre ses mains et lui murmura :



Cathy mit un moment à reprendre ses esprits, les yeux mi-clos elle laissa refluer en elle les ondes du plaisir qui avaient parcouru son corps, telle une vague impétueuse que l’on ne peut arrêter.



La rencontre eut lieu le vendredi soir, organisée par Catherine, chez elle, ce qui fut assez difficile à accepter pour Franck.



Catherine avait établi un protocole strict, basé sur les conditions fixées par sa belle. Franck ferait le service des boissons et, ensuite, s’assiérait dans un fauteuil en face des deux femmes, une table basse faisant office de « no man’s land ».


Franck tournait en rond depuis un moment, nerveux, en proie à de multiples états d’âme, lorsqu’il entendit s’ouvrir la porte de l’ascenseur.



Une timide poignée de main fut échangée, chacun sondant le regard de l’autre à la recherche d’un signal, entre bienvenue ou hostilité.



Franck fut un peu déboussolé en découvrant la beauté de Cathy, resplendissante dans son tailleur sexy et ajusté qui mettait en valeur ses gracieuses courbes, mais aussi adorable avec son joli minois affichant un sourire à faire fondre la banquise, surmonté d’un regard intense apte à percer les blindages les plus épais. Sa femme avait du goût, il fallait bien le reconnaître. Franck proposa des boissons, Cathy, très crispée, opta pour un whisky en espérant que l’alcool allait la détendre un peu. Sa main broyait celle de Catherine posée sur sa cuisse, car assise à côté d’elle.



La discussion se poursuivit, tendue, mais courtoise, Franck quand même un peu sous le charme de celle qui couchait avec sa femme. L’apéritif terminé, il proposa même, au grand étonnement de Catherine, que Cathy reste dîner. Celle-ci, totalement prise au dépourvu, lança un regard apeuré vers son amoureuse, qui fit preuve de beaucoup de naturel.



Catherine, enlaçant fermement sa muse par la taille, l’embrassa tendrement sur la bouche avant de lui déclarer joyeusement :



Un peu choqué, le mari se dirigea vers la cuisine, une érection douloureuse le comprimant dans ses vêtements.


Étonnamment le repas fut détendu, sauf quand émergea le problème des employés syndiqués, Franck n’y voyant qu’une bande d’emmerdeurs jamais contents et Cathy des pauvres gens exploités par des patrons sans scrupules. Catherine dut apaiser les esprits pour éviter des écarts de langage, surtout chez Cathy.


Fin du repas, café au salon, les deux femmes côte à côte dans le profond canapé, Franck toujours dans le fauteuil en face. Conversation variée, ton affable des deux côtés. Cathy, en s’asseyant, n’avait pas pu empêcher sa jupe de remonter un peu, dévoilant légèrement la dentelle de ses bas, surtout lorsqu’elle croisait les jambes. De plus, l’appartement étant bien chauffé, elle avait enlevé sa veste, et son vis-à-vis ne pouvait ignorer les tétons tendant l’étoffe du chemisier porté librement, et dépourvu de boutonnage sur sa partie haute.


Cathy avait parfaitement conscience que l’époux de son amante bandait, elle souriait intérieurement en pensant à l’assaut qu’allait subir Catherine après l’avoir raccompagnée. C’était mal connaître le côté machiavélique de sa partenaire…



Avant que Cathy n’ait pu prononcer un seul mot, Catherine, se dirigeant vers son mari d’une démarche chaloupée à souhait, posa discrètement la main sur son entrejambe et s’enquit de son accord :



Au contact des doigts de sa femme sur son sexe tendu, Franck crut qu’il allait éjaculer. La garce, elle le piégeait, mais de manière élégante et avec à la clé peut-être la promesse d’une nuit torride…



Catherine prit ostensiblement la main de sa jeune amante et la conduisit jusqu’à ladite chambre.



Ouvrant le tiroir de la table de nuit :



Stupéfaite de l’audace de Catherine, de sa totale désinhibition, Cathy découvrit un gode-ceinture, plusieurs vibros, du gel, un stimulateur clitoridien, des boules de geisha et un plug anal. Jamais elle n’aurait pu croire que cette femme mature, toujours élégante et soignée, polie, mais sans chaleur, qu’elle croisait de temps à autre dans les couloirs de l’entreprise deviendrait sa maîtresse assoiffée de sexe et toujours prête à la faire jouir. Elle se coucha, seule dans ce grand lit pourtant bien plus accueillant à deux, et ne put résister à plonger sa main dans sa culotte souillée pour soulager son excitation.


Catherine, de retour au salon, y retrouva Franck, assis, les yeux dans le vide, un verre d’alcool fort à la main.



Très chatte, un peu ivre, Catherine s’approcha presque en titubant de son mari et l’embrassa lascivement, léchant ses lèvres, lui demandant sa langue pour la sucer pendant que sa main débouclait la ceinture du pantalon et en abaissait la fermeture éclair. A l’oreille, elle lui glissa à voix basse, comme une confidence intime :



Elle enleva son haut pour brandir ses seins sous le nez de son mari qui se jeta dessus, léchant avidement, pétrissant ces globes excitants. Quand sa gorge fut couverte de salive, Catherine arracha littéralement le pantalon et le sous-vêtement de Franck et, s’agenouillant devant lui, emprisonna entre ses seins l’obélisque de chair fièrement dressé. Elle imprima alors à sa poitrine de doux mouvements de va-et-vient, léchant le gland à chaque fois qu’il émergeait de ses lourds appas.



Catherine se releva et, le regard planté dans celui de Franck, glissa ses mains sous sa jupe pour en retirer sa culotte, qu’elle plaqua sur le visage de son époux.



Au comble de l’excitation, Catherine se débarrassa de sa jupe qu’elle lança au hasard. Debout, nue, fièrement dressée devant un mari encore assis et incrédule, elle le saisit par la verge pour qu’il quitte son fauteuil.



Catherine s’allongea sur la table, remonta ses jambes en les écartant au maximum et, passant les mains derrière ses genoux pour se maintenir ainsi ouverte, appela Franck.



Il ne fallut à Catherine que quelques brefs aller-retours du glaive dans son fourreau pour atteindre l’extase, dans un cri profond, au moment où son entrecuisse distendu par l’organe mâle libéra un flot de cyprine qu’elle sentit ruisseler sur son périnée. Mais, comme le membre qui la fouillait semblait vouloir poursuivre son œuvre, Catherine saisit ce bâton de chair à sa base, le guida hors de sa grotte humide pour le présenter à l’entrée la moins visitée, luisante de son nectar intime. Afin de ne laisser aucun doute quant à ses intentions, elle emprunta au film porno visionné la veille quelques exhortations de circonstance.



Catherine, s’abandonnant totalement, glissa entièrement deux doigts dans sa fente et se masturba frénétiquement.



Catherine, tous ses sens sublimés par une incroyable excitation sexuelle, connut un second orgasme. Rapidement, elle sentit aux pulsations du barreau de chair qui dilatait son boyau étroit que l’orgasme mâle lui aussi était proche.



Franck eut juste le temps de se retirer. Catherine se redressa et sa bouche brûlante se referma sur la virilité tendue à l’extrême, d’où jaillit par saccades une épaisse liqueur qu’elle laissa fondre sur sa langue, avant d’en laisser couler une partie sur ses seins.


Épuisé, Franck se laissa retomber dans le fauteuil. Un peu sous les effets de l’alcool, il n’était pas certain de réaliser tout à fait ce qui lui arrivait. Sa femme depuis près de trente ans venait de lui avouer une liaison lesbienne, puis ramenait sa conquête à la maison pour la lui présenter comme son grand amour. Non contente qu’il accepte cette situation plutôt étrange, elle l’avait allumé toute la soirée en caressant les cuisses de son amante, et maintenant se muait en furie sexuelle au vocabulaire de charretier pratiquement sous les yeux – en tout cas aux oreilles – de Cathy.



Assez contente d’elle, Catherine se félicita de la tournure des événements, elle était arrivée à ses fins : pas de scandale, son amante au nid et son mari un peu perdu, ne sachant pas choisir entre sexualité débridée et sursaut d’éthique ou de dignité. Il lui était impossible de faire des projets, mais Catherine se jura de prendre autant de plaisir que le permettait son corps, avec sa maîtresse dont elle était vraiment amoureuse, ainsi qu’avec son mari, rien ne remplaçant une belle verge tendue, que ce soit en bouche, entre les cuisses ou entre les fesses.


Elle rejoignit Cathy dans la chambre d’amis, se doucha pour débarrasser son corps des fluides corporels mâles et se glissa dans le lit, prenant son amour féminin dans ses bras et se lovant contre ses formes tièdes. Le sommeil l’emmena rapidement vers d’inavouables rêves.


Cette cohabitation amoureuse se prolongea plus d’une année, Cathy venant régulièrement dîner, dormir et s’ébattre chez les époux presque complices. À plusieurs reprises Franck fut convié à regarder les deux femmes faire l’amour, mais sans jamais avoir de contact physique avec l’amante de sa femme. Il pouvait, par contre, se caresser et se répandre sous leurs yeux. En retour, Cathy resta quelques fois lorsque Catherine se donnait à son mari, là encore sans vraiment participer physiquement, mais en stimulant les ardeurs du couple par des propos des plus érotiques ou des caresses intimes à sa maîtresse.


Et puis, Cathy rencontra un homme dont elle s’éprit, au point qu’il lui proposa de l’épouser en échange de l’abandon de sa vie dissolue et de son amante plus âgée. Catherine en souffrit bien sûr, mais elle savait que cela surviendrait tôt ou tard. Franck se montra tendre, mais aussi séducteur assidu de sa femme, lui faisant l’amour plus souvent, en variant les lieux comme les pratiques. L’apothéose pour Catherine fut une escapade de deux jours en camion, dans la cabine duquel son mari lui fit réviser le Kamasutra, de jour comme de nuit, jeu auquel la quinquagénaire se prêta volontiers et qui lui fit connaître d’inoubliables orgasmes.


De temps à autre, Catherine rendit visite à son ex-amante, toujours aussi craquante et diablement désirable, et se retenir de déraper constituait une torture pour les deux femmes. À deux ou trois reprises toutefois, soit l’une soit l’autre ne sut rester de marbre et, laissant libre cours à ses lèvres, sa langue, ses doigts, conduisit sa partenaire à un puissant orgasme. Mais cela demeura l’exception.


Quant à Denis, celui par lequel tout avait commencé, jamais il n’osa reprendre contact directement avec Catherine, sans doute trop humilié devant elle par la furieuse Cathy. Les quelques fois ou eurent lieu des rencontres professionnelles, chacun sut garder ses distances et sa retenue. Catherine, par honnêteté toutefois, l’informa de l’effacement de la vidéo compromettante, ce qui sembla soulager un peu Denis. Son divorce s’étant très mal passé, pour une sordide histoire d’argent, Denis vendit ses parts de la société et quitta celle-ci à la fin de l’année civile pour, propagea la rumeur, aller s’installer avec un homme dans un pays du sud de l’Europe.