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Temps de lecture estimé : 9 mn
19/01/23
Présentation:  Cette série met en scène des femmes mûres ayant connu une expérience sexuelle particulière qu’elles souhaitent confesser. Aujourd’hui, Élise et Corinne.
Résumé:  Élise et son mari s’ennuyaient dans un repas de famille et Corinne est partie en voyage professionnel avec son patron. Toutes les deux ont craqué.
Critères:  fh fplusag couple extracon collègues hotel toilettes fellation cunnilingu anulingus pénétratio fsodo confession -travail -lieuxpubl
Auteur : Jacquou            Envoi mini-message

Série : Matures au confessionnal

Chapitre 01 / 05
Matures au confessionnal

Élise (38 ans)


Je m’appelle Élise, j’ai 38 ans, je suis mariée et mère de deux enfants, je dirige un établissement de personnes âgées, mais là n’est pas le sujet. Je vais raconter une scène récente où moi et mon mari, on a flirté avec une ligne rouge comme nous aimons le faire de temps en temps après quinze ans de mariage, histoire de pimenter notre vie sexuelle et ne pas tomber dans la routine, si fâcheuse aux couples de notre âge.

Cela s’est passé dans une grande réunion de famille organisée pour l’anniversaire de ma grand-mère, chez ma sœur. Vous connaissez ce genre de repas, interminable, ennuyeux, pouvant vite déraper si la discussion embraye sur un sujet clivant. On en était à peine arrivé au plat de résistance quand la main de Michael, mon mari, se posa sur ma cuisse nue partiellement découverte par une robe assez courte mise en ce jour de début d’été. J’y vis d’abord un geste d’affection et je rendis la pareille à mon époux.


Mais ne voilà-t-il pas que la menotte de celui-ci se mit à remonter le long de ma cuisse. Je précise que nous étions en bout de table et donc a priori invisibles de nos voisins pour cette espèce de pelotage. Je m’empressai de repousser la main, pensant décourager l’imprudent. Mais il récidiva une fois, deux fois, remontant à chaque fois un peu plus haut, jusqu’au moment où un doigt se posa exactement sur ma fente avec une précision diabolique. Ce contact me fit crisper la bouche. N’importe quelle femme à ma place aurait dit à l’oreille de son conjoint :



À la réflexion, j’ai dû le dire à un moment donné, mais le fait est que ça n’a pas fonctionné. Et quand le doigt mâle s’est posé sur ma chatte, au lieu de réagir en serrant les cuisses, je les ai écartées.

Vous devinez la suite. Il a poursuivi son exploration et je m’efforçais de masquer ma bouche humide derrière ma main.



J’ai sursauté. Mon frère aîné, me voyant aussi absorbée et peu concernée par la conversation, m’interpella. Je le rassurai vivement, sans que pour autant la main de Michael se retire de mon slip, car elle y était bien évidemment entrée et me masturbait délicatement. Dès que l’attention familiale se détacha de ce bout de table, Michael se mit en tâche de retirer mon slip et afin qu’il ne le déchire pas, je décollai légèrement les fesses de la chaise, l’aidant dans son opération, à la fois pour ne pas compliquer la situation déjà scabreuse, mais aussi, je l’avoue, pour la faciliter. Michael fit tomber sa serviette par terre pour ramasser discrètement ma petite culotte et la fourrer dans sa poche. J’avais maintenant la robe presqu’au niveau du nombril et le doigt de mon époux entrait et sortait gaillardement de mon déduit désormais trempé. J’avais un mal fou à réfréner mes gémissements. Comprenant que j’étais au bord d’exprimer un orgasme en direct live, je me levai brutalement comme pour aller aux toilettes.


Michael avait compris le message. Il attendit deux ou trois minutes, pas plus, et se leva à son tour pour rejoindre le lieu d’aisance, heureusement éloigné de la salle à manger.

J’avais laissé la porte entrouverte et quand il surgit, on s’empressa de la refermer derrière nous. On s’est embrassés fougueusement. J’avais une folle envie de sa bite. Je l’ai déculotté, dégagé et sucé pendant qu’il faisait passer ma robe par-dessus ma tête entre deux succions voraces et libérait mes seins gonflés de désir. Ce n’est pas très glamour, ce que je vais dire, mais nous étions l’un et l’autre dans un tel état que seule une copulation vraiment animale pouvait nous apaiser. Je me suis penchée en avant sur la cuvette des WC, lui offrant le spectacle de mon cul charnu et rebondi (mon principal atout sexuel) et il m’a enfilée par derrière tandis que je me mordais la main pour ne pas hurler de plaisir. Néanmoins, un convive serait alors passé derrière les toilettes qu’il aurait forcément entendu un claquement de peaux nues provoqué par le contact virulent de son bas-ventre sur mes fesses.


Nous avions donc conscience qu’il fallait que ce coït arrive rapidement à son terme. J’ai changé de position pour mettre un pied sur la cuvette afin qu’il me prenne debout avec de bonnes poussées verticales. Je me sentais glorieusement et puissamment baisée et je le lui dis à l’oreille, pas trop pressée quand même qu’il éjacule tant c’était bon. J’adore, et lui aussi, ces baises sauvages, impromptues, non conventionnelles, et je pourrais vous en raconter d’autres. Depuis quelque temps, nos ébats se terminent souvent par la sodomie, car mon cul l’inspire de plus en plus. Réticente d’abord, j’ai fini par y prendre goût et je jouis sans problème par là aussi. Il m’a donc retournée à nouveau, a bien humecté mon petit trou et l’a visité dans les règles de l’art en me bâillonnant pour que je n’alerte pas la population, car mes deux mains étaient prises par l’appui. On a joui ensemble et j’ai senti la chaleur de son sperme dans mon rectum, ce qui n’a pas peu contribué à mon orgasme anal.


Il ne nous restait plus qu’à nous rhabiller, un peu flageolants, et à regagner la salle à manger où les conversations allaient bon train. J’ai quand même perçu le regard suspicieux de ma sœur, qui se dispensa heureusement d’une réflexion qui nous aurait obligés à un pieux mensonge, justifiant notre présence conjuguée dans les toilettes. Nos plats étaient froids, mais ce n’était pas grave, car ce n’était pas bon du tout. On s’est vengés sur le dessert, le café et le pousse-café.


Dire que j’étais vraiment calmée n’est pas tout à fait exact. Si les enfants n’avaient pas été à l’arrière de la voiture, on se serait arrêtés en route sur le chemin du retour pour une séance de baise supplémentaire en plein air. En rentrant, j’ai mis les gosses d’autorité devant la télé et dis à Michael :



J’ai la chance d’avoir un mari en capacité de remettre rapidement le couvert. Cette fois, j’ai pris l’initiative et je l’ai longuement chevauché, de face et de dos, jusqu’à ce que le spectacle de mon cul en mouvement le fasse gicler à nouveau. Je lui devais bien ça, à mon cher et tendre, qui venait de me faire tellement sentir femme… ou plutôt femelle.




Corinne (50 ans)


Je m’appelle Corinne, j’ai 50 ans, je suis assistante de direction dans une PME, mariée, deux enfants partis hors du foyer pour études et, physiquement, fausse blonde à mèches, assez grande (1,76 m), plutôt bien foutue si j’en crois ce qu’on me dit, assez fière de mes fesses qui tiennent encore bien debout, si j’ose dire. Pas de problème sexuel puisque je fais régulièrement l’amour avec mon mari Christophe, en général le dimanche matin lorsqu’on a toute la journée devant nous. C’est bon pour le mental comme pour les hormones et ce n’est pas parce que je suis ménopausée que je dois me négliger. Bref, une vie somme toute banale pour une femme de mon âge.

Seulement voilà : elle est sortie des normes récemment et je n’en suis encore pas revenue. C’est pourquoi je me sens obligée de me mettre à mon ordinateur pour raconter tout ça, comme pour me convaincre que ça a vraiment eu lieu.


Tout a commencé quand mon patron m’a convoquée dans son bureau pour me dire que j’allais l’accompagner dans son prochain déplacement à l’étranger. En principe, ce n’est pas moi qui suis commise à ce genre de mission, mais Julie, ma collègue de dix ans plus jeune, aussi brune que je suis blonde, plus ancienne que moi dans la boîte. Je ne sais trop pourquoi, ce fut moi la sélectionnée, et j’en fus gênée pour Julie, qui a peu apprécié, je compris pourquoi plus tard.


Mon patron, c’est le type même du jeune businessman bien de sa personne, toujours fringué impeccable, coiffé de même, légèrement barbu, la quarantaine dynamique, bref, séduisant, il faut bien le dire. Pour autant, je n’ai jamais éprouvé autre chose à son égard qu’un respect hiérarchique. Il m’avait demandé d’être élégante, et même sexy si possible, cela en raison d’un dîner important avec des clients. J’avais sorti une robe que je mets peu parce qu’elle est vraiment très décolletée, en particulier dans le dos. Comme elle est ancienne et que j’ai pris du poids, elle me serre un peu aux fesses et aux cuisses. Mais cela n’a pas gêné mon patron, qui m’a même expressément demandé de ne pas mettre de soutien-gorge qui barrerait mon dos nu d’une armature, il est vrai peu esthétique. J’avais donc les seins libres sous ma robe et ça me faisait tout drôle de me montrer ainsi, les nichons ballottant sous l’étoffe. J’avais l’impression d’être une escort-girl sur le retour.


Le dîner s’est bien passé. Mon anglais était un peu laborieux, mais nos commensaux en étaient charmés, en particulier un qui me faisait carrément du gringue. Je n’avais évidemment aucune envie de coucher avec ce gros type adipeux pour le bien-être de ma boîte. Fort heureusement, mon patron ne me l’a pas demandé. Qu’aurais-je fait si ç’avait été le cas ? Je me le demande encore.


La surprise, ce fut plus tard, quand on est rentrés à l’hôtel. Je ne le savais pas, mais il avait demandé deux chambres communicantes. J’étais à peine arrivée dans la mienne, ôté mes escarpins et défait mon chignon qu’il a frappé à la porte intermédiaire et est apparu vêtu simplement d’un peignoir, celui de la salle de bain. J’ai compris tout de suite que ma vertu allait en prendre un coup. Il faut dire que j’avais un petit coup dans le nez et que je me sentais en état d’euphorie après ce succès qui s’était traduit par un joli marché. Mon patron m’en avait attribué une large part et je flottais dans une espèce de béatitude peu propice à la résistance patronale. Quand il m’a enlacée, j’ai répondu à son baiser, pensant naïvement qu’on en resterait là. Mais quand j’ai vu sa queue surgir de son peignoir, j’ai conclu qu’on en était qu’aux prémices. Je n’avais jamais vu une queue pareille. Longue, recourbée comme une parenthèse, plutôt fine, alors que celle de Christophe est courte et épaisse. Son peignoir est tombé et son corps est apparu, entièrement nu, imberbe, rasé. Il s’est allongé sur le lit en se paluchant, et en me fixant il me dit :



Le genre de compliment qui fait fondre une femme, a fortiori en entrée de cinquantaine, quand le doute s’installe. Il me laissait la responsabilité de la suite. Je n’avais qu’un geste à faire : glisser les mains sous les bretelles de ma robe, la laisser tomber sur mes chevilles, apparaître seulement vêtue de mon string. Et je trompais mon mari avec mon patron. Moment crucial.


Mon string a rejoint ma robe au sol et je me suis allongée à côté de lui. Et vous savez quoi ? J’avais envie de sa queue. Je ne pensais plus à mon mari, mais à mon plaisir. Je l’ai embouché avec volupté pendant qu’il se retournait sur le lit et allait glisser son visage entre mes cuisses pour me lécher la chatte. On se retrouvait en plein 69, une position que je n’adopte plus guère avec mon mari le dimanche matin. J’en arrivai à un stade où seule une bite bien raide, là où est sa destination, pouvait me calmer. Enfin, façon de parler, car dès qu’il m’a enfilée, je n’ai eu qu’une préoccupation : lui prouver que je n’étais pas une planche à pain. Ce fut d’autant plus facile que sa bite me régalait. Mon patron était un vrai baiseur, fougueux, inventif, inlassable, bavard. Ses mots crus m’excitaient et je gigotais sur lui, sous lui, à côté de lui en couinant et piaillant. Il me parla de mon cul qui, me dit-il, le faisait rêver depuis un moment et j’eus droit à une introduction entre mes fesses qui ne me fit même pas mal tellement j’étais chaude.



Bref, on a baisé, vraiment baisé, et pas qu’une fois ! Encore au petit matin, cette fois à mon initiative, car je n’étais pas encore rassasiée. Tout ça, je ne l’ai pas fait pour l’argent, mais pour mon plaisir, j’ose à peine le dire.


Au retour, Julie m’a glissé, le sourire en coin :



J’ai compris qu’elle passait elle aussi à la casserole à chaque voyage. D’avoir été remplacée par une quinqua, ça lui faisait visiblement mal aux seins, qu’elle a volumineux. J’ai éludé. Cela lui passera d’autant plus facilement qu’elle sera peut-être du voyage la prochaine fois, je ne me fais pas d’illusion.

Ma seule préoccupation était désormais que tout ça ne sorte pas de la boîte, mes ébats avec le patron. Je tiens à rester une épouse modèle. Même si j’ai bien conscience que je ne le suis plus tout à fait.



À SUIVRE