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Temps de lecture estimé : 9 mn
30/01/23
Résumé:  Françoise surprend un voyeur alors qu’elle bronze nue au bord de sa piscine et fait une étrange découverte. Nathalie est une femme politique qui use de son charme pour séduire son entourage, mais aussi pour son propre plaisir.
Critères:  fh fplusag couleurs couple grossexe handicap piscine travail voir exhib nudisme fellation cunnilingu pénétratio fsodo coprolalie confession -chronique
Auteur : Jacquou            Envoi mini-message

Série : Matures au confessionnal

Chapitre 02 / 05
Matures au confessionnal (2)

Résumé des épisodes précédents :

Cette série est une suite de témoignages de femmes mûres et d’âges divers, ayant connu une expérience érotique particulière dans une vie plutôt ordinaire.




Françoise (62 ans)



Je m’appelle Françoise, j’ai 62 ans, retraitée depuis peu, mariée à Albert, de mon âge, mais toujours vert, ce qui m’arrange bien, car je ne suis pas non plus « rangée des voitures », comme on dit. On aime tous les deux faire l’amour, certes moins souvent que dans le passé, mais tout aussi intensément, et ce malgré le changement de nos corps. J’ai pris du cul, des cuisses, du ventre et des fesses, mais je fais toujours bander Albert et c’est l’essentiel.

Notre pavillon est flanqué d’une piscine et je bronze à poil à côté, profitant de l’éloignement des immeubles voisins et des voyeurs éventuels. Enfin, c’est ce que je croyais. Un jour, j’ai perçu une espèce de flash venant d’une des fenêtres d’une bâtisse éloignée de plusieurs centaines de mètres, comme si le soleil s’était reflété dans du verre. J’ai couru chercher mes jumelles, j’ai fixé l’endroit et je me suis aperçue qu’une autre paire de jumelles était dirigée vers moi. Impossible de voir qui était derrière, d’autant que mon attitude a provoqué un vif retrait. Ainsi donc, j’étais matée. À la fois flatteur, pour une sexagénaire, mais dérangeant aussi. Je me suis rappelé qu’on avait baisé avec Albert plus d’une fois dans la piscine. Et si on avait été vus ?


Je me suis précipitée sur Google Map pour identifier le lieu et je n’ai pas tardé à trouver l’immeuble, et même l’étage. Restait à identifier l’appartement. Je m’y suis déplacée et après quelques tâtonnements, j’ai fini par repérer l’emplacement donnant sur notre pavillon.

J’ai sonné à la porte, bien décidée à dire son fait à l’individu voyeur et à le menacer de représailles. Mais quand la porte s’est ouverte, je suis tombée sur un jeune homme… en fauteuil roulant.



J’étais tétanisée par cette découverte. Le voyeur était un handicapé moteur, visiblement paraplégique. Après avoir bafouillé, j’ai fini par lui confier la raison de ma venue chez lui. Mais il avait déjà compris puisqu’il m’avait évidemment reconnue. Il m’a fait entrer chez lui. Je lui ai dit que ce qu’il faisait n’était pas bien, que ça violait mon intimité. Il m’a répondu que je n’étais pas obligée d’être nue dehors et que je m’exposais ainsi aux regards indiscrets. S’ensuivit un débat plutôt calme sur la notion de « propriété privée » et d’y faire ce que bon nous semblait.



Il avait donc tout vu, le petit salaud. Mais c’est difficile d’être agressif avec un jeune gars, plutôt mignon, vissé dans un fauteuil roulant. Alors, on a parlé. De son accident de moto, de sa vie, de sa frustration sexuelle, mais aussi du seul plaisir qui lui restait : celui du voyeur. J’ai fini par compatir.

J’ai tout raconté à Albert, qui a été aussi ému que moi.



Dès lors, quand je m’allongeais nue sur mon bain de soleil, je faisais en sorte d’être bien orientée vers l’immeuble. De temps à autre, un flash m’informait que les jumelles du garçon, que je désignerais désormais sous son prénom, Fabien, étaient dirigées vers mon corps. Je poussai le vice jusqu’à me caresser les seins, et même le sexe. J’imaginais son trouble.

Mais j’avais envie d’aller encore plus loin. Un après-midi, Albert a déboulé, nu, lui aussi, pour prendre un bain. En me voyant me caresser, il m’a dit :



Ce genre d’invitation de ma part, Albert ne les néglige jamais. Il est sorti de l’eau et m’a tendu sa queue à sucer. Je l’ai orientée de telle façon que notre voyeur puisse bien mater ma succion et la longueur de sa bite. Puis je l’ai attirée entre mes cuisses bien ouvertes sur le bain de soleil et il m’a pénétrée avec sa vigueur habituelle. J’imaginais les jumelles braquées sur le cul en mouvement de mon mari et ça m’excitait terriblement. Il ne pouvait évidemment pas m’entendre stimuler Albert de mon verbe cru, mais mes pieds parlaient pour moi en talonnant ses fesses.

Puis je l’ai installé dans le bain de soleil et me suis empalée sur lui, bien visible, de face, afin qu’il voie bien mon visage marqué par le plaisir et mes gros seins agités. J’ai fini Albert à la bouche, comme il aime, et l’ai fait gicler bien en vue. Puis on s’est baignés après avoir bien joui, heureux que nos corps puissent encore exulter dans une bonne baise bien cochonne.


Je suis allée voir Fabien le lendemain. Il m’a dit :



Mais je voulais faire davantage, avec l’accord d’Albert. J’ai déboutonné ma robe qui s’attachait sur le devant et sous laquelle j’étais nue. Je me suis avancée vers lui et lui ai dit :



Ses mains étaient douces, précises. Quand il a atteint mon sexe, je l’ai maintenu et incité à aller plus loin. Il m’a masturbée, longuement, habilement. J’étais debout devant son fauteuil, cuisses écartées, pointes de seins dressées. Je gémissais de plaisir. Son doigt était comme un sexe et j’ai fini par jouir. Il était heureux. Moi aussi. Mais quand il a voulu me lécher, j’ai refusé. Privilège d’Albert, désolée !


Depuis, nous nous voyons régulièrement, y compris avec Albert. Il nous a demandé un jour de faire l’amour devant lui et nous avons accepté, très excités par cette nouvelle expérience sexuelle. Il a installé son fauteuil roulant devant le canapé où nous étions nus et amoureux. On a utilisé toutes les possibilités du meuble, à mon avis celui où on baise le mieux. Quand j’ai chevauché Albert face au jeune handicapé, seulement distant de quelques centimètres, c’était comme s’il participait à nos ébats. Il fixait mes gros seins en agitation, le regard halluciné. J’ai compris qu’on pouvait jouir avec les yeux. Et c’est peut-être ce qui nous arrivera un jour quand nous serons très vieux… Mais on n’en est pas encore là, heureusement. D’ailleurs, en écrivant, j’ai justement envie de bite. Albert est en train de bronzer à poil. Allez, hop, j’enlève ma petite robe et ma culotte et je vais le rejoindre. L’autre va encore se régaler là-haut. Albert a intérêt à être en forme.




Nathalie (44 ans)



Je m’appelle Nathalie, j’ai 44 ans, je suis divorcée avec trois enfants partiellement à charge et je suis élue de la République dans une assemblée que je préfère ne pas nommer pour être tranquille. Dans cette assemblée, les femmes sont minoritaires et peuvent être classées en trois catégories. La première, ce sont les femmes, en couple conjugal ou non, plutôt traditionnalistes. La seconde, ce sont celles qui ne vivent que pour la politique et qui, de ce fait, sacrifient leur vie sexuelle, si tant est qu’elles n’en aient eu jamais une. La troisième, ce sont les femmes qui baisent, et c’est celle dont je fais partie. Beaucoup baisent avec leur attaché parlementaire, en général, un jeune gars sorti depuis peu des écoles et prêt à tout pour monter en grade. D’autres baisent « utile » avec un ministre, un député, un sénateur, un maire important ou un journaliste. Et puis, il y a celles qui baisent pour le plaisir, pour rester jeunes, pour satisfaire leurs besoins physiologiques, ce qui n’exclut pas parfois une utilité politique. C’est ma catégorie.


Au début de mon mandat, je vivais une histoire de couple normale avec mon mari, maire d’une petite ville. Mais une fois élue au niveau national, j’ai compris qu’on ne me ferait pas de cadeau. Si je voulais arriver à quelque chose, je devais mettre toutes les chances de mon côté.

Il se trouve que la nature ne m’a pas trop desservie. Je suis grande, blonde, mince, souriante, pas trop abîmée par mes trois maternités. J’ai toujours joué sur mon charme, longtemps en tout bien tout honneur, mais dans ce contexte où nombre de femmes « couchent » pour arriver à quelque chose, j’ai conclu que je devais aussi passer à la casserole. J’ai tout de suite visé haut, je ne dirai pas avec qui, ça vaut mieux pour lui et pour moi. Il avait du bide, il bandait mou, mais il n’en revenait pas de sauter, disait-il, « un canon comme toi ».


Quand les autres femmes ont commencé à me regarder de travers, j’ai compris que je tenais le bon bout. J’ai pu intervenir en session plénière, obtenir des postes intéressants, fréquenter des hommes un peu plus sexy. Mon amant attitré étant un peu jaloux, il me fallait être discrète lorsque je baisais avec un de ses concurrents. Mon petit bureau est devenu un vrai lupanar. Je me faisais prendre dessus, mon partenaire debout bien enfoncé en moi, troussée et dépoitraillée, après l’avoir bien préparé en le suçant accroupie. Je finissais en général les coudes sur la table, prise en levrette, parfois dans mon cul que j’ai joufflu, comprenant qu’acceptant d’être sodomisée constituait un « plus » indéniable par rapport à d’autres, plus chichiteuses sur le sujet. Ce qui ne me dérangeait en rien d’ailleurs, car j’aime ça. J’aime tout d’ailleurs. J’adore baiser, mais baiser vraiment, et plus c’est cochon, plus j’aime. Pour moi, le test, c’est la langue dans l’anus. Quand un homme est capable de ça, il a droit à tout. Et même à la réciprocité…


Si ma capacité à ouvrir les cuisses a fait du bien à ma carrière, tel n’a pas été le cas pour mon couple. Au début, j’ai cru pouvoir cacher mes fredaines à mon mari, mais comme il a oublié d’être sot, il a vite compris que mon ascension rapide n’était pas seulement due à mon savoir-faire politique. J’ai dû laisser filer quelques aveux, espérant qu’il saurait faire la part des choses. Il n’en a rien été. Il ne voulait pas être le cocu de la femme politique. Nous avons donc divorcé et c’est le point noir de mon aventure. On ne peut pas tout avoir.


Alors, je papillonne. J’aime trop le cul pour appartenir aux deux catégories citées plus haut. Mais si je baise utile, il m’arrive aussi de chercher le plaisir. En ce moment, je prends mon pied avec l’attaché parlementaire d’une collègue qui l’a essayé avant moi et m’en a dit le plus grand bien. Elle s’appelle Fabienne, elle a 55 ans, elle aime autant le cul que moi, mais son attaché l’épuise, car elle a de hautes fonctions et elle m’a demandé de l’épauler, si j’ose dire. Je reçois donc les faveurs d’un des plus beaux mecs du personnel parlementaire. Il s’appelle Barnabé, c’est un Guadeloupéen issu du militantisme et son corps ferait chavirer n’importe quelle nana. Ses gros besoins sexuels en font un amant vraiment exceptionnel.


Pour moi, le moment le plus excitant est celui où je lui ouvre la braguette et je vois surgir son pénis, le plus appétissant qu’une femme puisse imaginer. Je le taquine, je le suçote, je l’engloutis jusqu’à la glotte (mais il en reste encore une belle longueur) tout en me branlant. Puis il me lèche longuement, savamment, avec une habilité des îles, incomparable.


Puis je me mets entièrement nue, sans complexe, et je le regarde se dévêtir avec gourmandise, exposant son sceptre sous un torse sculptural. Et il me baise. Je crie de plaisir quand il me pénètre. Nous sommes dans le petit logement que la République m’octroie, sur un lit médium qui devient vite un chantier. Il me fouille, me ramone, me creuse, m’écartèle, me fait couiner, me fait miauler, par devant, par derrière, sur le côté, dessous ou dessus, infatigable, dur partout sauf aux couilles que je gobe avec volupté. Je lui donne autant de plaisir qu’il m’en donne. Je lui parle de sa bite, il me parle de mon cul qu’il encule pour mon bonheur.


Tout en baisant, je lui demande de parler de Fabienne, son autre maîtresse, qu’il me décrit comme aussi cochonne que moi, très verbeuse et je lui balance alors des mots crus pour qu’il ne perde pas au change. C’est ce qui le fait jouir, je l’ai compris et je cavale pour le rejoindre, pour qu’on jouisse ensemble. Alors, je suis en nage, j’ai dû perdre un bon kilo ce qui est toujours bon à prendre et j’ai la chatte et le cul en surmenage, mais apaisés. J’ai été baisée, royalement baisée. Et quand je reviens dans l’hémicycle ou en commission, je pète le feu. La femelle sert la femme politique.


Pour l’heure, mon ascension continue et je ne sais pas où elle s’arrêtera. Fabienne, vu son âge, me donne de l’espoir. Une femme qui baise est toujours opérationnelle. Le problème reste cependant les électeurs. C’est d’eux que dépend mon avenir. Et je ne vais pas leur raconter que le cul est mon moteur, même si ma vie sexuelle déteint sur mon apparence physique, toujours impeccable. Et donc sur ma séduction. Après tout, c’est l’essentiel.



À suivre…