n° 21534 | Fiche technique | 19915 caractères | 19915 3187 Temps de lecture estimé : 13 mn |
12/02/23 |
Présentation: Une deuxième série dédiée à ma sympathique et ingénue Pénélope. | ||||
Résumé: Pénélope referma doucement la porte d’entrée, amusée par le tintement cristallin du petit cachalot blanc, fixé au chambranle de bois. Une idée d’Octave Groseille. Une échoppe nommée Moby Dick méritait un carillon digne de son nom… | ||||
Critères: #occasion #jeuxérotisés fh hplusag travail cérébral voir exhib noculotte fmast facial fellation pénétratio | ||||
Auteur : Juliette G Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Les amours de Pénélope Tancrène Chapitre 01 / 08 | Épisode suivant |
Pénélope referma doucement la porte d’entrée, amusée par le tintement cristallin du petit cachalot blanc, fixé au chambranle de bois. Une idée d’Octave Groseille à ses débuts de libraire. Une échoppe nommée Moby Dick méritait un carillon digne de son nom. Désuet et charmant. Une bonne odeur de café avertit la jeune femme que son employeur était déjà là. Une première !
Octave Groseille était effectivement présent. Il était également en grande conversation avec une femme. Octave avait réagi au grelot de la porte, en coupant court à sa conversation. La femme, elle, s’était retournée vers Pénélope. Un sourire éclatant aux lèvres, Annabelle Lajoie fonçait déjà sur elle.
Annabelle Lajoie s’était approchée, et avait claqué un baiser sonore sur la joue d’une Pénélope surprise, mais ravie.
Les immenses yeux gris de madame Lajoie pétillaient de bonne humeur.
Lajoie leva les yeux au ciel, et sa main agrippa celle de Pénélope.
Annabelle entraînait déjà la libraire vers le coin bureau, et lui lâcha la main pour prendre une tasse fumante.
Madame Lajoie n’attendait pas de réponse, et but une gorgée du café Groseille, en regardant Pénélope.
Pénélope n’eut rien à dire. Octave Groseille lui tendait déjà sa tasse. Octave avait fait un nouvel investissement peu avant. Deux tasses, l’une bleue-pastel et l’autre rose, toutes deux ornées de l’image d’un cachalot blanc crémeux, pataugeant sur le dos, et délivrant un clin d’œil malicieux au buveur. Ce qui avait poussé Pénélope à une autre dépense. Trois cents tasses de couleur coquille d’œuf, gravées au nom de la librairie et agrémentées d’un cachalot blanc plus sérieux, bondissant hors des vagues, et menaçant de s’écraser sur un baleinier sombre, toutes voiles dehors. Un petit cadeau sympathique offert à chaque nouveau client, pour un achat en librairie de plus de trente euros.
Pénélope s’était installée, fesses sur le bureau, et désignant le fauteuil des invités à Lajoie.
Octave s’était assis et tripotait sa pipe. La journée s’annonçait parfaite. Devant lui, deux des femmes les plus belles qu’il ait jamais rencontrées papotaient sous ses yeux. Et l’une d’elles, il l’avait baisée. Baisée, et baisée, encore. Et quand il ne la baisait pas, c’était Annabelle Lajoie qui le baisait. Cette femme avait été sa tempête personnelle. Son ouragan. Le typhon, que tout bon marin se doit d’affronter un jour. Annabelle était torride, voluptueuse, gourmande et certain jour, totalement nymphomane. Belle à damner un saint, un corps de statue, et un tempérament de feu. Une année entière, Annabelle Lajoie avait été sa tempête indomptable. Il fallait pourtant reconnaître que madame Lajoie avait perdu un brin de sa superbe. Octave avait tout de suite remarqué que la belle s’était un peu arrondie. Son corps s’était légèrement alourdi. Son visage de madone, lui aussi, avait accusé le coup des six années passées. Oh ! Rien de bien méchant ! Quelques rides au coin des yeux, et autour de son immense bouche pulpeuse. D’ailleurs, ces légers signes précurseurs des marques du temps étaient des charmes de plus. Pour certains hommes. Octave Groseille faisait partie de ces hommes, capables d’apprécier ces petits charmes.
Elle avait quoi, la belle Annabelle ? Quarante-cinq ? Quarante-six ans ? Lui-même avait cinquante-deux ans, quand il la chevauchait, tel Jonas, enfourchant sa baleine avant qu’elle ne l’engloutisse. Madame Lajoie restait toutefois très belle. Elle ressemblait énormément à une actrice américaine, dont Octave était incapable de se rappeler le nom. La comédienne en question, américaine, avait vendu des pizzas mystiques, ou travaillait dans une pizzeria mystique, pour ses débuts cinématographiques. Il était hors de question pour Groseille, de se souvenir d’un détail aussi grotesque. Toujours est-il que l’actrice était devenue une immense star, quoique ce mot n’ait aucun sens véritable pour Octave. De grands yeux d’un gris aux reflets sombres, le plus souvent rieurs, et parfois charmeurs. Un nez un rien trop fort, et un brin trop long, mais doté de narines délicates. Et une bouche… une bouche immense, découvrant des dents de nacre quand Annabelle souriait. Une bouche qui puait l’érotisme. Hormis la couleur de ses yeux et de sa crinière de jais, cascade de cheveux noir corbeau lui couvrant les épaules, on aurait pu confondre Annabelle avec cette fameuse comédienne. L’actrice, qui, Octave s’en souvenait maintenant, était passée par Notting Hill, pour succomber à un coup de foudre. Annabelle Lajoie était un rêve sur pattes. D’interminables pattes, aux mollets parfaitement galbés, et aux chevilles fines. Ce matin, elle portait une courte veste noire, et ses seins libres d’entraves se balançaient doucement sous un pull gris qui moulait sa superbe poitrine. Son fessier de rêve s’était doucement balancé dans sa marche vers Pénélope. Un cul somptueux sous une jupe anthracite, les pieds chaussés d’escarpins noirs, madame Lajoie restait une somptueuse créature.
Quant à Pénélope… Octave avait fini par ravaler sa frustration, face au contrat qu’elle avait imposé. S’il ne l’avait jamais effleurée du doigt, il avait tout vu d’elle. Pénélope s’était offerte à lui, avec une impudeur qui l’avait transporté. Elle resterait certainement un rêve inaccessible. En cette triste matinée grise et pluvieuse, Pénélope rayonnait ! Ce matin, plus que d’ordinaire encore. La jeune femme portait un tailleur bleu marine, sous lequel, il le savait, sans qu’elle ne lui en fît la confidence, elle ne portait pas de soutien-gorge. Sa veste était ouverte sur un début de poitrine caché par un haut blanc. Un léger décolleté, certes, mais agaçant le regard. Très agaçant ! Une jupe courte et droite découvrait ses genoux ronds. Les cheveux dorés libres sur les épaules, Pénélope repoussa doucement d’un doigt une mèche folle lui couvrant un œil. Ses grands yeux bleus illuminaient le bureau. Octave, songeur, observa un long moment le visage de la femme qui avait changé sa vie. Les yeux de Pénélope pétillaient. Elle était très belle, sans pourtant posséder la beauté glacée de certaines femmes. Ses pommettes trop marquées, son nez, un rien trop large, comme son menton un brin trop puissant, lui donnaient un charme ravageur. Pénélope souriait à Annabelle, tandis que la superbe brune racontait une anecdote, sur le passé peu glorieux de la librairie Moby Dick. Octave se revit se masturber, les yeux braqués sur Pénélope. Il avait explosé, et s’était soulagé avec une puissance rarement atteinte, maculant de son plaisir, le haut de la poitrine de sa lectrice. Les lèvres sensuelles de son employée avaient été si proches de son sexe… Groseille bougea en se raclant la gorge. Moby Dick s’était réveillé. Octave n’écoutait plus les deux femmes. Il n’avait plus qu’une envie : se retrouver en tête à tête avec la voluptueuse Annabelle Lajoie.
Si Pénélope s’était glissée dans un tailleur, ce n’était pas pour travailler à la librairie. Elle avait un rendez-vous prévu avec leur comptable. Elle ne faisait que passer et allait très vite rejoindre Monsieur Albertin. Quant à Annabelle, elle avait laissé supposer de tendres retrouvailles à son cher Octave.
Lajoie avait ri. Un rire grave et voilé.
Pénélope avait jeté un coup d’œil à sa montre, et était descendue du bureau d’un mouvement leste.
La jolie blonde jeta un coup d’œil faussement sérieux à son patron, et tendit un long index vers lui.
Après d’âpres tergiversations, Pénélope et Octave étaient restés sur leurs positions respectives. S’il n’était pas possible pour Pénélope de tutoyer son employeur, il ne le ferait pas non plus. Un statu quo, qui convenait parfaitement à madame Tancrène, et qui agaçait prodigieusement monsieur Groseille.
Oh… Elle avait bien parlé de tendres retrouvailles. Que se serait-il donc passé entre eux si Annabelle Lajoie avait promis à Octave Groseille des retrouvailles torrides ? À peine Pénélope sortie de l’endroit que la superbe brune avait contourné le bureau d’Octave et s’était presque jetée sur lui pour l’embrasser. Un baiser impatient ! Brûlant ! Puis, la main d’Annabelle s’était posée sur l’entrejambe du libraire. L’érection de l’ancien capitaine de marine tendait la toile de ses pantalons, depuis qu’il s’était mis à observer, et comparer les deux femmes. La démonstration de son désir était pour le moins tenace.
Octave n’avait rien répondu, se contentant de se lever, sous la poigne nerveuse qui tirait sur le tissu qu’elle tenait fermement. Si le libraire se sentait un tantinet ridicule, suivant une femme qui l’entraînait vers le fond de sa boutique, en le traînant par la queue, il ne le montra pas. Le lieu avait changé, mais Annabelle Lajoie semblait bien le reconnaître. Elle se hissa d’un mouvement souple sur la grande table qui séparait le coin bureau de Pénélope des rayonnages, et ce, sans avoir lâché sa prise sur sa proie. Une proie devenue dure comme un pieu de bois.
Si question il y avait, elle n’était pas adressée au libraire ni même à l’ancien marin. Annabelle avait libéré ce qu’elle convoitait, sans attendre une éventuelle réponse.
Annabelle Lajoie était née à Landerneau, et était d’origine bretonne. Elle avait quitté une région qu’elle n’avait appris à connaître, enfant, que par les histoires de sa grand-mère. Ceci expliquant certainement l’expression employée, quand sa main enserra le membre dressé de Groseille. Annabelle, les yeux braqués sur le sexe turgescent d’Octave, le masturbait doucement.
La main gauche de la belle brune était venue à la rescousse de sa petite sœur.
Octave, bouche ouverte pour aspirer de l’air, n’avait pu que souffler le mot. C’était ainsi que madame Lajoie avait baptisé son sexe naguère, et elle venait de s’en souvenir.
Groseille, le regard sur les mains qui le câlinaient, employait toute son énergie à ne pas se laisser aller à la catastrophe. Si ses souvenirs étaient bons, et ils l’étaient, il valait mieux de pas décevoir Annabelle Lajoie.
Annabelle avait presque crié.
Elle le regardait, le gris de ses yeux devenu sombre comme un ciel orageux.
Madame Lajoie avait les seins nus sous son pull gris, et le cul à l’air sous sa jupe. Ce qui fouetta les sangs du libraire. Le ventre et les seins écrasés sur le bois de la table, jambes largement écartées, pointes de pieds touchant à peine le sol, Annabelle Lajoie ahanait comme une coureuse de marathon, dans son dernier kilomètre. Ses bouts de seins frottaient le bois, et elle en était très excitée. Ceci dit, elle en était excitée quand elle y songeait. Ce qui était difficile, la plupart du temps, bousculée comme elle l’était par les coups de reins tumultueux donnés par son partenaire.
La toute première fois, des années avant, Annabelle Lajoie avait connu une certaine frayeur, à la vue de son fléau. Puis elle avait cru défaillir de bonheur. La grosse queue d’Octave l’avait défoncée, faisant trembler les fondations d’une fameuse légende, en place depuis des lustres. Si pour d’autres femmes, la taille du sexe masculin n’avait pas d’importance dans l’acte sexuel, elle, Annabelle, ne désirait plus que jouir le plus souvent possible, de cette énormité qui la labourait avec vigueur.
Groseille se colla à elle et Annabelle poussa un cri. Elle laissa les mains d’Octave se glisser sous son corps et emprisonner les globes fermes de sa poitrine.
La première fois qu’il avait appelé Annabelle ainsi, Octave était bousculé par les dents de la dame, qui mordillaient son cher fléau. Cette attention particulière avait amené l’ancien capitaine au long cours à perdre pied, et à se laisser aller à ce langage trivial. Il s’était attendu à une rebuffade tout à fait justifiée, et fut surpris par un long silence. Puis, sa maîtresse avait simplement soufflé une phrase surprenante.
Octave, transporté par une réponse aussi audacieuse, avait aussitôt rendu hommage à sa belle, éclaboussant ses lèvres et son visage, avant que la bouche d’Annabelle ne l’engloutisse encore. Évidemment, soumis la plupart du temps à des excitations atteignant des sommets, le brave Octave avait par trop souvent délié les cordons de sa bourse par la suite. Annabelle retint son souffle, et laissa les doigts du libraire tordre doucement les pointes durcies de ses seins.
Annabelle allait dire qu’elle le savait. Elle ne put cependant achever sa phrase. L’orgasme lui déchira le ventre, et la fit s’agripper à la table, comme une noyée à une bouée de secours. Elle se sentit couler sur ses cuisses, quand Octave se retira, et entendit un clapot terriblement gênant, quand il la reprit de plus belle.
Ce qu’Octave s’évertua à faire, sans qu’il ne soit nécessaire qu’elle soit plus explicite…
Octave avait déployé des efforts dignes d’éloges pour tenir contenance. Tel Héraclès face à ses douze travaux, il ne s’était pas découragé. Il s’efforçait à penser à autre chose, tout en besognant sa belle salope. Comptabilité, gestion, taux d’imposition. Octave Groseille employait tous les moyens disponibles, pour tenir la barre droite, et mener son navire à bon port. Le bateau en question, étant une fière frégate nommée Annabelle. Il s’efforçait à ne pas regarder le corps qu’il prenait avec force et courage. Il se fermait aux gémissements, aux plaintes et aux cris qui berçaient ses oreilles. Octave Groseille luttait contre lui-même. L’intrépide et tenace marin affrontait le piètre libraire flemmard. Pourtant, quand des flashs sortis tout droit de son esprit lui montrèrent Pénélope, tout aussi nue que madame Lajoie, il serra les mâchoires. Il se devait de les repousser avec courage. La chair étant faible, et son imagination débordante, le valeureux capitaine allait pourtant craquer. Dans son esprit enfiévré, Pénélope et Annabelle s’exhibaient maintenant pour lui, en images cérébrales détaillées, et c’était beaucoup trop pour un seul homme. Ce fut le moment qu’Annabelle Lajoie choisit, pour jouir en furie déchaînée, écartant plus largement encore les cuisses, et criant qu’elle n’en pouvait plus…
Octave fixa un instant l’immense bouche souriante de madame Lajoie, occupée à lui masser les bourses. Une bouche collée à son gland, prête à faire se déclencher tous les tonnerres de Brest.
La première salve balafra le beau visage de la brune et macula de blanc laiteux quelques mèches noires de ses cheveux. Annabelle approcha son visage de Moby Dick, et la seconde bordée se perdit dans sa gorge. Puis, sans même fermer ses grands yeux gris, Annabelle avala son fléau…
L’heure du déjeuner approchait. Octave avait laissé la librairie fermée au public, mais Pénélope ne tarderait plus. Ils étaient restés, Annabelle et lui, un long moment à se faire des confidences. Chacun regrettait ce long temps perdu. Une confidence en entraînant une autre, le libraire fit un pas de trop, et éveilla la curiosité d’Annabelle Lajoie.
Groseille soupira, et son visage se ferma. Il en avait trop dit et le regrettait déjà.
Annabelle Lajoie, dans un mouvement leste, s’approcha d’Octave assis au bureau de Pénélope et dégagea le fléau de son antre.
Rien d’autre. Un long silence, tandis que la sulfureuse madame Lajoie engloutissait son fléau, laissant parfois filtrer de longs soupirs. Le malheureux Octave n’avait pratiquement pas débandé, alors qu’il s’était passé près de deux heures, depuis qu’il avait honoré sa belle putain.
Alors, les yeux fermés et l’esprit en ébullition, Octave Groseille narra par le menu les très érotiques lectures de Pénélope Tancrène. Il n’omit rien, détaillant la plastique de Pénélope avec force détails. Il dévoila avec délectation pour la belle Annabelle, le corps superbement impudique de la jolie blonde, qui jouissait en faisant lecture. Quand il vit la main d’Annabelle se glisser sous sa jupe, il en agrémenta même ces aveux, de quelques souvenirs plus exotiques encore. Il déballa à une Annabelle, le suçant avec une excitation grandissante, l’épisode de la lecture sur estrade, comme on dégage une friandise de son emballage.
Madame Lajoie pouvait se voir aux côtés d’Octave. Elle vivait la scène, comme si elle y avait été conviée. Le corps de Pénélope n’avait maintenant plus aucun secret pour elle. Ses seins superbes, son ventre plat, ses longues jambes gainées de bas. Annabelle avait énormément d’imagination, et savait parfaitement l’employer. Pénélope Tancrène, nue et impudique en diable ! La grotte béante, et détrempée de Pénélope. Son anus offert, luisant de cyprine. Annabelle Lajoie n’en pouvait plus d’excitation. Elle n’avait jamais songé à ce genre de pratique. Elle voulait les connaître à son tour. Elle le ferait ! Oh oui ! Elle s’exhiberait au plus vite !
Annabelle, sa main fouillant son ventre, jouit en une longue plainte, et Octave, grondant comme le Vésuve avait dû le faire, se répandit une nouvelle fois entre ses lèvres.
Octave était mal à l’aise, et s’en confia à Annabelle. Il fut convenu que les lectures privées de Pénélope resteraient un secret bien gardé. Leur secret !