Je me prénomme Évelyne, j’ai trente-quatre ans, et je réside à Lyon. Je suis divorcée depuis le printemps 2022, mon mari, Gérard, m’avait trompée avec une collègue de bureau, et je n’ai pas supporté. C’est mon évolution depuis cette séparation que je souhaite relater dans ce récit.

Sans être un canon, je suis plutôt jolie, un mètre soixante-quinze, brune aux yeux noisette, bien faite, ni ronde ni maigre, j’aime beaucoup mes jambes. Et aussi mes seins, en forme de poire, toujours fermes malgré mes trente-quatre ans, pas trop lourds, ce qui me permet souvent de ne pas porter de soutien-gorge sous mes robes ou mes hauts, ce que Gérard aimait bien. Ce qu’il appréciait aussi, c’est que j’aie un petit côté exhibitionniste, j’aime bien me montrer, sans être vulgaire pour autant. À titre d’exemple, lors de promenades en forêt ou à la campagne, il m’arrivait parfois d’enlever un top ou de baisser le haut d’une robe pour marcher, la poitrine nue, au risque de rencontrer quelqu’un, mais c’est ce qui fait le piment de la chose.

Je m’habille dans différents styles, décontractée avec un haut et un pantalon, ou plus féminine, avec une jupe ou une robe. Au printemps ou en été, je les porte souvent assez courtes, ou alors je dégrafe quelques boutons en bas, j’ai de jolies jambes autant en profiter pour les montrer.

Sexuellement parlant, j’ai toujours été avec des hommes, mais après cette rupture, il m’est venu, progressivement, une attirance envers les femmes. J’avais juste eu une expérience de masturbation avec une cousine au début de l’adolescence, on bronzait nues sur des transats au bord de sa piscine, et l’envie nous est venue de nous regarder faire mutuellement. Mais c’est tout.

Une des premières choses que j’ai faite après ma séparation, c’est d’aller me faire épiler intégralement en bas. Gérard aimait bien ma petite toison, mais justement j’avais besoin de ce changement dans ma nouvelle vie. L’esthéticienne a été très professionnelle et a fait un travail parfait, mais le fait qu’elle s’occupe de mon sexe m’a fait une impression agréable, même s’il ne s’agissait que de son contour. Cela a renouvelé mon attirance pour les femmes.

J’étais très satisfaite du nouvel aspect de mon minou, plus nu qu’avant, et j’ai eu envie de le montrer, de le partager. Je pratique la cardio dans une salle de sport et dès le lendemain j’y suis allée, c’était le lieu idéal. D’habitude après la séance de sport, je me douche normalement comme tout le monde. Ce jour-là, après avoir enlevé mon top et mon short, j’ai pris soin de rester nue le plus longtemps possible dans les vestiaires, faisant semblant de chercher des affaires dans mon sac. Cela m’a permis de repérer qu’une femme d’une cinquantaine d’années me reluquait en essayant d’être discrète.

Je suis partie avec mon gel douche et ma serviette dans les douches communes, où il n’y avait personne. Je commence ma douche et, tout d’un coup, qui vient deux douches plus loin ? La femme qui me regardait, nue, elle aussi, avec serviette et gel douche. Je prends soin de bien me savonner, surtout les seins et les fesses, lui faisant d’abord dos, puis face, ma chatte bien exposée. Elle semble apprécier beaucoup mon spectacle et parcourt mon corps avec son regard. Elle arrête sa douche pour se sécher avec sa serviette. Elle met longtemps pour se sécher, en fait je me rends compte qu’avec sa serviette elle cache son sexe et sa main, elle est en train de se caresser discrètement en me regardant. Perfide et très contente de mon effet, j’en remets une couche. Je laisse tomber mon gel douche. Je me penche pour le ramasser, le dos face à elle. Du coup, elle a une superbe vue sur ma raie et mon abricot épilé. Je mets du temps à récupérer mon gel douche… C’est bizarre comme il glisse. Quand je me redresse, je constate qu’elle a dû apprécier le spectacle, sa serviette est tombée, elle se caresse ouvertement, toute nue, en me regardant intensément.

Mon objectif est atteint, j’ai exhibé ma nouvelle chatte, j’ai prouvé mon attirance. J’adore cette situation, et du coup je prolonge un peu mon savonnage, lui faisant face, en m’attardant un peu sur ma chatte. Elle s’est un peu rapprochée, se caressant toujours devant moi. Maintenant que faire ? Ce n’est pas mon type de femme, mais il y a une ambiance féminine et érotique qu’on ne peut pas ignorer. Je m’enhardis et vais vers elle. Elle me dit :

• — Vous êtes adorable.

Je me rapproche et lui fais un baiser chaste sur les lèvres tout en lui pinçant les tétons, c’est la première fois que je fais cela avec une femme. Pour finir… un très bref passage de ma main sur son sexe. Elle en profite et passe sa main furtivement sur les lèvres de ma chatte. Un sourire, et je retourne au vestiaire tandis qu’elle reste dans les douches, sans doute pour finir sa caresse jusqu’à son dénouement.

Je décide d’aller passer mes vacances d’été dans le Sud-ouest, en Gironde, à Hourtin. J’ai pris une location pour deux semaines dans une résidence de vacances. Voyage un peu long de Lyon jusque-là, mais bon, bien arrivée. La résidence est plutôt pas mal, mon studio aussi… il faut dire que j’y ai mis le prix. Il y a une assez belle terrasse donnant sur de la verdure, avec un autre bâtiment un peu plus loin. Le premier matin, comme le vis-à-vis est éloigné, je prends mon petit-déj à poil sur la terrasse, c’est très agréable, je suis en vacances et j’ai envie d’en profiter.

J’ai loué un vélo, et c’est parti pour la plage… Je porte un mini short en jean et un haut « sideboob » qui laisse un peu voir mes seins sur le côté, mais sans exagération. Je me rappelle où se trouve la zone nudiste. Ah oui, parce que je ne vous avais pas dit, mon ex et moi on pratiquait le nudisme. Mon intention c’est de me mettre pas loin d’une femme, jolie, de préférence, vu mes nouvelles dispositions.

J’arrive dans le secteur des nudistes. Il n’y a pas beaucoup de monde, quelques couples, des hommes seuls, quelques femmes. J’ai de la chance, je repère justement une jolie femme, très jolie même, seule, la quarantaine, nue sous son parasol. Je me pose à environ dix mètres. Il me semble qu’elle tourne la tête pour me regarder, ce qui est un réflexe normal quand un nouveau voisin ou voisine de plage s’installe.

Je prends bien mon temps avant de me dévêtir, sachant qu’une nouvelle arrivante comme moi sera forcément observée, on est toujours curieux de découvrir l’anatomie d’une autre personne. J’étends ma serviette avec soin, je déballe mes affaires, crème, lunettes de soleil, etc. Ça y est, je peux y aller, d’abord le haut – seins nus – puis le short, et enfin le bas de maillot. Je m’allonge sur le dos, sur les coudes. Je regarde la femme d’à côté, elle fume. Décidément, elle est bien jolie, plus bronzée que moi, brune avec des mèches blondes, à peu près ma taille, de jolies jambes, des seins plus lourds que les miens, mais très bien galbés. Bon, maintenant je profite de la plage, après avoir mis un peu de crème je relaxe sur ma serviette, je suis bien, exactement là où je voulais être, sur le sable face à la mer, nue, et profitant du soleil.

Au bout d’un moment, j’ai trop chaud et je descends à la mer. Là encore, j’ai de la chance, la mer est calme aujourd’hui et on peut avancer dans l’eau sans perdre pied trop vite. Souvent en Gironde les vagues sont fortes et la pente descend très vite. L’eau n’est pas super chaude, ce n’est pas la Méditerranée, mais ça va, on peut rester dans l’eau sans problème. Je remonte la plage, sachant que je vais avoir des regards sur moi. D’abord parce que l’on n’est pas très nombreux, aussi, car je suis une femme seule, et puis que je suis plutôt agréable à regarder. Je me pose et je regarde ma voisine. Elle semble ne pas s’intéresser outre mesure à moi, j’aimerais établir le contact, mais je ne sais pas comment faire. Je ne vais quand même pas aller lui demander du feu, et d’ailleurs je ne fume pas. Finalement, je vais être philosophe et profiter de l’instant présent, relaxer nue au soleil, et du moment qui passe…

Jusqu’à ce qu’elle se lève et qu’elle descende vers la mer. C’est l’occasion, il faut que je tente ma chance, du coup je descends aussi, je vais me baigner à une petite distance d’elle. Agréable surprise, je vois qu’elle me regarde, et après un peu d’hésitation elle m’adresse la parole en souriant :

• — L’eau est bonne, vous ne trouvez pas ?

Stupéfaite qu’elle s’adresse à moi, je réponds spontanément :

• — Bof, moi je la trouve un peu fraîche.

Elle rit tout en se rapprochant un peu de moi :

• — L’océan Atlantique, c’est comme ça, si on veut la chaleur, il faut aller dans le sud, mais moi, perso, je n’aime pas, trop de monde, trop superficiel.

Je lui réponds :

• — Vous êtes ici depuis quelque temps ?
• — Je suis arrivée il y a une semaine.
• — Moi, hier.
• — Vous êtes d’où ?
• — De Lyon.
• — Ah, moi, je suis de Bordeaux, j’ai un petit appartement à Hourtin, et donc, c’est pratique pour moi de venir ici.

Je n’en reviens pas, la conversation s’est engagée, on bavarde un peu plus et pendant ce temps-là je profite de ma proximité avec elle pour admirer ses très jolis nichons nus hors de l’eau, face à moi.

Elle me dit :

• — Si vous avez un peu froid, on peut remonter.
• — Oui, d’accord, je veux bien.

On sort de l’eau…

• — Vous n’avez pas de parasol, vous allez griller avec ce soleil, si vous voulez vous pouvez vous installer à côté de moi, vous serez mieux.

Je n’en reviens pas, c’est juste ce que j’espérais, je ne me fais pas dire deux fois, je ramasse illico ma serviette et mes affaires, et je me pose près d’elle sous le parasol, très près d’elle, je ne mets pas plus de vingt centimètres entre nos serviettes.

On décide de se tutoyer. On bavarde, je suis heureuse d’être nue auprès de cette jolie femme, je regarde son sexe, épilé, avec ses lèvres fines et ses jolis seins, tout proches de moi. Dans notre conversation, elle est très tactile, et elle pose souvent sa main sur mon bras lorsqu’elle me parle. Elle s’appelle Sylvie, et dans la conversation elle me dit qu’elle est en couple avec une autre femme qui se prénomme Christelle. Qui ne pouvait pas venir à la plage aujourd’hui, car elle a exceptionnellement une visioconférence pour son travail.

Patatras ! Je n’ai pas de chance, je tombe sur la femme de mes rêves et elle est déjà avec une autre. Cela me déprime un moment. Puis je reprends le bon côté des choses, car cela veut dire que Sylvie aime les femmes. Nous conversons face à face, à trente centimètres l’une de l’autre, pour peu nos seins pourraient se toucher, cela m’étonne que Sylvie soit si proche de moi alors qu’elle a une amie. Mais bon, je profite de ces moments, je suis en plein rêve.

Le moment est venu de quitter la plage, on se rhabille et Sylvie me dit spontanément :

• — Si tu veux, on peut prendre l’apéro chez moi, avec Christelle, ça te dit ?
• — Oui, bien sûr, je suis partante.
• — Cool, viens vers 20 h, je te donne l’adresse par SMS.

On se rhabille et on part ensemble. On marche dans le sable. Sylvie me regarde et me dit :

• — Sympa, ton sideboob, tu devrais en mettre un peu plus osé, tu as les seins faits pour ça.
• — Je ne veux pas non plus paraître vulgaire.
• — OK, je te comprends, mais un sideboob, c’est fait pour en montrer le plus possible, j’en ai un joli chez-moi, je te montrerai.

Sur ce, nous nous quittons, elle dans sa voiture et moi sur mon vélo. Donc je suis invitée chez elle ce soir, je n’en reviens pas. Quelle tenue choisir ? Gros dilemme. Sexy, pas sexy, je ne sais pas. Finalement, j’opte pour un joli chemisier blanc, pas transparent bien sûr, mais sans soutif, et qui laisse quand même mes tétons pointer à travers le tissu. Sexy soft.

Avec un peu d’appréhension, j’arrive chez Sylvie. Elle me reçoit cordialement avec un baiser sur les joues. Je rentre, Christelle est là. Je me demande quel accueil elle va me réserver, à ma grande surprise, elle est toute souriante et me fait aussi la bise sur les joues. Elle est plus jeune que Sylvie, elle doit avoir pas loin de mon âge. Les cheveux roux, coupés courts, et une jolie frimousse. On s’installe, Sylvie porte une robe ultracourte avec un décolleté vertigineux, ses seins sont bien exposés sur le milieu, elle est superbe ainsi. Christelle a de petits seins, elle porte comme moi un chemisier blanc, sauf que le sien est un peu transparent, on voit très bien ses mamelons roses à travers. On prend un peu de champagne et on discute. Après un moment, on est très à l’aise entre nous, et Sylvie déclare :

• — Christelle, Évelyne porte un sideboob trop prude, il faut lui faire essayer le mien.
• — Oui, je suis bien d’accord.

Certes, j’ai un peu bu, mais j’ai encore tous mes esprits :

• — Mais je ne sais pas si c’est bien approprié.
• — Taratata, je veux que tu l’essayes !

Et elle va dans son dressing et ramène un top sideboob très échancré sur les côtés.

• — Essaye cela.

Je ne sais pas quoi faire. Je vais dans la salle de bains pour me changer ? Mais c’est un peu ridicule, Sylvie m’a vue nue tout l’après-midi. Et puis, cette situation est bien sexy, ça me plaît d’être au centre de l’attention, alors, pourquoi pas ? Je me décide finalement, j’enlève mon chemisier, je suis seins nus, et j’enfile le top, carrément pas sage, il descend jusqu’à la taille. Mes seins sont très largement découverts sur le côté jusqu’à la limite des tétons, d’ailleurs quand je bouge un peu ils se révèlent. Sylvie déclare :

• — Voilà, ça, c’est un vrai sideboob, ça te va trop bien !
• — Oui, superbe ! dit Christelle. Sylvie m’avait dit que tu as une très jolie poitrine, et je te le confirme.

Sylvie ajoute :

• — Si tu veux, je te le prête, à condition que tu le portes demain pour venir à la plage.

Ce qui me fait comprendre qu’elle a l’intention qu’on se retrouve de nouveau ensemble à la mer le lendemain, j’en suis plus que ravie, ainsi que son appréciation de ma poitrine.

Ensuite, on continue la soirée avec des petits fours qu’elles sont allées préparer ensemble, profitant d’ailleurs de ce moment à l’écart pour s’embrasser avec passion. Mais elles prennent bien garde de ne pas faire de gestes déplacés devant moi. Plus le temps passe, et plus nous sommes relaxées. J’ai gardé machinalement son sideboob qui laisse mes seins bien découverts, je ne fais même plus trop attention lorsqu’un sein vient à dépasser, ce qui arrive évidemment plus d’une fois, car, quand je me réajuste, il ne faut pas longtemps pour qu’il glisse et s’expose de nouveau. D’ailleurs, il se produit la même chose avec la robe échancrée de Sylvie, par moments, un sein se découvre sans qu’elle y prête attention, pour mon plus grand plaisir. Christelle ne semble pas s’émouvoir du fait que sa copine soit ainsi dévêtue devant moi, l’ambiance est détendue avec un joli parfum d’érotisme entre filles, j’adore.

À mon grand regret, il est temps que je prenne congé. Je ne peux pas rentrer en vélo avec ce sideboob, ce serait trop provocant, alors, je l’enlève pour remettre mon chemisier, ce qui me permet de me remettre seins nus devant elles le temps de l’opération. Puis on se fait la bise, on se retrouvera le lendemain sur la même plage, rendez-vous à onze heures, cette fois-ci, Christelle sera là également. Je rentre chez moi le plus vite possible, j’ai une envie très pressante de me donner du plaisir, cette journée et cette soirée m’ont trop excitée. Arrivée au studio, je me jette nue sur mon lit et j’entreprends une masturbation d’enfer, je gémis tellement que j’ai peur que les voisins m’entendent, les images de cette journée de rêve se bousculent dans ma tête, mon orgasme est énorme, je jouis comme jamais je ne l’ai fait. Vivement demain !

Je publierai très prochainement la suite de cette histoire, merci de l’avoir lue