Résumé des épisodes précédents :

Ceci est la suite de mon 1er récit du 12/02/2023 : « Mes nouvelles envies de femme »

Je rappelle ma présentation :

Je me prénomme Évelyne, j’ai 34 ans, et je réside à Lyon. Je suis divorcée depuis le printemps 2022, mon mari Gérard m’avait trompée avec une collègue de bureau, et je n’ai pas supporté. C’est mon évolution depuis cette séparation que je souhaite relater dans ce récit.

Sans être un canon, je suis plutôt jolie, 1, 75 m, brune aux yeux noisette, bien faite, ni ronde ni maigre, j’aime beaucoup mes jambes. Et aussi mes seins en forme de poire, toujours fermes malgré mes 34 ans, pas trop lourds, ce qui me permet souvent de ne pas porter de soutien-gorge sous mes robes ou mes hauts, ce que Gérard aimait bien. Ce qu’il appréciait aussi c’est que j’ai un léger côté exhibitionniste, j’aime bien me montrer, sans être vulgaire pour autant. Lors de promenades en forêt ou à la campagne avec Gérard, il m’arrivait parfois d’enlever un top ou de baisser le haut d’une robe, pour marcher la poitrine nue, au risque de rencontrer quelqu’un, mais c’est ce qui fait le piment de la chose.

Je m’habille dans différents styles, décontractée avec un haut et pantalon, ou plus féminine avec une jupe ou une robe. Au printemps ou en été, je les porte souvent assez courtes, ou alors je dégrafe quelques boutons en bas, j’ai de jolies jambes autant en profiter pour les montrer.

Sexuellement parlant j’ai toujours été avec des hommes, mais après cette rupture il m’est venu, progressivement, une attirance envers les femmes.

• — ---------------------------------------------------------------

C’est mon deuxième jour de vacances à Hourtin. Ma première journée a déjà été bien remplie, avec de très belles sensations. Aujourd’hui si tout se passe bien je vais retrouver Sylvie à la plage, et rien que cette idée me met de très bonne humeur, j’ai très hâte de la retrouver.

Comme hier, je prends mon petit déj à poil sur le balcon, n’ayant comme vis-à-vis que ce petit immeuble en face, un peu éloigné. Certes, un voyeur avec des jumelles pourrait se rincer l’œil, mais bon, je ne m’en préoccupe pas plus que cela. Je repense à la journée d’hier, Sylvie et moi nues et si proches sur nos serviettes, il me vient des pensées pas sages, machinalement ma main glisse vers le bas, sur mon pubis puis mes lèvres, je les ouvre, je commence un va-et-vient qui s’accélère, je jouis avec un gémissement que je réfrène, il y a peut-être des voisins sur leurs balcons.

Après ce petit intermède qui démarre bien la journée, je prépare mes affaires, crème solaire, serviette, bouteille d’eau, etc. Je remets mon Sideboob « sage », celui qui laisse juste deviner un peu mes seins sur le côté, sans plus. Et puis mon téléphone sonne, c’est Sylvie. Patatras, elle ne se sent pas bien, une gastro il semble, toujours est-il qu’elle ne peut pas sortir aujourd’hui. Ça me fait un coup, moi qui m’étais imaginé la superbe journée que nous allions pouvoir passer ensemble. Elle ajoute :

• — Christelle va quand même à la plage, je lui ai demandé de ne pas gâcher sa journée pour moi. Si ça te dit tu peux la retrouver là-bas.

Je ne sais pas quoi en penser. Je suis très déçue, est-ce que cela vaut la peine d’aller à la plage sans Sylvie ? D’un autre côté, je suis en vacances et ce serait bête de manquer une journée de plage, je ne vais quand même pas rester dans mon appart à déprimer. Je décide d’y aller quand même. Et hop, c’est parti direction la plage d’hier, sur mon vélo.

Arrivée au parking à vélos, je décide de changer mon top. Sylvie m’avait dit qu’elle me prêtait son Sideboob sexy à condition que je le mette à la plage. Ce que je fais illico. Je descends sur la plage à la recherche de Christelle. Je ne passe pas inaperçue, je sens les regards sur ma tenue, mes seins exposés sur les côtés, les mamelons qui se découvrent parfois inopinément lors de ma marche dans le sable. Je repère facilement Christelle, elle est au même endroit que Sylvie la veille, sous son parasol.

Elle est entièrement nue évidemment, je m’y attendais. En me voyant arriver elle se redresse et m’adresse un très large sourire :

• — Ah, Évelyne, merci d’être venue quand même, ça me fait plaisir.

Je suis agréablement surprise de cet accueil chaleureux. On discute un peu des soucis de santé de Sylvie, et puis je me déshabille. Une fois nue, je pose ma serviette à côté d’elle sous le parasol, serviette contre serviette, car le parasol ne procure pas une grande zone d’ombre.

On papote, et ce faisant je la contemple, je la découvre, c’est vraiment une très jolie rousse, je ne m’en étais pas bien rendu compte hier, mon esprit étant trop pris par Sylvie. De petits seins menus mais bien dressés, aux auréoles bien roses. Elle a gardé sa toison en bas, et elle a bien fait car c’est rare d’avoir une toison rousse, cela aurait été bien dommage de la faire disparaître. Des lèvres roses bien apparentes, très suggestives.

On s’endort à moitié. Je me réveille, je sens un contact sur mon épaule. C’est le dos de la main de Christelle. Qui descend doucement plus bas et passe sur mon sein gauche, mon mamelon. Puis sa main se retourne, et c’est maintenant sa paume qui caresse mon ventre, puis mon bas ventre, mon pubis épilé. Elle s’y attarde longuement, ses doigts se promenant en petits cercles. Mais elle ne va pas plus bas, ni vers mon clitoris ni mes lèvres, ce n’est pas une envie de sexe avec moi, juste une caresse tendre. Je me demande à quoi elle pense… Est-elle en manque de Sylvie ? Elle compense un peu avec moi ?

Je ne lui rends pas la pareille, je pense que cela serait inapproprié, et donc je ne la touche pas. Et puis sa main se retire, mais j’ai bien aimé ce petit moment inattendu. On descend se baigner, toutes nues. Pas très loin de nous 2 hommes nus jouent au volley dans l’eau. On se laissait flotter tranquillement quand l’un deux s’approche, le ballon à la main :

• — ça vous dirait une petite partie ?

Christelle et moi on se regarde en souriant, on se comprend, on est d’accord, pourquoi pas ? On se place tous les 4 en carré et la partie commence. Ils se prénomment Jean et Patrick, la trentaine, bruns, pas mal. On s’amuse bien, on rit beaucoup, même si ce petit jeu n’est pas innocent. Je ne peux m’empêcher d’admirer le sexe de Patrick, assez épais et pas tout à fait au repos, cela ne me laisse pas indifférente. J’observe que c’est pareil pour Christelle. Bien entendu toutes les deux avons pris soin de n’être dans l’eau qu’à mi-cuisses, laissant nos deux minous bien exposés, son ticket roux et le mien épilé. Jean et Patrick n’en perdent pas une miette. Au bout d’un moment on arrête en les remerciant, cela ne va pas plus loin.

Le reste de l’après-midi se déroule tranquillement, on est bien allongées nues côte à côte. Puis il est l’heure de partir. Je remets mon sideboob plus sage et mon short, je lui redonne le sideboob de Sylvie. Christelle passe une chemise blanche s’arrêtant à mi-cuisses, sans rien mettre dessous, elle ferme seulement deux boutons sur le ventre, ce qui fait qu’elle reste entrouverte sur ses seins, et comme il y a une légère brise son ticket roux se dévoile par instants quand elle marche dans le sable, c’est très suggestif comme tenue. On remonte la plage et on reprend nos vélos, j’ai l’occasion d’avoir une dernière vue de sa toison lorsqu’elle enjambe le sien. Je n’ai pas regretté cet après-midi avec Christelle, c’était très agréable.

On se quitte et je rentre à ma résidence, un peu frustrée car ni Sylvie ni Christelle ne vont à la plage demain, j’ai des envies pas sages qui trottent dans ma tête. Pour me changer les idées je sors au resto de la résidence pour une pizza. C’est bondé, je finis par trouver une table. Tout d’un coup une jeune femme se plante devant ma table avec une pizza :

• — Euh, excusez-moi, je n’ai pas trouvé de table, est-ce que je peux m’asseoir ?

Je la regarde, bigre, elle est bien jolie, entre 25 ou 28 ans, cheveux châtains, yeux noisette. Peut-être que ma journée n’est pas totalement finie.

Je lui fais mon plus beau sourire :

• — oui bien sûr.

Elle s’installe, et voilà, on discute. Elle se prénomme Isabelle, me dit que son compagnon est au travail et qu’il doit la rejoindre ici sous une semaine. Qu’il voulait qu’elle profite de cette première semaine de vacances en attendant qu’il la rejoigne. Je la contemple. Elle est vraiment très jolie, une petite frimousse avec un nez relevé, très fin. Elle porte un short en jean, un chemisier blanc sans soutif, les mamelons pointent un peu, mais elle a plutôt de petits seins et donc cela reste relativement discret. Je ne sais pas trop comment je vais m’y prendre avec elle, mais elle me plaît énormément.

N’ayant pas trop d’idées, je lui demande sur quelle plage elle va. Elle me répond qu’elle va à la plage centrale. La plage familiale évidemment. Je me lance :

• — Moi je vais sur la plage sud, c’est super et beaucoup plus joli. Si ça te dit on pourrait y aller ensemble demain ?

Un silence… Puis elle me dit :

• — Oui, d’accord, avec plaisir.

Ouf, une petite avancée. Donc le lendemain on se retrouve devant chez moi. Je porte une chemise blanche s’arrêtant mi-cuisses. En dessous un bikini beige, au cas où Isabelle ne pratiquerait pas le topless. Elle porte le même short en jean avec un top court carrément ouvert entre les seins, les deux pans reliés par une lanière. Normalement fait pour être porté sans soutif, mais là on voit son haut de maillot dessous, donc j’ai bien fait de mettre le mien. On part en vélo. Je ne sais pas si je dois l’emmener à mon endroit habituel avec les nudistes. Je décide que non, cela risque de la braquer. Je choisis un endroit intermédiaire, avec des nudistes sur notre gauche et des textiles sur notre droite.

On se pose, j’ouvre le parasol, on se met en bikini toutes les deux. Elle est vraiment jolie, de longues jambes, des seins relevés juste comme il faut, un slip assez échancré derrière, limite string, qui découvre bien ses très jolies fesses.

On est sur nos serviettes, au bout d’une demi-heure je m’enhardis :

• — Tu sais, j’aime bien bronzer les seins nus, est-ce que cela te dérange ?

Elle me répond :

• — Non, pas du tout, tu fais comme tu veux.

Et je ne me le fais pas dire deux fois, et hop j’enlève mon top et je me mets seins nus. Elle les contemple juste brièvement, sans rien dire. Je m’allonge, me demandant si elle va faire pareil, ce que j’adorerais. Mais non, elle garde son top.

Je m’endors un peu. À mon réveil, Isabelle est sur le ventre, son soutif dégrafé dans le dos. Je me tourne vers elle pour lui parler, du coup elle se retourne vers moi, sans prendre la peine de réagrafer son soutif. Elle est seins nus à 50 cm de moi, ils sont tout blancs, elle a les marques triangulaires du maillot, ce qui montre que c’est nouveau, en tout cas pour cet été, et c’est bien suggestif comme vision. De bien jolies auréoles roses, les tétons bien pointés. Je ne fais aucun commentaire, trop contente qu’elle s’expose ainsi. J’imagine que je l’ai mise suffisamment en confiance pour qu’elle m’imite dans cette tenue.

On descend se baigner, elle n’a pas remis son soutif et descend seins nus, j’apprécie. Au bout de quelques brasses je me lance :

• — Tu ne t’es jamais mise nue sur la plage ?
• — Non, jamais.

Je réponds :

• — Au moins tu devrais essayer de nager nue, c’est super agréable.

Pas de réponse de sa part. On fait quelques brasses, et puis je m’enhardis de nouveau, je me baisse, je glisse mon slip et le sors de l’eau avec mon plus beau sourire.

• — Voilà, c’est fait pour moi.

J’y suis allée au culot, à l’instinct, sans trop réfléchir. Je me demande ce qui va se passer, je suis peut-être allée trop loin, trop vite, j’aurais pas dû faire ça, je regrette maintenant. Un gros moment de flottement, silence entre nous deux. Et puis voilà, elle se baisse dans l’eau et je vois qu’elle le retire aussi. Sa main sort de l’eau, son slip à la main. Je suis aux anges, j’ai réussi ma petite tentative, ce n’était pas si difficile que ça finalement. Je pense que maintenant elle a besoin de respirer. Je repars nager pour la mettre à l’aise. On nage toutes les deux un bon moment. Puis elle se retourne, face à moi, et me dit :

• — Tu sais, c’est vrai, c’est bien agréable de nager nue.
• — Contente que ça te plaise, que j’aie pu te faire découvrir quelque chose.

Je jette un coup d’œil furtif vers son bas, je discerne une toison brune discrète.

Et puis on sort. Je décide de sortir nue sans remettre mon bas. Isabelle par contre remet le sien avant de sortir. Pas grave, j’ai quand même bien avancé avec elle, je suis contente, je pense avoir réussi à la mettre en confiance.

On se rallonge sur nos serviettes. C’est calme, on profite su soleil, on entend le bruit des vagues. Au bout d’un moment je me tourne pour la regarder, et grosse surprise !

Elle est sur le ventre avec le slip baissé à mi-cuisses, les fesses nues. Bien jolies d’ailleurs. Sans doute pour les bronzer un peu, car il y a les marques blanches du slip. Je ne dis rien, je me rallonge. Les choses évoluent assez vite avec elle je ne m’y attendais pas. Il y avait peu elle était en bikini, maintenant non seulement elle n’a plus son haut mais en plus le slip baissé.

L’instant d’après elle est de nouveau sur le dos et a remonté son slip mais replié assez bas, le haut de sa toison dépasse un peu. Je sens qu’elle prend plaisir à cette situation nouvelle pour elle. Pour mon plus grand plaisir à moi.

L’après-midi prend fin, il est temps de quitter la plage. Je tente ma chance et je lui propose de dîner chez moi. A mon étonnement elle accepte tout de suite. Je suis ravie. Comme sa location est un peu éloignée de mon studio on convient de rentrer directement chez moi. Je décide de copier la tenue de Christelle hier, à savoir que je remets ma chemise sans rien dessous, avec juste deux boutons attachés sur le ventre. Seins bien échancrés et ma chatte libre de montrer ce qu’elle veut, au gré des petites brises.

Isabelle remet son short et son top ouvert entre les seins et relié par la lanière, mais cette fois-ci sans son haut de maillot. Trop sexy, c’est plus qu’une raie des seins, ils sont bien découverts au milieu. C’est top, il faudra que je m’achète un haut comme cela. On rentre à vélo, je suis consciente que des passants venant en sens inverse pourraient avoir une petite vue sur ma chatte au gré du vent et de mon pédalage, mais bon, c’est l’été et je me sens libre.

On arrive à mon studio. Je propose à Isabelle de prendre sa douche d’abord, mais elle a un coup de fil à passer à son chéri. Donc je vais prendre ma douche en premier, j’ai envie de prolonger notre intimité à la plage, je lui tourne le dos et je laisse tomber ma chemise. Je me dirige nue vers la salle de bains. En sortant je vais chercher une autre chemise, beige cette fois-ci. Je décide de ne pas la boutonner du tout, elle fera ce qu’elle voudra. C’est au tour d’Isabelle de prendre sa douche. Elle en ressort habillée de son short et de son top, mais surprise, il est plus ouvert qu’avant sur ses seins. Elle m’explique que la lanière a lâché, elle s’en excuse, je la rassure, pas de souci. Toujours est-il que du coup ses seins maintenant libres se promènent de droite et de gauche au gré de ses mouvements, laissant apparaître de temps en temps ses jolies auréoles roses. Un vrai plaisir pour mes yeux.

On se pose sur les deux transats de ma terrasse avec un petit verre de vin blanc et quelques cacahuètes. On discute, je lui pose des questions sur son mari, visiblement elle est amoureuse, mais je ne sais pas, un petit quelque chose me dit qu’elle a un petit coin secret. On se reprend deux ou trois verres. Je la regarde, son top a glissé côté gauche, elle ne semble pas s’en être aperçue, toujours est-il que son sein gauche est à l’air. Tout d’un coup je réalise que son short est dégrafé de deux boutons sur le haut, ses poils pubiens dépassent un peu. Distraction, volonté délibérée ? J’ai envie de savoir et du coup je bouge un peu, de manière à ce que ma chemise s’entrouvre sur mes cuisses et j’expose ma chatte nue. Ce n’est pas ma faute, juste ma chemise qui ne m’obéit pas. Isabelle ne semble rien remarquer au premier abord. On reste silencieuses.

Je décide le tout pour le tout. Je descends très lentement ma main sur mon pubis, je fais des petits tours dessus, genre caresses amicales. Je sens qu’Isabelle me regarde faire. Je continue, puisqu’elle ne semble pas s’en offenser. Et là, surprise, elle dégrafe les derniers boutons de son short, qu’elle ouvre entièrement, sa petite toison brune exposée. On reste silencieuses. Je m’enhardis :

• — Tu aimes un peu les femmes ?
• — Je n’y ai jamais pensé, mais je me sens bien avec toi.

En ce faisant, elle baisse son short à mi-cuisses, son sexe est nu avec sa jolie petite toison brune.

Et puis j’entreprends une petite caresse silencieuse sur son ventre, amicale je sens qu’Isabelle fait pareil. Je m’enhardis un peu, je pose une main sur sa cuisse, elle ne la refuse pas. Je remonte un petit peu, l’intérieur de sa cuisse, puis un peu plus haut, ses lèvres, elle ne dit rien. Je les ouvre un peu, je m’enhardis à l’intérieur, elles sont trempées. C’est un feu vert pour moi, j’écarte ses lèvres je glisse ma langue. Elle gémit doucement au début, et puis elle se déchaîne, des râles, jusqu’à la jouissance totale. Je suis heureuse. On se blottit toutes les deux et on s’endort.