n° 21548 | Fiche technique | 20404 caractères | 20404 3238 Temps de lecture estimé : 13 mn |
18/02/23 |
Résumé: Les joues de la jolie blonde étaient devenues roses, puis avaient rougies plus violemment, sous les explications données par Annabelle. Ensuite, son visage avait pris feu une bonne fois pour toute. | ||||
Critères: #lesbienne f ff cérébral voir fmast caresses init | ||||
Auteur : Juliette G Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
Pénélope et Annabelle. Quelques réflexions d’Octave Groseille. Une belle brune très délurée face à une jolie blonde curieuse et ingénue. Heureusement, il y a le « 44 ». Ou malheureusement…
Pénélope n’en revenait pas. Ce que lui avouait Annabelle Lajoie lui paraissait inconcevable.
Pénélope ne comprenait pas. Comment pouvait-on être masochiste à ce point ?
Les joues de la jolie blonde étaient devenues roses, puis avaient rougi plus violemment sous les explications données par Annabelle. Ensuite, son visage avait pris feu une bonne fois pour toutes.
Annabelle donnait la becquée à son invitée, tout au moins avec les tomates cerises, pâtés et charcuteries étaient grignotés par la brune, et engloutis par la blonde. Annabelle s’étonna de l’appétit de sa compagne et Pénélope avoua manger comme quatre la plupart du temps. Elle n’avait d’ailleurs rien avalé depuis le matin, et donc mourait de faim.
Annabelle embrassa la jolie blonde après lui avoir enfoui une petite boule rouge dans la bouche.
Annabelle sourit et prit son verre de vin rouge.
Pénélope avait tiré une mèche brune et ses lèvres pleines avaient esquissé le mot « Salope ! »
Pénélope s’étira longuement. Elle baignait dans la ouate, pourtant elle ne se sentait pas ivre. Elle se sentait très bien, et si les dernières révélations d’Annabelle l’étonnaient, elles l’excitaient également. Elle n’osait pourtant pas le lui avouer… Il s’agissait de la vie privée de madame Lajoie et non d’un texte érotique.
Pénélope n’osa pas regarder sa voisine. Bien sûr qu’elle devait continuer ! Évidemment qu’elle devait tout lui raconter ! Pénélope réussit à garder un ton calme malgré son degré de curiosité.
Annabelle fixa un long moment la libraire dans les yeux.
Pénélope n’avait pas pu s’empêcher de répondre.
Annabelle Lajoie s’approcha de Pénélope et lui passa une main brûlante sur la joue.
Annabelle Lajoie avait demandé à Auguste de tout lui raconter. Elle voulait tout savoir ! Qu’est-ce que ces filles lui avaient fait ? Qu’est-ce que lui leur avait fait ? Madame Lajoie voulait tout connaître de ces ébats, et surtout, elle désirait que son mari l’abreuve de détails croustillants ! Alors, Auguste voyant sa femme tant excitée qu’elle en perdait le souffle, finit par s’exécuter. Tout en acceptant tout ce que lui faisait son mari, madame Lajoie l’écoutait parler. Que son époux s’imagine la prendre, elle, alors que lui était dans d’autres bras, lui plaisait beaucoup. Mais ce n’était pas ce qui chavirait la jeune femme. C’était toute autre chose qui l’excitait. C’étaient d’autres pensées qui la faisaient mouiller. Tout en écoutant parler Auguste, Annabelle découvrait des fantasmes inconnus jusqu’alors. Elle ouvrait les vannes de son imaginaire tout autant qu’elle ouvrait son corps. Tout d’abord, elle se vit en place de ces femmes. Des femmes si éloignées de ce qu’elle était. Des femmes jouisseuses ! Annabelle était chacune de ces filles et baisait Auguste comme elles l’avaient fait. Son esprit fut très rapidement envahi d’images torrides et son corps se tordit plusieurs fois sous des vagues de plaisir. Annabelle était incapable, aujourd’hui, de se souvenir du nombre d’orgasmes qui l’avaient bousculée cette nuit-là. Elle se souvenait pourtant parfaitement de cette fin de nuit torride. Une nuit inoubliable !
Un clair de lune romantique les avait surpris, alors qu’ils en finissaient d’une somnolence réparatrice, après leur première étreinte contre ce fichu mur. La lune, comme complice de leurs ébats précédents, jouait la voyeuse. L’astre coquin les éclairait et ses lueurs pâles dessinaient des ombres sur leurs corps. Nue et allongée dans l’herbe du jardin, Annabelle Lajoie s’était aussitôt sentie terriblement excitée. Ses lèvres s’étaient emparées du sexe au repos d’Auguste, et elle avait porté la main de son époux entre ses cuisses moites de sueur et de son plaisir épandu. Très vite, Auguste avait repris une belle vigueur, murmurant qu’il ne se lasserait jamais d’elle. Ce n’était pourtant pas ce qui intéressait madame Lajoie.
Et elle sut tout… Tandis que le mari se souvenait à haute voix, sa femme vivait ce qu’il avait vécu. Elle était Auguste ! Elle était son mari ! Elle baisait cette petite garce ! Et baiser cette fille l’excitait. Quant à l’idée de rendre ce fantasme bien réel… Annabelle Lajoie avait hurlé sous un orgasme brutal. Une jouissance d’une violence insoupçonnée lui avait vrillé l’esprit et fouaillé les entrailles un long moment…
Quelques explications orageuses avaient suivi cette nuit magique. Tout d’abord, Auguste, tel le roseau de la fable, plia souvent, mais ne rompit jamais. Il aimait sa femme ! Annabelle, telle la fourmi de ce bon La Fontaine, se décida à menacer de disette sa cigale de mari si elle ne lui cédait pas. Elle l’aimait toujours ! Bien sûr qu’elle l’aimait ! Mais elle désirait changer sa vie ! Elle ne pourrait plus se passer des plaisirs troubles qui l’avaient bouleversée ces derniers mois, et leurs ébats ponctués d’anecdotes s’émoussaient. Annabelle attendait un renouveau ! Un regain de plaisir ! Ce fut sous cette bourrasque, et sous la menace de famine sexuelle qu’enfin le roseau abandonna la lutte. Les vendredis soir, le bel Auguste contait fleurette à une belle égarée. Les week-ends, le couple Lajoie s’ébattait avec une paillardise digne des plus truculents récits érotiques. Cela dura une année pleine…
Le roseau dut affronter une nouvelle fois les éléments déchaînés, et se rompit une nouvelle fois. Il fut convenu par le couple, et surtout par madame, que le prochain vendredi soir, Auguste Lajoie devrait jouer de ses charmes et de beaucoup de finesse. Il lui faudrait réussir à convaincre une pouliche, déjà partante pour une course avec lui, de participer à un tiercé gagnant. Il fallut trois longues semaines pour capturer une pouliche rétive et la rendre docile à l’idée de participer à ce genre de course. La première fois, madame Lajoie se contenta de regarder cette course tout en se faisant du bien d’une main fébrile. Il ne lui manquait que des jumelles pour que l’illusion soit parfaite. Une très jolie jument de concours, nommée Sylvie, se donnait à fond dans la dernière ligne droite, au coude à coude avec Auguste. La seconde fois, Sylvie, pouliche aux grands yeux noisette et à la robe isabelle, se faisait déharnacher par Annabelle. Puis, toutes deux couraient pour un grand Prix d’anthologie, finissant couvertes d’écume et au bord de l’épuisement. Tatatata ! Tataaa ! Départ de la deuxième course ! Annabelle et Auguste avaient immédiatement imposé un trot monté digne des meilleurs. Puis, une grande ligne droite fit passer les concurrents au galop alors que le terrain était devenu lourd. Il y eut un mouvement de flottement et, plusieurs fois, les concurrents parurent proches de se mettre à la faute avant de se reprendre. L’arrivée se fit dans un mouchoir de poche et vit la victoire des pouliches. Annabelle, magnifique jument aux crins noirs, dans une forme exceptionnelle, s’accrocha et termina à la première place. Elle fut suivie de très près par la toute jeune Sylvie, mais la photo-finish pour les départager ne fut pas nécessaire. Auguste, lui, termina bon dernier, et passa la ligne d’arrivée dans un état second. D’autres grands prix eurent lieu. Auguste, casaque noire, toque verte, chevauchant sa jument préférée et la menant chaque fois à la victoire. Annabelle, toque rouge et casaque blanche, cravachant une pouliche épuisée pour la mener au bout de sa course. On prit souvent des photographies de ces courses épuisantes pour ne pas qu’une victoire soit volée. Annabelle, son grand cœur en éventail, s’amouracha d’une toute jeune pouliche et passa un bon mois à entraîner sa chère Céline, afin de la préparer pour sa rentrée sur les champs de courses Lajoie. Puis, elle la fit monter par son jockey de mari afin qu’il félicite son épouse pour ses talents d’entraîneur.
Madame Lajoie entreprit une nouvelle fois de briser son roseau. Elle désirait connaître les bras d’autres hommes. C’était Auguste qu’elle aimait ! À lui de lui prouver que son amour pour elle était assez fort pour céder à ses exigences. Elle ne lui cacherait rien. Lui dirait tout. À lui, Auguste, de savoir apprécier les récits de sa femme après ses incartades. Plus tard, leurs amours pimentés les rapprochaient encore. Annabelle jouissait avec Auguste comme avec aucun autre homme. Auguste, après un temps, finissait par s’exciter d’offrir sa femme à d’autres. Paradoxalement, ce rapprochement intime les éloigna géographiquement. Le bonheur que le couple connaissait ne devait plus s’étioler. Quelques kilomètres séparèrent donc l’appartement de madame Lajoie de la maison où son époux était resté. Les retrouvailles des week-ends étaient toujours une joie. Joie parfois partagée avec l’une des pouliches de monsieur, ou l’un des étalons de madame. Madame Lajoie n’investit cependant jamais dans l’acquisition d’un hongre. Allez savoir pourquoi… ?
Octave Groseille était d’une humeur massacrante. Chose assez rare chez lui pour être étonnante. D’abord, cette journée de congé demandée par Pénélope l’agaçait. C’était la première fois qu’elle ne venait pas travailler. À croire que la jolie blonde ne savait même pas qu’elle avait droit à des vacances. Il faudrait d’ailleurs qu’il voie cela avec elle. Octave avait su aussitôt que l’absence de sa belle associée lui gâcherait cette journée. Elle serait terne et morose. Puis il y avait eu le type et sa belle gueule d’angelot. Il aurait mieux fait de virer ce bellâtre à coups de pied au cul ! Octave tira sur sa pipe, se foutant allègrement de fumer alors que des clients erraient entre les étagères de la librairie. Après tout, il était chez lui, non !
Plusieurs soucis perturbaient le libraire. Ses indiscrétions envers Pénélope le faisaient culpabiliser. Si Annabelle Lajoie lui avait tiré les vers du nez d’une façon irrésistible, il n’en était pas moins sans excuses. Et puis il y avait ce rendez-vous entre les deux femmes… Cette histoire turlupinait Octave. Sa belle putain était très curieuse. Et si sa chère Pénélope ne semblait pas attirée par les femmes, madame Lajoie en était friande. Sa gourmandise pour le plaisir l’avait peut-être poussée à en savoir plus ? Peut-être qu’elle parlerait de ce qu’elle avait appris de la bouche de son associé à Pénélope ? Annabelle ne s’embarrasserait pas de savoir si lui, Octave, devrait en subir les conséquences. Ou alors… Pénélope, en bonne naïve qu’elle était, accepterait de lire pour sa nouvelle copine ! Comment réagirait donc Annabelle ? Oh… il ne doutait pas que sa belle putain sauterait sur l’occasion si elle lui était offerte. Pénélope restait plus difficile à cerner…
Octave Groseille réveilla Moby Dick en imaginant Pénélope jouir, en pleine lecture, sous les yeux d’Annabelle Lajoie, se caressant furieusement. Si cela arrivait, sa belle putain se transformerait alors en croquemitaine et dévorerait la tendre Pénélope sans qu’elle puisse même se défendre. Octave bandait à en avoir mal. Son imagination ne lui laissa aucune chance de renvoyer Moby Dick dans sa grotte sous-marine. Les corps nus d’Annabelle Lajoie et de Pénélope Tancrène se tordaient à ses genoux. Octave, sexe tendu à se rompre, les regardait en se masturbant lentement. Toutes deux se tripotaient mutuellement, leurs visages ravagés par le plaisir, et très proches de son membre dur. La bouche immense d’Annabelle, et les lèvres sensuelles de Pénélope n’attendaient que son bon plaisir. Octave, d’une main, empoignait doucement une épaisse mèche de cheveux dorés et Pénélope posait enfin ses lèvres sur son gland turgescent. De l’autre main, il tirait sur les lourds cheveux noirs et éloignait Annabelle de ce qu’elle convoitait.
L’air furieux, une dame âgée toisait Octave d’un air peu amène.
La voix sèche de la cliente claqua comme un coup de fouet
La vielle ne s’était pas éloignée de dix pas qu’Octave cédait au désir de sa belle putain. Pénélope et Annabelle le suçaient de concert…
Annabelle Lajoie sourit, et sa main glissa sur une cuisse ferme.
La main d’Annabelle bougea encore, et le bout de ses doigts frôla le string blanc.
Annabelle appuyait sur le coton du string et caressait ce qu’il couvrait.
Pénélope n’avait pas esquissé un geste. Le souffle court, elle se concentrait sur la caresse que lui prodiguait cette femme si attirante.
Une nouvelle fois, quittant le canapé avec une certaine brusquerie, Annabelle Lajoie abandonna Pénélope à ses émois. C’était comme si elle venait soudain de changer d’idée, et se précipitait pour la satisfaire.
La maîtresse des lieux avait interdit à Pénélope de bouger, lui demandant simplement de chercher un texte à lire le temps qu’elle débarrasse la table basse des reliefs de leurs grignotages. Pénélope en avait toutefois profité pour passer par la salle de bain. Elle était moite de sueur et s’était passé de l’eau froide sur le visage. Puis elle avait hésité, et s’était décidée. Son intimité baignait dans son jus. Une évocation loin d’être érotique, mais bien réelle. Pénélope avait donc baissé son string et avait rafraîchi son sexe à l’aide de sa main mouillée. L’intérieur de coton du petit triangle de coton était lourd de cyprine.
Deux nouvelles lessiveuses vides attendaient sur la table, et une autre bouteille de 44 tenait maintenant compagnie à sa petite sœur, cette dernière presque vide. Annabelle l’attendait déjà, assise dans l’un des fauteuils faisant face au canapé. Elle aussi était passée par quelques rafraîchissements. Pénélope, déjà troublée par ce qu’elle allait faire, leva les yeux vers Lajoie.
Annabelle haussa les sourcils et fixa Pénélope un instant avant de prendre une moue dépitée.
Annabelle Lajoie se baissa pour emplir les verres de liqueur. Le buste moulé dans son top noir, elle avait décroisé ses longues jambes cachées par des pantalons gris souris.
Pénélope sentit les pointes de ses seins griffer le coton de sa chemise blanche, comme elle découvrit que son sexe s’humidifiait encore. Le doux crissement de ses bas, quand elle serra ses cuisses l’une contre l’autre, la fit presque gémir.
Avouer ce qu’elle ressentait à cette femme, fit frémir longuement la belle libraire. Elle n’éprouvait aucune honte, uniquement un plaisir troublant.
Annabelle ne se moquait pas. Ses yeux gris brillaient quand elle regarda Pénélope.
« L’idée fixe de Maud », Juliette et son amie, Maud, avaient décidé de s’exhiber sur une plage. Un autre texte de la femme, l’autrice avec qui Pénélope avait correspondu… un récit d’exhibition. Une histoire que Pénélope avait choisie sans l’avoir lue. Elle découvrait donc une nouvelle aventure de la si turbulente Juliette. De temps à autre, Pénélope jetait un coup d’œil sur son auditrice. Annabelle Lajoie paraissait suspendue à ses lèvres, et la buvait des yeux. Maintenant, Pénélope savait qu’elle n’aurait pas d’orgasme en pleine lecture. La présence d’Annabelle l’excitait beaucoup trop. Elle n’arrivait pas à se concentrer assez pour imaginer vivre l’expérience de cette Juliette si gourmande des plaisirs du sexe. Les deux héroïnes étaient allongées sur leurs serviettes de plage, et ce, sous le nez d’un voyeur. Maud, en sous-vêtements, et Juliette, soudain décidée à se mettre toute nue…
Sous les yeux de Pénélope, Annabelle relevait son top noir sur son ventre, et ses superbes seins dansèrent lascivement quand le vêtement passa sur eux. Comme hypnotisée, la lectrice en oublia de lire.
Pénélope ne réagit pas plus quand les mains de madame Lajoie firent glisser les pantalons sur ses cuisses, et que son pied nu le balança à l’écart.
Quand sa petite culotte blanche fut emportée par les doigts d’Annabelle, découvrant un buisson de poils noirs, Pénélope Tancrène se tortilla nerveusement pour contrer la montée d’une sensation qu’elle connaissait bien. Restée debout et entièrement nue, Annabelle Lajoie planta son regard gris dans celui de la libraire.
Certes, la lectrice était dans un état d’excitation intense depuis très longtemps, mais Pénélope en était arrivée à calmer ses émois. Elle devinait qu’elle ne jouirait pas de sa lecture quand Annabelle Lajoie l’avait chahutée en se déshabillant. L’orgasme ne daigna pas même avertir madame Tancrène de sa visite et la fit se pencher en avant, après avoir crié doucement. Son buste s’écrasa sur la tablette informatique posée sur ses genoux, et Pénélope, en pleine jouissance, sentit les mains d’Annabelle sur elle.
Les doigts d’Annabelle déboutonnaient sa chemise blanche, et Pénélope, encore plongée dans le plaisir, gémit encore quand ses seins furent libérés.
Allongée nue sur le canapé, le corps d’Annabelle sur le sien, Pénélope avait perdu pied… Annabelle avait eu raison. Leurs dents s’étaient encore touchées dans un baiser fougueux. L’immense bouche de madame Lajoie avait dévoré ses lèvres. Puis, Annabelle lui avait murmuré une phrase qui avait fait renaître son désir.
Pénélope s’était alors laissée aller comme elle ne l’avait jamais fait. Annabelle était partout. La belle brune, découvrant les aisselles poilues de la blonde, les avait longuement embrassées.
La langue et les lèvres de la brune étaient restées longtemps à explorer l’endroit, jouant avec les poils blonds. Annabelle faisant frissonner Pénélope, lui disant qu’elle aimait l’odeur et le goût de sa sueur. Longtemps aussi, la belle madame Lajoie s’intéressa à la poitrine de sa toute nouvelle maîtresse. Ses doigts, ses lèvres et sa langue rendirent Pénélope folle d’impatience. Les dents de la brune torturaient les tétons de la blonde. Ces petites morsures agaçantes provoquaient une douleur légère, mêlée à un plaisir frustré, et ces caresses inconnues perturbaient Pénélope. Pénélope jouit quand la langue d’Annabelle se perdit dans les poils blonds de son pubis. Puis, elle jouit encore quand l’immense bouche dévora son fruit juteux.
Pénélope, perdue dans les limbes du désir, ouvrit les yeux en attendant la voix d’Annabelle.