Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 21556Fiche technique17129 caractères17129
3051
Temps de lecture estimé : 13 mn
20/02/23
Résumé:  Viviane et Micheline sont deux femmes mûres qui, de manière imprévue, ont connu l’extase dans des circonstances particulières, qui les ont fait rajeunir.
Critères:  fh fplusag collègues médical grosseins groscul piscine nudisme fellation cunnilingu anulingus pénétratio fsodo confession -chronique -totalsexe
Auteur : Jacquou            Envoi mini-message

Série : Matures au confessionnal

Chapitre 04 / 04
Confessions de femmes mûres (fin)

u>Résumé des épisodes précédents :

Cette série évoque des aventures plus sexuelles qu’amoureuses pour des femmes mûres. Il s’agit du dernier épisode.




Viviane (51 ans)


Je m’appelle Viviane, j’ai 51 ans, je suis aide-soignante dans une clinique d’une grande métropole, je suis divorcée, physiquement du genre plantureux, mais sans excès vu que mon boulot me bouffe beaucoup de calories emmagasinées par ailleurs. Il m’est arrivé une drôle d’aventure que je vais conter ici. Je travaille dans un service de cardiologie et en prenant mon service de nuit avec l’infirmière Gaëlle, j’ai fait la connaissance d’un homme d’entre deux âges à qui l’on venait de doter d’un pace maker. Quelle ne fut pas ma surprise, alors que je venais de prendre son urinal pour le verser dans les toilettes (ça fait partie de mon job), de l’entendre dire : « bonsoir Viviane » !


Je l’ai dévisagé, avec surprise. Je ne connaissais pas ce type. Mais lui me connaissait. Il était mon ami sur Facebook avec un faux nom et un faux visage. Il se présenta, le sourire aux lèvres, sous son pseudo « Alphonse ». J’ai failli en lâcher l’urinal, ce qui aurait fait de beaux dégâts, car il était plein. Ce type auquel je m’étais confié savait presque tout de ma vie, en particulier ma vie sexuelle. Je m’étais beaucoup lâchée en message privé, puis carrément sur son email de circonstance. Il connaissait mon goût pour le sexe. Je lui avais raconté mes ébats avec ma dernière relation, un Belge prénommé Patrick. Je lui avais même avoué avoir fréquenté un club échangiste avec un amant précédent. Toutes ces imprudences me sautaient désormais à la figure. Voyant ma mine déconfite, il me rassura :



Ces allusions à mon tempérament volcanique au plumard n’avaient cependant rien pour me rassurer. Il me tenait, le bougre. Si Gaëlle et les autres collègues savaient qui était réellement Viviane dans le privé, ça allait être ma fête. D’autant que je ne lui avais pas caché quelques frasques à l’intérieur de la clinique avec quelques collègues alléchés par mes rondeurs et mon célibat.

Après avoir vidé l’urinal dans les WC, je suis retournée à notre bureau. Gaëlle avait vu à ma mine que j’avais un souci et s’en inquiéta. Je prétextai une digestion difficile, ce qui n’était pas complètement faux, mais quand elle m’envoya dans la chambre d’Alphonse faire un électrocardiogramme et une prise de tension, je n’en menais pas large.


Mais il me rassura encore. J’ai fini par me détendre, même par sourire. Après tout, la situation était assez cocasse. J’aimais beaucoup l’Alphonse virtuel et je l’avais devant moi à moitié nu dans le lit, en réel. Je découvrais qu’il était bel homme. Je le taquinai sur son pacemaker tout en lui disant qu’il allait vite retrouver son dynamisme. C’était une allusion à ses histoires de cul, dont il n’était pas avare à la narration, car lui aussi avait fait des confidences. Il me demanda s’il me serait possible de le retrouver dans la nuit, après mes obligations, « pour parler », me dit-il. Je lui dis qu’il n’avait qu’à m’appeler avec la commande d’alarme et j’expliquerai à Gaëlle que c’était de sa part un petit moment d’angoisse à rassurer. On aura compris que j’avais fini par être assez excitée par la présence de mon confident virtuel sur mon lieu de travail, par le plus grand des hasards.



******



Il m’appela, comme prévu, vers deux heures du matin. Les malades ont souvent des insomnies… je n’eus pas de mal à justifier mon intervention à Gaëlle, mais je ne pouvais guère m’attarder. On a commencé par parler de mon boulot et on a vite embrayé sur le cul. Je lui ai avoué que je n’avais pas eu d’homme depuis un certain temps, que ça me manquait. Il me parla de mon Belge, que je ne voyais plus guère. Les descriptions de nos ébats l’avaient particulièrement excité, surtout quand il m’avait emmenée dans un club échangiste où je m’étais distinguée en me faisant sauter par deux mecs en plus de lui. J’ai vu alors une excroissance sur le drap que la mince chasuble hospitalière ne pouvait guère contenir.



Il a alors écarté le drap et m’a montré son pénis. Je l’ai vite recouvert. Non que je n’avais pas envie de le branler, mais c’était trop risqué. Gaëlle pouvait arriver d’une minute à l’autre pour s’inquiéter de mon absence. Mais cette vision m’avait excitée.



Sur ce, je me suis éclipsée, en lui recommandant de dormir, tout en sachant que c’était peine perdue. J’ai rassuré Gaëlle sur l’état de notre patient. Au petit matin, j’ai retrouvé Alphonse pour les examens habituels. J’étais redevenue aide-soignante.



*******



Trois jours plus tard, je recevais un message d’Alphonse sur Facebook me rappelant ma proposition. Il m’assurait être en pleine forme, me demandait si je l’étais aussi. J’ai joué l’incertitude. Je ne voulais pas qu’il croie que je n’attendais que lui, mais j’avais vraiment envie de baiser. Sa bite, que j’avais vue en demi-érection, me poursuivait dans mes pensées. J’ai fini par lui donner rendez-vous à mon domicile. Il est arrivé un soir avec une bouteille de champagne. J’avais mis une petite robe bien décolletée mettant mes gros nichons en valeur, et soigné mon maquillage… Rien à voir avec la fille de la clinique et son ensemble tunique-pantalon blancs. Ses yeux pétillaient en me regardant :



Je l’ai fait asseoir sur mon canapé après avoir sorti deux verres. Pendant qu’on sirotait les bulles, je le voyais guettant l’écartement de mes cuisses dodues, largement découvertes par ma petite robe. Je ne portais pas de slip, je voulais qu’il en fasse la découverte de manière la plus fugitive possible, entre deux croisements de jambes. J’ai vu à son regard, déjà allumé par le champagne (autant que le mien), qu’il avait vu. Je ne fus pas étonnée de le voir poser son verre et venir s’asseoir sur ma bergère à côté de moi, m’enlaçant aussitôt.


On s’est embrassés, pelotés, papouillés, jusqu’au moment où je lui ai dit :



On savait l’un l’autre parfaitement ce qu’on voulait. C’est l’avantage d’un âge où l’on n’en est plus à se servir de l’alibi de l’amour pour faire l’amour. Je voulais sa bite, il voulait mon cul. On avait envie de baiser, de cochonner, à poil, en pleine lumière, en s’excitant mutuellement de mots crus. Il savait, pour avoir lu sur Facebook dans nos échanges chauds, que j’aime tout dans le sexe. Encore fallait-il qu’il assure, ce que le réseau social n’assurait pas a priori.

On a donc fait, une fois nus sur mon lit, ce qu’un homme et une femme qui ont envie l’un de l’autre sont disposés à faire pour jouir. D’abord, découvrir nos corps avant de les consommer, de la main, de la bouche, et bien sûr des yeux. Alphonse s’intéressa beaucoup à mes seins et à mes fesses tandis que je m’occupais de son gland et de ses couilles. D’un accord tacite, nous avons retardé le plus longtemps possible le moment, tant attendu, de la pénétration. Quand il fut vraiment long et rigide, je l’ai invité à venir me rendre visite avec cette recommandation :



Ce qui fut fait. Je ne détaille pas ici le détail de nos positions successives. Elles n’ont rien d’original, ce sont celles de tous les couples qui s’entendent bien au lit et qui veulent faire durer le plaisir. Alphonse avait cet avantage important de savoir durer. En retour, je lui ai offert ce que certaines femmes n’offrent pas : mon cul. J’ai vite compris qu’il l’inspirait, et qu’il voulait me sodomiser, à sa manière passionnée de me lécher le petit trou. Comme je jouis facilement par là aussi, ce fut notre bouquet final. Quand la peau de son ventre a claqué sur mes fesses joufflues, je me suis laissée aller à l’orgasme anal tandis que je sentais son jus gicler dans mon rectum. Il est resté fiché en moi pendant que je m’aplatissais, jusqu’à devenir tout mou. C’était fait, on avait baisé. Il avait baisé l’aide-soignante de Facebook.


Je raconte ça alors que c’est encore tout neuf. Quelle va devenir notre relation ? Je n’en sais fichtrement rien. Nous sommes libres tous les deux, mais pas au point, je pense, de se mettre en ménage. Néanmoins, je sens qu’on va rebaiser. Je me verrais bien me faire sauter en plein air, par exemple. J’adore ça. Ou dans ma cuisine. Ou sous la douche. Je vais lui en parler, mais pas sur Facebook. Le virtuel, c’est ter-mi-né !




Micheline (60 ans)


Je m’appelle Micheline, je viens d’avoir 60 ans et ça me fait mal aux seins que j’ai gros. Pour moi, ça voulait dire que j’allais de moins en moins souvent faire l’amour. Non que j’en aie moins envie, bien au contraire. Il n’y a que les jeunes qui croient qu’on ne fait plus l’amour à partir, disons, cinquante ans. Le problème, c’est le conjoint. Bernard, le mien, a de plus en plus de difficultés à me satisfaire bien qu’il fasse preuve de la meilleure volonté du monde. J’ai beau mettre toutes les chances de mon côté, revêtir les tenues les plus affriolantes, me pointer en porte-jarretelles et en dessous coquins, baiser en bottes alors que je n’aime rien tant que de le faire totalement à poil, mon Bernard bande mou et pas longtemps.

Bon, il est vrai que j’ai grossi avec le temps. Mais quand je me pointe au marché en décolleté, je vois bien des regards mâles s’allumer, et des bien plus jeunes… C’est là que je vais en venir.


Figurez-vous que je suis correspondante de presse dans mon bled. J’adore écrire, parler de mes concitoyens, et cet exercice me permet de rencontrer plein de gens intéressants (enfin, pas tous). Je me rends régulièrement à l’agence de mon journal pour livrer des photos ou des textes. Nicole, la secrétaire, m’accueille toujours avec bienveillance et on est devenues complices. Elle a cinquante ans, c’est encore une belle brune alors que je suis une blonde peroxydée à cheveux courts. On en est arrivées à évoquer notre vie sexuelle, beaucoup plus active pour elle que pour moi. Elle a été jusqu’à me montrer des photos d’elle nue prises par son amant avant de faire l’amour. Ne voulant pas être en reste, j’ai demandé à Bernard de me photographier en tenue d’Eve avant de baiser, ce qu’il a fait, et ça l’a rendu un peu plus dur que d’habitude. J’ai montré les photos à Nicole et c’est alors qu’un jeune journaliste a surgi dans notre dos. Il m’a découvert en train de me caresser la chatte et les nichons avant que j’aie eu le temps de masquer ces photos.



Nicole a éclaté de rire et je suis devenue rouge comme une pivoine. Mais le mal était fait.

Enfin, le mal, façon de parler. Le garçon, Sébastien, je le connais depuis un bon moment. Il n’a même pas trente ans… C’est le genre de gars ni beau ni moche, mais au corps souple et au bagout intarissable qui peut tomber les filles disposées à. J’ai vu tout de suite qu’il allait me regarder d’un autre œil. Je n’ai donc pas été vraiment surprise de le voir débouler un après-midi chez moi alors que je bronzais à poil au bord de ma piscine. Le coquin savait que Bernard était absent, car il entraîne une équipe d’escrime (il est maître d’armes) qui se trouvait en déplacement, ce que Sébastien avait publié. Je suis allée lui ouvrir en paréo qui, il faut le dire, ne cachait pas grand-chose et menaçait de s’effondrer à tout moment. Quand il m’a fait la bise, le coquin s’est appuyé sur ses seins et le paréo a découvert l’essentiel avant que je le rajuste.



Tu parles. Je le voyais venir. Il connaissait l’existence de ma piscine et, comme il faisait chaud ce jour-là, il se doutait que je me trouvais au bord. La voyant, après deux ou trois propos de circonstance, il m’a demandé à brûle-pourpoint :



Je n’allais pas dire non. Je n’ai même pas eu le temps de demander s’il voulait un maillot de bain, un de ceux de Bernard. Il s’est mis à poil et a plongé, me montrant son petit cul et ses couilles. J’étais scotchée.



Que vouliez-vous que je fasse ? De toute façon, il m’avait vue nue en photo. Ce n’était même plus un scoop. J’ai tombé le paréo et je me suis glissée dans l’onde.

D’abord, il n’a rien fait d’autre que me tourner autour, puis il s’est rapproché et, arrivant par-derrière, m’a pris les seins à pleines mains en me collant sa bite sur mes fesses. Je me suis un peu débattue en protestant et il n’a pas insisté. Il est sorti de l’eau pour s’allonger sur un bain de soleil et j’ai vu sa queue. Longue, ferme, grosse au bout, en demi érection après l’épisode aquatique. J’ai senti un courant électrique parcourir mon corps des orteils à la racine de mes cheveux courts. Je suis sortie de l’eau en tortillant du croupion, mais sans remettre mon paréo et je me suis allongée sur le bain de soleil à côté de lui, infiniment troublée.

On est restés silencieux un petit moment puis il m’a dit :



Derrière mes lunettes de soleil, j’ai vu sa queue prendre une allure verticale… Je n’en avais jamais vue d’aussi belle depuis, oh, je ne sais pas. Il se paluchait en me parlant, en me regardant. Il a compris que si je ne disais pas oui, je ne dirais pas non pour autant. Alors, il est sorti de son siège et il est venu se positionner devant moi avant de plonger son museau entre mes cuisses. J’aurais pu les fermer, je les ai ouvertes. Sa langue a rencontré ma fente et je me suis mise à bouillir, la main sur sa nuque, pendant qu’il me léchait d’abondance. Ce délicieux cunni a duré longtemps. J’ai eu un orgasme qui m’a fait me cambrer sur mon bain de soleil. Mais j’en voulais plus, beaucoup plus. Quand il s’est redressé et m’a montré sa bite, il m’a reposé la question :



Ah non alors ! Pas encore une frustration. Je la voulais, cette bite… et bien profond ! Je lui ai dit :



Alors, il a mis ses jambes de chaque côté du bain de soleil, m’a pris les pieds pour les écarter et m’a pénétrée d’une poussée rectiligne, totale, radicale, qui m’a fait hurler de plaisir. Il y allait avec une telle vigueur que j’ai craint pour la durée de mon bain de soleil, qui craquait de partout. Il me baisait comme une fille de vingt ans, pas comme une sexagénaire, et j’adorais ça. Je l’ai encouragé de « vas-y, encore, oui oui » jusqu’au moment où il s’est retiré et s’est allongé au bord de la piscine, sur une serviette, la bite verticale :



Je ne me suis pas fait prier. Je l’ai englouti en me mettant sur mes pieds pour profiter un max de sa raideur puis à genoux, car c’est assez fatigant, cette position, plus l’habitude. Je lui ai montré mes nichons en cavale puis mon cul en mouvement. Il m’a mis son pouce dans l’anus et ça m’a encore fait jouir. Alors, il m’a prise par la main et m’a entraînée vers la piscine, là où il y a des marches. Il m’a fait mettre à quatre pattes, à demi immergée et m’a enfilée par-derrière. Bernard avait essayé ça un jour et ça l’avait fait gicler aussi sec. Sébastien, au contraire, me limait longuement, profondément, attendant mon plaisir, tout en me pelotant les seins par en dessous. C’était divin. Et quand il a voulu me sodomiser, j’ai écarté moi-même mes fesses pour faciliter son introduction. Il avait compris que j’étais très sensible de l’endroit quand il y avait mis le pouce, comme en reconnaissance. Il a attendu que je jouisse avant d’envoyer sa semence, on s’est effondrés dans la flotte, entourés de petites substances blanchâtres issues de sa pine magique. Je venais d’être baisée par un garçon qui aurait pu être mon fils, mais ça ne m’avait pas effleurée une seconde, cette différence d’âge, tant j’étais obnubilée par sa bite.


On est restés nus un bon moment et si l’heure n’avait pas avancé, on aurait sans doute remis le couvert tant on était encore excités (surtout moi).

Depuis, quand je viens porter mes photos à l’agence, je me débrouille pour avoir un peu de temps devant moi pour le consacrer à Sébastien. Il me conduit (discrètement) dans son studio et on baise, totalement, résolument, verbeusement, car j’ai le sexe bavard avec l’âge. Je sais que Seb a une copine de son âge, mais je m’en fiche. C’est sa queue qui m’intéresse et lui, c’est mon cul. Je crois pouvoir dire que sa copine ne lui donne pas autant de plaisir que moi. Et voilà comment, à soixante balais, on connaît une nouvelle jeunesse…



– FIN –