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n° 21523Fiche technique20312 caractères20312
Temps de lecture estimé : 15 mn
08/02/23
Résumé:  Nathalie, caissière dans une librairie, est emballée par un écrivain célèbre venu présenter son livre. Laurence, ophtalmologue, aime les parties carrées avec son mari architecte.
Critères:  fh 2couples couple couplus grosseins hotel voir exhib miroir fellation cunnilingu anulingus préservati fsodo hdanus échange partouze confession -chronique
Auteur : Jacquou            Envoi mini-message

Série : Matures au confessionnal

Chapitre 03 / 05
Matures au confessionnal (3)

Résumé des épisodes précédents :

Cette série évoque la vie sexuelle de femmes mûres, mariées ou non, ayant vécu un épisode particulier qui les a poussées à la confession intime.





Nathalie (40 ans)


Je m’appelle Nathalie, j’ai 40 ans et le fait de changer de décennie m’ennuie prodigieusement. Vieillir m’angoisse, en particulier parce que je travaille au milieu de personnes plus jeunes que moi. Je suis hôtesse de caisse dans une grande librairie et je vois défiler tous les jours un public varié, généralement bien éduqué, avec lequel j’entretiens de bons rapports malgré la brièveté de l’échange. Certains acheteurs, le plus souvent des hommes, me confient leur livre à encaisser de préférence à mes collègues voisines à la caisse. C’est flatteur et je ne voudrais pas que mon avancée en âge y change quoi que ce soit. Mes jeunes collègues seraient trop contentes.


Jusqu’à présent, j’ai mis toutes les chances de mon côté. Certes, je suis petite (1,50 m), mais ça ne se voit pas de mon comptoir où je suis une femme-tronc. Et à propos de tronc, si autant d’hommes me choisissent pour payer, c’est parce que ma position en contrebas leur permet de plonger dans mon décolleté quasi immuable. La nature m’a en effet pourvue d’une paire de seins en forme d’obus qui tranche avec le reste de mon corps menu, dans une espèce de déséquilibre physique qui m’a longtemps complexée.

Mon autre caractéristique est une imposante crinière prématurément blanchie que j’ai fini par renoncer à teindre quand je me suis aperçue qu’elle attirait les regards, parce qu’elle contraste avec mon visage dépourvu de rides (pourvu que ça dure). Si j’ai pu assumer autant mon corps, c’est grâce à mon mari Frédéric. Il a su user de mes seins comme un virtuose de son violon et m’a encouragée à les mettre en valeur avec une libéralité qui m’a surprise au début, mais dont je profite finalement beaucoup. D’où les décolletés en pointe, en carré ou en U qui font le bonheur des mateurs et de mon patron, persuadé (il me l’a dit) que mon « charme » fait venir des clients. Je crois qu’il exagère, mais s’il le pense, tant mieux. Il est vrai que j’ai vu certains clients dépenser exagérément pour le simple plaisir de venir plonger les yeux dans mon sillon mammaire, des fois qu’il verrait apparaître un bout d’aréole surgi de mes balconnets tendus à craquer. Cela arrive d’ailleurs parfois, je l’avoue, ce qui m’oblige à rectifier (lentement) le tir…


Bref, j’en suis arrivée à conclure que je suis un peu exhib, pour ne pas dire allumeuse. La fidélité à Frédéric a toujours été ma ligne de conduite, même si j’ai été parfois l’objet de propositions malhonnêtes, du style « vous sortez à quelle heure du boulot, ça vous dirait de prendre un verre avec moi ? » J’avoue avoir été tentée parfois quand le mec était beau gosse, mais c’était mettre le doigt dans un engrenage fatal et je ne suis pas sûre du tout que la libéralité de Frédéric aurait été jusque-là. Exhiber sa femme, d’accord, mais en être cocu, c’est autre chose. Du reste, je n’ai pas à me plaindre sexuellement de ses services, bien au contraire. On fait suffisamment l’amour pour que je ne sois pas tentée d’aller voir ailleurs. Et il s’occupe si bien de mes seins…


Mais si je prends la plume pour me confesser, c’est précisément parce qu’un événement a bouleversé mes petites habitudes. Le patron invite régulièrement un écrivain ou une écrivaine venant de publier un livre. Or, ce jour-là, c’est M. X qui signait son bouquin dans la librairie. Mon auteur favori. Mon auteur culte. Celui dont je n’ai jamais rien manqué. J’étais euphorique à l’idée de le rencontrer et j’avais fait en sorte de pouvoir sortir de ma caisse pour solliciter sa dédicace. Je l’ai trouvé encore plus beau qu’en photo avec sa chevelure aux mèches blanches tombant sur le cou, sa barbe légère, ses yeux azur, bref ce charme qui fait fondre les dames, lesquelles se bousculaient d’ailleurs auprès de lui.


Quand ce fut mon tour, je déployai tous mes atouts. Tout en lui disant à quel point j’étais fan de ses romans, je me penchai en avant, laissant mon décolleté en U bâiller devant ses yeux, dévoilant au moins deux tiers de mon buste faramineux, si ce n’est pas les trois quarts. J’ai vu alors son regard limpide devenir fixe puis brillant devant la perspective montagneuse qui s’offrait à lui. Il remonta lentement jusqu’à mon visage, il découvrit ma crinière argentée et un grand sourire illumina ses traits. Dans le petit échange littéraire qui suivit, je lui glissai que je travaillais dans la librairie, que je vendais beaucoup de ses livres, bref, je flattais son ego d’auteur, tant et si bien qu’au bout de quelques minutes qu’il fallait abréger (ça piaffait derrière moi), il me proposa de prendre un verre après la signature et le cocktail qui devait suivre avec le patron. Je m’empressai d’accepter, sans penser une seconde à Frédéric et à ma fille qui m’attendaient pour dîner.


Au cocktail, où je m’étais invitée une fois la boutique fermée, M. X. se rua à ma rencontre, provoquant quelques déceptions autour de lui. La vision de mon décolleté, cette fois de haut en bas, sembla à nouveau le fasciner, d’autant qu’il pouvait cette fois l’apprécier avec l’ensemble de mon corps. Heureusement, je n’ai pas trop grossi même si je sens pointer un petit quelque chose en dessous du nombril. Mes fesses ne rétablissent pas l’équilibre avec mon buste et restent contenues, si j’ose dire, même si je trouve qu’elles s’arrondissent un peu trop vite à mon goût, ce qui n’est d’ailleurs pas l’avis de Frédéric, qui s’en occupe de plus en plus. On a parlé de ses livres, mais il voulait surtout être sûr que je lui consacrerais un peu de temps après les mondanités d’usage. Tu parles ! Je ne demandais que ça.



*******



Quand j’ai quitté le cocktail en compagnie de M. X, j’ai senti et vu des regards courroucés : ceux de mes collègues de la caisse, mais aussi des libraires et même du patron. Une petite caissière partie en compagnie d’une célébrité et qui plantait là les autres, ça faisait un peu scandale. J’ai redressé le buste, tendu la croupe, saisi ma veste et mon sac à main et bye bye. M. X. était ravi de ma compagnie et c’était l’essentiel. Au bistrot, on a parlé de ses livres, de moi et surtout de lui. Divorcé, « homme libre », je le voyais venir. Je ne suis quand même pas née de la dernière averse. Ce quadra magnifique avait des besoins sexuels à assouvir. Je balançais encore. Mais quand j’ai reçu un appel de Frédéric, me demandant quand je rentrais, je lui ai répondu qu’on sortait prendre un pot avec M. X. et que je rentrerais sans doute tard, sans préciser que j’étais seule avec lui. C’était faux, évidemment, et M. X. a compris qu’il avait gagné la partie. On a mangé sur place une salade arrosée d’un vin blanc et suivie d’un café. Et quand il m’a proposé, le sourire en coin, de l’accompagner à son hôtel, j’avais encore la possibilité de dire :



Mais j’ai dit oui. Je savais que j’allais passer à la casserole, mais pas avec n’importe qui : l’auteur le plus couru et prolifique du moment, j’étais bien placée pour le savoir. Une vraie célébrité qui passait souvent à la télé. Un beau mec qui faisait chavirer les cœurs. Le genre de truc qui n’arrive jamais à une petite caissière, fut-elle dotée d’une paire de nichons défiant toute concurrence ! J’ai pensé brièvement que j’allais tromper mon mari pour la première fois depuis mon mariage. Mais une force irrésistible me poussait vers cette transgression. En clair, j’avais envie de baiser avec ce type.


J’étais quand même un peu tendue en entrant dans sa chambre. Il m’a ôté la veste, pris mon visage et m’a embrassée, comme je ne l’avais pas été depuis longtemps, pardon, Frédéric. Un baiser langoureux, puissant, envahissant, qui a fait fondre mes dernières résistances. J’ai collé mes seins contre son ventre et senti aussitôt quelque chose de dur contre le mien. Sa queue. Il fallait que je me révèle à la hauteur de l’enjeu. Montrer que la petite caissière n’était pas un mauvais coup. Je me suis accroupie, j’ai tiré sur la fermeture éclair de son pantalon et j’ai dégagé un pénis qui ne demandait que ça avant de l’emboucher tandis que ses yeux tombaient sur mon décolleté en U. J’ai fait de mon mieux en suçant tout en tournant la main autour de la hampe, mais il s’est vite dégagé. Il voulait me voir à poil. Je me suis retournée pour qu’il tire sur la fermeture de ma robe, dégrafe mon soutif et empaume mes seins en les soupesant, comme pour évaluer leur volume et leur densité. Puis il a baissé mon slip et m’a poussée vers le lit après que j’eus fait valser mes escarpins. Il m’a regardée en se paluchant, visiblement ravi du spectacle que je lui offrais. Il s’est mis nu à son tour, m’offrant un corps glabre au pénis triomphateur qui lui faisait comme une corne, et il m’a rejoint sur le lit.


J’ai été caressée, doigtée, sucée, léchée, par-devant et par-derrière. Je bouillais, avide d’être pénétrée, n’importe où pourvu qu’il me fouille.



Je l’ai regardé enfiler sa capote, sans se presser, et je l’attendais, coudes sur le drap, pointes de seins dressées, cuisses ouvertes. Et enfin, il est venu. J’étais baisée par le grand écrivain, moi, Nathalie, quarante balais, épouse et mère en rupture morale. Il a vite compris qu’il n’allait pas s’embêter. Plus il cognait et plus je remuais sous lui en clamant mon plaisir. Il demeura longtemps sur moi pour voir mes seins remuer sous ses assauts en les fixant du regard. Il faut dire que quand je fais l’amour, mes seins bougent beaucoup et Frédéric adore ça. Mais il adore encore plus quand je suis sur lui et j’ai donc chevauché M. X. qui, comme mon mari, m’a pétri les nichons pendant que je cavalais sur sa queue.


Pendant un très court moment d’extase, j’ai cru que c’était Frédéric qui me pelotait, mais non, c’était la gloire littéraire nationale. Sans changer de position, je lui ai montré mon cul et il m’a mis le pouce dans le petit trou, ce qui m’a fait frissonner de la tête aux pieds. J’ai compris ce qu’il voulait. Alors, je me suis mise à quatre pattes, juste devant l’armoire à glace de la chambre, ce qui m’a permis de le voir me limer derrière moi avec une expression un peu crispée, mais aussi de me voir aussi dans cette scène surréelle : moi, baisée par M. X. De voir mes nichons s’agiter sous ses assauts l’a mis en transe et il est venu les saisir par dessous, ce qui m’a procuré un plaisir intense. Puis il est monté d’un étage, si j’ose dire. J’étais tellement open qu’il n’a pas eu beaucoup de mal à entrer et de sentir ses couilles battre contre ma peau m’a littéralement mise en transe. J’ai senti qu’il allait jouir et j’ai tortillé du croupion pour l’essorer, ce qui m’a fait jouir quasiment en même temps que lui. Et on s’est détachés.


Après qu’on eut repris nos esprits, je n’ai pas pu m’empêcher de lui demander s’il sautait à chaque fois une femme dans ses virées promotionnelles. « Souvent, mais rarement d’aussi belles que toi », a-t-il répondu. Flatteur, mais peu crédible. Je n’allais quand même pas me plaindre. On a un peu discuté, mais il fallait absolument que je rentre. Mon téléphone, mis sur vibreur, s’était manifesté à plusieurs reprises pendant qu’on baisait. J’ai vite appelé Frédéric pour lui dire que je rentrai et que je m’excusai pour mon retard. Il était déjà minuit passé. Le post-coïtum risquait d’être mouvementé.

Mon mari était évidemment au lit quand je suis arrivée. Malgré la douche à l’hôtel, je craignais qu’il y ait des traces de M. X. sur mon corps, même s’il n’avait pas ôté sa capote quand il avait joui. Alors, j’ai repris une douche. Et je me suis couchée dans le lit conjugal comme une bonne épouse après le boulot. Légèrement honteuse, mais immensément fière en même temps. Je savourais à l’avance la mine de mes collègues le lendemain. Quant à M. X., il m’oubliera vite, sauf peut-être quand il viendra présenter un nouveau livre. Mais quel âge aurais-je alors ? C’est sur cette incertitude que j’ai fini par m’endormir à mon tour. Et le lendemain matin, j’ai raconté à Frédéric ce qui était racontable…



Laurence (54 ans)


Je m’appelle Laurence, j’ai 54 ans, ophtalmologue, mariée depuis vingt ans avec Liam, architecte, d’origine asiatique. Nous sommes donc un couple bourgeois, vivant aisément. Je suis blonde, pas mal de ma personne, car j’y mets le prix, ce qui n’exclut malheureusement pas quelques rides, mais je fais avec, alors que Liam a le même corps qu’à trente ans (c’est injuste). Nous avons l’un et l’autre un point commun qui a permis à notre couple de durer : nous adorons le sexe. Je ne vais pas ici répertorier toutes les fantaisies que nous avons imaginées pour pimenter notre vie sexuelle, mais je vais raconter, pour moi et pour lui, ça ne sortira pas de là, notre soirée d’hier avec Victoire et Pascal, un couple de notre âge, l’homme étant un collègue de mon mari.


Il faut d’abord que je précise que nous avons une certaine prédilection pour la sexualité partagée. En clair, les partouzes, même si je n’aime pas ce mot. Deux ou trois fois par an, nous organisons avec quelques partenaires triés sur le volet, en général des couples de notre condition sociale, des parties fines à l’abri des regards dans une grande pièce réservée à cet effet, tapissée de miroirs des murs au plafond. Comme il s’agit le plus souvent de couples d’âge mûr, j’ai dans mon carnet d’adresses les noms de quelques fringants jeunes hommes destinés à compenser les défaillances éventuelles de nos conjoints respectifs. Nous avons en effet, nous les femmes, un avantage incontestable sur les messieurs : notre plaisir peut s’accumuler et non être pénalisé par la « décharge ». Je dirais même que plus on baise et plus on a envie de baiser (en tout cas moi) ce qui rend la présence d’étalons bénéfique en fin de soirée. Évidemment, ils ne viennent pas gratuitement, mais on a les moyens.


Mais là, n’est pas mon propos. Avec Victoire et Pascal, c’était plutôt de l’entre soi. On se connaît bien. On sait tous ce qu’on aime. On a autant de vice les uns que les autres. Victoire est plus mince que moi, mais elle a les cheveux prématurément blancs, ce qui lui confère un certain charme. Pascal est costaud, bien membré, endurant. Il me fait jouir autant que Liam fait jouir Victoire.


Hier soir, on a commencé à dîner comme deux couples d’amis. Parfois, on se fait des petits scénarios en suivant. Je me déguise en soubrette ou en infirmière par exemple, ou bien Victoire s’habille en pute et mime le tapin, etc. On peut décider de nous ébattre dans la salle de bain ou la cuisine, ou même carrément dans le jardin, voire dans notre piscine. Mais hier soir, on a décidé de faire simple. À poil dans la pièce aux miroirs.


Avec l’expérience, Victoire et moi, on sait qu’on a intérêt à prolonger les préliminaires. Nos hommes n’ont plus vingt ans et du reste, plus on retarde la pénétration et plus ils ont envie de nous pénétrer. Et nous aussi. Alors, on se suce, on se lèche, on se branle, on s’excite par les mots. Victoire adore lécher les couilles de Liam, et moi le petit trou de Pascal. Pendant que je lui titille la rondelle, Victoire s’allonge sur le grand lit, la tête en dehors et Liam debout lui offre ses couilles à gober. Pascal vient lui lécher la chatte en même temps tout en se faisant suçoter le trou du cul par moi. C’est une figure quasiment obligatoire dans nos ébats.


Évidemment, il y a des variantes. Pascal vient me rendre la pareille, rendant mon œillet propice à une introduction ultérieure, ou bien Liam et Victoire s’offrent un 69, je prends juste quelques exemples, rien n’est interdit. Mais il arrive un moment où il faut du concret.

Alors, Victoire et moi, on s’allonge côte à côte, cuisses ouvertes, pieds en l’air, coudes sur le matelas, et on implore nos mâles de venir nous baiser. Ces salauds nous font souvent mariner. Ils veulent qu’on les prie, qu’on les adjure alors qu’ils ont autant envie de s’enfoncer que nous d’être défoncées. En général, je prends la queue de Pascal à pleine main et je me la mets, aussitôt imitée par Victoire avec Liam. Quand enfin ils s’enfoncent, on crie tous ensemble. C’est la fête des corps. Je regarde au plafond le cul de Pascal remuer entre mes cuisses et ça me donne presqu’autant de plaisir que sa queue. Avec Victoire, tout en baisant, on s’échange nos impressions.



Inutile de vous dire que nos échanges décuplent l’énergie de ces messieurs, et c’est bien le but de la manœuvre.

Avec Victoire, on décide de nos positions. Un coup dessous, un coup dessus, un coup à quatre pattes, un coup sur le côté. On change souvent, car on sait qu’à un moment où à un autre, nos hommes ne pourront plus contenir leur sperme. Le truc qui marche, c’est de les chevaucher en leur montrant notre cul, ça les fait davantage durer. Et nous, Victoire et moi, on se regarde baiser via les miroirs, c’est super excitant. C’est surtout dans ces moments qu’on se parle. C’est très cru, je n’ose pas répéter ici. Si mes patients savaient, ils n’en reviendraient pas. La bourgeoise salope, classique.


Pour ma part, j’aime que Pascal gicle dans mon cul. Quand je me mets à quatre pattes face au miroir, il comprend le message. Après m’avoir bien limée, il monte d’un étage, sans difficulté, car j’ai le rectum accueillant avec les années. J’adore entendre la peau de son ventre claquer sur mes fesses et ses couilles effleurer ma chatte en se balançant. Victoire est plus tradi. Elle s’ouvre un max en se tenant les pieds et veut voir le cul de Liam s’agiter en cadence via le plafond. Dans les deux cas, l’une et l’autre, on braille. On n’est pas du genre à jouir en silence. Et quand l’orgasme est arrivé, le silence retombe dans la chambrée, seulement coupé par nos halètements de plaisir. Puis on se rue vers la salle de bains pour se débarrasser du sperme encore copieux de nos conjoints.


Hier soir, on n’était que quatre, mais la fois précédente, Rachid et Kevin, mes chouchous, étaient de la partie. Quand Pascal et Liam ont rendu les armes, nos invités nous ont présenté leur bite, raide comme des manches de pioche. Ils s’étaient paluchés en nous regardant baiser. Qu’ils soient en forme, ça tombait bien, car Victoire et moi, on avait encore envie. Cette fois, nos maris étaient les voyeurs et ça leur plaisait bien de nous regarder baiser avec deux étalons. Allez comprendre les hommes. Ah le petit cul de Rachid ! Comme il est beau à voir remuer entre mes cuisses ! Merci, le miroir du plafond. J’ai naturellement la voix assez rauque à cause des cigarettes, mais à ce moment-là, ma raucité s’exacerbe. Au contraire, Victoire couine comme une souris. Elle aime quand c’est dur et que ça dure, comme moi. Jeune, je n’aurais jamais cru que j’aurais autant aimé baiser à la cinquantaine. D’ailleurs, je baise mieux maintenant qu’à vingt ans, j’en suis convaincue et Victoire est de mon avis. On fait des trucs qu’on aurait trouvé dégueulasses trente ans plus tôt. Comme aller chercher la prostate avec le majeur, par exemple, ce qu’on fait avec nos étalons, moins sensibles que nos hommes de ce côté. Du coup, ça leur fait rallonger la bite d’un centimètre, ils sont raides dingues et nous mitraillent sous le regard ébahi de nos conjoints. C’est dans ces moments que Victoire et moi, on dit un peu n’importe quoi, à ne surtout pas enregistrer tellement c’est cru. On remue tellement que la sueur nous coule entre les nichons ou dans la raie des fesses, tout dépend de la position.


Mais là où c’est encore plus jouissif, c’est qu’une fois que nos étalons ont giclé, nos conjoints, hyper excités par ce qu’ils ont vu, sont prêts à remettre le couvert. Dans un commun accord avec Victoire, on redevient alors épouses légitimes. Liam me baise et Pascal baise Victoire. On les laisse nous pilonner, nos talons dans leurs reins, nos ongles dans leurs flancs ou leurs fesses, et c’est le bouquet final. On finit tous épuisés, mais repus. De sexe, de stupre, de baise.

Bon, j’arrête là, car j’ai le bas-ventre qui commence à me faire mal. Il faut que je laisse Liam récupérer un peu. Et demain, j’ai pas mal de consultations à venir. Mais la semaine prochaine, mmmmhhh, j’en salive déjà.



À suivre…