n° 21649 | Fiche technique | 12478 caractères | 12478Temps de lecture estimé : 9 mn | 29/03/23 |
Résumé: Surpris en pleine séance de masturbation, un jeune homme voit sa colocataire se jouer de lui. | ||||
Critères: h fh jeunes hsoumis fdomine humilié(e) contrainte hmast init -initiatiq -dominatio | ||||
Auteur : Victor Ward Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Initiation en colocation Chapitre 01 / 04 | Épisode suivant |
À l’époque, j’avais vingt-cinq ans et traînais honteusement un vieux pucelage. J’étais étudiant et sans que ma vie soit palpitante, je n’étais pas non plus un reclus. Mais j’avais beaucoup de peine avec les femmes. Je n’étais pas moche, sans être un canon non plus, juste très timide.
Je vivais en colocation avec deux autres personnes. L’une d’elles, K, était une étudiante polonaise. Dès qu’elle était venue visiter l’appartement, je l’avais trouvé très jolie. Sans être un argument décisif, comme elle remplissait les critères essentiels, je lui avais donné la priorité et elle avait rapidement emménagé dans la chambre à côté de la mienne.
Rapidement, mon appréciation à son égard était passée de « jolie » à « excitante ». La voir se promener dans l’appartement avec un jogging qui lui moulait les fesses ou la croiser le matin, lorsqu’elle prenait son petit déjeuner en ne portant qu’un t-shirt sans soutien-gorge ne me laissait pas indifférent.
Elle était blonde avec un joli visage, un peu typée de l’est. Physiquement, elle avait tout pour plaire sans pour autant être une bimbo. Mince avec des fesses rebondies. Ses seins n’étaient pas énormes, mais on les remarquait pourtant facilement.
Malgré les débuts d’érection qu’elle me donnait, notre cohabitation était dénuée de toute ambiguïté et se passait au mieux. Je jouais mon rôle de mec détaché qui cachait ses faiblesses. Sans être les meilleurs amis, nous nous entendions bien.
Ma vie sexuelle se limitait à de longues séances de masturbation. Je m’étais toujours beaucoup masturbé, en cachette et honteusement. Cette période correspondait au début de l’internet à haut débit et pour moi à une mini révolution sexuelle. De la pornographie accessible facilement, hors du domicile familial, j’en ai presque eu des tendinites ! Je découvrais des corps, des pratiques que ma pauvre imagination n’avait jamais envisagées. Mes séances de masturbation devenaient des plus en plus longues, j’étais happé par toute cette diversité.
Cependant, le débit n’était pas encore ce qu’il est actuellement et ma consommation excessive de porno pesait sur la bande passante. Sans trop approfondir, K m’en a fait la remarque et m’a demandé poliment de limiter mes téléchargements, car son accès à internet était ralenti. J’y ai prêté attention quand elle était présente et je profitais de ses absences pour m’adonner à mes plaisirs solitaires. Je dois quand même reconnaître qu’il m’arrivait d’abuser un peu, également en sa présence. Ça n’a pas manqué, elle m’a refait la remarque une fois, un peu plus énervée.
Vint un jour où j’étais absorbé dans mon onanisme, les yeux rivés sur mon écran où une femme astiquait un membre entre ses gros seins. La porte de ma chambre s’est ouverte rapidement et K est entrée, fâchée.
Je n’ai rien eu le temps de faire, j’ai juste levé les yeux, mes mouvements sur ma queue se sont arrêtés. Le temps s’est suspendu et il m’a semblé qu’une éternité s’est déroulée, me demandant si je devais me cacher, m’énerver, rire ou pleurer. J’étais couché sur mon lit, juste en face de la porte. K avait une vue plongeante sur mes jambes écartées et ma queue en érection.
Piqué au vif dans mon peu de virilité, je n’ai rien trouvé d’autre à dire que clamer mon hétérosexualité :
Et elle s’est approchée de mon ordinateur pour tourner l’écran et constater que c’était bel et bien une femme qui était aux prises avec un membre. Comme calmée, presque intriguée, elle reprit :
J’étais aussi flatté que mal à l’aise. J’avais toujours ma queue à la main et n’avais étonnamment pas débandé.
Reprenant un peu son calme :
Son ton était doux et elle souriait.
Hésitant, je repris les mouvements le long de ma hampe en fixant ma colocataire. Elle souriait toujours, elle était arrivée à ses fins.
Je ne me suis pas fait prier et je me suis masturbé de plus belle. Je la fixais alors qu’elle fixait ma main. Levant les yeux vers moi, elle a souri et a commencé à soulever son t-shirt. J’ai alors pu découvrir un joli soutien-gorge, normal en soi. Pas particulièrement sexy, pas de dentelle ou autre. Mais c’était le premier que je voyais et ça a largement suffi à mon excitation. Puis elle l’a retiré, laissant apparaître de beaux seins, ronds, avec des mamelons foncés. J’étais fasciné et j’ai tendu la main pour les toucher.
J’ai continué à me branler alors qu’elle caressait doucement sa poitrine d’une main. Son autre main s’est posée sur ma jambe et elle a commencé à me caresser la cuisse. Elle a glissé vers l’intérieur et a commencé à remonter. J’étais très, très excité et je tremblais. Sa main était douce, tout comme sa voix.
J’ai essayé de me détendre, en respirant profondément pendant que sa main continuait à monter, s’approchant de mes boules. Je fixais cette main qui me caressait tout en accélérant mes va-et-vient. Satisfaite de l’effet produit, elle éloigna un peu sa main tout en me regardant dans les yeux. Elle jouait avec moi et j’aimais ça, tout en étant intimidé par l’inconnu devant lequel je me trouvais. Sa main remonta et vint se placer contre mon aine, son revers touchait mes testicules. J’ai tressailli et elle l’a bien remarqué. J’ai dû ralentir mes mouvements sur le gland sous peine de jouir à l’instant. Mes efforts l’ont fait sourire.
Sa main a saisi mes couilles et j’ai senti une fulgurance remonter dans toute ma queue. Je me suis arqué, projetant mon bassin vers l’avant, tout me branlant furieusement.
En disant cela, elle me chatouilla les boules du bout des doigts. Je poussai un grand soupir de plaisir.
Et elle referma sa main sur mes couilles en les serrant un peu. Surpris, je resserrai naturellement les jambes pour me protéger. Mais elle tenait bien mes bijoux de famille en main et ne relâcha qu’un petit peu son emprise.
En disant cela, elle commença un massage en les faisant doucement rouler. C’était extrêmement bon, je n’avais jamais connu une telle sensation. Dans ma main, ma queue palpitait et je me branlais comme jamais.
Elle disait cela avec bienveillance tout en alternant la pression et les moments de relâchement, cherchant le point où le plaisir se transformait en douleur. Serrant un peu plus fort, elle l’avait trouvé et je me tordis, me dégageant de sa prise. Je me mis sur le côté presque recroquevillé pour me protéger.
J’étais à nouveau couché sur le dos, les jambes un peu écartées et la bite aussi droite que dure. Elle caressa avec douceur mes couilles tout en se penchant vers moi, approchant ses seins de mon sexe. De sa main libre, elle frotta son sein gauche sur mon gland. C’en était trop, les sensations, la vue de cette scène et ses paroles eurent raison de ma résistance et je jouis. Un épais jet de sperme s’écrasa sur son sein avant que le reste de ma jouissance ne dégouline entre eux.
Avant que j’aie le temps de réaliser quoi que ce soit, elle se pencha au-dessus de moi, amenant sa poitrine devant mon visage. J’étais pris entre l’excitation de toucher et lécher pour la première fois une si belle paire de seins et le dégoût que m’inspirait mon propre sperme. Elle ne me laissa pas tergiverser dans ce paradoxe et vint écraser ses seins sur mon visage. Je sentis alors le liquide visqueux se coller sur mes joues.
Face à mon absence de réaction, elle serra un peu mes couilles qu’elle avait toujours en main et répéta :
Ce rappel du pouvoir qu’elle avait sur moi me fit abandonner toute résistance et j’ouvris la bouche pour lécher son mamelon.
Avec une main derrière ma tête, elle me guidait vers les traces de mon sperme et m’obligeait à les lécher.
Je ne répondis pas, mais en moi-même je dus avouer que ce n’était pas aussi mauvais que je le pensais. Le fait qu’elle m’oblige à y goûter m’excitait même un peu.
Quand elle s’estima assez propre, elle relâcha ma tête et me laissa m’éloigner. Elle était tout sourire, toute fière du coup qu’elle venait de me jouer. Elle avait certes largement contribué à mon plaisir, mais pas comme je le pensais. Tout s’était passé comme elle l’avait souhaité et je n’avais été qu’un pantin avec lequel elle avait joué.
Elle me fit un clin d’œil, se leva et quitta ma chambre. Je m’écroulai sur mon lit, pris dans des émotions pleines de paradoxes. Je devais reconnaître que j’avais pris beaucoup de plaisir, que je n’avais jamais connu une telle expérience sexuelle et que celle-ci était très inattendue. Mais d’un autre côté, j’en étais resté à la masturbation, je n’avais pas pu découvrir le corps d’une femme, sinon ses seins qu’elle m’avait fait déguster couverts de sperme.
Hésitant dans ma sexualité, je n’étais pas beaucoup plus avancé et ne savais si je devais me réjouir de ce qui s’était passé ou en avoir honte.