n° 21679 | Fiche technique | 12961 caractères | 12961Temps de lecture estimé : 10 mn | 08/04/23 |
Résumé: K, ma colocataire, poursuit mon initiation, mais pas comme je m’y attendais. Je me retrouve en position délicate, mais pas désagréable pour autant. | ||||
Critères: fh jeunes hépilé douche fdomine hdanus init -initiat | ||||
Auteur : Victor Ward Envoi mini-message |
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Résumé de l’épisode précédent :
Ma colocataire m’a surpris en pleine masturbation et a joué avec moi. Inexpérimenté, je ne sais que faire ni qu’en penser.
Les jours qui ont suivi cette première expérience ont été très calmes. K se comportait comme si rien ne s’était passé. Elle restait ma colocataire sympathique qui menait sa vie indépendante. Elle n’a jamais fait allusion à cet épisode.
Moi non plus. Au fil des jours, je ne savais que penser. Le temps passant, j’ai eu de plus en plus l’impression d’avoir été manipulé, l’impression d’avoir fait quelque chose dont je n’avais pas envie. Malgré son invitation à revenir vers elle pour poursuivre nos jeux, je ne l’avais pas fait. Là encore, j’avais l’impression qu’elle m’avait bien eu. Elle m’avait laissé la porte ouverte, tout en sachant que je n’entrerais pas. J’avais pourtant souvent hésité à revenir sur le sujet, et elle s’en était sans doute rendue compte, mais n’avais jamais franchi le pas que je n’osais pas faire.
Un soir, alors que je rentrais d’un jogging, je la trouvai dans la cuisine. Je portais une tenue de course, un t-shirt et des cuissards. Très moulants, il faut bien le reconnaître. On discuta un petit moment et je la laissai pour aller prendre une douche. Alors que je sortais de la cuisine, elle me dit :
Surpris, je ne trouvai de mieux à répondre que « Merci » avant de m’enfermer dans la salle de bain. Sa remarque me plongea à nouveau dans mes réflexions et je ne savais que faire. Me déshabillant pour aller sous la douche, je constatai que ces réflexions ne m’avaient pas laissé indifférent et que ma queue avait pris un joli volume. Qu’importe, je n’allais quand même pas me rabaisser à me branler après une simple remarque de K sur mon cul. J’allumai l’eau froide et entrai dans la baignoire, bien décidé à revenir à des pensées plus acceptables. L’eau eut pour effet de réduire considérablement le volume de ma queue et je me focalisai sur ma respiration pour supporter le froid. J’étais en train de me savonner quand on frappa à la porte. Je n’eus pas le temps de répondre que la porte s’ouvrit et K. fit son entrée dans la salle de bain. À peine entrée, elle tira sur le rideau de douche.
Un peu éclaboussée, elle fit un pas en arrière.
Je vis passer une lueur dans son regard, elle était satisfaite de comprendre que sa petite remarque ne m’avait pas laissé indifférent.
En disant cela, elle fouillait dans la pharmacie et en sortit un rasoir et de la mousse à raser. Je craignais le pire.
En effet, puceau tardif, je ne m’étais jamais préoccupé de ma pilosité pubienne.
K prit une noix de mousse à raser dans une main et souleva ma verge presque flasque de l’autre. Elle étala la mousse sur mes testicules, avec douceur. Cela me rendit un peu de rigidité, ce qui la fit sourire. Mon pénis collé contre le ventre, elle approcha le rasoir de mes boules, ce qui me fit tressaillir.
Je n’étais pas très rassuré pour autant et commençais à trembler.
Je sentis la lame sur la peau de mon scrotum et me tendis encore plus. Mes couilles étaient remontées et la peau tendue. La lame glissait plus facilement que je le croyais.
Son rasage ne me laissait pas indifférent et j’avais recommencé à bander dur. Elle fit alors remarquer :
Elle étala encore de la mousse sur ma hampe. C’était la première fois qu’une femme touchait à ma bite. Même si ce n’était pas le contact le plus érotique, j’en ressentis quand même une certaine émotion. La lame me rappela rapidement à la réalité. Elle manipulait mon sexe pour s’assurer qu’il ne reste aucun poil. Puis elle s’attaqua au pubis.
Elle venait de doucher tous mes espoirs. Voilà comme elle me voyait, un gamin qui se branle et mon expérience avec elle n’y avait rien changé. Si ce n’est qu’en plus elle m’avait fait goûter mon sperme. Je me sentais honteux et humilié.
Elle saisit la douche et me rinça le pubis.
Cette dernière remarque me fit reprendre espoir. Pas pour longtemps.
Ne comprenant pas, je restai immobile.
Elle était devenue plus directive et ce ton ne tolérait pas de discussion. Je m’exécutai.
K étala à nouveau de la mousse sur mes fesses et commença à me raser. Je trouvais ça exagéré, mais n’osais pas protester, je n’avais pas les fesses si poilues ! Soudain, je sentis qu’elle me mettait de la mousse entre les fesses, je ne m’y attendais pas et eus un geste de recul. Elle me saisit par la taille et me retira vers elle.
Je sentis la lame passer entre mes fesses, c’était très surprenant, je n’avais pas l’habitude qu’on me touche à cet endroit si intime. Son bras me serrait fort. Je sentis ensuite qu’elle s’attaquait à mon périnée et ne pus retenir des tremblements, mais aussi un soupir de satisfaction. J’étais plus que jamais en érection et elle le sentait. Ma verge palpitait contre son bras.
Pendant ce temps, elle fouillait dans la pharmacie et en sortit un tube de lotion pour le corps. Elle saisit un linge et commença à m’essuyer. D’abord le haut du corps, mais, rapidement, elle se concentra sur mon entrejambe. Je bandais comme jamais et ça l’amusait. Sans me caresser directement, elle m’essuyait avec douceur et seul le linge séparait ses mains de mon sexe. Elle saisit même mon sexe à travers le linge et fit quelques gestes de va-et-vient.
Sa tâche accomplie, elle prit le tube de lotion, s’en versa dans les mains et commença à m’en étaler sur les boules en les massant doucement.
C’était très agréable et je gémissais tout en avançant mon bassin vers sa main pour amplifier les sensations. Son autre main, elle aussi couverte de lotion, se saisit de ma queue et commença à me branler lentement. C’était délicieux. Elle me regarda avec un sourire un peu moqueur et me demanda :
Ses paroles, ses gestes me rendaient fou et j’étais au bord de l’orgasme. Elle le comprit et cessa d’un coup. Frustré, je ne pus retenir un « Nooon ».
Je me retournai, frustré comme jamais. Je n’osais pas reprendre cette masturbation, de peur de passer à côté d’une opportunité. Je sentis la lotion rafraîchissante qu’elle giclait directement sur mes fesses. La lotion s’écoula aussi entre mes fesses. Elle commença à les masser. Ce n’était pas désagréable, mais en rien comparable au plaisir qu’elle me donnait quelques secondes auparavant. Sa main s’est aventurée entre mes jambes pour me caresser les testicules. J’ai à nouveau soupiré, j’ai écarté un peu plus les jambes et n’ai pas pu m’empêcher de reprendre ma queue en main pour me masturber. Sa main quitta mes boules pour appuyer légèrement sur mon périnée et remonter entre mes fesses. J’étais à la fois excité et un peu mal à l’aise. Son doigt repassa plusieurs fois dans la raie de mes fesses avant de s’attarder sur mon anus.
En disant cela, elle insista sur mon anus et chercha même à la pénétrer.
Tout en disant cela, elle insistait de plus en plus sur mon anus alors que de mon côté, j’essayais de résister. Je sentis son doigt s’écarter et en fus soulagé. Le répit ne fut que d’un court instant, elle le lubrifia avec de la lotion et revint à la charge. Son doigt faisait des cercles sur ma corolle en s’approchant de plus en plus du centre.
Son ton m’a vraiment excité et a suffi à me relâcher un peu. Il n’en fallait pas plus pour que son doigt lubrifié rentre en moi. Quelle sensation étrange ! Pas vraiment désagréable, en fait. K insista et fit pénétrer son doigt lentement. Je la sentais progresser en moi avant qu’elle ne commence à faire de lents va-et-vient. À ma grande surprise, j’ai commencé à y prendre du plaisir et je gémissais tout en me branlant.
Ses va-et-vient étaient maintenant rapides et je synchronisais mes mouvements sur ma queue.
J’étais dans la baignoire, un bras appuyé contre le mur, une main sur ma queue alors que K se tenait derrière moi, une main sur ma hanche, un doigt dans mon cul.
Puis ses mouvements se sont ralentis, j’ai eu l’impression qu’elle me fouillait l’intérieur. Son doigt tâtait mes parois anales, jusqu’à ce que je ressente une décharge, partant de mon anus pour remonter jusqu’à mon gland et se diffuser dans tout mon bassin. Je me suis cambré et j’ai gémi fortement. Elle avait touché ma prostate ! Consciente de ça, elle continua à me masser lentement cette glande. Mon plaisir ne faisait que s’intensifier et se diffuser de plus en plus dans tout mon corps. J’en tremblais et j’avais l’impression que mon gland allait exploser entre mes doigts qui le massaient. K prit ma main qui me branlait et me l’immobilisa dans le dos.
Je n’en pouvais plus et remuais mon bassin de manière chaotique, mais ça ne changeait rien à ce doigt qui me stimulait de l’intérieur. J’avais envie de pleurer, de honte, de plaisir, je ne savais plus, la confusion était totale, le plaisir aussi. Je sentais l’orgasme monter lentement le long de ma hampe, mon gland me brûlait presque. Je n’avais qu’une envie : me branler furieusement pour accélérer le processus et jouir enfin. Mais K me l’interdisait et appuyait toujours un peu plus fort ma prostate.
Soudain, ce fut la libération, je sentis mon sperme s’écouler, pas en saccades, mais en continu. Je n’avais jamais connu un orgasme pareil, comme s’il n’allait jamais s’arrêter. J’étais dans un état de confusion indicible, je ne sais pas combien de temps ça a duré. J’ai repris pied quand j’ai senti la main de K saisir ma bite et me branler lentement en continuant à me fouiller l’anus.
Petit à petit, je me suis calmé et me suis senti dans un état très paradoxal. Pris d’un profond bien-être, mais aussi honteux. Honteux d’avoir pris du plaisir par cette voie contre nature, honteux de ne pas avoir résisté à K qui une nouvelle fois s’était joué de moi.
Elle prit la douchette et me rinça l’entrejambe à l’eau chaude. Ses gestes étaient doux et attentionnés. Elle me sécha et me regarda tout sourire.
Puis elle quitta la salle de bain, me laissant seul dans la baignoire, vidé.
Je fis un peu d’ordre, rassemblai mes affaires et sortis, un linge autour de la taille. Alors que j’allais rejoindre ma chambre, j’entendis K m’appeler.