n° 21674 | Fiche technique | 19137 caractères | 19137Temps de lecture estimé : 14 mn | 07/04/23 |
Résumé: Dans une entreprise de taille intermédiaire (ETI), plusieurs femmes sans attache conjugale évoquent leurs liaisons passagères et leur sexualité débridée. Pour se partager amants et "bonnes infos"... ou mauvaises. Et passer à l’acte. | ||||
Critères: ffh frousses collègues grossexe groscul hotel travail vengeance voir fmast fellation cunnilingu anulingus préservati pénétratio fsodo portrait humour -occasion -travail | ||||
Auteur : Jacquou Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Sexe en entreprise Chapitre 01 / 05 | Épisode suivant |
Cette nouvelle série se passe dans une entreprise de moyenne importance, dite ETI, comprenant des salariés plutôt qualifiés, appartenant à la classe moyenne, composée pour moitié d’hommes et de femmes. Ce sont celles-ci qui nous intéressent en particulier. Elles sont d’âge divers, mais dans ce récit, il s’agira surtout d’ex-épouses ou compagnes, voire de célibataires, plutôt que de femmes bien installées dans la conjugalité ou de jeunes stagiaires de passage.
Nommons-les et présentons-les. La plus jeune est Coralie, en fin de trentaine, séparée depuis peu de son compagnon « qui voulait réfléchir », ce dont elle se remet mal. Du genre athlétique, sportive accomplie, elle se défoule pour l’heure dans les salles de gym. Elle n’a pas d’enfants. Elle est frustrée et amère.
Delphine, toute fraîche quadragénaire, est une rousse à peau laiteuse au corps fin et léger. Elle vient de larguer le père de son fils, insuffisant à ses yeux dans tous les domaines. Libertine assumée, elle a assez mauvaise réputation dans son entreprise… auprès des femmes mariées. Mais pas des hommes, on s’en doute.
Sa proche copine se nomme Marjorie, en fin de quarantaine, brune à peau mate, assez forte du bas, ce qui lui file quelques complexes. Sa croupe inspire pourtant ses nombreux amants depuis qu’elle a congédié le père de sa fille, trop volage. Elle se venge de lui en étant tout aussi volage. Avec Delphine, elles font la paire et se transmettent « les bonnes infos »… et les mauvaises.
Agnès est d’un autre caractère. Trompée outrageusement par son mari, elle a fini par le quitter après vingt-cinq ans d’union. Prototype du petit format aux formes généreuses, elle a fini par se résigner au célibat. Mais quelque chose en elle bouge encore. Ses nuits sont peuplées de rêves érotiques et elle se réveille en nage, le bas-ventre en feu. Un gode tente de compenser le manque, mais ne la satisfait pas vraiment.
Maryse a également la cinquantaine. C’est l’infirmière de l’entreprise. Élégante et racée, elle fait fantasmer les hommes, car elle n’affiche aucune liaison particulière. Cheveux auburn mi-longs, jambes prometteuses, elle joue facilement de son charme, ce qui agace la gent féminine de l’entreprise, qui en oublie son âge. On la soupçonne de profiter du lit de son cabinet pour des ébats discrets, porte fermée, mais sans preuve formelle.
Cathy a également la cinquantaine, mais n’appartient pas à ce clan. Frisée, plutôt bien roulée, de petite taille, elle affecte le mépris pour ces « pouffes » qui étalent leur sexualité et répand des ragots à leur sujet. On ne lui connaît pas de liaison en dehors de son mariage avec un élu local.
Enfin, il y a Marianne, la secrétaire de direction, en lien direct (et dit-on, très direct) avec le patron prénommé Patrice. Une jeune quinquagénaire très brune, très crainte et très jalousée, bien que d’un physique assez quelconque. Copine avec Marjorie, ce qui ne sera pas sans conséquence. Elles se disent tout.
Ce joli monde féminin a sa correspondance avec un écheveau de mâles bourré de testostérone, fort enclin à l’adultère et objet des conversations de ces dames, propos souvent fort critiques à la machine à café, beaucoup moins dans les bureaux désaffectés, les archives au sous-sol ou au Formule 1 à quelques centaines de mètres. Car toutes celles que nous avons nommées (sauf a priori Cathy) sont des « femmes qui baisent », effectivement ou potentiellement. À temps plein ou partiel.
Ce jour-là, Coralie prend Marjorie à part, son café à la main :
Marjorie est d’assez mauvais poil, car en ce moment, elle manque de sexe. Miguel, son dernier amant, est en déplacement et ils ne baisent plus que par Skype. Elle lui a promis un festival pour son retour, mais en attendant, c’est le gode qui a la vedette. De savoir que Coralie va faire connaissance avec la grosse bite de Jean-Pierre l’a énervée entre les cuisses. Elle soupçonne Coralie d’être une belle salope qui la joue frustrée. Elle va bien s’entendre avec ce gros cochon de Jean-Pierre, c’est certain.
Deux jours plus tard, les deux collègues se retrouvent à la cafétéria avec Delphine et Agnès. Marjorie attend que ces dernières aient fini de déjeuner et rapporté leur plateau pour interviewer Coralie :
Coralie baisse la voix et lâche en gonflant ses joues :
Le café étant terminé sur ces belles paroles, les deux collègues retournent au boulot.
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Pendant que Coralie se débrouille pour avoir son amant adultère, Jean-Pierre, plus longtemps avec elle, Delphine se rend à l’infirmerie pour combattre une migraine persistante. Malgré l’heure d’ouverture, la porte est verrouillée. Elle sonne. Rien. Elle sonne encore, plusieurs fois. Enfin, la porte s’entrebâille. La tête auburn de Maryse apparaît au-dessus d’une blouse déboutonnée en haut, dévoilant la naissance d’un sein.
Maryse soupire.
Maryse approche son visage de celui de Delphine et lui murmure à l’oreille :
Delphine ouvre grand la bouche, surprise, et éclate de rire.
La rouquine ne s’éloigne pas. Elle colle son oreille à la porte et entend le grincement du lit d’examen. « Comment la prend-il ? » se demande-t-elle. Elle imagine le couple en train de forniquer sur la couche inconfortable, peut-être l’homme dessous et Maryse cavalant sur sa bite. Elle l’entend clairement gémir, commenter et même s’exclamer « ah, c’est bon, c’est bon, je jouiiiis ». Elle reste à porter de regard de la porte de l’infirmerie. Quelques minutes s’écoulent avant qu’elle ne voie sortir rayonnant le grand Stéphane, un vrai queutard qui a sauté Marjorie et elle-même, sans doute entre autres. Il ne l’a pas vue. Aussitôt, Delphine sonne à la porte de l’infirmerie. Maryse ouvre, la coiffure défaite, les joues roses. Elle reboutonne sa blouse.
Bien entendu, Delphine s’empresse de raconter à Marjorie la scène qu’elle vient de vivre, en dépit de sa promesse à Maryse.
*******
En vérité, c’est à Marjorie qu’Agnès se confie et non à Delphine. Cela se passe évidemment à la machine à café où elles sont seules. Agnès aime bien Marjorie parce qu’elles se ressemblent en bien des points. Même petite taille, même corps pulpeux et fessu (mais de plus gros seins chez Agnès), même situation matrimoniale et familiale (un fils pour Agnès, une fille Marjorie, à peu près du même âge) et de fréquentes occasions de (bien) travailler ensemble. Marjorie a juste renoncé à se teindre les cheveux et laisse les fils blancs parsemer son épaisse toison brune alors qu’Agnès est devenue une fausse blonde. Et celle-ci est un peu plus âgée que sa collègue. Mais à ce stade, cela importe peu.
Et Agnès jette son gobelet dans le réceptacle avant de s’échapper, laissant Marjorie interdite.
Cette scène l’a ébranlée. Elle aime trop Agnès pour lui faire de la peine. Mais la situation qu’elle lui propose est incongrue. Après une longue réflexion, elle décide d’envoyer un mail à sa collègue pour lui dire que, bon, d’accord, elle ira à son invitation ce soir, mais sans s’attarder quand les choses seront bien lancées. Agnès lui répond avec des cœurs sur son email. Rendez-vous est pris. Mais Marjorie se demande quand même quelle sera l’attitude du dénommé Christian. C’est la grande inconnue de la soirée.
Agnès fait l’accueil vêtue d’une mini robe très décolletée qui met ses obus en valeur et dévoile ses cuisses charnues. En jean, tee-shirt, Marjorie est plus classique. Christian déboule avec un bouquet de tulipes, ce qui démontre au moins son savoir-vivre. C’est un grand type dégingandé aux cheveux poivre et sel qui le font vaguement ressembler à Richard Gere, ce dont il use et abuse. Marié et divorcé deux fois. Il est venu pour baiser Agnès, mais la présence de Marjorie, une ancienne conquête, le surprend. Il pense aussitôt à un trio. Va falloir assurer, car Marjo, c’est une dévoreuse et Agnès doit être en manque.
Mais ça ne se passe pas exactement comme prévu. Marjorie le tient ostensiblement à distance et Agnès fait sa timide. Le dîner se passe un peu sous tension. Au café pris dans le salon, Christian se décide de passer à l’action :
Christian est stupéfait. Ma parole, mais elle me fait passer un examen de cul ?
Il n’a pas le temps de se poser des questions. Agnès se lève et va dans sa chambre.
De fait, Agnès est déjà au lit. Nue. Christian découvre le corps charnu, le pubis foisonnant, les seins étalés, les hanches larges, les cuisses ouvertes. Juteuse et bandante. Marjorie est dans son dos.
Nu, il glisse son museau entre les cuisses dodues d’Agnès et entreprend un long cunni, le nez dans sa broussaille. Il aime ça, le cunni, Christian. C’est sa spécialité. Agnès gémit, se mord les lèvres, agrippe les cheveux de son lécheur. Un orgasme rapide, violent et imprévu, la met en arc de cercle. C’est sa première jouissance sexuelle depuis des lustres par la grâce d’une langue habile. Christian se penche pour l’embrasser et elle répond goulûment à son baiser. « Elle est à point », pense Marjorie, qui lui dit :
Ainsi fut fait. Debout au-dessus de la tête de la quinquagénaire, Christian se laisse tripoter et suçoter tout en matant et caressant le corps charnu étalé devant lui, savourant à l’avance le moment où il va le fouiller de sa bite. Celle-ci remplit copieusement la bouche d’Agnès, qui s’en étouffe presque, vu le volume. Rien à voir avec la quéquette de son ex, ce chibre épais, dense, brûlant. Tout comme les couilles, pesantes et rondes, qu’elle roule dans sa bouche. À son tour de faire gémir son amant. « Elle baise beaucoup mieux que je le croyais », pense celui-ci, au bord de l’éjaculation. Marjorie a suivi ce rapport avec une passion croissante. Elle a déboutonné son jean et glissé sa main dans sa culotte. Une femme résiste rarement longtemps à la vue d’une belle queue en érection et Marjorie ne fait pas exception. Elle sent qu’elle va baiser par procuration. Elle fouille dans son sac et extrait un préservatif qu’elle tend à Christian :
Fascinée, Marjorie voit le corps nu de Christian s’insinuer, la bite à l’horizontale, dans le corps tout aussi nu d’Agnès. La pénétration est immédiate, rectiligne, totale. Agnès couine, jappe, gigote tandis que le fessier de Christian roule entre ses cuisses. Marjorie s’avance sur le lit et observe le visage d’Agnès, convulsé par le plaisir :
Agnès opine du chef, incapable de prononcer un mot, tellement elle est concentrée sur son bas-ventre en ébullition. Bras tendus, vigoureux, inlassable, Christian poursuit son œuvre de mâle. Marjorie ne résiste pas à l’envie de caresser ses fesses en mouvement. Elle effleure ses couilles en train de ballotter et ce toucher déclenche dans son tréfonds une furieuse envie de se foutre à poil et de rejoindre le duo. Désormais nue à son tour, elle se positionne derrière Christian, lui écarte les fesses et lui met la langue dans l’anus. Surpris, l’intéressé s’immobilise. Il a compris qu’il devra baiser non pas une, mais deux femelles en chaleur. Il se retire et considère la situation. Agnès comprend qu’elle devra partager, que son souhait que Marjorie l’aide dans son renouveau sexuel devra s’accompagner de cette contrepartie. Marjorie force Christian à s’allonger et vient s’empaler immédiatement sur lui. Pour la première fois de sa vie, Agnès assiste en direct live à un accouplement. Loin de la choquer, le spectacle de cette union ardente entre son amie et son amant de circonstance la met dans un état d’excitation extrême. La vue du cul plantureux de Marjorie en pleine circonvolution sur l’axe de chair la pousse même à se masturber. La pièce s’emplit de râles, de gémissements, d’une odeur de sueur et de foutre qui met les protagonistes dans une espèce d’état second où toute morale est rejetée au profit de l’exaltation sexuelle.
C’est ensuite un méli-mélo de seins et de fesses en mouvement, de coups de bite sur fond de râles, de soupirs, d’exclamations, de commentaires salaces. Un homme et deux femmes baisent ensemble sans retenue, avec exaltation. Agnès a complètement perdu les pédales. Elle n’a plus rien à voir avec la femme frustrée qu’elle a été pendant deux ans au moins. Quand Marjorie se fait sodomiser par Christian, elle réclame le même traitement et supporte gaillardement la douleur de l’introduction du plantureux pénis. C’est inédit pour elle. Jamais son ex n’aurait osé ça. Comme Marjorie lui branle le clito en même temps, elle s’abandonne à son premier orgasme anal que l’homme, subjugué par son cul plantureux, lui a offert dans l’enthousiasme de sa queue. Laquelle gicle dans le latex au bord de la rupture.
Christian est lessivé, blafard. Il n’a plus un poil de sec. Les deux femmes l’embrassent, le remercient, tout en reconnaissant qu’elles auraient bien continué. Elles se consolent en se bécotant mutuellement, en se titillant mamelons et clitos, jusqu’au moment où l’envie d’uriner les prend et les précipite dans la salle de bains. Game over.
Le lendemain, tous les trois se retrouvent sur leur lieu de travail. Ils se sourient, mais évoquent leur travail comme si rien ne s’était passé la veille. Personne dans leur entourage ne pourrait imaginer qu’ils ont baisé ensemble, et pas qu’un peu. Surtout Agnès, redevenue la collègue sage dissimulant ses rondeurs dans une tenue ample. Personne… sauf Delphine, vite mise dans la confidence par Marjorie. Puis Coralie, informée discrètement par la rousse, laquelle a également glissé dans l’oreille de l’infirmière Maryse : « Agnès a baisé ». Marianne, la secrétaire de direction, comprend en voyant le visage goguenard de Marjorie qu’il s’est passé quelque chose.
La brunette ne se fait pas prier pour tout lui raconter. Et la secrétaire de répondre :
Mais ce récit l’a excitée. Elle se dit que ce soir, elle restera un peu plus tard au bureau. Le patron a intérêt à être en forme.
À SUIVRE…