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Temps de lecture estimé : 11 mn
22/04/23
Résumé:  Le petit groupe de femmes libérées imagine un plan pour se venger d’une collègue « langue de pute ». Mais rien ne va se passer comme prévu.
Critères:  fh extracon collègues grossexe grosseins hotel travail telnet vengeance fellation cunnilingu anulingus fsodo hdanus coprolalie humour -humour -extraconj
Auteur : Jacquou            Envoi mini-message

Série : Sexe en entreprise

Chapitre 02 / 05
Une assistante d'érection

Résumé des épisodes précédents :

Dans une entreprise comme beaucoup d’autres, il y a des femmes à la vie bien rangée et d’autres à la cuisse légère. Ce sont celles-là qui, après présentation, vont entrer en scène.





Quand Marianne fut promue assistante de direction du patron, beaucoup d’employés pensèrent à une « promotion canapé ». Le patron était en effet réputé pour séduire les femmes de son entreprise, du moins celles qui voulaient bien céder à ses avances. Marjorie était de celles-là, qui s’étaient fait culbuter un soir sur le bureau directorial pour un « coup vite fait », du reste sans lendemain et répondant à une urgence sexuelle de part et d’autre.


En revanche, n’en déplaise aux ragots, Marianne avait été choisie pour ses qualités professionnelles. Âgée de quarante-huit ans, elle n’était pas ce qu’on peut appeler un « canon », même si son physique de brune au corps mince n’avait rien de repoussant. Grosse bosseuse, elle n’hésitait pas à rester parfois tard le soir pour faire avancer des dossiers en compagnie du patron. C’est dans ces circonstances qu’une intimité était peu à peu entrée dans cette collaboration, d’autant que Marianne était en instance de divorce, son mari n’ayant pas accepté qu’elle consacre toute sa vie au boulot.


Aussi, un soir, quand le patron au moment de la quitter l’enlaça et l’embrassa sur la bouche, Marianne, en mal d’effusions, ne résista pas. Et quand, dans le même mouvement, le patron déboutonna son pantalon pour exhiber son pénis bien érigé, elle s’accroupit et l’emboucha avec volupté jusqu’à ce qu’il éjacule dans sa bouche. Elle avala son sperme sans sourciller, montrant en ces circonstances qu’elle n’avait rien à envier à toutes celles qui l’avaient précédée, à commencer par son amie Marjorie. Une discussion avait eu lieu un jour entre elles pour savoir s’il fallait « avaler ». Elles s’étaient convenues qu’une pipe réussie passait automatiquement par là. Mais ça faisait un bail que Marianne n’avait pas englouti de sperme. C’était désormais chose faite.


Bien entendu, un pli était pris. Lorsque la journée avait été dure, le patron lui présentait systématiquement sa queue à sucer, histoire de se détendre, et Marianne ne se faisait pas prier. Elle se révéla très bonne suceuse ce qui, selon certains observateurs, est un atout majeur chez une assistante de direction.


Arriva néanmoins un moment où l’un et l’autre en voulurent davantage. Un jour, Marianne se présenta non pas en jean et pull, comme à l’accoutumée, mais en mini-jupe, révélant une paire de jambes fines et nerveuses au-dessus d’escarpins pointus. Le patron considéra qu’elle manifestait clairement l’envie d’être baisée, ce qui était effectivement le cas. Il n’eut pas besoin de forcer son talent, une fois que la plupart des collaborateurs étaient rentrés chez eux. Il coinça Marianne contre son bureau, l’y jucha, la débarrassa prestement de son slip, mit quelques coups de langue sur sa chatte offerte et l’enfila recta, pantalon aux chevilles tandis que, mini-jupe troussée jusqu’au nombril, elle l’entourait de ses jambes fines et nerveuses après avoir fait valser ses escarpins. Ce fut un coït fougueux, bref, à la hussarde, qui fit jouir la brune quadragénaire, baisée comme elle souhaitait l’être depuis longtemps, ayant soupé du classique devoir conjugal.


Dans le cadre du travail, elle n’en conservait pas moins sa compétence reconnue et il fallait vraiment être au courant de cette relation pour la deviner. C’était le cas de Marjorie, qui avait reçu les confidences de Marianne et l’avait encouragée dans cette voie :



Désormais, quand l’assistante de direction se pointait au boulot en mini-jupe, talons hauts, voire bottes, top moulant ses seins pointus, le patron concluait qu’elle avait envie de baiser. Le soir, porte du bureau du patron fermée à clé, elle n’hésitait plus à se montrer entièrement nue pour le chevaucher sur un fauteuil ou à même la moquette. Le seul ennui est qu’elle ne pouvait pas crier son plaisir, de peur d’alerter les rares collaborateurs encore présents, voire le personnel de sécurité. C’est pourquoi elle invita son patron chez elle, en l’absence de son mari, pendant un week-end où sa fille était également sortie. Ils baisèrent dans la chambre d’amis devant une armoire à glace où elle put visualiser, de profil, l’activité du pénis et, de face, l’expression de leur jouissance réciproque. En particulier lorsqu’il la sodomisa, ce qui ne lui était encore jamais arrivé. Elle cria si fort qu’il éjacula dans son rectum avant d’être essoré par un roulement de hanches enthousiastes. Bref, ils étaient devenus amants.


Mais la discrétion a des raisons que la machine à café ne connaît pas. Marjorie finit par glisser une allusion à Delphine sur les rapports entre Marianne et le patron, lui demandant de « la fermer ». Ce que la rouquine ne fit évidemment pas en en parlant à Coralie, qui apprécia peu cette privauté de secrétaire. Ces commérages arrivèrent aux oreilles de Cathy, connue pour être une « langue de pute ».


Cette quinquagénaire de petite taille, bustée, fessue et frisottée, manifestait une rancœur de mal-baisée envers les frasques de ses collègues femmes. Elle se chargea de répandre la nouvelle, tant et si bien que Marianne fut désormais cataloguée comme une opportuniste à la cuisse légère, dans le meilleur des cas, et surnommée « l’assistante d’érection », ce qui était vraiment mesquin. Heureusement pour elle, elle n’était pas la seule à entrer dans la catégorie des « femmes qui baisent » au sein de la boîte et elle avait au moins l’avantage de ne pas sombrer dans l’adultère vu sa séparation en cours avec son mari. Elle n’en fut pas moins animée d’un esprit de vengeance bien légitime. Grâce à sa position centrale dans l’entreprise, elle entra en contact avec deux ou trois queutards bien connus. L’objectif était de faire en sorte de culbuter la venimeuse Cathy, mariée à un élu local, et donc de la basculer dans un adultère qui sortirait de la confidentialité.


Un dénommé Fabien accepta l’enjeu pour se faire bien voir de l’assistante et par ricochet du patron, car il végétait à son poste. Du genre velu et sexué, il avait déjà tringlé Delphine qui avait toujours recours à ses services en cas d’urgence. Il se mit à tourner autour de Cathy, avec un empressement qui ne laissait aucun mystère sur ses intentions. La frisée n’était pas habituée à cette espèce de danse amoureuse. Elle commença par la réprouver, mais au fond d’elle-même, se sentit assez flattée. Fondamentalement, elle jalousait ses collègues femmes qui recevaient les hommages directs et répétés des plus beaux mâles de la boîte. Après tout, elle n’était pas si moche. Elle se surprit à se regarder nue dans la glace et trouva que ses seins tenaient encore très bien la route avec leur forme en poire aux pointes rebiquant vers le haut. Ses fesses restaient fermes et ses jambes galbées par les séances de gym hebdomadaires. Son drame était que son élu de mari ne s’en apercevait pas. Il se fit peu à peu dans son esprit la conscience qu’à son âge, il était peut-être temps de connaître un véritable orgasme, comme elle le lisait dans la presse féminine.


Fabien perçut vite le changement. Elle minaudait en sa présence, redressait le buste, se cambrait en marchant, découvrait ses cuisses en position assise. Il lui proposa de boire un verre après le boulot, ce qu’elle accepta sans barguigner. Au cours de la conversation, où ils évoquèrent l’un et l’autre leur vie privée (Fabien était aussi mal marié qu’elle), elle se détendit, ressentit une sorte de chaleur interne, et finit par lui dire avec un aplomb qui la surprit elle-même :



Alors qu’il s’attendait à ce qu’elle le renvoie promener en la jouant prude, il fut stupéfait de l’entendre répondre :



Après avoir repris ses esprits, il lui proposa de se rendre dans un hôtel de la périphérie où on ne risquait pas de mauvaises rencontres. Elle accepta pour le lendemain à la pause du déjeuner.


Marianne fut mise au courant aussitôt. Son plan était simple : photographier sa collègue à l’entrée de l’hôtel et à la sortie un peu plus tard avec ce commentaire vicieux transmis sur la messagerie interne : « que s’est-il passé entre temps ? ».


Dissimulée, Marianne put opérer selon la stratégie convenue, avec de surcroît un additif de poids. Fabien devait brancher discrètement son téléphone portable pour, à défaut d’image, obtenir le son sur le récepteur de l’assistante de direction. Celle-ci put ainsi découvrir en direct live le cheminement des débats adultères dans la chambre d’hôtel.


Fabien l’attendait et lui ouvrit la chambre simplement vêtu de son boxer. Cathy joua l’étonnée pendant quelques secondes, mais au son, Marianne comprit vite qu’elle avait été culbutée sur le lit, déshabillée, léchée et sollicitée pour une pipe qu’elle dut accomplir avec zèle puisque Fabien s’exclama clairement à portée de son téléphone :



Pas de réponse, mais des gémissements masculins attestant de l’efficacité de l’anulingus. Marianne était sidérée d’entendre ça. Et encore davantage lorsqu’elle entendit la voix de Cathy, très rauque :



Marianne entendit le choc des peaux, le floc floc des sexes joints, les couinements de plaisir de la frisée ponctués de « encore, encore, vas-y plus fort ». Elle devina les changements de position à un « prends-moi les seins » de la cavalière, puis un « prends-moi par-derrière », signes que c’était elle qui menait la danse. Le couple adultère ne se contentait pas de baiser. Il parlait et les échanges valaient leur pesant de stupre dans le téléphone de Marianne :



Un certain tumulte s’ensuivit, des gémissements, des râles, des peaux qui claquent et enfin un « ah oui, c’est bon, encore, t’arrête pas » de Cathy signifiant qu’elle était glorieusement sodomisée. Marianne regarda sa montre. Cela faisait maintenant plus d’une demi-heure que le couple baisait. Sa culotte était trempée et si elle n’avait pas été dans la rue, elle se serait masturbée. Puis elle entendit un grognement mâle et un cri de jouissance féminine. Fabien avait visiblement éjaculé dans le cul de Cathy. Le silence se fit bien que Marianne ait cru deviner que la collègue s’était ruée aux toilettes. Elle l’entendit ensuite remercier son baiseur, ce qui ferait très bien dans l’enregistrement. Puis elle les vit sortir séparément, omettant toutefois de filmer Fabien pour se concentrer sur Cathy, légèrement échevelée. Et elle rentra au bureau, tourneboulée par ce qu’elle avait entendu. Une urgente envie de baiser la prit, mais le patron n’était pas disponible avant le soir. Elle glissa discrètement une main dans sa culotte sur son fauteuil et se branla le clito quelques minutes, priant pour que personne n’entre dans son bureau. Un orgasme manuel la fouetta et elle eut un peu de mal à reprendre ses esprits.


Que faire maintenant ? Diffuser l’enregistrement comme elle en avait eu l’intention ? C’était tellement chaud, tellement transgressif, qu’elle eut un peu peur. Mais quand Fabien entra triomphalement dans son bureau avec un « alors, c’était bien, non ? », elle comprit qu’elle pouvait difficilement tout garder pour elle. D’autant que Marjorie, Delphine, Coralie et Agnès vinrent aux nouvelles. Marianne leur fit promettre de ne pas diffuser la scène en dehors de leur propre matériel. Elles avaient tellement envie d’entendre qu’elles promirent sans barguigner.


Hélas, se faire traiter de « pouffes » par Cathy ulcéra tellement les auditrices que l’enregistrement fut transmis de smartphone en iPhone. Le plus souvent masculins. Ce fut un tel scandale que le couple fautif fut convoqué chez la DRH, une certaine Nadine, blonde à cheveux courts toujours bien sapée, assez froide, âgée d’une quarantaine d’années. Comment avait-elle eu l’enregistrement ? Mystère. Toujours est-il qu’elle l’avait écouté. Et dit aux intéressés :



Fabien et Cathy sortirent du bureau de la DRH rassérénés, un peu étonnés de sa mansuétude, comme si elle comprenait leurs ébats adultères.



Le patron fut un peu moins amène et fit comprendre au tringleur qu’il avait intérêt, en effet, à se montrer discret, ce que l’intéressé comprit comme une promotion ajournée. Mais ce fut plus grave pour Marianne, qui perdit son privilège d’assistante de direction et renvoyée au secrétariat ordinaire. Elle aurait probablement été licenciée si elle n’avait pas laissé planer la menace de tout révéler de ses relations avec le patronat.


Le résultat inattendu fut le prestige restauré de Cathy, désormais inclue dans la catégorie des « femmes qui baisent » dans la gent masculine. Ce que Marjorie et ses amies durent accepter, bon gré mal gré. Ainsi fut-il une nouvelle fois prouvé qu’une bonne idée de départ peut se retourner contre l’objectif initial.


Quant à Marianne, elle fut remplacée par une nouvelle embauchée prénommée Camille, pas encore trente ans, petite poupée blonde à cheveux longs, information qui crucifia l’ex-assistante de direction. Fine mouche, la dénommée Camille, parfaitement avertie du contexte particulier de son embauche, se dépêcha d’entamer de bonnes relations non seulement avec Marianne, mais aussi avec ses amies. Sans immédiatement se rendre compte dans quel engrenage elle avait mis le doigt.



À suivre