n° 21684 | Fiche technique | 12700 caractères | 12700Temps de lecture estimé : 9 mn | 10/04/23 |
Résumé: Découverte d’un côté inattendu d’Amélie, ma prof de maths. | ||||
Critères: f ff profélève groscul poilu(e)s plage nudisme caresses intermast cunnilingu init -lesbos | ||||
Auteur : Maudmoder Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
Après quelques mois je reprends goût à la vie et suite à la découverte d’un nouveau massage, les souvenirs remontent
La route vers la plage était étrangement sinueuse dans un paysage plat. Ce n’était pas la foule, mais ce n’était pas non plus le désert. Amélie nous emmena dans un petit parking qui semblait plus connu des gens du coin que des touristes à la vue les immatriculations. Il n’y avait pas encore de portables et elle fit une halte à la cabine téléphonique installée dans un coin du parking. C’était une cabine sans cabine. L’appareil n’était protégé que par un petit auvent et simplement fixé sur un poteau de bois, le câble pendant au-dessus, tiré depuis les lignes qui longeaient la route. Amélie m’avait expliqué que ce poste n’était installé que pendant la saison de mai à octobre.
Je n’ai pas réagi, trop inquiète de la suite. Le sentier sableux qui menait à la plage traversait des dunes recouvertes d’une végétation pauvre, mais j’avais reconnu au passage, des plans de tiges de sorcière, seule plante dont je connaissais le nom tellement il m’avait amusé. On avait retiré nos tongs pour marcher pieds nus dans le sable tiède. Sur notre gauche, une forêt de pins donnait de l’ombre et de la fraîcheur. On commençait à entendre le bruit de la mer. Après une dernière petite montée, la plage était devant nous… immense.
Il y avait peu de monde quelques parasols disséminés et, comme je le craignais un peu, la plupart des corps étaient nus. Amélie me fit signe d’aller vers la gauche, au pied de la dune on pouvait encore bénéficier de l’ombre des pins.
Je me sentis obligée de dire oui, ce qui d’ailleurs n’était pas mentir. L’endroit était superbe, il faisait beau, l’océan était calme, presque loin à la marée basse.
Amélie s’arrêta près d’une sorte de petite niche dans la dune.
J’acquiesçais, elle éclata de rire.
Pendant qu’elle parlait, elle avait posé le sac du pique-nique et elle avait retiré son tee-shirt. Elle avait bien sûr les seins nus. Elle baissa le short, elle portait son slip blanc à fleurs. Bêtement, ça me fit rire.
Elle aussi ça l’amusait
La solution était évidente, elle fit glisser le slip. Toute contente, elle se tortilla et esquissa même quelques pas de danse. Elle était belle, ses seins dansaient et je remarquais que ses fesses n’étaient pas si fermes et faisaient aussi quelques vagues. Un couple à quelques mètres applaudit la performance en riant.
J’étais très inconfortable, je ne pouvais pas rester habillée, mais l’idée d’être nue en public me terrorisait. Je me sentais comme une ado coincée qui n’arrivait pas à choisir entre deux mauvaises solutions.
J’avais retiré le short et le petit haut et je me trouvais en maillot : un nageur noir.
Le pire était que j’étais la seule dans cette tenue, au moins de ce que je voyais autour de moi.
La plupart des femmes et des hommes étaient complètement nus et au moins, elles avaient les seins libres.
Amélie ne me fit aucune remarque, attendant sans doute que je prenne la seule décision qui s’imposait.
J’étais crevée, je ne savais plus si je me souvenais ou si je rêvais.
J’étais étonnée de la précision de ces moments. Ils avaient dû compter beaucoup pour moi pour qu’ils soient restés si justes. J’en arrivais d’ailleurs à me demander si tout ce que je pensais revivre était la réalité ou bien une sorte de rêverie fantasmée. Les souvenirs ne sont pas toujours fiables, surtout s’ils sont lointains, souvent enjolivés par ce que l’on aurait aimé qu’ils soient.
Je me revoyais au pied de la dune, tournée vers l’océan et mettant enfin les doigts sous les bretelles du maillot pour le faire glisser sur les épaules et libérer ma poitrine. Le plus dur était fait et j’allais au bout du geste. J’étais toute nue.
Je revoyais le sourire d’Amélie
J’aurais dû être gênée par son regard, mais au contraire, je me sentais bien, comme délivrée. J’avais franchi une étape. Je ne sais plus exactement, mais j’avais l’impression que nous étions restées un bon moment immobiles, l’une en face de l’autre à regarder nos corps.
La prof et l’élève au bord de tomber dans l’interdit.
J’étais carrément en train de tomber amoureuse d’une femme et vu la façon dont elle-même me regardait, je pouvais penser que je ne la laissais pas indifférente. Ses mamelons étaient bien dressés, il y avait eu un petit coup de vent plus frais. Je sentais mes seins durcir et les pointes se redressaient.
Amélie eut alors un geste inattendu, du bout de son index, elle vint toucher et légèrement frotter mon téton gauche.
Ce geste d’une intimité folle me donna une vraie décharge électrique. C’était la première fois qu’une femme me touchait ainsi et cela eut un effet quasi immédiat de désir avec une réaction que je connaissais bien. Je sentais mon clitoris réagir, il allait bientôt pointer sa petite extrémité rose au milieu des poils noirs. Fort heureusement, elle fit diversion :
Elle ajouta en riant :
Je me souviens m’être surprise de ma réponse.
Elle s’approcha un peu et me dit doucement sans doute pour être certaine que le vent ne transporte pas ses paroles.
Ce n’était pas le coup de soleil, mais je dus devenir cramoisie.
Du fond de mon lit, j’avais l’impression d’être encore sur cette plage. Je me revoyais lorsqu’elle a doucement pris ma main pour m’entraîner vers l’eau.
En marchant, j’avais l’impression que le monde entier regardait mes fesses et ma cellulite. Et puis Amélie me lâcha la main et se mit à courir vers les vagues. Je la suivis, les yeux fixés sur ses fesses à elle. Je n’avais évidemment jamais couru toute nue ni même sans soutien-gorge. Mes seins, pourtant pas très gros, semblaient avoir une vie à part, ils oscillaient de droite à gauche et de bas en haut au rythme de la course. Je me souvenais avoir eu la sensation curieuse de trouver ça agréable, de sentir la vraie présence de ma poitrine, les pointes étaient érigées, presque douloureuses tellement elles étaient tendues.
Amélie se retourna pour voir où j’en étais et je vis ses seins encore beaucoup plus agités que les miens, car, manifestement, beaucoup moins fermes.
Arrivées au bord de l’eau, nous étions essoufflées, mais contentes de notre parcours. L’eau était franchement glaciale. Ni l’une ni l’autre ne nous sentions motivées pour aller au-delà des mollets. Nous avons marché le long de l’eau en faisant des éclaboussures comme des enfants. Il n’y avait vraiment plus personne, les derniers baigneurs, pas plus de trois courageux, étaient loin.
Amélie s’arrêta, me prit la main et se colla contre moi. Elle m’embrassa à la fois doucement, mais aussi un peu sauvagement. Je n’avais jamais embrassé une femme, en tout cas pas comme ça. J’avais échangé quelques baisers avec des garçons sans y trouver un plaisir bien évident. Là, c’était différent, nos lèvres, nos langues se mélangeaient. Elle mit ses mains sur mes fesses en me serrant, nos pubis se touchaient, nos poils s’entremêlaient. Elle pétrissait mes fesses, elle y prenait un plaisir évident et moi aussi. Pour une fois, j’aimais mes grosses fesses puisqu’elle aimait les tripoter. Je hasardais une main sur un de ses seins, c’était très doux, mais aussi très mou, très excitant de le sentir dans ma main avec le téton long et dur. Elle me murmura :
J’allais faire quelque chose d’inimaginable, caresser le sexe d’une femme et, qui plus est, de ma prof de math.
Mes doigts descendirent doucement sur le ventre et quand je sentis les premiers poils, je plaquais carrément la main sur sa vulve. C’était chaud, très glissant, les lèvres étaient gonflées et presque ouvertes. Je risquais un doigt vers le vagin, tout lubrifié de cyprine. C’était fou, c’était doux. En haut de la fente, je sentais une petite boule dure, son clitoris. J’ai appuyé un peu dessus et ça a déclenché son plaisir. Je n’avais, bien sûr, jamais vu l’orgasme d’une autre femme que moi. Elle fut secouée de quelques spasmes et je la sentais s’amollir dans mes bras.
Après un petit moment immobile, sans dire un mot, elle se mit à genoux devant moi, j’étais prête à tout. Elle écarta mes lèvres avec ses deux mains. Mon clitoris était au maximum, je le sentais dur et complètement sorti. Elle le prit entre ses lèvres et commença à le lécher doucement. Après deux ou trois coups de langue, elle s’éloigna un peu me regardant sans doute pour analyser mon plaisir et elle me dit :
Ça faisait drôle, ce mot « chatte » dans sa bouche, mais j’en fus encore plus excitée. Elle replongea sa langue sur mon clito et je jouis comme jamais. Des ondes continues de plaisirs, de frissons, à tel point que je m’entendis crier.
Elle se redressa pour m’embrasser, elle avait le visage barbouillé de ma cyprine. Je sentais sur ses lèvres l’odeur et le goût de mon sexe.
Il me fit une tape sur les fesses et me dit joyeusement :
Et elle rit.
J’étais molle, comme anesthésiée à la fois par un plaisir fou comme jamais et par une situation totalement hors normes que je n’aurais jamais pu imaginer.
En longeant l’eau, toujours aussi froide, Amélie, comme s’il ne s’était rien passé, me parlait de son enfance au bord de la mer, mais une mer beaucoup plus chaude, l’océan Indien. Elle avait passé quelques années à la réunion.
En marchant, je me demandais si Luc était au courant des penchants lesbiens de sa femme. Et c’était plus que des penchants, ce n’était assurément pas la première chatte qu’elle léchait.
Nous avons croisé un couple qui nous a souri. L’homme avait le sexe à moitié dressé, un joli sexe un peu courbé.
Amélie me glissa à l’oreille après les avoir croisés :
Amélie me regarda et éclata de rire à cette provocation verbale à laquelle elle ne s’attendait pas de ma part. Et elle renchérit :
Du coup, je me suis retournée, ce qui la fit encore glousser.
Elle avait en effet des fesses épanouies, très grasses, qui se balançaient au rythme chaloupé de sa marche.
Nous étions presque arrivées, je dois dire que je n’avais pas du tout fait attention où nous avions posé nos affaires. Et Amélie dit :
J’avais complètement oublié Thérèse, mais je trouvais que j’avais des circonstances atténuantes. Amélie semblait tout à fait décontractée. Je n’arrivais pas à comprendre comment elle pouvait être aussi « normale » après avoir léché la chatte et fait jouir une de ses élèves.
La marée était montante, mais il restait encore une bonne distance à faire avant d’arriver au pied de la dune. J’avais complètement oublié que j’étais toute nue.
J’essayais de distinguer Thérèse, mais je ne reconnaissais pas l’endroit ni les serviettes de bain.
La nuit était avancée, j’étais crevée, mais le souvenir de cette journée m’avait aussi excitée, comme si j’avais encore la langue d’Amélie sur mon sexe.
Je résistai à la tentation de laisser aller mes doigts entre mes jambes. Je furetai simplement un peu dans les poils du pubis auxquels je n’étais pas trop habituée et qui allaient disparaître dans quarante-huit heures.
J’étais partagée entre le désir de revivre la suite et le sommeil qui me gagnait de plus en plus. Les paupières étaient trop lourdes et j’avais une belle journée de travail prévue le lendemain ou plutôt tout à l’heure, vu ce que je voyais sur le réveil. Il fallait que je dorme, même quelques heures, pour avoir l’esprit à peu près frais. Je dus m’endormir en quelques minutes après avoir remis la suite de mon souvenir ou de mon rêve à demain soir.