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Temps de lecture estimé : 17 mn
19/04/23
Résumé:  Un événement malheureux au bureau ouvre une journée insolite.
Critères:  ff collègues groscul poilu(e)s fépilée douche lingerie odeurs cunnilingu -lesbos
Auteur : Maudmoder            Envoi mini-message

Série : L'après

Chapitre 04 / 06
Un accident de café

Résumé des épisodes précédents :

Après la disparition d’Alain, je recommençais à vivre après avoir testé un massage relaxant et être envahie de souvenirs.



L’image de la plage disparut lorsque le sommeil prit le dessus. Je ne pus plus lutter et l’image d’Amélie s’estompa dans les brumes d’un milieu de nuit. Je ne crois pas cette nuit-là avoir dormi avec elle.

Le réveil fut difficile, j’étais engourdie. L’idée de me rendre au travail ne me tentait pas. En plus, je sentis mon sexe humide et mon clitoris dressé, ce qui me fit sourire, j’avais comme les garçons une érection matinale. Alain était coutumier de cette situation. Quand on se réveillait, souvent, il se collait contre moi dans mon dos. Je sentis son sexe dur contre mes fesses et il me murmura dans l’oreille :



Il savait que je n’aimais pas trop ce vocabulaire, mais, je dois l’avouer, ça me troublait énormément.

Je n’avais pas le temps de m’attarder au lit et je ne souhaitais pas non plus retourner vers des souvenirs envahissants. J’avais prévu plusieurs rendez-vous ce matin-là. Il faisait beau et la journée devait être ensoleillée. Le programme du jour ne s’annonçait pas particulièrement attrayant avec deux clients en situation financière délicate, ce qui les rendait agressifs, du moins moyennement agréables. J’étais un peu à la bourre. Je pris dans la corbeille de linge propre, mais pas repassé, un soutien-gorge et un string non assortis, mais personne ne verrait mes dessous, le porte-jarretelles était celui d’hier. Petit moment de panique pour les bas, mais je finis par en trouver une paire neuve. Je me retrouvais donc avec un soutien-gorge noir, un string blanc, un porte-jarretelles mauve et des bas noirs, j’avais l’air d’un perroquet.


Dans ce contexte, j’optai pour une tenue sobre dans le genre BCBG et bourgeoise classique. Dans ce cas, l’option du tailleur restait une valeur sûre. J’en avais deux, je choisis le beige. J’avais dû grossir un peu, la jupe était serrée, du moins, bien ajustée. Sans doute la compensation du deuil par la nourriture, comme disait mon médecin. J’eus du mal à fermer la fermeture Eclair avant de faire tourner la jupe en rentrant un peu le ventre pour qu’elle se positionne correctement derrière. Dans le miroir, c’était jouable, je n’étais pas trop boudinée. Un peu serrée quand même, et je devrais y faire attention. La trace des jarretelles était bien visible, moulée par la jupe. Un chemisier vert complétait la tenue. Même en plein été, j’allais rarement au travail les jambes nues, je trouvais indécent d’exposer mes jambes et mes cuisses nues trop rondes.


Pensant ne pas aggraver les choses, je ne pris qu’un café même si je savais que j’aurais faim et qu’à un moment ou un autre je serais capable de me jeter sur un croissant ou un pain au chocolat.

Étonnement, il n’y avait pas trop de circulation et j’arrivai au bureau en avance. Ma secrétaire était déjà là. Anna, je l’aimais bien, sympa, souriante et adorant rire. C’était important et rare dans ce milieu rigide et guindé. C’était une petite boulotte brune pas très grande, pas très jolie, mais très sympa. Elle avait une coiffure un peu étrange comme on pouvait en voir dans les années soixante-dix et des jolis yeux noirs. Elle avait des hanches larges et des cuisses fortes et une poitrine sûrement plus petite que la mienne. Il nous arrivait parfois de prendre un café le matin avant que la foule ne débarque dans les bureaux. Elle et moi aimions bien arriver tôt, c’était le moment au cours duquel on pouvait travailler dans le calme sans être interrompues.

Toute contente, elle arriva avec une tasse de café et claironna presque :



Mon début de commencement de régime du matin était déjà compromis, je n’avais jamais pu résister à une chouquette, et quand je dis une…

Anna était bavarde et drôle, elle avait une façon géniale de raconter les histoires, on s’y croyait. Elle était en train de mimer une conversation de la veille avec un client qui voulait absolument parler à Madame M., c’est à dire moi, mais sans connaître mon nom et il avait fini par dire :



J’avais éclaté de rire aux mimiques d’Anna et là, la catastrophe est arrivée. En pouffant dans ma tasse à café, j’avais renversé le liquide noir sur ma jupe beige. Pas beaucoup, mais des éclaboussures noires sur un font clair, ça ne peut pas passer inaperçu. Un désastre, le premier client arrivait dans une demi-heure, impossible de retourner chez moi pour me changer.

Il y avait dans certains bureaux, dont le mien, un tout petit cabinet de toilette avec un lavabo. Anna me proposa de mettre de l’eau pour diluer. Je n’étais pas très convaincue de l’efficacité du geste, mais, on point où nous en étions, il fallait essayer. Elle humidifia une serviette et, accroupie devant moi, elle frotta doucement pour ne pas tout étaler. Les taches s’estompèrent un peu, mais ne disparurent évidemment pas. Elle se releva et me dit :



Je lui avais demandé de m’appeler Maud, le « Madame » ne me semblait pas appropriée à une relation quasi quotidienne.

J’étais assez d’accord avec la proposition qui me semblait adaptée, mais j’avais du mal à m’imaginer en petite tenue devant ma secrétaire qui faisait la lessive.

Elle sentit mon hésitation, mais nous n’avions pas le temps de tergiverser. Elle courut fermer la porte avec le loquet et mit la lumière extérieure sur le rouge, ce qui permettait, en principe, d’être à l’abri de mauvaises surprises.



Évitant de trop réfléchir, je dégrafai ma jupe dévoilant ce que je cherchais souvent à dissimuler, mes rondeurs de fesses et de cuisses. Sans me regarder, Anna essaya de masquer les taches, mais sans succès.



La scène était surréaliste. J’étais dans mon bureau en string, bas et porte-jarretelles, et Anna, ma jupe à la main me démontrait que je ne pouvais pas la remettre pour traiter un contentieux avec un des clients les plus importants de la boîte.

J’avais envie de pleurer ou de crier que tout ça n’était pas juste. La petite voix d’Anna qui sentait le total désarroi dans lequel j’étais plongée me fit presque sursauter tellement j’étais bloquée devant l’absence de solution.



Je me revoyais hausser les épaules tellement l’absence de solution me semblait évidente. Je commençais presque à me faire à l’idée que j’allais recevoir ce client avec une jupe tachée.



Là, je dois dire que je n’avais pas su quoi répondre. J’ai dû prendre un air totalement idiot, car elle se mit à rire.



Et elle a réussi à me faire rire. Elle avait une jupe droite plutôt classique, pas mini, mais assez courte. Beige aussi, mais plus foncée et surtout avec un tissu avec des légers motifs à chevrons.

J’étais sans voix c’est le cas de le dire, le temps passait, il ne restait que dix ou quinze minutes avant l’arrivée du client.



Anna dégrafa sa jupe et l’enjamba. Elle avait un collant dessous et pas de culotte. Elle avait autant de cellulite que moi, mais un peu plus de bourrelets sur le ventre. Il n’y avait aucune ombre sous le collant, elle était complètement rasée ou épilée. Je remarquai une petite tache d’humidité sur le gousset.

La jupe m’allait sans problème à part la longueur. Anna avait six ou sept centimètres de moins que moi ce qui rendait la jupe trop courte. Surtout courte, par rapport aux bas dont on percevait la lisière. Impossible de rester comme ça, c’était pire comme effet que la jupe tachée et très vulgaire. Anna en a pris conscience immédiatement.



Je faillis comme on dit tomber de ma chaise, sur laquelle je n’étais pas assise, ni une ni deux Anna retira son collant et me le tendit.



J’étais complètement abasourdie, mais aussi troublée par cette jeune femme presque nue qui se déshabillait pour moi. J’enlevai rapidement les bas et le porte-jarretelles, puis dans un geste totalement irréfléchi et quasiment spontané, avant de mettre le collant, je retirai mon string. Lorsque je pris conscience de ce que je faisais, j’avais déjà le bout de tissus au niveau des chevilles. Je pris la décision d’assumer ce geste incontrôlé et je le lui tendis.



Elle me regarda un peu différemment.



Et j’eus cette réponse un peu décalée.



À ce moment-là, on se rendit compte du dialogue et toutes les deux on a rougi. Il y eut un moment de flottement et de silence. En enfilant le collant, je revis sur le gousset la petite tache sans trop vouloir y apporter d’importance. Moi aussi, je tachais mes dessous, toutes les femmes tachent leurs culottes.

Je ne dis rien pour le string, c’était un dessous encore beaucoup plus intime que le collant. L’étroite bande de tissus côtoyait et frottait des zones confidentielles. Je repiquais un fard lorsque je me rendis compte qu’Anna, croyant que je ne la regardais pas, portait mon string à son nez. Ma jupe qui était un peu longue pour elle et arrivait juste sous le genou.

À ce moment-là, le téléphone sonna. L’accueil m’informait que mon rendez-vous était là.

On se regarda en frappant nos paumes de main.



Je compris alors que nos rapports ne pourraient jamais plus être totalement les mêmes.

Je n’avais pas vu, mais je ne pensais pas qu’elle ait mis mon string, bien que la longueur de la jupe ne le nécessitait pas. Elle quitta rapidement le bureau et revint quelques minutes plus tard avec le client en parfaite secrétaire.

La matinée fut difficile avec deux clients exigeants et au moins pour le premier, désagréable. J’étais un peu tendue, mais aucun ne me parut intéressé ou étonné par ma tenue. La jupe était confortable, je n’aimais pas trop les collants, mais la taille était tout à fait adaptée.

Au moment d’une pause pipi entre les deux rendez-vous, je fus tentée de l’enlever totalement pour respirer et humer le petit morceau de coton peut être imbibé du parfum du sexe d’Anna. Cette idée me troublait plus que je ne l’aurais imaginé. Je revoyais son geste avec mon string, mais je n’étais plus très sûre de l’avoir vraiment constaté. En plus, je ne le portais pas depuis assez longtemps pour qu’il soit imprégné de mes odeurs intimes.


Je fus contrainte de déjeuner avec un collègue avec lequel je partageais le dossier du premier client. Quand je dis « contrainte », c’était faux, je l’aimais bien. Un grand beau mec, mais perdu pour les femmes, car ne cachant pas son homosexualité. Le pauvre était affublé d’un prénom qui était peut-être une prémonition de la part de ses parents : il s’appelait Alban, presque l’homonyme de l’Albin de la cage aux folles.

Il faisait l’objet de quelques moqueries… on en avait parlé deux ou trois fois avec Anna.

Avant d’aller déjeuner, j’avais vu Anna et on avait un peu discuté des rendez-vous et de la suite à donner.

J’osai une plaisanterie :



Et nous avions ri.

L’après-midi se passa en études de dossiers et en quelques coups de téléphone.

Le soleil était envahissant et l’extérieur tellement attirant qu’un peu après seize heures, je décidai de mettre un terme à cette journée qui avait commencé tellement bizarrement.

J’hésitais à proposer à Anna de sortir avec moi prendre un verre quelque part. D’autre part, il fallait bien que je lui rende sa jupe et que je récupère la mienne. Je tournai un peu ne sachant pas trop comment aborder le sujet. Je fus sauvée par l’apparition d’Anna qui me proposa un peu timidement de nous faire un petit break vu le soleil, le beau temps, et qu’au bout du compte je l’avais bien mérité.

Évidemment, j’acceptai et je fis même de la surenchère :



J’avais dit ça comme on parlerait à une copine ce qui n’était pas tout à fait le cas avant les évènements du matin.



Sur le moment, je faillis regretter ma proposition qui me semblait aller un peu loin. Je lui demandai où elle habitait, elle me l’avait sûrement dit, mais je ne m’en souvenais pas. Ce n’était pas si loin de chez moi. Elle venait en métro et je montai encore d’un cran :



Une demi-heure après, nous étions dans la voiture.



La route, une bonne demi-heure, nous permit de refaire un peu le point sur les réunions du jour. Anna n’était évidemment pas décisionnaire, mais elle avait un raisonnement très sain et plein de bon sens. Très vite, j’avais pris l’habitude de lui faire partager des informations parfois confidentielles et jamais ma confiance n’avait été trahie.

Arrivées à mon domicile j’eus droit à un « Waouh ! » suivi par un constat d’évidence qu’elle dit en riant :



Ça me fit sourire, ce n’était pas faux.

Une fois dans l’appartement, je la regardais faire le tour du séjour en essayant de ne pas trop montrer sa curiosité. Elle s’attarda vers la baie vitrée qui donnait sur une minuscule terrasse en bord de seine. Sur un guéridon près du canapé, il y avait une photographie d’Alain et de moi, un souvenir d’un voyage en Turquie. Elle la fixa et je pris les devants :



Je n’allais pas plus loin, elle ne fit aucune remarque. Bien sûr, toute la boîte savait. J’eus cette pensée étrange, neuf mois c’est le temps d’une grossesse, peut-être le temps non pas d’une naissance, mais d’une renaissance.

Je lui proposai une boisson, elle choisit une bière.



Avant que le silence ne s’installe, toujours embarrassant, je lui proposai de prendre une douche avant de récupérer sa jupe.

Elle accepta avec enthousiasme.



Sur le trajet, elle regardait le couloir dans lequel étaient accrochés des masques qu’Alain avait rapportés de ses nombreux déplacements en Afrique.



J’eus droit à un nouveau « Waouh, j’adore ! » en entrant dans la salle de bain.

J’avais complètement oublié que sur le sèche-serviette il y avait deux soutiens-gorge et trois mini strings. Anna en saisit un et le fit tourner au bout d’un doigt.



Elle l’écarta ensuite et devant le petit bout de tissus elle me regarda en riant



Elle m’avait tutoyé et s’était tout de suite rétractée. Nous étions toutes les deux dans l’embarras, elle pour le tutoiement, moi pour l’exposition de dessous plutôt sexy.



Je lui montrai le fonctionnement du mitigeur que j’avais eu du mal à comprendre moi-même et qui arrivait encore, parfois, à me surprendre.

J’allais sortir quand elle me rappela avec encore une exclamation :



J’avais complètement oublié la photo de la porte. C’était un « cadeau » d’Alain. Un grand tirage d’une photo prise en vacances il y a deux ans. Une photo en noir et blanc sur une petite rivière en Allemagne. J’étais évidemment toute nue. La photo était collée sur la face interne de la porte.



Je ne savais pas trop quoi dire, alors je dis la vérité.



Pendant que je racontais l’histoire de la photo, Anna avait commencé à se déshabiller. Quand elle a retiré ma jupe, je constatai qu’elle avait mis mon string blanc du matin.



Elle enleva le haut. Je n’avais pas encore vu ses seins. Ils étaient plus petits que je ne le pensais. Sur sa lancée, elle retira le soutien-gorge. Sa petite poitrine était plus ferme que la mienne avec des mamelons roses et des petites aréoles pâles. Je ne cherchai pas à dissimuler mon regard sur son corps.



J’étais un peu interloquée, elle était chez moi, quand même, et elle semblait diriger les opérations. Mais j’avais envie d’aller plus loin. Si je suis complètement honnête, j’y pensais un peu depuis le matin.

Je retirai la jupe puis le haut. Je restai un peu figée.



Elle joignit le geste à la parole, elle s’approcha de moi et commença à les caresser tout doucement sans toucher les pointes. Elle les soupesait doucement.

Elle approcha ses lèvres des miennes, nous nous effleurâmes puis nous avons échangé nos salives.



Nous avons ri et j’ai retiré le collant. Elle s’en saisit, exposa le gousset, et le porta à son nez.



Je vis le petit bout de tissu bien taché de mes sécrétions intimes. Elle fixa mon regard et y passa doucement sa langue. Pour ne pas rester en reste, je ramassai le string, mon string, et respirai son parfum. Il était bien humide, un mélange d’odeurs de sexe et de pipi.

Je sentis sa main sur mes poils.



En s’insinuant plus bas, elle découvrit mon clitoris.



Je lui pris la main pour la conduire vers la chambre.

Nous nous sommes collées l’une contre l’autre et avons échangé de longs baisers. Elle m’a renversée sur le dos et elle est descendue sur mon ventre. Elle écarta mes cuisses et plongea son visage contre mes lèvres. Elle trouva facilement mon clitoris et le suça. L’effet fut rapide, un orgasme presque brutal me surprit. Elle remonta vers ma bouche pour me faire goûter le jus de mon vagin. Elle me chevaucha et me présenta son sexe. Elle avait des petites lèvres très longues qui dépassaient largement et je les écartai entre mes doigts pour pouvoir lécher son vagin le plus loin possible. Elle sentait assez fort avec une cyprine un peu gluante et aussi un petit goût de pipi qui aurait disparu si on s’était douchées. Elle avait un petit clito dur, juste un petit bouton nacré en haut de la fente. Je le titillai de la langue, elle se crispa en écrasant son sexe sur ma bouche et cria avant de s’affaler sur moi.

Le plaisir avait été presque violent. Nous sommes restées somnolentes un moment. Anna passait sa main dans mes cheveux tout doucement. Un peu plus petite que moi et blottie contre mon épaule, j’avais passé le bras droit sous elle et je caressais ses fesses. Elle avait des grosses fesses et du bout des doigts je sentais les petits creux de ce que les gens appellent la peau d’orange et que je nomme par son nom : la cellulite. Lorsque j’avais vu le chirurgien-plasticien, il m’avait expliqué que la cellulite était un caractère sexuel secondaire. Sans le dire, il avait même suggéré que l’appétit sexuel était un peu proportionnel à son abondance. Sur ce sujet, je partageais les goûts d’Alain.

Ayant peur de m’endormir, je suggérai :



Elle se leva presque d’un bond. Elle rit en me voyant m’étirer un peu langoureusement.



Nous nous retrouvâmes dans la selle de bain. Je réglai l’eau et Anna rentra dans la douche. Elle me tendit la main.



C’était une douche à l’italienne suffisamment vaste pour y rentrer à deux. Elle se colla dans mon dos et se mit à me savonner. Elle avait pris mes seins dans ses mains et violentait un peu les pointes qui étaient rapidement arrivées à leur maximum de développement. Elle s’attarda sur mon ventre et bien sûr fini sur mon sexe pour le plaisir de faire réagir mon clito.

Je sentis alors un petit jet chaud juste sous les fesses, elle me serrait un peu plus fort. Elle faisait pipi sur moi, enfin sur mes cuisses. Elle avait senti mon sursaut et m’avait serrée encore plus fort.



Le jet semblait ne jamais vouloir s’arrêter et cela finit par déclencher chez moi la même envie. Pour ne pas être en reste, mais aussi par bravade, je me retournai, la pris contre moi et lui retournai la politesse. Je vidai ma vessie avec un plaisir intense. Comme j’étais un peu plus grande, j’arrosai abondamment son pubis et sa chatte. Alain adorait que je fasse devant lui, ça l’excitait au plus haut point.

Aucune de nous deux ne fit de commentaires.

Anna me demanda si elle pouvait essayer le petit string noir et or. Il lui allait parfaitement. Il ne cachait pas grand-chose, juste la fente et je savais par expérience que vu sa taille il allait rapidement disparaître entre les lèvres.


Nous sommes allées dîner dans une petite brasserie pas loin. Salades, mais aussi un sublime Tiramisu. Nous avons parlé comme deux copines qui se connaissaient depuis des années. Elle évita soigneusement de parler des hommes sans doute pour ne pas évoquer Alain. Nous avons évoqué nos premières amours. Je lui dis un mot d’Amélie, ma prof de math. Cela la fit rire :



Elle se pencha au-dessus de son assiette pour se faire discrète et avoua en chuchotant :



Ça me fit rire.



Après le dîner, je la reconduisis chez elle à dix minutes en voiture. Au lieu de nous faire la bise, nous échangeâmes un long baiser.