Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 21706Fiche technique12492 caractères12492
2113
Temps de lecture estimé : 9 mn
18/04/23
Résumé:  Marc et Sophie s’éveillent après leur nuit tropicale. Sophie s’amuse à taquiner Marc encore tout chamboulé de l’expérience qu’elle vient de lui faire vivre. Mais la belle saura le récompenser de son audace et de sa confiance.
Critères:  #couple fh amour hsoumis fdomine facial fgode hdanus
Auteur : Cvices&delices            Envoi mini-message

Série : Une éducation à refaire

Chapitre 02 / 02
Réveil post coital

Résumé des épisodes précédents :

Marc, l’archétype du mâle alfa conservateur s’est laissé prendre à accepter le défi que sa femme Sophie lui a imposé.

Après une nuit pour le moins mouvementée, le couple se réveille et échange sur la séance passée




L’obscurité baignait la chambre dans un silence que ne perturbait que la paisible respiration des deux amants. Le sol était resté parsemé des vêtements épars et des vestiges de la torride soirée de la veille. Marc et Sophie, épuisés par l’audace de leurs ébats, s’étaient contentés de rebattre sur leurs corps nus en sueur l’épaisse couette dont n’émergeaient que leurs visages lovés dans d’épais oreillers.


Marc ouvrit l’œil lorsque les premiers rayons du jour fusèrent à travers les persiennes de la chambre encore nimbée du parfum de la séance de la nuit. Le visage enfoncé dans la ouate de l’oreiller, son regard se posa sur celui de Sophie encore endormie, à une dizaine de centimètres du sien. Il sentait le rythme lent et régulier de sa respiration. Son air apaisé contrastait tellement avec l’impérieuse dominatrice qu’elle s’était révélée être il y a quelques heures à peine, lui imposant cette expérience aussi troublante qu’elle avait été jouissive. En y repensant, Marc se sentit pris de honte d’avoir été à ce point submergé par l’excitation, surtout d’avoir totalement perdu le contrôle face au tsunami de plaisir qui l’avait submergé. Il fallait bien se l’avouer, il avait connu l’orgasme le plus puissant de son existence en se faisant pénétrer en levrette par sa femme équipée d’un gode-ceinture ! Il pensa immédiatement à ce que ses amis proches penseraient s’ils savaient que lui, le séducteur, le bourreau des cœurs de ces dames, l’incarnation du mâle Alfa, l’homme aux centaines de conquêtes, s’était ainsi laissé aller à se faire sodomiser et qu’il avait aimé. Non, qu’il avait adoré, même. Et pourtant, il fallait bien le reconnaître, cela avait bien été le cas : il avait éprouvé une intensité de plaisir jusqu’alors inconnue. Et il savait que sa vie en resterait chamboulée à jamais.


Sophie entrouvrit les yeux à son tour. Elle lui adressa un discret sourire tout en s’étirant.



Il vint se blottir contre son corps chaud et la serra dans ses bras.



La réaction ne se fit pas attendre et le sexe de Marc se gorgea immédiatement de sang au contact des phalanges.



Elle serra les doigts autour du membre déjà gonflé.



Elle relâcha son emprise et commença à ôter sa main.



Satisfaite de son effet, Sophie empoigna de nouveau la verge totalement réveillée et commença à faire doucement rouler la fine peau du prépuce sur le gland.



Sofie ralentit le mouvement pour garder son homme juste au bon niveau de tension. Marc reprit.



Sofie fit un léger mouvement de torsion et fit coulisser sa main jusqu’à la base de la verge de telle manière que la couronne du prépuce se tende. Une onde de plaisir prenant naissance à l’extrémité de sa verge remonta l’échine de Marc.



Marc détourna le regard, une gêne évidente faisant virer son visage au rosacé.



La main engagea un va-et-vient plus ferme sur le membre gonflé.



Sofie sourit.



Sur ces mots, elle tira la couette et dégagea le corps nu de son compagnon dont l’érection triomphante dardait fièrement vers le plafond. Sofie glissa le long du buste et vint poser son regard à quelques centimètres du gland cramoisi.



Elle posa un doigt sur l’orifice largement suintant. Elle enduit le bout de son doigt du fluide translucide et gluant qui en perlait.



Sur quoi elle posa délicatement ses lèvres sur l’extrémité du gland, fit jouer la pointe de sa langue pour recueillir les larmes en sortant.



Au bord de l’explosion, elle accueillit tout le membre dans sa bouche et resta immobile pour savourer les vibrations contre ses joues. Elle pouvait le sentir durcir davantage à chaque instant. Chaque infime geste, même une respiration, avait le pouvoir de le faire basculer. Mais elle tenait absolument à le garder dans cet équilibre instable, entre tension insupportable et déferlante orgasmique.

La respiration haletante et les palpitations de la verge indiquaient sans doute possible que la digue était en train de céder et que la décharge était imminente. Déjà, les testicules venaient de transférer leur précieux contenu en prévision de la salve libératrice. Marc avait cessé d’habiter son corps pour venir se réfugier dans les sensations exacerbées de son membre enserré entre les mains et les lèvres de son amante.

Avec une lenteur extrême, Sophie plaqua sa langue chaude sur le frein et se mit à le caresser de haut en bas. Ses doigts se mirent à presser en cadence les corps caverneux gonflés, comme pour en pomper le contenu. Tels les wagonnets d’un grand huit entamant l’abrupte chute dans le vide, Marc sentit l’onde de plaisir fuser au creux de ses reins et se répondre le long de son urètre jusqu’à éprouver le sentiment que son corps tout entier était en train de se vider par l’extrémité entre ses cuisses.

Sofie perçut immédiatement la crispation dans sa bouche et entre ses doigts et se figea pour laisser son amant décharger l’onde de plaisir qui venait d’exploser en lui. Son gland se gonfla une ultime fois sur la langue de sa partenaire avant que la première salve ne fuse et vienne se perdre au fond de sa gorge. Elle inclina légèrement le visage de manière à diriger les jets saccadés contre l’intérieur de sa joue, et éviter que le précieux jus de son homme ne se perde au fond de sa gorge.

Il fallut de longues secondes pour que les dernières salves soient libérées et que Marc s’effondre, totalement terrassé par la puissance du plaisir. Sofie garda la verge enserrée dans sa bouche jusqu’à ce qu’elle ait totalement retrouvé le repos. La créature s’échappa naturellement entre ses lèvres et retourna se tapir au creux des cuisses de son propriétaire.



Sofie se redressa en silence, la bouche maintenue fermée, et approcha son visage de son homme. Avant qu’il n’ait le temps de comprendre, elle posa ses lèvres sur les siennes qu’elle ouvrit immédiatement, libérant sa langue nappée de foutre. D’abord surpris, il se laissa faire et accueillit totalement l’appendice de la belle ainsi que sa propre semence que tous deux mélangèrent dans un long et langoureux baiser qui dura de longues secondes.